17-11-2020, 01:04 AM
Sixième jardin,
Un magnifique dimanche de juillet, dix heures du matin. Je me promène dans la campagne et je traverse un village. Quelques maisons cossues parmi les fermes, probablement des citadins exilés. Devant l’une d’elles, des nains de jardin. Je dis des nains de jardin, mais pas les modèles habituels et colorés tirés d’un film de Walt Disney, ils ressemblent plutôt à des vrais hommes, pas si petits que ça, et ces hommes sont nus, le sexe en érection. Je fais quelques photos avec mon smartphone.
— Ils vous plaisent mes nains ?
Je sursaute, l’homme qui vient d’arriver est aussi nu, il pousse une vieille tondeuse à gazon sans moteur.
— Ils sont très originaux.
— Venez, je vous offre l’apéro.
— Avec plaisir.
Je suis l’homme, nous contournons la maison et il m’invite à m’asseoir sur la terrasse, sous un parasol. Il entre dans la maison et revient avec une bouteille de champagne rosé et deux coupes.
— Du champagne ? dis-je. Un événement à fêter ?
— Votre visite, c’est rare que quelqu’un s’arrête chez moi. À votre santé !
— À la vôtre !
— Je ne me suis pas présenté, Thibault.
— Pierre-Yves.
Thibault m’explique qu’il travaille dans un atelier protégé, que c’est lui qui fabrique ces nains de jardin.
— Félicitations, dis-je. Vous êtes doué.
— Merci. Vous ne voulez pas vous mettre à l’aise ?
— Que voulez-vous dire ?
— Vous déshabiller, il fait si chaud.
J’hésite, puis je me dis que c’est une bonne idée. Cela fera plaisir à mon hôte. Je fais un strip-tease rapide.
— Jolie bite circoncise, me dit Thibault. Vous permettez que je me branle ? Je n’ai pas eu le temps ce matin.
Sans attendre ma réponse, il décalotte et caresse son pénis, il bande rapidement.
— Vous pouvez faire la même chose, me dit-il, ça ne me choque pas.
— Je n’ai pas eu le temps non plus ce matin, fais-je en riant.
La situation est inhabituelle, mais plaisante. Nous prenons notre temps pour nous masturber, Thibaut a l’air très concentré, perdu dans les méandres de son cerveau. Il éjacule, le sperme tombe sur le gravillon.
— Je peux vous sucer ? demande Thibault.
Il s’agenouille et prend mon pénis dans sa bouche, il est habile et je suis déjà assez excité, je jouis rapidement. Il avale ma semence.
— C’était sympa de vous être arrêté, me dit-il, maintenant je dois finir de tondre le gazon.
Je suis surpris, Thibault va chercher un bouchon pour la bouteille et la met dans mon sac à dos.
— Vous la terminerez plus tard. Au revoir.
— Euh… au revoir.
Thibault prend la tondeuse et se dirige vers le fond du jardin. Il ne me reste plus qu’à me rhabiller et à reprendre ma promenade. Je suis encore ébranlé par ma rencontre trop rapide avec ce jeune homme.
J’ai décidé de le revoir. Le dimanche suivant, même heure, je me retrouve devant la maison. Je sonne, une dame d’un certain âge m’ouvre, un homme se tient quelques mètres derrière elle.
— Bonjour madame, dis-je, je suis désolé de vous déranger, je pensais qu’un jeune homme habitait ici, je l’ai vu dimanche passé.
— Thibault ? Notre petit-fils. Il n’est pas là aujourd’hui. Je peux lui laisser un message de votre part ?
— Je… Non, mais pourriez-vous me dire où je pourrais le contacter ?
La dame me donne l’adresse de l’atelier où travaille Thibault.
— Merci, dis-je, et encore désolé de vous avoir dérangé.
— Nous avons l’habitude, dit-elle, avec ses nains de jardin. En partant, regardez, il y en a un nouveau.
La dame baisse les yeux et les pose sur mon entrejambe.
Un magnifique dimanche de juillet, dix heures du matin. Je me promène dans la campagne et je traverse un village. Quelques maisons cossues parmi les fermes, probablement des citadins exilés. Devant l’une d’elles, des nains de jardin. Je dis des nains de jardin, mais pas les modèles habituels et colorés tirés d’un film de Walt Disney, ils ressemblent plutôt à des vrais hommes, pas si petits que ça, et ces hommes sont nus, le sexe en érection. Je fais quelques photos avec mon smartphone.
— Ils vous plaisent mes nains ?
Je sursaute, l’homme qui vient d’arriver est aussi nu, il pousse une vieille tondeuse à gazon sans moteur.
— Ils sont très originaux.
— Venez, je vous offre l’apéro.
— Avec plaisir.
Je suis l’homme, nous contournons la maison et il m’invite à m’asseoir sur la terrasse, sous un parasol. Il entre dans la maison et revient avec une bouteille de champagne rosé et deux coupes.
— Du champagne ? dis-je. Un événement à fêter ?
— Votre visite, c’est rare que quelqu’un s’arrête chez moi. À votre santé !
— À la vôtre !
— Je ne me suis pas présenté, Thibault.
— Pierre-Yves.
Thibault m’explique qu’il travaille dans un atelier protégé, que c’est lui qui fabrique ces nains de jardin.
— Félicitations, dis-je. Vous êtes doué.
— Merci. Vous ne voulez pas vous mettre à l’aise ?
— Que voulez-vous dire ?
— Vous déshabiller, il fait si chaud.
J’hésite, puis je me dis que c’est une bonne idée. Cela fera plaisir à mon hôte. Je fais un strip-tease rapide.
— Jolie bite circoncise, me dit Thibault. Vous permettez que je me branle ? Je n’ai pas eu le temps ce matin.
Sans attendre ma réponse, il décalotte et caresse son pénis, il bande rapidement.
— Vous pouvez faire la même chose, me dit-il, ça ne me choque pas.
— Je n’ai pas eu le temps non plus ce matin, fais-je en riant.
La situation est inhabituelle, mais plaisante. Nous prenons notre temps pour nous masturber, Thibaut a l’air très concentré, perdu dans les méandres de son cerveau. Il éjacule, le sperme tombe sur le gravillon.
— Je peux vous sucer ? demande Thibault.
Il s’agenouille et prend mon pénis dans sa bouche, il est habile et je suis déjà assez excité, je jouis rapidement. Il avale ma semence.
— C’était sympa de vous être arrêté, me dit-il, maintenant je dois finir de tondre le gazon.
Je suis surpris, Thibault va chercher un bouchon pour la bouteille et la met dans mon sac à dos.
— Vous la terminerez plus tard. Au revoir.
— Euh… au revoir.
Thibault prend la tondeuse et se dirige vers le fond du jardin. Il ne me reste plus qu’à me rhabiller et à reprendre ma promenade. Je suis encore ébranlé par ma rencontre trop rapide avec ce jeune homme.
J’ai décidé de le revoir. Le dimanche suivant, même heure, je me retrouve devant la maison. Je sonne, une dame d’un certain âge m’ouvre, un homme se tient quelques mètres derrière elle.
— Bonjour madame, dis-je, je suis désolé de vous déranger, je pensais qu’un jeune homme habitait ici, je l’ai vu dimanche passé.
— Thibault ? Notre petit-fils. Il n’est pas là aujourd’hui. Je peux lui laisser un message de votre part ?
— Je… Non, mais pourriez-vous me dire où je pourrais le contacter ?
La dame me donne l’adresse de l’atelier où travaille Thibault.
— Merci, dis-je, et encore désolé de vous avoir dérangé.
— Nous avons l’habitude, dit-elle, avec ses nains de jardin. En partant, regardez, il y en a un nouveau.
La dame baisse les yeux et les pose sur mon entrejambe.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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