Chapitre III (Suite)
Sur la plage de naturistes, il n’y a qu’une seule obligation ; être nu.
- Allez à poils beau gosse s’écrie Mathilde sans retenue.
Eric retire ses quelques vêtements. Mathilde le regarde faire avec une attention appuyée. Elle attend vaillamment le moment où le sexe libéré de l’étreinte de son slip prendra l’air pour s’enhardir avec ivresse entre les jambes musclées d’Éric. Elle est envieuse comme une femme sevrée depuis plusieurs mois, gourmande à souhait comme une gamine devant les friandises qui ornent la vitrine d'un boulanger.
- Ici, il n’y a que Mohamed qui en a une plus grosse que toi et comme toutes les petites jeunettes lui courent après juste pour essayer, je n’ai plus aucune chance malheureusement.
- C’est normal. Il faut laisser la place aux jeunes et puis, je suis toujours là.
- Oui mais ce n’est plus pareil. Toi je te connais comme si je t’avais fait. Allez, donne-moi la main, qu’on ressemble encore à deux amoureux comme quand on était jeune. Tu te souviens Eric ?
- Oh oui que je me souviens. Tu regrettes ?
- Non. Je crois qu’il ne faut jamais regretter. Avec le recul, je sais que j’ai déconné. Mais si je ne l’avais pas fait avec lui, je l’aurai fait avec un autre. Je pense qu’on s’est attaché l’un à l’autre trop tôt, trop jeune. On n’était pas suffisamment mûr pour se rendre compte. Le seul regret que j’ai tout compte fait, c’est de ne pas avoir eu d’enfant. Et là maintenant à quarante ans, c’est foutu.
- Bienvenue au club. Moi, les médecins m’ont classé dans la catégorie des hommes stériles, ce qui m’a valu de me faire plaquer, à trente sept ans, par mon ex qui voulait à tout prix des enfants. Comme quoi, la vie est parfois injuste.
Sur la plage, il y a très peu de monde, surtout des retraités, nus évidemment puisque c’est une obligation.
- J’ai envie de te faire bander juste pour amuser les petites vieilles.
- Toi, tu n’as pas changé et je suis certain que les petites vieilles, tu t’en moques éperdument.
- Ce n’est pas faux, tu me connais trop bien. Ok ! Depuis que je sais que tu vas venir, j’ai le bas ventre en feu. Tu veux toucher ?
- Approche Mathilde !
- Alors ?
- Effectivement. C’est un peu humide.
- Comment-ça un peu humide ? je dégouline de partout.
- Et avec tout ça, voilà que je commence à bander.
- Ah cool. Viens, je connais un petit coin tranquille où on ne sera pas dérangé.
Mathilde entraîne Eric derrière un petit bungalow tout fermé. Elle pose les serviettes de bain sur le gazon, à l’abri des regards indiscrets. Elle s’agenouille devant Eric, prend son sexe en main, le masturbe en douceur avant de le prendre en bouche.
Elle relève la tête.
- Toujours aussi bonne ta queue.
Et elle se concentre sur la verge qu’elle décalotte avant de la laper goulûment.
Mathilde lâche le sexe d’Éric et se place devant lui à quatre pattes.
- Il ne t’en faut toujours pas beaucoup pour être en forme ! Tu te rappelles la première fois ? A peine rentré, à peine éjaculé. J’ai été super déçue, moi qui me languissait en prévision d’une jouissance pharaonique devant la taille impressionnante de ton sexe.
- C’était il y a fort longtemps, Mathilde.
- Et bien, on va voir ! Prends moi en levrette, oui comme ça. Oh Putain ! qu’est-ce qu’elle est bonne.
- Chut, y a des gens qui passent.
- Oui, continue, comme ça… On s’en fou des gens. Plus vite… Encore.
Eric tient Mathilde par les hanches. Il accompagne le mouvement de son sexe qui s’enfonce de toute sa longueur dans sa chatte brûlante avec en reflux, un bruit de succion prodigieux. Eric pilonne maintenant le sexe de Mathilde avec une fougue monstrueuse.
- Oui... Oui, encore… Plus vite… Plus fort. Oui, comme ça. Ça vient. Je vais jouir… Oh c’est bon ! N’arrête pas. Continue. Viens plus profond. Encore …
Dans les testicules d’Éric, c’est la pagaille. Le combat est rude et au feu vert, les vainqueurs seront les premiers dehors. Tout le monde se pressent et se précipitent à la porte. Et en attendant, il faudra gérer l’évacuation d’urgence sur les vingt premiers centimètres pour savourer enfin la délicatesse du vagin de Mathilde.
- Oh oui Eric. Je … Je … encore… doucement, tout doucement, là comme ça. Oui...
Eric a lâché les fauves. Les millions de spermatozoïdes atrophiés se retrouvent propulsés avec une force inouïe dans les entrailles de Mathilde. Aucun n’aura la vitalité d’aller jusqu’au bout mais ce n’est pas l’important.
Les mouvements d’Éric se font plus langoureux jusqu’au tout dernier sursaut de sa verge véhémente. Tout comme Mathilde, Eric est moite de transpiration devant l’effort de l’accouplement. Le soleil n’est pas assez puissant pour assécher rapidement la sueur de leur corps. Son sexe est toujours prisonnier sous le joug de la chatte de Mathilde et Eric caresse doucement le dos brunâtre de son amante, ses seins encore bien fermes, ses fesses toujours aussi toniques, ses jambes épilées. Mathilde s’est couchée sur ses avant-bras, les fesses relevées, toujours collées au pubis d’Éric. Elle décèle le léger mouvement de rétractation sournois et immuable de la verge fatiguée. Dans un dernier sursaut de plaisir, elle avance et recule lentement ses fesses pour retarder le moment où à bout de toute vigueur, le sexe d’Éric est refoulé encore larmoyant de sa prodigieuse cachette.
- Je crois qu’on était parti pour un bain de mer !
- Alors, on y va.
Sur la plage de naturistes, il n’y a qu’une seule obligation ; être nu.
- Allez à poils beau gosse s’écrie Mathilde sans retenue.
Eric retire ses quelques vêtements. Mathilde le regarde faire avec une attention appuyée. Elle attend vaillamment le moment où le sexe libéré de l’étreinte de son slip prendra l’air pour s’enhardir avec ivresse entre les jambes musclées d’Éric. Elle est envieuse comme une femme sevrée depuis plusieurs mois, gourmande à souhait comme une gamine devant les friandises qui ornent la vitrine d'un boulanger.
- Ici, il n’y a que Mohamed qui en a une plus grosse que toi et comme toutes les petites jeunettes lui courent après juste pour essayer, je n’ai plus aucune chance malheureusement.
- C’est normal. Il faut laisser la place aux jeunes et puis, je suis toujours là.
- Oui mais ce n’est plus pareil. Toi je te connais comme si je t’avais fait. Allez, donne-moi la main, qu’on ressemble encore à deux amoureux comme quand on était jeune. Tu te souviens Eric ?
- Oh oui que je me souviens. Tu regrettes ?
- Non. Je crois qu’il ne faut jamais regretter. Avec le recul, je sais que j’ai déconné. Mais si je ne l’avais pas fait avec lui, je l’aurai fait avec un autre. Je pense qu’on s’est attaché l’un à l’autre trop tôt, trop jeune. On n’était pas suffisamment mûr pour se rendre compte. Le seul regret que j’ai tout compte fait, c’est de ne pas avoir eu d’enfant. Et là maintenant à quarante ans, c’est foutu.
- Bienvenue au club. Moi, les médecins m’ont classé dans la catégorie des hommes stériles, ce qui m’a valu de me faire plaquer, à trente sept ans, par mon ex qui voulait à tout prix des enfants. Comme quoi, la vie est parfois injuste.
Sur la plage, il y a très peu de monde, surtout des retraités, nus évidemment puisque c’est une obligation.
- J’ai envie de te faire bander juste pour amuser les petites vieilles.
- Toi, tu n’as pas changé et je suis certain que les petites vieilles, tu t’en moques éperdument.
- Ce n’est pas faux, tu me connais trop bien. Ok ! Depuis que je sais que tu vas venir, j’ai le bas ventre en feu. Tu veux toucher ?
- Approche Mathilde !
- Alors ?
- Effectivement. C’est un peu humide.
- Comment-ça un peu humide ? je dégouline de partout.
- Et avec tout ça, voilà que je commence à bander.
- Ah cool. Viens, je connais un petit coin tranquille où on ne sera pas dérangé.
Mathilde entraîne Eric derrière un petit bungalow tout fermé. Elle pose les serviettes de bain sur le gazon, à l’abri des regards indiscrets. Elle s’agenouille devant Eric, prend son sexe en main, le masturbe en douceur avant de le prendre en bouche.
Elle relève la tête.
- Toujours aussi bonne ta queue.
Et elle se concentre sur la verge qu’elle décalotte avant de la laper goulûment.
Mathilde lâche le sexe d’Éric et se place devant lui à quatre pattes.
- Il ne t’en faut toujours pas beaucoup pour être en forme ! Tu te rappelles la première fois ? A peine rentré, à peine éjaculé. J’ai été super déçue, moi qui me languissait en prévision d’une jouissance pharaonique devant la taille impressionnante de ton sexe.
- C’était il y a fort longtemps, Mathilde.
- Et bien, on va voir ! Prends moi en levrette, oui comme ça. Oh Putain ! qu’est-ce qu’elle est bonne.
- Chut, y a des gens qui passent.
- Oui, continue, comme ça… On s’en fou des gens. Plus vite… Encore.
Eric tient Mathilde par les hanches. Il accompagne le mouvement de son sexe qui s’enfonce de toute sa longueur dans sa chatte brûlante avec en reflux, un bruit de succion prodigieux. Eric pilonne maintenant le sexe de Mathilde avec une fougue monstrueuse.
- Oui... Oui, encore… Plus vite… Plus fort. Oui, comme ça. Ça vient. Je vais jouir… Oh c’est bon ! N’arrête pas. Continue. Viens plus profond. Encore …
Dans les testicules d’Éric, c’est la pagaille. Le combat est rude et au feu vert, les vainqueurs seront les premiers dehors. Tout le monde se pressent et se précipitent à la porte. Et en attendant, il faudra gérer l’évacuation d’urgence sur les vingt premiers centimètres pour savourer enfin la délicatesse du vagin de Mathilde.
- Oh oui Eric. Je … Je … encore… doucement, tout doucement, là comme ça. Oui...
Eric a lâché les fauves. Les millions de spermatozoïdes atrophiés se retrouvent propulsés avec une force inouïe dans les entrailles de Mathilde. Aucun n’aura la vitalité d’aller jusqu’au bout mais ce n’est pas l’important.
Les mouvements d’Éric se font plus langoureux jusqu’au tout dernier sursaut de sa verge véhémente. Tout comme Mathilde, Eric est moite de transpiration devant l’effort de l’accouplement. Le soleil n’est pas assez puissant pour assécher rapidement la sueur de leur corps. Son sexe est toujours prisonnier sous le joug de la chatte de Mathilde et Eric caresse doucement le dos brunâtre de son amante, ses seins encore bien fermes, ses fesses toujours aussi toniques, ses jambes épilées. Mathilde s’est couchée sur ses avant-bras, les fesses relevées, toujours collées au pubis d’Éric. Elle décèle le léger mouvement de rétractation sournois et immuable de la verge fatiguée. Dans un dernier sursaut de plaisir, elle avance et recule lentement ses fesses pour retarder le moment où à bout de toute vigueur, le sexe d’Éric est refoulé encore larmoyant de sa prodigieuse cachette.
- Je crois qu’on était parti pour un bain de mer !
- Alors, on y va.
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