30-10-2020, 09:31 PM
Tom aida Pauline à se relever et à se rhabiller. Elle avait tout de même du mal à se tenir bien droite après la violence des coups de son partenaire. La peau de son dos gardait la marque de certaines des griffures de Tom et il s'en voulu à nouveau. Mais elle le rassura d'un sourire. Toute la tension sexuelle qui les avait littéralement possédés dans cette cabane était maintenant apaisée et ils retrouvaient leur amour tendre. Juste avant de sortir de la cabane, Tom jeta un œil dans le jardin alentour. Sans signe de vie, ils sortirent ensemble. Le soleil les éblouit quelques secondes mais ils furent heureux de sentir la brise sur leur peau après la chaleur de la cabane.
- "Vous revenez enfin parmi nous ?"
Le cœur des deux ados cessa de battre un temps qui sembla durer une éternité. Une course folle de pensées envahit leur esprit et leur donna le vertige. Quand ils osèrent revenir à la réalité, leur tête se tourna telle celle d'un robot vers la voix qui s'adressait à eux. C'était Anthony, l'ami de Franck qui était venu avec lui... Que faisait-il là ? Il n'était pas avec les autres ? Mais surtout, les avait-il vus ? Entendus ? Un gouffre s'ouvrait sous les pieds de Pauline et Tom. Ils étaient pétrifiés, leur monde semblait voler en éclat. Dans ces moments-là, on se rend compte que la vitesse de pensée de l'esprit humain est hallucinante. Tom voyait défiler devant lui les différents scénarios qui découlaient de cette situation, la réaction de leurs parents, de leur famille, leur renvoi de la maison, ou pire, leur séparation. La terreur serrait son coeur et empêchait son souffle de quitter ses poumons.
- "Oh, ne faites pas cette tête tous les deux ! Vous me faites presque peur." déclara Anthony en levant les mains et en les secouant pour les sortir de leur torpeur.
- "Mais...qu'est-ce que tu fais là ?" parvint à articuler Tom.
- "Les autres somnolent et j'avais pas sommeil alors je suis parti en exploration du parc. J'avoue que je ne pensais pas découvrir ça. J'ai été attiré par des cris et en regardant dans un trou du mur, je vous découvert en train de..."
- "Tu vas le dire aux autres ?" s'enquit Pauline, qui reprenait aussi contenance.
- "Je ne sais pas. Je ne pensais pas que des frère et sœur pouvaient faire ça. C'est..."
- "On n'est pas des pervers, on s'aime pour de bon !" lança Tom qui sentait le besoin de se justifier. "Mais on n'a pas le droit alors on se cache." Tom serrait Pauline contre lui par l'épaule, comme pour la protéger.
- "Sérieux ?! Alors vous êtes dans la merde. En tout cas, ce que j'ai vu là-dedans, c'était pas que de l'amour. Pauline, je ne pensais pas que tu pouvais être comme ça. Toi non plus Tom, mais je suis un mec aussi et je suis moins surpris." Anthony souriait d'un air goguenard en leur parlant. Cela rendait fous Pauline et Tom qui voyaient encore leur monde tourbillonner autour d'eux.
- "Alors, tu vas le dire aux autres ?" reprit Tom, à son tour. Anthony sembla réfléchir quelques secondes. Cela dura suffisamment pour que de nouveaux scénari envahissent l'esprit des frère et sœur, les faisant vaciller.
- "Je ne dirai rien à personne à une condition."
- "Laquelle ?" demandèrent en cœur Pauline et Tom.
- "On veut faire un jeu avec Franck. Mais c'est pas sûr que les filles acceptent. Si vous acceptez de jouer avec nous, alors je ne dirai rien."
- "On n'a pas le choix de toute façon. C'est d'accord !" jura Tom.
- "Mais c'est quoi comme jeu ?" s'inquiéta Pauline.
- "Un conséquence ou vérité" déclara Anthony avec un large sourire.La visite du château
15 jours de vacances de Pâques à la campagne, c'était le pied, c'est sûr. Le grand air, les cousins, la piscine, les soirées qui durent...et puis les moments d'intimité que Pauline et Tom parvenaient à voler étaient un délice. Ils avaient réalisé dans ce havre de bonheur les sentiments qui grandissaient en eux, que leur amour croissait et dépassait progressivement celui de simple frère et sœur. Tom s'étonnait parfois de découvrir Pauline paraître soudain plus adulte. Il sentait que l'adolescente joueuse et immature laissait parfois place à une femme apaisée et amoureuse. Il s'abîmait parfois à la regarder simplement quand elle aidait en cuisine ou qu'elle s'habillait. Ses cheveux châtains glissant sur ses épaules et qu'elle finissait par passer derrière son oreille d'un geste empli de grâce. Son sourire apaisant quand elle finissait par croiser son regard et qu'elle le découvrait en train de l'espionner.
Oui, il y avait plus de paix en eux, plus d'amour de jour en jour, là où il n'aurait pas du y en avoir. Quelques jours plus tôt, ils s'étaient fait surprendre par Anthony et ils avaient pris conscience de la terreur que la découverte de leur secret pouvait leur causer. Ils étaient restés éloignés quelques temps, les cœurs battant à l'idée que tout pouvait basculer à tout moment, imaginant que maintenant leur relation se lisait sur leur visage. Et puis finalement, au cœur de cette angoisse, Tom avait fini par comprendre quelque chose. Il aimait Pauline, il aimait sa sœur. Pour la jeune fille enjouée, curieuse, sincère et maline qu'elle était. Pour la jeune femme dévouée, forte et coquine qui apparaissait déjà en elle. Qu'était-il prêt à faire pour la garder auprès de lui, pour défendre leur amour ? Tout.
Il revoyait les scénari de fuite éperdue et paniquée qui étaient passés dans son esprit durant les quelques secondes qui suivirent leur rencontre avec Anthony à la sortie de la cabane. Pourtant maintenant, ces scénari ne résonnaient plus d'une panique. S'il fallait que leur amour soit découvert, ne soit pas accepté par leur famille et qu'ils doivent partir pour rester ensemble, et bien c'est ce qu'il était résolu à faire. Pour pouvoir vivre heureux avec elle. Il lui exposa ses nouveaux sentiments le soir dans la chambre, sa résolution de l'aimer envers et contre tout. Elle pleura. Elle rit. Elle fondit dans ses bras et le couvrit de baisers. Toute panique était envolée, ne restait que leur amour et, depuis, cette paix qui les enveloppait.
Ils avaient fait l'amour ce soir-là, dans l'obscurité protectrice de leur chambre. Ils s'étaient serrés l'un contre l'autre, avaient mêlé à leurs baisers leurs larmes de joie, et avaient joui pour la première fois dans cette sorte de béatitude que provoque la paix de l'esprit. Depuis, leur complicité et leurs câlins coquins volés au regard de leur famille avaient repris avec une nouvelle excitation. Ils avaient décidé de ne rien dire à leur famille avant d'être assez âgés pour pouvoir quitter la maison dans de bonnes conditions si cela tournait mal. Mais en attendant, ils n'allaient pas se priver d'en profiter !
Un après-midi, les adultes décidèrent d'aller visiter un château et ses ruines à une heure en voiture de la maison. Bien sûr, leurs enfants étaient désignés volontaires pour les accompagnés. Tout le petit monde se chargea donc dans les 3 voitures familiales, un peu comme il pouvait. Avec le matériel et la nourriture nécessaires au pique-nique de midi, certains étaient obligés de s'asseoir sur un autre passager. Franck et Marina ainsi que Tom et Pauline se dévouèrent pour l'inconfortable transport, chacun dans une voiture. Tom trouva la coïncidence amusante et supposa que son cousin avec eu la même idée que lui.
Pauline et Tom s'installèrent donc dans la voiture des parents de Clémentine et Thomas, leurs petits cousins, qui avaient été soigneusement attachés à côté des 2 ados et séparés d'eux par une glaciaire immense. Calé au fond de la banquette arrière, Tom laissa Pauline s'asseoir sur ses genoux. Elle était superbe aujourd'hui. Elle portait un petit débardeur jaune été qui ne la moulait pas mais laissait deviner les courbes de sa poitrine et une jupe bleue et blanche qui ondulait autour de ses jambes. Une fois assise, Pauline se tourna pour demander innocemment à Tom si elle n'était pas mal positionnée mais son regard lançait un tout autre message, qui fit frissonner de désir le jeune garçon.
Une fois le voyage entamé, il ne fallut pas attendre bien longtemps pour que les mains de Tom se glissent sur les hanches de son amoureuse, sous le débardeur lâche. D'un mouvement discret, Pauline releva légèrement ses coudes pour permettre à son frère de la délecter de ses caresses coquines. Tom ne se fit pas prier, voyant que ses mouvements étaient en grande partie cachés par la glacière à côté de lui et que les parents à l'avant ne se tournaient que rarement tant les enfants étaient sages.
Au contact de la peau douce et chaude de la jeune fille, Tom fut secoué d'une vague électrique. La proximité de son corps, l'interdit qu'ils cachaient dans cette voiture étroite et le désir qu'il avait pour elle l'enivraient. Il savourait ses caresses le long des côtes de Pauline, la douceur de sa peau, son odeur quand elle s'appuyait sur lui. Ils ne pouvaient dire un mot mais il décida de lui montrer son désir d'une autre manière. Sa main vint s'emparer du ventre doux de la jeune fille et il la serra contre lui. Il sentait son pénis grossir et être à l'étroit dans son short. Le sentait-elle aussi sous ses fesses ? C'était sûrement le cas car elle se tortilla quelque secondes sur ses genoux et lui jeta un regard furtif mais mutin par-dessus l'épaule. Elle répondait à son désir en posant sa main sur celle qui était sur son ventre, à travers le tissu de son débardeur, et en l'étreignant à son tour.
- "Vous revenez enfin parmi nous ?"
Le cœur des deux ados cessa de battre un temps qui sembla durer une éternité. Une course folle de pensées envahit leur esprit et leur donna le vertige. Quand ils osèrent revenir à la réalité, leur tête se tourna telle celle d'un robot vers la voix qui s'adressait à eux. C'était Anthony, l'ami de Franck qui était venu avec lui... Que faisait-il là ? Il n'était pas avec les autres ? Mais surtout, les avait-il vus ? Entendus ? Un gouffre s'ouvrait sous les pieds de Pauline et Tom. Ils étaient pétrifiés, leur monde semblait voler en éclat. Dans ces moments-là, on se rend compte que la vitesse de pensée de l'esprit humain est hallucinante. Tom voyait défiler devant lui les différents scénarios qui découlaient de cette situation, la réaction de leurs parents, de leur famille, leur renvoi de la maison, ou pire, leur séparation. La terreur serrait son coeur et empêchait son souffle de quitter ses poumons.
- "Oh, ne faites pas cette tête tous les deux ! Vous me faites presque peur." déclara Anthony en levant les mains et en les secouant pour les sortir de leur torpeur.
- "Mais...qu'est-ce que tu fais là ?" parvint à articuler Tom.
- "Les autres somnolent et j'avais pas sommeil alors je suis parti en exploration du parc. J'avoue que je ne pensais pas découvrir ça. J'ai été attiré par des cris et en regardant dans un trou du mur, je vous découvert en train de..."
- "Tu vas le dire aux autres ?" s'enquit Pauline, qui reprenait aussi contenance.
- "Je ne sais pas. Je ne pensais pas que des frère et sœur pouvaient faire ça. C'est..."
- "On n'est pas des pervers, on s'aime pour de bon !" lança Tom qui sentait le besoin de se justifier. "Mais on n'a pas le droit alors on se cache." Tom serrait Pauline contre lui par l'épaule, comme pour la protéger.
- "Sérieux ?! Alors vous êtes dans la merde. En tout cas, ce que j'ai vu là-dedans, c'était pas que de l'amour. Pauline, je ne pensais pas que tu pouvais être comme ça. Toi non plus Tom, mais je suis un mec aussi et je suis moins surpris." Anthony souriait d'un air goguenard en leur parlant. Cela rendait fous Pauline et Tom qui voyaient encore leur monde tourbillonner autour d'eux.
- "Alors, tu vas le dire aux autres ?" reprit Tom, à son tour. Anthony sembla réfléchir quelques secondes. Cela dura suffisamment pour que de nouveaux scénari envahissent l'esprit des frère et sœur, les faisant vaciller.
- "Je ne dirai rien à personne à une condition."
- "Laquelle ?" demandèrent en cœur Pauline et Tom.
- "On veut faire un jeu avec Franck. Mais c'est pas sûr que les filles acceptent. Si vous acceptez de jouer avec nous, alors je ne dirai rien."
- "On n'a pas le choix de toute façon. C'est d'accord !" jura Tom.
- "Mais c'est quoi comme jeu ?" s'inquiéta Pauline.
- "Un conséquence ou vérité" déclara Anthony avec un large sourire.La visite du château
15 jours de vacances de Pâques à la campagne, c'était le pied, c'est sûr. Le grand air, les cousins, la piscine, les soirées qui durent...et puis les moments d'intimité que Pauline et Tom parvenaient à voler étaient un délice. Ils avaient réalisé dans ce havre de bonheur les sentiments qui grandissaient en eux, que leur amour croissait et dépassait progressivement celui de simple frère et sœur. Tom s'étonnait parfois de découvrir Pauline paraître soudain plus adulte. Il sentait que l'adolescente joueuse et immature laissait parfois place à une femme apaisée et amoureuse. Il s'abîmait parfois à la regarder simplement quand elle aidait en cuisine ou qu'elle s'habillait. Ses cheveux châtains glissant sur ses épaules et qu'elle finissait par passer derrière son oreille d'un geste empli de grâce. Son sourire apaisant quand elle finissait par croiser son regard et qu'elle le découvrait en train de l'espionner.
Oui, il y avait plus de paix en eux, plus d'amour de jour en jour, là où il n'aurait pas du y en avoir. Quelques jours plus tôt, ils s'étaient fait surprendre par Anthony et ils avaient pris conscience de la terreur que la découverte de leur secret pouvait leur causer. Ils étaient restés éloignés quelques temps, les cœurs battant à l'idée que tout pouvait basculer à tout moment, imaginant que maintenant leur relation se lisait sur leur visage. Et puis finalement, au cœur de cette angoisse, Tom avait fini par comprendre quelque chose. Il aimait Pauline, il aimait sa sœur. Pour la jeune fille enjouée, curieuse, sincère et maline qu'elle était. Pour la jeune femme dévouée, forte et coquine qui apparaissait déjà en elle. Qu'était-il prêt à faire pour la garder auprès de lui, pour défendre leur amour ? Tout.
Il revoyait les scénari de fuite éperdue et paniquée qui étaient passés dans son esprit durant les quelques secondes qui suivirent leur rencontre avec Anthony à la sortie de la cabane. Pourtant maintenant, ces scénari ne résonnaient plus d'une panique. S'il fallait que leur amour soit découvert, ne soit pas accepté par leur famille et qu'ils doivent partir pour rester ensemble, et bien c'est ce qu'il était résolu à faire. Pour pouvoir vivre heureux avec elle. Il lui exposa ses nouveaux sentiments le soir dans la chambre, sa résolution de l'aimer envers et contre tout. Elle pleura. Elle rit. Elle fondit dans ses bras et le couvrit de baisers. Toute panique était envolée, ne restait que leur amour et, depuis, cette paix qui les enveloppait.
Ils avaient fait l'amour ce soir-là, dans l'obscurité protectrice de leur chambre. Ils s'étaient serrés l'un contre l'autre, avaient mêlé à leurs baisers leurs larmes de joie, et avaient joui pour la première fois dans cette sorte de béatitude que provoque la paix de l'esprit. Depuis, leur complicité et leurs câlins coquins volés au regard de leur famille avaient repris avec une nouvelle excitation. Ils avaient décidé de ne rien dire à leur famille avant d'être assez âgés pour pouvoir quitter la maison dans de bonnes conditions si cela tournait mal. Mais en attendant, ils n'allaient pas se priver d'en profiter !
Un après-midi, les adultes décidèrent d'aller visiter un château et ses ruines à une heure en voiture de la maison. Bien sûr, leurs enfants étaient désignés volontaires pour les accompagnés. Tout le petit monde se chargea donc dans les 3 voitures familiales, un peu comme il pouvait. Avec le matériel et la nourriture nécessaires au pique-nique de midi, certains étaient obligés de s'asseoir sur un autre passager. Franck et Marina ainsi que Tom et Pauline se dévouèrent pour l'inconfortable transport, chacun dans une voiture. Tom trouva la coïncidence amusante et supposa que son cousin avec eu la même idée que lui.
Pauline et Tom s'installèrent donc dans la voiture des parents de Clémentine et Thomas, leurs petits cousins, qui avaient été soigneusement attachés à côté des 2 ados et séparés d'eux par une glaciaire immense. Calé au fond de la banquette arrière, Tom laissa Pauline s'asseoir sur ses genoux. Elle était superbe aujourd'hui. Elle portait un petit débardeur jaune été qui ne la moulait pas mais laissait deviner les courbes de sa poitrine et une jupe bleue et blanche qui ondulait autour de ses jambes. Une fois assise, Pauline se tourna pour demander innocemment à Tom si elle n'était pas mal positionnée mais son regard lançait un tout autre message, qui fit frissonner de désir le jeune garçon.
Une fois le voyage entamé, il ne fallut pas attendre bien longtemps pour que les mains de Tom se glissent sur les hanches de son amoureuse, sous le débardeur lâche. D'un mouvement discret, Pauline releva légèrement ses coudes pour permettre à son frère de la délecter de ses caresses coquines. Tom ne se fit pas prier, voyant que ses mouvements étaient en grande partie cachés par la glacière à côté de lui et que les parents à l'avant ne se tournaient que rarement tant les enfants étaient sages.
Au contact de la peau douce et chaude de la jeune fille, Tom fut secoué d'une vague électrique. La proximité de son corps, l'interdit qu'ils cachaient dans cette voiture étroite et le désir qu'il avait pour elle l'enivraient. Il savourait ses caresses le long des côtes de Pauline, la douceur de sa peau, son odeur quand elle s'appuyait sur lui. Ils ne pouvaient dire un mot mais il décida de lui montrer son désir d'une autre manière. Sa main vint s'emparer du ventre doux de la jeune fille et il la serra contre lui. Il sentait son pénis grossir et être à l'étroit dans son short. Le sentait-elle aussi sous ses fesses ? C'était sûrement le cas car elle se tortilla quelque secondes sur ses genoux et lui jeta un regard furtif mais mutin par-dessus l'épaule. Elle répondait à son désir en posant sa main sur celle qui était sur son ventre, à travers le tissu de son débardeur, et en l'étreignant à son tour.