Chapitre IX (Suite)
Eric regarde la jeune femme, décontenancé par son aplomb et la hardiesse incommensurable de sa posture prodigieusement érotique. Il soulève son corps léger comme une plume et encore tout humide pour le déposer délicatement sur un bain de soleil. Jade se laisse faire, un bras autour de son cou, les yeux pétillants de détermination, ses immenses pupilles plongées dans celles d’Eric. Des yeux magnifiques qui ne demandent qu’à vaciller dans le plaisir.
Eric s’allonge à ses côtés et plutôt que de se précipiter sur ce sexe brûlant de désir, il veux prendre son temps, profiter de ce corps alangui, désirable au possible, de ses seins magnifiques qui se prélassent sur sa poitrine, de ce minou indolent mais ruisselant qu’il va falloir conquérir, dompter et rassasier.
Tout dans ce corps dévêtu réclame l’amour, les yeux brillants de désir, la bouche avide de baisers, la peau irisée, les mamelons gourmands et téméraires, le pubis où s’éternisent quelques poils bouclés, les jambes écartées qui laissent respirer un sexe effilé, friand d’amour et de caresses et qui ne se lasse pas d’alimenter la naissance de ses fesses de mouille et de sécrétions vaginales mélangées.
Les doigts d’Eric partent à l’aventure de son visage. Son joli nez en trompette, ses cheveux courts, sa bouche épaisse et sensuelles qu’il effleure de ses lèvres avides et qui ne demandent qu’à se soumettre à toutes les convoitises. Jade, les yeux fermés, impatiente, peu habituée aux préliminaires plonge ses mains sur sa vulve en feu et pendant que ses doigts experts sillonnent sa fente pour mieux effeuiller son minou, écarter les lèvres écarlates pour remonter à la naissance de son plaisir, Eric embrasse son cou, mordille ses petites oreilles si adorables qu’il les mangerait presque. Sa main est venue survoler ses seins, les contourner, les effleurer, bientôt suivi par ses lèvres passionnées qui viennent de quitter la peau toute lisse de ses épaules. Les mains de Jade intensifient leurs caresses. Son corps se tend. Ses fesses se relèvent, son ventre se creuse, sa respiration est haletante. Des petits cris étouffés au départ puis de plus en plus libérés sortent de sa bouche. Ses paupières s’ouvrent, se referment sur ses yeux perdus dans sa jouissance.
Son corps s’est assagit, le bout de sa langue passe furtivement sur ses lèvres pour savourer son plaisir. Eric sourit devant cette femme avide d’amour et d’extase. Les mains de Jade ont délaissé son sexe détrempé pour venir caresser le visage d’Eric. Elle passe un de ses doigts mouillés sur les lèvres d’Eric, cherche l’ouverture de sa bouche, la trouve et investit la cavité buccale à la recherche de sa langue. Eric ne se fait pas prier. Il suce délicatement le doigt qui se présente à lui et lèche la mouille qui s’est agglutinée entre les phalanges.
- C’est mieux que ma culotte ?
- Mieux ! Non ! C’est différent.
- Ah ! Et c’est quoi qui est différent ?
- Dans la culotte, tu ressens toutes les émotions de la chatte. Tu l’imagine langoureuse, légèrement suintante. Tu perçois les désirs de la journée, lorsqu’elle est émue, surprise, caressée, chatouillée. Elle est le berceau de toutes les effluves accumulées, les pipis mal essuyés, les replis nettoyés un peu trop précipitamment. Une culotte, c’est un des reflet de la personnalité féminine. Tu sais si celle qui la porte est maniaque, cool ou négligée, émotive ou froide, épilée ou pas. C’est aussi un critère de démarquage social, si elle a les moyens ou si elle fait avec ce qu’elle a.
- Et moi alors ?
- Toi tu fais parti des filles « cool » et très émotives, avec peu de moyen.
- Et Charlotte ?
- Charlotte, elle est un peu plus négligée, émotive mais avec une lingerie de qualité.
- Tu es quand même un sacré cochon. Et tu fais ça depuis longtemps ?
- Depuis que je suis gamin. J’ai commencé avec les culottes de mes sœurs. La sexualité, c’était un sujet tabou à la maison. Je me suis débrouillé comme j’ai pu.
- Moi c’est pareil. Je me suis éduquée toute seule aussi. Pas toujours évident. Mais bon ! J’ai bien aimé quand tu m’as caressé le visage. Je n’étais pas habitué. Lucas allait directement à l’essentiel et comme il ne tenait pas la route, en deux temps trois mouvements, c’était plié.
- Précoce ?
- Vingt à quarante secondes max. Deux ou trois aller retour, comme un lapin, un calvaire. C’est à partir de là que tout à basculé. Comme il n’arrivait pas à me satisfaire, il a demandé à son meilleur copain, qui ne s’est pas fait prié et puis c’était l’engrenage. Tu sais que j’ai rarement jouit comme je viens de jouir là maintenant. C’était trop bon.
- Et encore, tu n’as rien vu.
- Eh bien je demande à voir, euh ... tout de suite, maintenant ! Il va de soit.
Eric regarde la jeune femme, décontenancé par son aplomb et la hardiesse incommensurable de sa posture prodigieusement érotique. Il soulève son corps léger comme une plume et encore tout humide pour le déposer délicatement sur un bain de soleil. Jade se laisse faire, un bras autour de son cou, les yeux pétillants de détermination, ses immenses pupilles plongées dans celles d’Eric. Des yeux magnifiques qui ne demandent qu’à vaciller dans le plaisir.
Eric s’allonge à ses côtés et plutôt que de se précipiter sur ce sexe brûlant de désir, il veux prendre son temps, profiter de ce corps alangui, désirable au possible, de ses seins magnifiques qui se prélassent sur sa poitrine, de ce minou indolent mais ruisselant qu’il va falloir conquérir, dompter et rassasier.
Tout dans ce corps dévêtu réclame l’amour, les yeux brillants de désir, la bouche avide de baisers, la peau irisée, les mamelons gourmands et téméraires, le pubis où s’éternisent quelques poils bouclés, les jambes écartées qui laissent respirer un sexe effilé, friand d’amour et de caresses et qui ne se lasse pas d’alimenter la naissance de ses fesses de mouille et de sécrétions vaginales mélangées.
Les doigts d’Eric partent à l’aventure de son visage. Son joli nez en trompette, ses cheveux courts, sa bouche épaisse et sensuelles qu’il effleure de ses lèvres avides et qui ne demandent qu’à se soumettre à toutes les convoitises. Jade, les yeux fermés, impatiente, peu habituée aux préliminaires plonge ses mains sur sa vulve en feu et pendant que ses doigts experts sillonnent sa fente pour mieux effeuiller son minou, écarter les lèvres écarlates pour remonter à la naissance de son plaisir, Eric embrasse son cou, mordille ses petites oreilles si adorables qu’il les mangerait presque. Sa main est venue survoler ses seins, les contourner, les effleurer, bientôt suivi par ses lèvres passionnées qui viennent de quitter la peau toute lisse de ses épaules. Les mains de Jade intensifient leurs caresses. Son corps se tend. Ses fesses se relèvent, son ventre se creuse, sa respiration est haletante. Des petits cris étouffés au départ puis de plus en plus libérés sortent de sa bouche. Ses paupières s’ouvrent, se referment sur ses yeux perdus dans sa jouissance.
Son corps s’est assagit, le bout de sa langue passe furtivement sur ses lèvres pour savourer son plaisir. Eric sourit devant cette femme avide d’amour et d’extase. Les mains de Jade ont délaissé son sexe détrempé pour venir caresser le visage d’Eric. Elle passe un de ses doigts mouillés sur les lèvres d’Eric, cherche l’ouverture de sa bouche, la trouve et investit la cavité buccale à la recherche de sa langue. Eric ne se fait pas prier. Il suce délicatement le doigt qui se présente à lui et lèche la mouille qui s’est agglutinée entre les phalanges.
- C’est mieux que ma culotte ?
- Mieux ! Non ! C’est différent.
- Ah ! Et c’est quoi qui est différent ?
- Dans la culotte, tu ressens toutes les émotions de la chatte. Tu l’imagine langoureuse, légèrement suintante. Tu perçois les désirs de la journée, lorsqu’elle est émue, surprise, caressée, chatouillée. Elle est le berceau de toutes les effluves accumulées, les pipis mal essuyés, les replis nettoyés un peu trop précipitamment. Une culotte, c’est un des reflet de la personnalité féminine. Tu sais si celle qui la porte est maniaque, cool ou négligée, émotive ou froide, épilée ou pas. C’est aussi un critère de démarquage social, si elle a les moyens ou si elle fait avec ce qu’elle a.
- Et moi alors ?
- Toi tu fais parti des filles « cool » et très émotives, avec peu de moyen.
- Et Charlotte ?
- Charlotte, elle est un peu plus négligée, émotive mais avec une lingerie de qualité.
- Tu es quand même un sacré cochon. Et tu fais ça depuis longtemps ?
- Depuis que je suis gamin. J’ai commencé avec les culottes de mes sœurs. La sexualité, c’était un sujet tabou à la maison. Je me suis débrouillé comme j’ai pu.
- Moi c’est pareil. Je me suis éduquée toute seule aussi. Pas toujours évident. Mais bon ! J’ai bien aimé quand tu m’as caressé le visage. Je n’étais pas habitué. Lucas allait directement à l’essentiel et comme il ne tenait pas la route, en deux temps trois mouvements, c’était plié.
- Précoce ?
- Vingt à quarante secondes max. Deux ou trois aller retour, comme un lapin, un calvaire. C’est à partir de là que tout à basculé. Comme il n’arrivait pas à me satisfaire, il a demandé à son meilleur copain, qui ne s’est pas fait prié et puis c’était l’engrenage. Tu sais que j’ai rarement jouit comme je viens de jouir là maintenant. C’était trop bon.
- Et encore, tu n’as rien vu.
- Eh bien je demande à voir, euh ... tout de suite, maintenant ! Il va de soit.
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