Chapitre IX (Suite)
Eric arrête sa Mercedes sur le parking du cimetière. Il prend le temps de se recueillir sur la tombe d’Annie. Depuis l’inhumation, les fleurs se sont quelque peu défraîchies. Il les retire et laisse la sépulture nue derrière lui. Il regagne sa voiture et se dirige vers le port. En chemin, il s’arrête à la supérette, achète quelques bières et se présente en caisse. Il n’y a personne dans la boutique. Jade lève ses grands yeux innocents derrière sa caisse.
- Tu es venu ? Merci Eric.
- Je t’avais dit que je passerai et je voulais m’assurer que tu allais bien.
- Très bien. Je vais très bien. Dans mon appartement, je m’ennuie un peu toute seule mais ça va. Je ne travaille pas cette après-midi. Je termine mon service dans dix minutes. Tu m’invites à boire un verre ?
- Avec plaisir.
- Je clos ma caisse et j’arrive.
- Ok, je t’attends dehors.
La jeune femme tire le rideau de fer. Elle est jolie dans son short en jean qui héberge ses fesses. Ses seins lourds reposent sur le tissus de son chandail que les pointes veulent désespérément percer. En baskets blanches, le teint halé de ses jambes remonte jusqu’au short et on devine aisément qu’il ne s’arrête pas en si bon chemin.
- Je suis à toi.
- Ah oui répond Eric avec un grand sourire.
- Tu es bête. Tu m’emmènes où ?
- Sur le port, ça te va ?
- Sur ton bateau ? Oui ça me va. J’espère que tu as autre chose que de la bière. J’ai envie d’un whisky.
- Tu vas être pompette. Pour les jeunes filles, j’ai du jus d’orange.
- D’abord, je suis une femme au cas où tu n’aurais pas remarqué et puis je tiens mieux l’alcool que les mecs en général.
- La féministe qui ressurgit dans toute sa splendeur.
- Et le gros macho dans tout son désarroi.
- Tu ne mérites juste qu’une grosse fessée, petite insolente.
- Ah non. Tu vas pas t’y mettre toi aussi ?
- Désolé Jade. Ça m’a échappé.
- Je disais ça en rigolant Eric. Mais si tu veux te faire pardonner, tu m’emmènes en mer. La dernière fois, j’ai adorée.
- Pourquoi pas.
- Cool. Trop contente. Dis moi ce que peux faire ?
- Tu relèves les bouées de protection, je mets en route le moteur et on largue les amarres.
Jade est toute excitée. Elle relève méthodiquement toutes les bouées une à une, offrant à chaque fois une vue magnifique sur son petit derrière. Eric, à la barre, sourit devant ce spectacle impromptu mais de haute voltige tant les fesses de Jade épousent à merveille le tissu contraint sous l’effort.
- C’est bon, on peut y aller dit-elle en se retournant avec un grand sourire.
Eric est ailleurs.
- C’est bon, j’ai dis !
- Ah ok, je n’avais pas entendu.
Le moteur crachote et Jade vient s’asseoir à côté d’Eric.
- Tu es dans la lune ?
- Euh non, je pensais à autre chose.
Le bateau sort de son emplacement et prend le chenal de sortie. Devant la capitainerie, Jade fait un signe de la main et la réponse est beaucoup plus enthousiaste que lorsqu’il s’agit de répondre à Eric.
- Je crois que tu les as conquis.
- Il ne leurs faut pas grand-chose.
- Pas grand-chose, pas grand-chose, tu exagères un peu, comme d’habitude.
- Tu vas quand même pas me dire que je suis canon ?
- Ben tu es loin d’être un boulet quand même.
- Tu me rassures. Bon allez plein gaz. Je veux être grisée par la vitesse. J’adore.
Le bateau lève de l’avant devant la force inculquée par le moteur avant de se coucher sur les vagues lorsque la vitesse rend la poussée moins tonique. Le chandail de Jade se plaque contre ses seins, en épousant les formes cachées. Ses tétons, excités par le tissu, réagissent au quart de tour. Elle rit.
- Regarde mes seins. Ils n’ont jamais été aussi énervés.
- Effectivement, pour être énervées, ils sont énervés.
- Waouh ! C’est super agréable.
Jade se penche en avant et laisse le vent s’engouffrer dans son chandail. Le tissu virevolte laissant apparaître des formes généreuses, offertes aux caresses du courant d’air qui envahi son buste.
- C’est absolument génial.
- Oui, tellement génial que là, tu ressembles à un ballon de baudruche.
- Pff, même pas drôle ! On le prend cet apéro en pleine mer ?
- Allez zou, c’est parti pour l’apéritif.
Eric laisse le moteur tourner au ralenti. Jade va chercher deux verres, la bouteille de whisky et quelques glaçons. Elle dispose le tout sur le pont avant, près des bains de soleil et s’assoie, accroupie, les jambes écartées en face d’Eric.
Difficile de contenir le regard qui se veut incisif. Difficile de détacher les yeux de cet entre-jambes offert à tous les phantasmes et qui par derrière le tissu cache peut-être un petite culotte et derrière cette petite culotte si elle existe réellement, le fruit tant convoité. Impossible de ne pas envisager de poser les lèvres avec délice sur ce fruit mur, goûter le jus de la chair, se délecter de ces sécrétions vaginales les plus téméraires.
Eric est troublé par la beauté de Jade, par sa sensualité extraordinaire, par sa sexualité débordante qui agacent ses sens les plus secrets.
- Tu regardes quoi ?
- Tu sais que tu es ravissante ?
- Mouais ! Mais j’ai l’impression que tu regardes un endroit précis de mon anatomie.
- Ah ? Tu en es sûre ? Je crois que tu as une tâche sur ton short.
- Ça m’étonnerait. Il est tout neuf de ce matin.
- Peut-être un reflet alors dit-il songeur.
- Oui c’est cela oui répondit-elle avec un sourire complice.
- Allez tchin tchin.
Jade vient s’asseoir à côté d’Eric.
- Je n'arrive pas à me persuader que je ne suis pas en plein rêve. C’est trop beau, trop cool pour être vrai. Après l’apéritif, on se baigne ?
- Oula ! elle est trop froide pour moi. Vas-y si tu veux mais tu remonteras vite.
- Monsieur est une poule mouillée ?
Jade vide son verre d’un trait. Elle se lève. Elle retire son haut laissant ses seins libres et encore tout excités. Elle dépose son chandail délicatement sur une traverse. Le bouton de son short quitte la prison de l’œillère, la fermeture éclair est abaissée jusqu’à son maximum. Et Jade se tortille pour extraire ses magnifiques fesses du tissu, laissant apparaître un shorty blanc en coton.
- S’il y a une tâche c’est plutôt au fond de ma culotte. Tu veux voir ?
Et sans attendre la réponse d’Eric, Jade baisse sa culotte laissant apparaître les poils pubiens qui masquent son sexe. Elle dépose short et shorty près d’Eric. Elle retire le peu qui lui reste, ses baskets et ses soquettes. Elle est nue. Entièrement nue. Son regard est plongé dans celui d’Eric. Elle sourit, consciente de l’effet produit.
- Tu es sûr que tu ne veux pas venir ?
Elle retire sa montre. Elle se tourne dévoilant des fesses magnifiques et du haut du bateau, elle plonge dans la méditerranée.
Eric la regarde s’ébattre dans l’eau comme une enfant joyeuse. Dans le bermuda, c’est le bazar. Il tente de contenir les ondes de désirs qui inondent son bas ventre et qui irrémédiablement se répercutent sur sa verge. Et comme toujours en ces moments là, le slip est trop petit pour contenir la téméraire qui n’a de cesse de vouloir s’exhiber en toute indécence.
Il sirote innocemment son verre de whisky lorsque son regard tombe sur la culotte de jade, là, à portée de main. Dans ses veines, il perçoit l’accélération de son rythme cardiaque. Ça tape dur, ça tape fort dans ses tempes. Et la perversité a pris le dessus de la raison. Il se saisit précautionneusement de la lingerie. Elle est humide, même très humide pour ne pas dire trempée. Il passe un doigts sur les sécrétions onctueuses laissées au fond du tissu. Il n’en revient pas de la quantité de mouille astronomique produit par le sexe de Jade. Une véritable usine. Il ne peux s’empêcher de porter cette petite culotte divine à ses narines attentives, respirer cette odeur si particulière, si excitante, d’autan plus excitante que la femme qui portait cette lingerie est là, dans l’eau en train de batifoler, de plonger, de rire. A cet instant, il voudrait être ce fluide qui lèche l’intimité généreuse de la jeune femme pour recueillir les suintements résiduels. Il s’imagine liquéfié, passant entre les replis de sa vulve, écartant les lèvres sous la pression du liquide pour mieux les rassembler dans un mouvement aléatoire. Il s’échappe de ce sexe luxuriant pour parcourir maintenant sans vergogne la petit noisette cachée au fond de ses fesses, sur le chemin sacré de la magnificence.
Il oublie toute réalité pour se focaliser sur ce plaisir incommensurable, cette odeur extatique qui transpire au travers du tissu, cette mouille qui sublime son mental à la merci de toutes les tentations érotiques.
Une petit frimousse toute mouillée elle aussi passe au dessus du pont.
- Ben qu’est-ce que tu fais avec ma culotte ?
Eric arrête sa Mercedes sur le parking du cimetière. Il prend le temps de se recueillir sur la tombe d’Annie. Depuis l’inhumation, les fleurs se sont quelque peu défraîchies. Il les retire et laisse la sépulture nue derrière lui. Il regagne sa voiture et se dirige vers le port. En chemin, il s’arrête à la supérette, achète quelques bières et se présente en caisse. Il n’y a personne dans la boutique. Jade lève ses grands yeux innocents derrière sa caisse.
- Tu es venu ? Merci Eric.
- Je t’avais dit que je passerai et je voulais m’assurer que tu allais bien.
- Très bien. Je vais très bien. Dans mon appartement, je m’ennuie un peu toute seule mais ça va. Je ne travaille pas cette après-midi. Je termine mon service dans dix minutes. Tu m’invites à boire un verre ?
- Avec plaisir.
- Je clos ma caisse et j’arrive.
- Ok, je t’attends dehors.
La jeune femme tire le rideau de fer. Elle est jolie dans son short en jean qui héberge ses fesses. Ses seins lourds reposent sur le tissus de son chandail que les pointes veulent désespérément percer. En baskets blanches, le teint halé de ses jambes remonte jusqu’au short et on devine aisément qu’il ne s’arrête pas en si bon chemin.
- Je suis à toi.
- Ah oui répond Eric avec un grand sourire.
- Tu es bête. Tu m’emmènes où ?
- Sur le port, ça te va ?
- Sur ton bateau ? Oui ça me va. J’espère que tu as autre chose que de la bière. J’ai envie d’un whisky.
- Tu vas être pompette. Pour les jeunes filles, j’ai du jus d’orange.
- D’abord, je suis une femme au cas où tu n’aurais pas remarqué et puis je tiens mieux l’alcool que les mecs en général.
- La féministe qui ressurgit dans toute sa splendeur.
- Et le gros macho dans tout son désarroi.
- Tu ne mérites juste qu’une grosse fessée, petite insolente.
- Ah non. Tu vas pas t’y mettre toi aussi ?
- Désolé Jade. Ça m’a échappé.
- Je disais ça en rigolant Eric. Mais si tu veux te faire pardonner, tu m’emmènes en mer. La dernière fois, j’ai adorée.
- Pourquoi pas.
- Cool. Trop contente. Dis moi ce que peux faire ?
- Tu relèves les bouées de protection, je mets en route le moteur et on largue les amarres.
Jade est toute excitée. Elle relève méthodiquement toutes les bouées une à une, offrant à chaque fois une vue magnifique sur son petit derrière. Eric, à la barre, sourit devant ce spectacle impromptu mais de haute voltige tant les fesses de Jade épousent à merveille le tissu contraint sous l’effort.
- C’est bon, on peut y aller dit-elle en se retournant avec un grand sourire.
Eric est ailleurs.
- C’est bon, j’ai dis !
- Ah ok, je n’avais pas entendu.
Le moteur crachote et Jade vient s’asseoir à côté d’Eric.
- Tu es dans la lune ?
- Euh non, je pensais à autre chose.
Le bateau sort de son emplacement et prend le chenal de sortie. Devant la capitainerie, Jade fait un signe de la main et la réponse est beaucoup plus enthousiaste que lorsqu’il s’agit de répondre à Eric.
- Je crois que tu les as conquis.
- Il ne leurs faut pas grand-chose.
- Pas grand-chose, pas grand-chose, tu exagères un peu, comme d’habitude.
- Tu vas quand même pas me dire que je suis canon ?
- Ben tu es loin d’être un boulet quand même.
- Tu me rassures. Bon allez plein gaz. Je veux être grisée par la vitesse. J’adore.
Le bateau lève de l’avant devant la force inculquée par le moteur avant de se coucher sur les vagues lorsque la vitesse rend la poussée moins tonique. Le chandail de Jade se plaque contre ses seins, en épousant les formes cachées. Ses tétons, excités par le tissu, réagissent au quart de tour. Elle rit.
- Regarde mes seins. Ils n’ont jamais été aussi énervés.
- Effectivement, pour être énervées, ils sont énervés.
- Waouh ! C’est super agréable.
Jade se penche en avant et laisse le vent s’engouffrer dans son chandail. Le tissu virevolte laissant apparaître des formes généreuses, offertes aux caresses du courant d’air qui envahi son buste.
- C’est absolument génial.
- Oui, tellement génial que là, tu ressembles à un ballon de baudruche.
- Pff, même pas drôle ! On le prend cet apéro en pleine mer ?
- Allez zou, c’est parti pour l’apéritif.
Eric laisse le moteur tourner au ralenti. Jade va chercher deux verres, la bouteille de whisky et quelques glaçons. Elle dispose le tout sur le pont avant, près des bains de soleil et s’assoie, accroupie, les jambes écartées en face d’Eric.
Difficile de contenir le regard qui se veut incisif. Difficile de détacher les yeux de cet entre-jambes offert à tous les phantasmes et qui par derrière le tissu cache peut-être un petite culotte et derrière cette petite culotte si elle existe réellement, le fruit tant convoité. Impossible de ne pas envisager de poser les lèvres avec délice sur ce fruit mur, goûter le jus de la chair, se délecter de ces sécrétions vaginales les plus téméraires.
Eric est troublé par la beauté de Jade, par sa sensualité extraordinaire, par sa sexualité débordante qui agacent ses sens les plus secrets.
- Tu regardes quoi ?
- Tu sais que tu es ravissante ?
- Mouais ! Mais j’ai l’impression que tu regardes un endroit précis de mon anatomie.
- Ah ? Tu en es sûre ? Je crois que tu as une tâche sur ton short.
- Ça m’étonnerait. Il est tout neuf de ce matin.
- Peut-être un reflet alors dit-il songeur.
- Oui c’est cela oui répondit-elle avec un sourire complice.
- Allez tchin tchin.
Jade vient s’asseoir à côté d’Eric.
- Je n'arrive pas à me persuader que je ne suis pas en plein rêve. C’est trop beau, trop cool pour être vrai. Après l’apéritif, on se baigne ?
- Oula ! elle est trop froide pour moi. Vas-y si tu veux mais tu remonteras vite.
- Monsieur est une poule mouillée ?
Jade vide son verre d’un trait. Elle se lève. Elle retire son haut laissant ses seins libres et encore tout excités. Elle dépose son chandail délicatement sur une traverse. Le bouton de son short quitte la prison de l’œillère, la fermeture éclair est abaissée jusqu’à son maximum. Et Jade se tortille pour extraire ses magnifiques fesses du tissu, laissant apparaître un shorty blanc en coton.
- S’il y a une tâche c’est plutôt au fond de ma culotte. Tu veux voir ?
Et sans attendre la réponse d’Eric, Jade baisse sa culotte laissant apparaître les poils pubiens qui masquent son sexe. Elle dépose short et shorty près d’Eric. Elle retire le peu qui lui reste, ses baskets et ses soquettes. Elle est nue. Entièrement nue. Son regard est plongé dans celui d’Eric. Elle sourit, consciente de l’effet produit.
- Tu es sûr que tu ne veux pas venir ?
Elle retire sa montre. Elle se tourne dévoilant des fesses magnifiques et du haut du bateau, elle plonge dans la méditerranée.
Eric la regarde s’ébattre dans l’eau comme une enfant joyeuse. Dans le bermuda, c’est le bazar. Il tente de contenir les ondes de désirs qui inondent son bas ventre et qui irrémédiablement se répercutent sur sa verge. Et comme toujours en ces moments là, le slip est trop petit pour contenir la téméraire qui n’a de cesse de vouloir s’exhiber en toute indécence.
Il sirote innocemment son verre de whisky lorsque son regard tombe sur la culotte de jade, là, à portée de main. Dans ses veines, il perçoit l’accélération de son rythme cardiaque. Ça tape dur, ça tape fort dans ses tempes. Et la perversité a pris le dessus de la raison. Il se saisit précautionneusement de la lingerie. Elle est humide, même très humide pour ne pas dire trempée. Il passe un doigts sur les sécrétions onctueuses laissées au fond du tissu. Il n’en revient pas de la quantité de mouille astronomique produit par le sexe de Jade. Une véritable usine. Il ne peux s’empêcher de porter cette petite culotte divine à ses narines attentives, respirer cette odeur si particulière, si excitante, d’autan plus excitante que la femme qui portait cette lingerie est là, dans l’eau en train de batifoler, de plonger, de rire. A cet instant, il voudrait être ce fluide qui lèche l’intimité généreuse de la jeune femme pour recueillir les suintements résiduels. Il s’imagine liquéfié, passant entre les replis de sa vulve, écartant les lèvres sous la pression du liquide pour mieux les rassembler dans un mouvement aléatoire. Il s’échappe de ce sexe luxuriant pour parcourir maintenant sans vergogne la petit noisette cachée au fond de ses fesses, sur le chemin sacré de la magnificence.
Il oublie toute réalité pour se focaliser sur ce plaisir incommensurable, cette odeur extatique qui transpire au travers du tissu, cette mouille qui sublime son mental à la merci de toutes les tentations érotiques.
Une petit frimousse toute mouillée elle aussi passe au dessus du pont.
- Ben qu’est-ce que tu fais avec ma culotte ?
- °° -