Chapitre II (Fin de chapitre)
- Alors Chloé, tu t’es décidée à venir à la soirée chez Lisa ?
- Ah bien y réfléchir, je vais y aller. Mon copain Fred est lui aussi invité. Il passera me chercher. Ne t’occupe pas de moi. Je me débrouillerai toute seule.
- Ok, comme tu veux Chloé. Alors ce soir et pas de bêtise avec Fred dit-il sur ton moqueur.
- Comme d’habitude, tu es trop lourd et trop stupide. Je ne sors même pas avec lui. C’est juste un bon copain.
Lucas est reparti travailler. Chloé avait rendez-vous avec une amie pour passer l’après-midi. Et Annie a ratissé l’allée en maugréant avant de prendre tout son attirail pour peindre un nouveau tableau dans les collines environnantes, proche du golfe, avec une vue paradisiaque sur la Méditerranée.
Le match de foot ne commence qu’à quinze heures. Eric a un peu de temps et il s’accorde une petite sieste sur le canapé en chassant Miha qui avait pris possession des lieux.
Les images de Charlotte lui reviennent en mémoire. Nue, à quatre pattes, les seins bien accrochés, le fessier en gros plan avec une vue plongeante sur son minou entièrement épilé et son admirable petite noisette si joliment dessinée, le visage tourné vers le photographe, tout sourire. Il y a une énorme candeur chez Charlotte.
Eric se relève le sexe en émoi au grand plaisir de Miha qui reprend sa place encore toute chaude. Il allume l’ordinateur et se reconnecte sur le lien que lui a communiqué Lucas. Il ouvre le dossier de Charlotte. Il contient des centaines de photos toutes plus excitantes les unes que les autres. Charlotte ne cache rien. Elle étale toute son intimité à qui veut bien regarder. Charlotte sous la douche, dans sa chambre allongée sur le lit les jambes écartées, sur le canapé de la maison les fesses relevées presque caressées par la pointe de ses cheveux, dehors nue sur le transat, gros plan de son minou, de ses fesses et de ses seins. Eric est autant excité qu’il est consterné, voire même mal à l’aise devant le sexe virtuel qui par écran interposé devient une réalité évidente.
Eric feuillette les albums. Ils sont nombreux. Il tombe sur celui de Chloé qu’il ouvre avec une certaine appréhension. Dans le répertoire il y a quelques photos ; Chloé en chandail, Chloé en robe blanche, Chloé en maillot de bain sur un transat. Gros plan sur le haut de son maillot, gros plan sur sa culotte où on devine que le photographe a cherché à mettre en évidence les contours de son sexe à travers le tissu. Gros plan sur ses fesses magnifiquement recouvertes par l’étoffe du maillot de bain. Gros plan sur son visage d’une simplicité monumentale, les yeux fermés, sans même un sourire, presque endormie. Il n’y a pas à dire. C’est une très belle jeune femme.
Rassuré, il ouvre l’album de Jade qui renferme quelques secrets. Il y a beaucoup plus de vulgarité et par évidence beaucoup moins de grâce et de charme. La jeune femme pose nue et habillée, en petite culotte, la culotte légèrement baissée laissant deviner la naissance de son sexe à travers des poils généreux, un string en bas des pieds, en collant transparent, le tanga qui découvre ses fesses. Les sous-vêtements sont de piètre qualité. On retrouve les marques classiques vendues en supermarché. Il est clair qu’avec son salaire de caissière, Jade n’a pas de très gros moyens financiers.
Un détail frappe Eric. Il descend à la laverie, fouille dans le sac de Charlotte et extirpe les deux intruses. Il remonte au salon et effectivement, l’une des deux culottes ressemble à s’y méprendre à celle portée par Jade sur la photo. Il agrandi la surface sur laquelle figure l’étiquette du vêtement et là-encore les indications concordent, même marque, même taille.
Un autre élément l’interpelle. Qui a pris toutes ces photos ? Visiblement, c’est la même résolution, la même qualité photographique. Il y a de l’art et de la recherche dans le placement des modèles, la façon de les mettre en valeur avec une très bonne gestion de la lumière. Les photos ne sont pas prises à la va vite. Le photographe n’a pas ménagé son temps pour poser les modèles sur l’obturateur et par déduction les filles devaient évidemment coopérer en toute connaissance de cause.
Eric veut en avoir le cœur net. Il affiche les données « exif » des clichés de Charlotte, Jade et Chloé. Effectivement, les photos proviennent du même appareil. Même modèle, même numéro de série. Eric compare les données obtenues avec une photo récente prise par Lucas et là encore il s’agit du même appareil.
Pour autant, les photos de Chloé sont prises en mode zoom, c’est ce qu’indiquent les données « exif ». Il y a même la date et l’heure de la prise de vue et le pourcentage de grossissement. Sur son transat, Chloé est si naturelle qu’elle ne devait pas poser. Et en détaillant d’avantage les photos, Eric s’aperçoit qu’elles ont été prises en plongées, probablement de la chambre de Lucas.
Que Jade soit photographiée nue par son petit ami, passe encore. Que Charlotte se laisse prendre en photo dans des positions hautement suggestives par son demi-frère s'est déjà un peu plus consternant, surtout vu le type de photo et le plaisir manifeste qu’elle semble prendre devant l'objectif.
Le côté pervers, mis de côté le temps des investigations, reprend le dessus. Eric visionne maintenant le cul de Jade et en même temps, il respire les effluves d’une de ses culottes en se masturbe dans la seconde. Entre phantasme et réalité son esprit s’est embrouillé pour se focaliser sur ces seins tombant qu’il a envie de presser, sur ce cul poilu et accessible qu’il peut sentir et goûter, sur cette chatte offerte qu’il aimerait lécher, posséder, consommer, juste pour épancher son besoin sexuel oppressant. Tous les marqueurs de son plaisir sont en place. Il ne manque plus que l’odeur animale de la femelle en chaleur pour le faire basculer, cette fragrance qu’il trouve généreusement au fond de la culotte de Jade et qui l’excite sans retenue. Eric jouit avec force et puissance. Le gousset ne suffit pas pour absorber l’énorme quantité de sperme produite par son sexe en délire et de nombreuses gouttelettes viennent s’étaler paresseusement sur le carrelage du salon.
Eric, le sexe baignant dans son sperme laissé au fond de la culotte de Jade reste un petit moment sans bouger pour apprécier toute la saveur de sa jouissance. Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas jouit avec autant de verve.
Eric nettoie la culotte maculée de toute sa semence avec un kleenex et il remet en place les sous-vêtements dans le sac de Charlotte.
Il récupère la canette de bière de la nuit dernière dans le réfrigérateur, allume la télévision et se cale dans le canapé pour assister au match de foot.
Une question reste néanmoins en suspens. Que font les culottes de Jade dans les affaires de Charlotte ?
- Alors Chloé, tu t’es décidée à venir à la soirée chez Lisa ?
- Ah bien y réfléchir, je vais y aller. Mon copain Fred est lui aussi invité. Il passera me chercher. Ne t’occupe pas de moi. Je me débrouillerai toute seule.
- Ok, comme tu veux Chloé. Alors ce soir et pas de bêtise avec Fred dit-il sur ton moqueur.
- Comme d’habitude, tu es trop lourd et trop stupide. Je ne sors même pas avec lui. C’est juste un bon copain.
Lucas est reparti travailler. Chloé avait rendez-vous avec une amie pour passer l’après-midi. Et Annie a ratissé l’allée en maugréant avant de prendre tout son attirail pour peindre un nouveau tableau dans les collines environnantes, proche du golfe, avec une vue paradisiaque sur la Méditerranée.
Le match de foot ne commence qu’à quinze heures. Eric a un peu de temps et il s’accorde une petite sieste sur le canapé en chassant Miha qui avait pris possession des lieux.
Les images de Charlotte lui reviennent en mémoire. Nue, à quatre pattes, les seins bien accrochés, le fessier en gros plan avec une vue plongeante sur son minou entièrement épilé et son admirable petite noisette si joliment dessinée, le visage tourné vers le photographe, tout sourire. Il y a une énorme candeur chez Charlotte.
Eric se relève le sexe en émoi au grand plaisir de Miha qui reprend sa place encore toute chaude. Il allume l’ordinateur et se reconnecte sur le lien que lui a communiqué Lucas. Il ouvre le dossier de Charlotte. Il contient des centaines de photos toutes plus excitantes les unes que les autres. Charlotte ne cache rien. Elle étale toute son intimité à qui veut bien regarder. Charlotte sous la douche, dans sa chambre allongée sur le lit les jambes écartées, sur le canapé de la maison les fesses relevées presque caressées par la pointe de ses cheveux, dehors nue sur le transat, gros plan de son minou, de ses fesses et de ses seins. Eric est autant excité qu’il est consterné, voire même mal à l’aise devant le sexe virtuel qui par écran interposé devient une réalité évidente.
Eric feuillette les albums. Ils sont nombreux. Il tombe sur celui de Chloé qu’il ouvre avec une certaine appréhension. Dans le répertoire il y a quelques photos ; Chloé en chandail, Chloé en robe blanche, Chloé en maillot de bain sur un transat. Gros plan sur le haut de son maillot, gros plan sur sa culotte où on devine que le photographe a cherché à mettre en évidence les contours de son sexe à travers le tissu. Gros plan sur ses fesses magnifiquement recouvertes par l’étoffe du maillot de bain. Gros plan sur son visage d’une simplicité monumentale, les yeux fermés, sans même un sourire, presque endormie. Il n’y a pas à dire. C’est une très belle jeune femme.
Rassuré, il ouvre l’album de Jade qui renferme quelques secrets. Il y a beaucoup plus de vulgarité et par évidence beaucoup moins de grâce et de charme. La jeune femme pose nue et habillée, en petite culotte, la culotte légèrement baissée laissant deviner la naissance de son sexe à travers des poils généreux, un string en bas des pieds, en collant transparent, le tanga qui découvre ses fesses. Les sous-vêtements sont de piètre qualité. On retrouve les marques classiques vendues en supermarché. Il est clair qu’avec son salaire de caissière, Jade n’a pas de très gros moyens financiers.
Un détail frappe Eric. Il descend à la laverie, fouille dans le sac de Charlotte et extirpe les deux intruses. Il remonte au salon et effectivement, l’une des deux culottes ressemble à s’y méprendre à celle portée par Jade sur la photo. Il agrandi la surface sur laquelle figure l’étiquette du vêtement et là-encore les indications concordent, même marque, même taille.
Un autre élément l’interpelle. Qui a pris toutes ces photos ? Visiblement, c’est la même résolution, la même qualité photographique. Il y a de l’art et de la recherche dans le placement des modèles, la façon de les mettre en valeur avec une très bonne gestion de la lumière. Les photos ne sont pas prises à la va vite. Le photographe n’a pas ménagé son temps pour poser les modèles sur l’obturateur et par déduction les filles devaient évidemment coopérer en toute connaissance de cause.
Eric veut en avoir le cœur net. Il affiche les données « exif » des clichés de Charlotte, Jade et Chloé. Effectivement, les photos proviennent du même appareil. Même modèle, même numéro de série. Eric compare les données obtenues avec une photo récente prise par Lucas et là encore il s’agit du même appareil.
Pour autant, les photos de Chloé sont prises en mode zoom, c’est ce qu’indiquent les données « exif ». Il y a même la date et l’heure de la prise de vue et le pourcentage de grossissement. Sur son transat, Chloé est si naturelle qu’elle ne devait pas poser. Et en détaillant d’avantage les photos, Eric s’aperçoit qu’elles ont été prises en plongées, probablement de la chambre de Lucas.
Que Jade soit photographiée nue par son petit ami, passe encore. Que Charlotte se laisse prendre en photo dans des positions hautement suggestives par son demi-frère s'est déjà un peu plus consternant, surtout vu le type de photo et le plaisir manifeste qu’elle semble prendre devant l'objectif.
Le côté pervers, mis de côté le temps des investigations, reprend le dessus. Eric visionne maintenant le cul de Jade et en même temps, il respire les effluves d’une de ses culottes en se masturbe dans la seconde. Entre phantasme et réalité son esprit s’est embrouillé pour se focaliser sur ces seins tombant qu’il a envie de presser, sur ce cul poilu et accessible qu’il peut sentir et goûter, sur cette chatte offerte qu’il aimerait lécher, posséder, consommer, juste pour épancher son besoin sexuel oppressant. Tous les marqueurs de son plaisir sont en place. Il ne manque plus que l’odeur animale de la femelle en chaleur pour le faire basculer, cette fragrance qu’il trouve généreusement au fond de la culotte de Jade et qui l’excite sans retenue. Eric jouit avec force et puissance. Le gousset ne suffit pas pour absorber l’énorme quantité de sperme produite par son sexe en délire et de nombreuses gouttelettes viennent s’étaler paresseusement sur le carrelage du salon.
Eric, le sexe baignant dans son sperme laissé au fond de la culotte de Jade reste un petit moment sans bouger pour apprécier toute la saveur de sa jouissance. Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas jouit avec autant de verve.
Eric nettoie la culotte maculée de toute sa semence avec un kleenex et il remet en place les sous-vêtements dans le sac de Charlotte.
Il récupère la canette de bière de la nuit dernière dans le réfrigérateur, allume la télévision et se cale dans le canapé pour assister au match de foot.
Une question reste néanmoins en suspens. Que font les culottes de Jade dans les affaires de Charlotte ?
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