CHAPITRE XCVI
''Dominus et servus''
''Dominus et servus''
Burydan se réveilla. Il sentait sur son ventre une caresse chaude et sensuelle, et sur ses pectoraux, une caresse tout aussi chaude, tout aussi sensuelle mais plus humide.
Il ouvrit les yeux. Rhonin lui caressait doucement le ventre et léchait avec application sa poitrine, dessinant le contour des ses pectoraux de la pointe de sa petite langue rose avant de les couvrir de gros baisers mouillés. Burydan referma les yeux et poussa un grand soupir de plaisir.
- Bonjour maître.
- T'arrête pas, bébé, caresse moi encore...
Rhonin sourit et sa main et sa langue reprirent leurs arabesques. Il lécha lentement le téton gauche de son beau mâle jusqu'à ce qu'il gonfle et durcisse et le suçota, le mordilla et le lécha encore et encore. Il infligea les mêmes délicieux tourments au téton droit, puis revint au gauche et ainsi de suite. Les soupirs de Burydan s'intensifièrent. Il saisit la main de Rhonin qui caressait son ventre et la dirigea un peu plus bas.
Rhonin sentit la bite de son maître qui commençait à durcir. Il la caressa du bout des doigts et du revers de la main en continuant à s'occuper des tétons de son étalon. Quand la queue fut bien dure et bien raide, il la prit dans son poing et commença à masturber Burydan tout doucement.
Il descendit lentement et commença à embrasser le ventre bosselé de son maître. De gros baisers mouillés bientôt accompagnés de coups de langue. Il s'attarda un peu sur le tour du nombril avant de plonger à l'intérieur. Burydan feula et creusa le ventre. Rhonin le lécha avec application.
Burydan fourrageait ses doigts dans les mèches blondes de son minet. Les lèvres de Rhonin n'étaient plus qu'à quelques pouces de sa queue, et Burydan rêvait de la sentir bien au chaud dans sa bouche. Il aurait pu lui ordonner de le sucer, il aurait pu appuyer sur sa tête et la diriger vers sa bite, mais il laissa faire son petit esclave à son rythme.
Rhonin, une fois le nombril de Burydan léché et pourléché, se cala entre ses cuisses. Il lécha l'aine gauche de plusieurs coups de langue. Fit la même chose à l'aine droite. Il releva la tête et regarda son maître. Burydan, les yeux enfiévrés de désir, le regardait intensément, en caressant d'une main ses pectoraux. Rhonin sourit, plongea en avant et commença à lécher ses couilles bien pleines. Il les goba, les suça, les lécha encore et encore. Le maître se mit à gémir, et l'esclave lécha de plus belle.
Une fois les couilles de son mâle luisante de salive, Rhonin remonta un peu, plaça sa langue rose à la base de la bite gonflée et remonta le long de cette colonne de chair d'un grand coup de langue. Il lécha tout doucement le gland et nettoya une petite tache visqueuse sur le ventre de son bel étalon qui trahissait son état d'excitation. Il prit la bite dans son poing, la tint bien droite, ouvrit sa petite bouche et avala le gland joufflu, enroulant sa langue tout autour.
- Oh putain, gémit Burydan.
Rhonin s'appliqua à le sucer aussi bien que possible. Il alternait la vitesse et la profondeur de la fellation, le prenant quant et quant en gorge profonde. Burydan poussait de longs gémissements rauques en sentant sa bite au plus profond de la gorge de son petit esclave.
Rhonin se délectait littéralement de la bite de son maître en poussant des gémissements, étouffés par le beau morceau qu'il avait en bouche. Burydan gémissait également et sentait le plaisir monter inexorablement. .. Il voyait sa bite disparaître dans la bouche chaude de son petit esclave, réapparaître toute brillante de salive, avant de disparaître à nouveau. Et les beaux yeux bleus plantés dans les siens...
Burydan prit la tête de Rhonin entre ses mains et le fit remonter vers lui. Il le coucha contre son corps musclé et l’embrassa fougueusement. Un gros baiser, humide et sensuel comme il les aimait. Il se rendit compte qu'il était en train d'embrasser son minet comme Aragorn l'embrassait, tout en langue baveuse. ''Et pourquoi pas, se dit-i, pourquoi ne serais-je pas pour lui ce que Aragorn est pour moi ?'' et il l'embrassa encore plus sensuellement. Il commença à caresser son blondinet. Il partait de ses petites fesses toutes douces et touts rondes, remontait jusqu'à sa belle chute de reins, puis le long de son dos, et faisait le chemin inverse, encore et encore.
Il donna une impulsion et se retrouva au dessus de son minet, entre ses cuisses. Il le regarda, lui sourit, et l'embrassa passionnément. Rhonin caressait sa nuque pendant que Burydan couvrait son cou et sa gorge de baisers brûlants. De grands coups de langue le long des carotides pour grignoter les mignonnes petites oreilles de son esclave. Nouveau baiser humide et langoureux.
Burydan descendit le long du corps offert de son esclave. Il embrassa sa poitrine et fit, de la pointe de sa langue, le contour de ses petits pecs à peine dessinés. Il s'appliqua à lécher, suçoter et mordiller les deux petits tétons roses, passant de l'un à l'autre inlassablement. Il adorait entendre Rhonin gémir de plaisir.
Il descendit sur son ventre. Bordel qu'il était doux. Bordel qu'il était chaud. Il le lécha un long moment, insistant sur le nombril, puis sur le côté encore et encore. Il releva la tête. Le ventre de son esclave brillait de salive.
Il descendit. La bite de Rhonin, dure comme la pierre et complètement décalottée était là, sous ses yeux, suintante et palpitante de désir. Burydan joua avec ses belles petites couilles toutes rondes de la pointe de son nez et les lécha, les goba, les berça du plat de sa langue, passant de l'une à l'autre, et tirant sur la peau fine bien coincée entre ses lèvres. Rhonin se tortillait de plaisir.
Burydan releva la tête et regarda la bite de son minet, agitée de soubresauts et laissant perler des petites gouttes translucides de son méat. Il fit un sourire de pure luxure à son minet et lécha la queue sur toute sa longueur.
Burydan la lécha encore et encore, puis la prit dans sa bouche et suça son blondinet avec application et gourmandise, lui arrachant des petits cris de plaisir :
- Oh oui, maître... oh, c'est bon maître... c'est tellement bon... ahhhh... aaahhh oui !!!
Burydan regardait son petit mec, en transe, et, bien qu'il cru ça impossible, il banda encore plus fort.
Il se mit à genoux entre les cuisses de Rhonin et le caressa lentement. Son petit corps fragile était d'une douceur...
- Ce que tu es beau, bébé, et tu as la peau douce...
Rhonin hésita, puis caressa les avant bras de son maître. Celui-ci sourit, et l'esclave s'enhardit. Il caressa les biceps durs comme de la pierre, les épaules rondes et descendit pour prendre les énormes pectoraux à pleine main. Il les caressa et les pelota à la fureur.
- Tu les aimes mes pecs, hein ?
- Oh oui maître, j'adore vos pectoraux... j'adore vos muscles...
- Vas-y, caresse moi bébé, j'adore ça...
Rhonin ne se le fit pas dire deux fois et commença à caresser son beau mâle comme un dingue.
Burydan se mit à côté de Rhonin, se releva sur un coude et embrassa son minet. Rhonin poussa un petit couinement quand il sentit les doigts de son maître caresser son œillet. Burydan s'arrêta, Rhonin se détendit, et son maître reprit ses caresses lubriques.
Il l’embrassait passionnément et ses caresses devinrent de plus en plus précises. Nouveau couinement de son petit esclave quand une phalange s’engouffra en lui. Burydan attendit que le petit cul s'habitue à cet intrus et, en quelques secondes, il se retrouva avec un doigt bien au chaud. Le petit cul de son esclave était doux, serré et brûlant.
Burydan le fit aller et venir tout doucement. Il le ressortit, et fit sucer deux de ses doigts à son minet. Rhonin sembla hésiter une fraction de seconde, mais, en esclave docile et obéissant, suça les doigts de son maître. Burydan sourit, suça ses doigts à son tour, les badigeonna de salive et les remit dans le petit cul de son blondinet. Rhonin gémissait comme un perdu quand deux doigts devinrent trois.
Burydan caressa la bite de son jouet, dure et raide, et se mit à genoux au dessus de son torse. Il mit une main derrière sa tête et l'attira vers son entre jambes.
- Suce moi encore, bébé, c'est trop bon...
Rhonin recommença à sucer son maître, en se goinfrant de sa grosse queue. Burydan poussait de longs gémissement rauques aux rythmes des acrobaties de la langue de Rhonin autour de sa bite. Il laissa la tête de son jouet retomber sur les oreillers et, en prenant appui sur la tête de lit, se mit à lui baiser la bouche. Rhonin caressait le corps de son étalon comme un malade en gémissant.
Burydan lui retira sa bite toute dégoulinante de salive. Il était haletant et en sueur. Il embrassa Rhonin à pleine bouche et se mit à quatre pattes au-dessus de lui, en sens inverse. Rhonin reprit bien vite la bite de son maître dans sa bouche pendant que celui ci lui releva les jambes. Il se jeta sur son petit cul et se mit à le laper comme un dingue.
L’œillet de Rhonin était tout rouge et tout ouvert, la bite de Burydan était tellement dure qu'elle lui faisait presque mal. Burydan se mit à genoux sur le lit et dit :
- Mets toi à quatre pattes, esclave.
- Oui maître...
Burydan fit claquer sa bite contre les petites fesses de son minet pour lui montrer à quel point elle était dure.
- Tu sens ? Tu sens à quel point tu m'excites ?
- Oh oui maître...
- Tu la veux ma queue ?
- Oh oui maître... mettez la moi... baisez moi... baisez votre esclave... je vous en supplie... j'ai le cul en feu tellement j'en ai envie...
Burydan sourit. Il aimait ça, les mots salaces. Mais il savait qu'il succomberait bientôt au charme de son blondinet.
Il tartina copieusement sa bite de salive, positionna son gland joufflu contre la pastille entrouverte de son petit esclave, et poussa. Le muscle résista à peine et Burydan pénétra Rhonin. Petit cri de douleur de son minet. Burydan se figea. Ne pas lui faire mal, ne surtout pas lui faire mal.
Rhonin prit de longues inspirations par le nez. Il sentit les mains de Burydan le caresser, les hanches, les flancs, les épaules, le dos, les reins. Il se concentra sur ces caresses et son cul se détendit. Burydan le sentit et reprit sa progression tout doucement. Il n'y eut plus de crispations du fourreau de Rhonin et Burydan se retrouva bientôt enfoncé en lui jusqu'à la garde.
- Ça va bébé ?
- Oh, ce quelle est grosse votre bite, maître...
- Ça te fait mal ?
- Oh non... j'aime la sentir me remplir... limez moi, maître... s'il vous plaît...
Burydan commença à aller et venir dans son petit esclave avec douceur et lenteur. Il le tenait fermement par les hanches et faisait des mouvements de plus en plus amples. Rhonin gémissait.
- Tu aimes bébé ?
- Oh oui... maître...
- Tu aimes sentir ma bite te ramoner ?
- Oh oui... c'est bon... maître...
- Tu aimes quand je te la mets bien profond ?
- Oh oui... maître... j'aime sentir... votre gland... tout au fond... de moi...
- Plus vite ?
- Oh oui... maître...
- Comme ça ?
- Oh oui... oh oui... c'est... bon...
- Plus fort ?
- Oh oui... maître...
- Comme ça ?
- Oh oui... c'est bon... c'est bon... ce que... vous me faites... maître...
Burydan adorait ça. Il martelait le cul de son petit esclave et celui-ci avait l'air d'aimer ça. Et ses mots, entrecoupés à chaque coup de bite, l'excitaient à mort.
Il se coucha sur Rhonin, le forçant à s’allonger sur le ventre. Ses abdos ciselés épousèrent les reins, ses pectoraux massifs épousèrent le dos, il l'embrassa dans la nuque et dans le cou. Rhonin tourna la tête au maximum et leurs deux langues s'emmêlèrent. Burydan faisait onduler son bassin et limait son blondinet avec entrain et volupté. Qu'il était bon son petit cul tout serré...
Burydan, en appui sur ses bras musclé, pilonnait Rhonin comme un dingue. Rhonin criait comme un perdu. Mais Burydan voulait plus...
Il se retira du petit cul de son esclave. Petit gémissement de frustration de Rhonin qui fit sourire son maître.
- Tourne toi bébé...
Rhonin s'allongea sur le dos et regarda son maître. Son corps puissant ruisselait de sueur et ses muscles semblaient encore plus massifs. Burydan fixa la queue de Rhonin ''C'est bon, il bande méchamment, c'est qu'il doit aimer ça. Je veux qu'il aime. Je veux prendre mon pied et qu'il prenne le sien'' se dit-il.
Burydan se lubrifia de nouveau copieusement la queue.
- T'en veux encore ?
- Oh oui maître... baisez-moi encore... je vous en prie...
- Désolé esclave, mais ton maître ne va pas te baiser... ton maître va te faire l'amour...
- Oh oui maître...
Burydan présenta son gland à l'entrée de l'antre brûlant de son minet et le pénétra d'un lent mouvement régulier. Long gémissement de Rhonin et petit
- Oh !
quand Burydan fut entièrement en lui.
Le maître embrassa langoureusement son esclave et commença à aller et venir en lui avec douceur. Les cris et les gémissements reprirent. Rhonin enroula ses cuisses autour des reins de Burydan, ses mains caressèrent son dos humide et noueux et il se laissa emporter par le plaisir. Lui qui était censé ne pas aimer la sodomie était aux portes du Tiantang.
Burydan alternait entre les moments où il embrassait passionnément son minet et ceux où il enfouissait la tête dans son cou. Il dosait ses coups de reins pour tenter de retarder l'orgasme au maximum. C'était tellement bon d'être dans le petit cul brûlant de son esclave.
Burydan susurrait des petits mots tendres dans la mignonne petite oreille de Rhonin.
- Ce que c'est bon de te faire l'amour, bébé... tu es tellement beau, tellement doux... je pourrais passer des heures à caresser ton corps et lécher ta peau... je pourrais passer des heures à te faire l'amour... j'ai envie de te donner du plaisir, bébé... je veux te faire oublier tous les zuhrus qui ont martyrisé ton sublime petit corps... je vais prendre soin de toi, bébé... oh oui, je vais bien prendre soin de toi...
Burydan se retira et se mit en petite cuillère derrière son minet. Rhonin écarta bien les jambes pour l’accueillir le mieux possible. Burydan passa un bras sous son corps et caressa ses petits tétons roses et, de son autre main, il branla son petit esclave, calant ses mouvements de poignet sur celui de ses hanches. Rhonin poussait des petits cris de plaisir. Burydan sentait qu'il n'allait plus tenir longtemps. ''Lui d'abord, se dit-il, je veux qu'il jouisse en premier''. Rhonin tourna la tête, les yeux hallucinés. Burydan l'embrassa et Rhonin cria dans sa bouche. Un long cri d'agonie alors que sa queue explosait en un geyser de foutre dans le poing de son maître. Burydan sentit son petit cul convulser sur sa grosse bite et il jouit à son tour, noyant les entrailles de son blondinet de son sperme chaud dans un grand cri rauque.
Rhonin, exsangue, n'avait jamais pris un pied pareil. Et n'avait jamais pensé qu'un homme pourrait le faire jouir à ce pont. Son maître le serra très fort dans ses bras et l'embrassa passionnément.