Chapitre IV (Suite)
Après le repas, Annie allume le téléviseur et s’assoit à côté d’Eric dans le canapé. Au journal télévisé, les informations ne sont pas bonnes. Le virus progresse de façon presque exponentielle.
Chloé arrive dans le salon.
- Vous me faites une petite place entre vous deux ?
Et elle vient se blottir entre Eric et Annie.
- Je vous aime bien tous les deux. Il y a quelque chose d’intéressant ce soir à la télé ?
- Oui, la suite de ma série policière dit Annie d’un ton tout aussi décidé que péremptoire.
- Ah Ok.
Puis s’adressant à Eric.
- Cette semaine, je suis en vacances. Ça t’ennuierait de me laisser ton bateau demain pour la journée ? Comme tu m’as sevré ce week-end, j’ai envie de m’aérer et en plus, la météo est favorable.
- Non pas de soucis Chloé. Tu sais où sont les clés.
- Merci Eric.
Le lendemain matin, derrière la porte de la salle de bain, il y a une petite culotte toute blanche en coton. Eric ferme le vantail avec le verrou intérieur, se baisse, ramasse le bout de tissu, le caresse, le hume. Des traces d’humidité récentes subsistent encore sur le gousset tout frais, des traces qu’il veut captiver pour recueillir ne rien perdre des effluves sexuelles qui y sont imprégnées.
L’excitation se fait sentir dans les tempes d’Eric. Son sexe a pris une position phallique prodigieuse, élevé à la verticalité de son nombril qu'il masque sans vergogne. Il frotte doucement le bout de tissu contre sa verge distendue, juste à l’endroit où la chatte qui s’y lovait a laissé s’enfuir quelques suintements odorants. Cette trace si délicate et cette odeur si noble, si caractéristique, si émouvante, si excitante qui effleure maintenant le nez d’Eric avant de replonger sur sa verge tétanisée par le plaisir montant, bouleversent l'équilibre de ses sens. L’éjaculation d’Eric est torride, puissante, puis de plus en plus ténues, langoureuse au fur et à mesure que la force des spasmes s’amenuisent. La culotte de Chloé déborde maintenant de sperme.
Eric est tout aussi excité qu’il est gêné par la profondeur de son obsession. Le plaisir passé, il prend conscience devant le tissu dégoulinant que cet instant de bonheur sublime, cette jouissance suprême, ce désir irrésistible pourraient aussi salir celle qui portait, peu de temps auparavant, cette petite culotte au plus près de son intimité.
Il conçoit avec lucidité que la pudique propriétaire de cette lingerie innocente puisse s’opposer farouchement à ce dévoiement lubrique quitte à bannir définitivement le dépravé pour cette pratique obscène et immonde. Le danger est là, latent dans l'ombre, le pire châtiment qu’il pourrait subir.
Eric a repris ses esprits. Il essuie méthodiquement le gousset trempé et passe sous la douche pour nettoyer les salissures qui ont envahies, l’instant de sa jouissance, toute la débauche de sa perversité.
Il replace la culotte derrière la porte, au même endroit qu’il l’avait trouvée et dans la même position. Il regagne le salon, honteux, presque misérable mais libéré d’un très lourd fardeau.
Après le repas, Annie allume le téléviseur et s’assoit à côté d’Eric dans le canapé. Au journal télévisé, les informations ne sont pas bonnes. Le virus progresse de façon presque exponentielle.
Chloé arrive dans le salon.
- Vous me faites une petite place entre vous deux ?
Et elle vient se blottir entre Eric et Annie.
- Je vous aime bien tous les deux. Il y a quelque chose d’intéressant ce soir à la télé ?
- Oui, la suite de ma série policière dit Annie d’un ton tout aussi décidé que péremptoire.
- Ah Ok.
Puis s’adressant à Eric.
- Cette semaine, je suis en vacances. Ça t’ennuierait de me laisser ton bateau demain pour la journée ? Comme tu m’as sevré ce week-end, j’ai envie de m’aérer et en plus, la météo est favorable.
- Non pas de soucis Chloé. Tu sais où sont les clés.
- Merci Eric.
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Le lendemain matin, derrière la porte de la salle de bain, il y a une petite culotte toute blanche en coton. Eric ferme le vantail avec le verrou intérieur, se baisse, ramasse le bout de tissu, le caresse, le hume. Des traces d’humidité récentes subsistent encore sur le gousset tout frais, des traces qu’il veut captiver pour recueillir ne rien perdre des effluves sexuelles qui y sont imprégnées.
L’excitation se fait sentir dans les tempes d’Eric. Son sexe a pris une position phallique prodigieuse, élevé à la verticalité de son nombril qu'il masque sans vergogne. Il frotte doucement le bout de tissu contre sa verge distendue, juste à l’endroit où la chatte qui s’y lovait a laissé s’enfuir quelques suintements odorants. Cette trace si délicate et cette odeur si noble, si caractéristique, si émouvante, si excitante qui effleure maintenant le nez d’Eric avant de replonger sur sa verge tétanisée par le plaisir montant, bouleversent l'équilibre de ses sens. L’éjaculation d’Eric est torride, puissante, puis de plus en plus ténues, langoureuse au fur et à mesure que la force des spasmes s’amenuisent. La culotte de Chloé déborde maintenant de sperme.
Eric est tout aussi excité qu’il est gêné par la profondeur de son obsession. Le plaisir passé, il prend conscience devant le tissu dégoulinant que cet instant de bonheur sublime, cette jouissance suprême, ce désir irrésistible pourraient aussi salir celle qui portait, peu de temps auparavant, cette petite culotte au plus près de son intimité.
Il conçoit avec lucidité que la pudique propriétaire de cette lingerie innocente puisse s’opposer farouchement à ce dévoiement lubrique quitte à bannir définitivement le dépravé pour cette pratique obscène et immonde. Le danger est là, latent dans l'ombre, le pire châtiment qu’il pourrait subir.
Eric a repris ses esprits. Il essuie méthodiquement le gousset trempé et passe sous la douche pour nettoyer les salissures qui ont envahies, l’instant de sa jouissance, toute la débauche de sa perversité.
Il replace la culotte derrière la porte, au même endroit qu’il l’avait trouvée et dans la même position. Il regagne le salon, honteux, presque misérable mais libéré d’un très lourd fardeau.
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