30-10-2020, 09:32 PM
Puis elle le libéra de son étreinte pour lui permettre de continuer leur petit jeu. Tout en discrétion, la main de Tom remonta le long du ventre de la jeune fille vers sa poitrine adorée. Quelle ne fut pas la surprise du garçon en découvrant que sa sœur ne portait pas de soutien-gorge ?! C'était dont l'une des raisons pour lesquelles sa poitrine semblait si attirante aujourd'hui ? Quel délice de sentir la courbe inférieure de ce sein délicat et si désiré, de laisser ses doigts la suivre et finalement s'emparer de lui, d'effleurer ce téton sensible qui se crispa immédiatement en même temps qu'il sentait un frisson remonter le dos de Pauline. Il caressait ce sein aussi discrètement qu'il le pouvait mais il sentait le désir de s'emparer de cette poitrine et le risque de se faire démasquer.
Tout naturellement, Pauline fit mine de changer de position pour ménager Tom et vînt appuyer ses avant-bras sur le dossier du siège de sa tante. Elle justifia aussi son geste en entamant une conversation banale. Tom comprit ce changement de position et son excitation augmenta encore. En se penchant en avant, Pauline laissait son débardeur pendre sous elle et l'accès à ses seins libres. Le garçon s'en donna à cœur joie et passa ses deux mains sous le vêtement de Pauline. Ses mains vinrent se saisir de ces jolis seins en poire qui épousaient si bien la forme de ses mains. Tom eut l'impression que la température de ses mains augmentait en flèche, tandis que son esprit se nimbait dans un brouillard cotonneux. Là, au milieu de sa famille, ses mains s'étaient emparées des seins Pauline, qui se laissait faire docilement.
Il commença à les serrer, les masser sensuellement. Le tissu cachait ses mouvements et l'attention des enfants était portée sur le paysage qui défilait ou la Nintendo DS qu'utilisait Thomas. Tom se délectait de caresser les seins de Pauline, de savoir qu'elle devait se retenir pour ne pas laisser paraître dans sa voix l'excitation que générait ses caresses. Sadique, il saisit les tétons crispés de la jeune fille et les fit rouler entre ses doigts, les serrant, les titillant. Il sentait les spasmes parcourir le dos de Pauline. Elle se cambrait même sous l'excitation et ses fesses s'appuyaient encore davantage sur le pénis compressé de Tom. Il se demanda si elle ne se vengeait pas ainsi du traitement qu'il lui faisait subir...
Cela l'encouragea encore. Le jeune garçon ne faisait plus tellement attention à son entourage et c'était une chance que personne ne fasse attention à ses gestes pour l'instant. Sa main droite, située du côté de la portière, quitta presque à regret le sein parfait de la jeune fille pour se glisser sur sa cuisse encore couverte de la jupe. Il la sentit sursauter légèrement au contact de cette main qui remontait doucement une partie de sa jupe. Mais elle avait voulu ce jeu et elle devait le supporter maintenant. Tom la défiait de manière implicite pour savoir si elle tiendrait réellement et à quel moment elle le repousserait.
Sa main remonta donc le long de la cuisse, dénudant la peau de Pauline. Il y avait peu de chance que quelqu'un s'en rende compte car sa jambe était située contre la portière. Au fur et à mesure qu'il remontait sa main, prenant son temps pour faire monter le plaisir chez sa sœur, Tom fut amusé de constater que la jeune fille écartait sa cuisse au rythme de la remontée de sa main. Il se délectait dans le brouillard de son esprit que Pauline partage ce sentiment impétueux qui s'était emparé de lui. Ses doigts finir par entrer en contact avec le tissu de la culotte de Pauline. Il fut presque déçu de découvrir ce sous-vêtement alors que la jeune fille ne portait pas de soutien-gorge. Il est vrai qu'en jupe, c'est tout de suite plus audacieux de ne pas porter de culotte...mais au combien plus excitant.
Sans attendre, les doigts de Tom s'étaient mis à caresser tendrement le minou de son amante. Il sentait ses lèvres gonflées, qu'il suivait agilement tout en les massant. Deux minutes de ce traitement et Tom sentit que la culotte de la jeune fille s'humidifiait. Il était stupéfait de voir qu'elle continuait à discuter avec leur tante sans laisser paraître son émoi, si ce n'était quelques hoquets qui semblaient passer inaperçus. Il décida donc de passer à la vitesse supérieure. D'un mouvement adroit, ses doigts se glissèrent sous l'élastique puis sur le sexe trempé entre les cuisses. Pauline se redressa une seconde pour masquer un soupir, qu'elle mura dans sa bouche close et ne parut être qu'un râle d'inconfort. Pourtant, ses reins s'étaient encore cambrés.
Sans prêter réellement attention à ce qu'il faisait, enivré par l'excitation, Tom glissa ses doigts entre les lèvres trempées de Pauline et frissonna de sentir la chaleur de son minou. Il était entré sans peine en elle. Maintenant, il la masturbait tendrement, discrètement, alternant entre des mouvements circulaires sur son clitoris gonflé et des va-et-vient en elle. La jeune fille mouillait sérieusement dans sa main et semblait presque à bout de souffle. Elle avait resserré ses cuisses sur la main de son frère mais il continuait à la torturer doucereusement.
- "Ca va pas, cousine ?" demanda Clémentine. Cette petite la voix sembla cingler Tom comme une lanière de cuir, le faisant presque sursauter. Sa main quitta immédiatement le minou de Pauline.
- "Non, pourquoi tu demandes ça ?" rétorqua Pauline, rassemblant avec succès sa voix pour ne rien laisser paraître.
- "Bin, tu gémis un peu depuis tout à l'heure et on dirait que tu as chaud."
- "C'est vrai que je me demande depuis tout à l'heure si tu n'es pas malade en voiture..." s'enquit à son tour leur tante en se tournant en arrière. "Tu n'as pas l'impression, Tom ?"
- "Oh, moi j'étais en train de somnoler alors je n'ai pas trop fait gaffe" mentit-il.
- "Tu veux qu'on s'arrête un peu, Pauline ?" proposa leur oncle. "Il est temps de faire une pause pour tout le monde de toute façon."
- "Oui, je veux bien" accepta Pauline, "je crois que j'ai besoin de prendre l'air et de me rafraîchir quelques minutes."
- "Alors on fait comme ça. On sort à la prochaine aire de repos. " confirma l'homme.
Durant les quelques minutes suivantes, les deux ados se tinrent tranquilles. Pourtant Tom pouvait voir que le corps de Pauline était encore électrique et qu'elle se trémoussait curieusement sur lui. Les voitures finirent par se garer sur l'aire de repos et tous sortirent se dégourdir les jambes. Le père de Thomas et Clémentine expliqua la raison de leur arrêt, conseilla à tout le monde de prendre un peu de repos et à Pauline en particulier d'aller se rafraîchir aux toilettes.
- "J'y vais tout de suite" lança-t-elle à son oncle, puis plus discrètement mais fermement à Tom "Tu m'accompagnes, toi."
Au milieu de la cohue de la famille qui se retrouvait sur le parking, Pauline et Tom passèrent inaperçus lorsqu'ils se dirigèrent vers les toilettes et que Tom, d'un geste rapide suivit sa sœur dans les toilettes réservées aux femmes. Sitôt enfermés dans une cabine d'une propreté surprenante pour ce qui est usuel sur les autoroutes, Pauline coinça son frère sur le mur.
- "Tu m'as bien poussée à bout dans la voiture" dit-elle d'une voix où Tom percevait du ressentiment et de l'excitation. "Tu te rends compte qu'on a failli être démasqué ?! Si je n'avais réussi à me retenir au maximum, il suffisait qu'ils se retournent pour te voir avec une main entre mes cuisses."
- "Dis donc sœurette, je te rappelle que c'est ça qui procure le frisson de ce genre de moment. Et puis, pour une fille que cela dérangeait, je trouve que tes cuisses se sont ouvertes facilement et que ton minou était déjà bien trempé. Au passage, je te félicite pour avoir réussi à te retenir aussi bien !"
- "Oui, c'est vrai que tes mains sur mes seins ont fait flamber mon ventre, c'était génial. Mais maintenant, pour ma revanche, c'est toi qui va devoir te retenir !"
- "Comment ça ?"
Sans lui répondre, Pauline avait passé ses mains sous sa jupe, avait baissé sa culotte jusqu'à ses chevilles et l'avait enlevée. Puis elle s'était approchée de Tom et avait soigneusement délacé son short pour lui baisser avec son caleçon à son tour. Une fois fait, elle se colla contre lui, passa sa langue dans le cou du jeune garçon tout en se saisissant de sa verge déjà à demi-dure. Tout en le masturbant, elle remonta sa bouche vers son oreille pour lui mordiller le lobe.
- "On n'a pas beaucoup de temps mais tu vas me faire jouir ici" lui susurra-t-elle à l'oreille. "Par contre, comme on n'a pas de préservatif, c'est à ton tour de te retenir. Je ne veux pas que tu jouisses pour payer ta dette."
- "C'est une dette bien énorme pour un jeu que tu as toi-même initié en t'asseyant sur mes genoux. Mais soit !"
Pauline lui sourit et l'embrassa à pleine bouche. Leurs langues dansèrent fougueusement, comme si elles relâchaient tout ce qu'elles avaient retenu d'excitation dans la voiture. Déjà, des gémissements s'étouffaient dans leurs baisers, tandis que Pauline continuait à branler la verge de Tom, qui était tout à fait dressée à présent. Leur jeu dans la voiture avait mis leur corps en transe et Tom s'étonnait encore de ne pas avoir tant réalisé ce qu'il avait fait.
Tout en continuant à embrasser son Tom, Pauline se colla contre son ventre et releva une jambe qu'il attrapa pour la tenir. La main de la jeune fille passa entre leurs ventres et vînt se saisir du pénis tendu qui s'écrasait entre eux pour le diriger entre ses cuisses. C'est amusant de voir que malgré leur jeune âge, les différentes positions sexuelles qu'ils pouvaient prendre selon les lieux leur venaient à l'esprit spontanément. Ainsi, Tom sentit son gland glisser doucement entre les lèvres trempées de Pauline pour découvrir la chaleur de son ventre. Elle s'empala autant que possible sur son sexe et revînt serrer étroitement Tom contre elle.
- "Ooh, c'est si bon quand tu entres en moi, mon amour." lui murmura-t-elle à l'oreille. "Fais-moi jouir..."
Tout naturellement, Pauline fit mine de changer de position pour ménager Tom et vînt appuyer ses avant-bras sur le dossier du siège de sa tante. Elle justifia aussi son geste en entamant une conversation banale. Tom comprit ce changement de position et son excitation augmenta encore. En se penchant en avant, Pauline laissait son débardeur pendre sous elle et l'accès à ses seins libres. Le garçon s'en donna à cœur joie et passa ses deux mains sous le vêtement de Pauline. Ses mains vinrent se saisir de ces jolis seins en poire qui épousaient si bien la forme de ses mains. Tom eut l'impression que la température de ses mains augmentait en flèche, tandis que son esprit se nimbait dans un brouillard cotonneux. Là, au milieu de sa famille, ses mains s'étaient emparées des seins Pauline, qui se laissait faire docilement.
Il commença à les serrer, les masser sensuellement. Le tissu cachait ses mouvements et l'attention des enfants était portée sur le paysage qui défilait ou la Nintendo DS qu'utilisait Thomas. Tom se délectait de caresser les seins de Pauline, de savoir qu'elle devait se retenir pour ne pas laisser paraître dans sa voix l'excitation que générait ses caresses. Sadique, il saisit les tétons crispés de la jeune fille et les fit rouler entre ses doigts, les serrant, les titillant. Il sentait les spasmes parcourir le dos de Pauline. Elle se cambrait même sous l'excitation et ses fesses s'appuyaient encore davantage sur le pénis compressé de Tom. Il se demanda si elle ne se vengeait pas ainsi du traitement qu'il lui faisait subir...
Cela l'encouragea encore. Le jeune garçon ne faisait plus tellement attention à son entourage et c'était une chance que personne ne fasse attention à ses gestes pour l'instant. Sa main droite, située du côté de la portière, quitta presque à regret le sein parfait de la jeune fille pour se glisser sur sa cuisse encore couverte de la jupe. Il la sentit sursauter légèrement au contact de cette main qui remontait doucement une partie de sa jupe. Mais elle avait voulu ce jeu et elle devait le supporter maintenant. Tom la défiait de manière implicite pour savoir si elle tiendrait réellement et à quel moment elle le repousserait.
Sa main remonta donc le long de la cuisse, dénudant la peau de Pauline. Il y avait peu de chance que quelqu'un s'en rende compte car sa jambe était située contre la portière. Au fur et à mesure qu'il remontait sa main, prenant son temps pour faire monter le plaisir chez sa sœur, Tom fut amusé de constater que la jeune fille écartait sa cuisse au rythme de la remontée de sa main. Il se délectait dans le brouillard de son esprit que Pauline partage ce sentiment impétueux qui s'était emparé de lui. Ses doigts finir par entrer en contact avec le tissu de la culotte de Pauline. Il fut presque déçu de découvrir ce sous-vêtement alors que la jeune fille ne portait pas de soutien-gorge. Il est vrai qu'en jupe, c'est tout de suite plus audacieux de ne pas porter de culotte...mais au combien plus excitant.
Sans attendre, les doigts de Tom s'étaient mis à caresser tendrement le minou de son amante. Il sentait ses lèvres gonflées, qu'il suivait agilement tout en les massant. Deux minutes de ce traitement et Tom sentit que la culotte de la jeune fille s'humidifiait. Il était stupéfait de voir qu'elle continuait à discuter avec leur tante sans laisser paraître son émoi, si ce n'était quelques hoquets qui semblaient passer inaperçus. Il décida donc de passer à la vitesse supérieure. D'un mouvement adroit, ses doigts se glissèrent sous l'élastique puis sur le sexe trempé entre les cuisses. Pauline se redressa une seconde pour masquer un soupir, qu'elle mura dans sa bouche close et ne parut être qu'un râle d'inconfort. Pourtant, ses reins s'étaient encore cambrés.
Sans prêter réellement attention à ce qu'il faisait, enivré par l'excitation, Tom glissa ses doigts entre les lèvres trempées de Pauline et frissonna de sentir la chaleur de son minou. Il était entré sans peine en elle. Maintenant, il la masturbait tendrement, discrètement, alternant entre des mouvements circulaires sur son clitoris gonflé et des va-et-vient en elle. La jeune fille mouillait sérieusement dans sa main et semblait presque à bout de souffle. Elle avait resserré ses cuisses sur la main de son frère mais il continuait à la torturer doucereusement.
- "Ca va pas, cousine ?" demanda Clémentine. Cette petite la voix sembla cingler Tom comme une lanière de cuir, le faisant presque sursauter. Sa main quitta immédiatement le minou de Pauline.
- "Non, pourquoi tu demandes ça ?" rétorqua Pauline, rassemblant avec succès sa voix pour ne rien laisser paraître.
- "Bin, tu gémis un peu depuis tout à l'heure et on dirait que tu as chaud."
- "C'est vrai que je me demande depuis tout à l'heure si tu n'es pas malade en voiture..." s'enquit à son tour leur tante en se tournant en arrière. "Tu n'as pas l'impression, Tom ?"
- "Oh, moi j'étais en train de somnoler alors je n'ai pas trop fait gaffe" mentit-il.
- "Tu veux qu'on s'arrête un peu, Pauline ?" proposa leur oncle. "Il est temps de faire une pause pour tout le monde de toute façon."
- "Oui, je veux bien" accepta Pauline, "je crois que j'ai besoin de prendre l'air et de me rafraîchir quelques minutes."
- "Alors on fait comme ça. On sort à la prochaine aire de repos. " confirma l'homme.
Durant les quelques minutes suivantes, les deux ados se tinrent tranquilles. Pourtant Tom pouvait voir que le corps de Pauline était encore électrique et qu'elle se trémoussait curieusement sur lui. Les voitures finirent par se garer sur l'aire de repos et tous sortirent se dégourdir les jambes. Le père de Thomas et Clémentine expliqua la raison de leur arrêt, conseilla à tout le monde de prendre un peu de repos et à Pauline en particulier d'aller se rafraîchir aux toilettes.
- "J'y vais tout de suite" lança-t-elle à son oncle, puis plus discrètement mais fermement à Tom "Tu m'accompagnes, toi."
Au milieu de la cohue de la famille qui se retrouvait sur le parking, Pauline et Tom passèrent inaperçus lorsqu'ils se dirigèrent vers les toilettes et que Tom, d'un geste rapide suivit sa sœur dans les toilettes réservées aux femmes. Sitôt enfermés dans une cabine d'une propreté surprenante pour ce qui est usuel sur les autoroutes, Pauline coinça son frère sur le mur.
- "Tu m'as bien poussée à bout dans la voiture" dit-elle d'une voix où Tom percevait du ressentiment et de l'excitation. "Tu te rends compte qu'on a failli être démasqué ?! Si je n'avais réussi à me retenir au maximum, il suffisait qu'ils se retournent pour te voir avec une main entre mes cuisses."
- "Dis donc sœurette, je te rappelle que c'est ça qui procure le frisson de ce genre de moment. Et puis, pour une fille que cela dérangeait, je trouve que tes cuisses se sont ouvertes facilement et que ton minou était déjà bien trempé. Au passage, je te félicite pour avoir réussi à te retenir aussi bien !"
- "Oui, c'est vrai que tes mains sur mes seins ont fait flamber mon ventre, c'était génial. Mais maintenant, pour ma revanche, c'est toi qui va devoir te retenir !"
- "Comment ça ?"
Sans lui répondre, Pauline avait passé ses mains sous sa jupe, avait baissé sa culotte jusqu'à ses chevilles et l'avait enlevée. Puis elle s'était approchée de Tom et avait soigneusement délacé son short pour lui baisser avec son caleçon à son tour. Une fois fait, elle se colla contre lui, passa sa langue dans le cou du jeune garçon tout en se saisissant de sa verge déjà à demi-dure. Tout en le masturbant, elle remonta sa bouche vers son oreille pour lui mordiller le lobe.
- "On n'a pas beaucoup de temps mais tu vas me faire jouir ici" lui susurra-t-elle à l'oreille. "Par contre, comme on n'a pas de préservatif, c'est à ton tour de te retenir. Je ne veux pas que tu jouisses pour payer ta dette."
- "C'est une dette bien énorme pour un jeu que tu as toi-même initié en t'asseyant sur mes genoux. Mais soit !"
Pauline lui sourit et l'embrassa à pleine bouche. Leurs langues dansèrent fougueusement, comme si elles relâchaient tout ce qu'elles avaient retenu d'excitation dans la voiture. Déjà, des gémissements s'étouffaient dans leurs baisers, tandis que Pauline continuait à branler la verge de Tom, qui était tout à fait dressée à présent. Leur jeu dans la voiture avait mis leur corps en transe et Tom s'étonnait encore de ne pas avoir tant réalisé ce qu'il avait fait.
Tout en continuant à embrasser son Tom, Pauline se colla contre son ventre et releva une jambe qu'il attrapa pour la tenir. La main de la jeune fille passa entre leurs ventres et vînt se saisir du pénis tendu qui s'écrasait entre eux pour le diriger entre ses cuisses. C'est amusant de voir que malgré leur jeune âge, les différentes positions sexuelles qu'ils pouvaient prendre selon les lieux leur venaient à l'esprit spontanément. Ainsi, Tom sentit son gland glisser doucement entre les lèvres trempées de Pauline pour découvrir la chaleur de son ventre. Elle s'empala autant que possible sur son sexe et revînt serrer étroitement Tom contre elle.
- "Ooh, c'est si bon quand tu entres en moi, mon amour." lui murmura-t-elle à l'oreille. "Fais-moi jouir..."