Chapitre I (Fin de chapitre)
Eric connaît tous les sous-vêtements portés par Charlotte. Dès qu’une petite nouvelle se présente, il est capable de la repérer immédiatement. Et ici, il y deux petites culottes inconnues avec ceci de particulier qu’elles ne sont pas très récentes. Elles ont déjà été largement utilisées, en témoignent les couleurs légèrement ternies probablement par de nombreux passages à la machine à laver.
En poursuivant les investigations, Eric remarque que les tailles sont différentes. Charlotte a pour habitude de placer ses petites fesses bien au chaud dans un trente-six douillet alors que celle qu’il a en main affiche un trente-huit. Surprenant, d’autant que la deuxième petite inconnue est elle aussi de la même taille.
Il y a là une énigme qu’il faudra résoudre. Mais pour l’heure, il y a plus urgent d’autant qu’un autre indice vient perturber la réflexion d’Eric. Dans le fond du gousset, collés aux sécrétions vaginales desséchées, il y a des poils pubiens noir. Or, Charlotte est de couleur châtain et de plus, elle est entièrement épilée. Eric le sait. Il a déjà croisée à de nombreuses reprises la jeune fille dans le couloir, à la sortie de la salle de bain entièrement nue, sans complexe. Contrairement à Chloé, Charlotte n’a aucune pudeur. Non pas qu’elle soit exhibitionniste, elle aime simplement vivre avec sa nudité. C’est pour elle une règle de vie et ses vacances, elle ne les conçoit pas en dehors des plages naturistes. Annie a beau pester devant l’indécence de sa fille, rien n’y fait.
Eric s’interroge. D’où peuvent bien provenir les poils noir ? Il hume les traces vaginales laissées sur les différents sous-vêtements et là aussi les effluves ne correspondent pas. Sur les deux petites inconnues le parfum est plus prononcé, plus fort que sur celles qu’il a l’habitude de sentir.
Enfin, les traces sexuelles laissées sont elles aussi différentes. Charlotte a une fente timide, effilée et ses petites lèvres laissent échapper des sécrétions journalières peu abondantes. Or les deux félonnes sont largement tâchées. Il y a dans les traces de mouille une générosité affolante qui n’hésite pas à s’imposer sur toute la surface du gousset.
Eric caresse tous les tissus, les respire, les compare. Son excitant est à son paroxysme. Il tient dans ses mains toute la sexualité de Charlotte et probablement celle d’une illustre inconnue. C'est encore plus grisant. Il est si proche et en même temps si éloigné de leur sexe qu’il a le sentiment de partager un peu de leurs intimités. Pour lui, ce n’est pas du vol, juste un recyclage écologique du produit des muqueuses et des tissus sur lesquels elles adhérent. Toutes ses sécrétions, toutes ses odeurs irrémédiablement perdues dans les eaux de lavage alors que lui n’a de cesse de les honorer, de les déifier, de les porter aux vertus de l’amour, du plaisir et de la jouissance ; horrible sacrilège dont il se fait le défenseur silencieux.
Et cette douce inconnue qui le provoque par culotte interposée. Insupportable érotisme de ce sexe délaissé, maculé, gluant de cyprine, offrande magnifique à qui sait l’apprécier, cupide et si généreux.
Eric n’en peut plus. Il déboutonne sa brayette, sort précipitamment le sexe de son slip et caresse les tissus souillés avec sa verge. Elle a pris une dimension impressionnante. Il se masturbe avec une délectation frénétique, une culotte sur le nez, une autre sur son sexe baveux. Plus rien n’existe que ces effluves sexuels qu’il consomme sans aucun remord, presque comme si elles étaient siennes.
Le plaisir prend de la hauteur. Le gland frémit, se durcit tout contre les traces sexuelles féminines. Eric accélère le mouvement. Le frottement devient plus intense plus humide aussi, plus glissant sur les effluves sexuelles laissées sur le gousset. L’excitation est à son comble et le sperme, délogé des coursives arrières de ses testicules, gicle en de longues saccades interminables.
Eric a juste eu le temps d’écarter la culotte pour jouir dans la paume de sa main en évitant ainsi d’éclabousser le sous-vêtement.
Il s’essuie le sexe et la main avec un des chandails sales de Charlotte qu'il roule en boule, range les vêtements dans le sac qu'elle a apporté et regagne tranquillement le rez-de-chaussée.
Eric connaît tous les sous-vêtements portés par Charlotte. Dès qu’une petite nouvelle se présente, il est capable de la repérer immédiatement. Et ici, il y deux petites culottes inconnues avec ceci de particulier qu’elles ne sont pas très récentes. Elles ont déjà été largement utilisées, en témoignent les couleurs légèrement ternies probablement par de nombreux passages à la machine à laver.
En poursuivant les investigations, Eric remarque que les tailles sont différentes. Charlotte a pour habitude de placer ses petites fesses bien au chaud dans un trente-six douillet alors que celle qu’il a en main affiche un trente-huit. Surprenant, d’autant que la deuxième petite inconnue est elle aussi de la même taille.
Il y a là une énigme qu’il faudra résoudre. Mais pour l’heure, il y a plus urgent d’autant qu’un autre indice vient perturber la réflexion d’Eric. Dans le fond du gousset, collés aux sécrétions vaginales desséchées, il y a des poils pubiens noir. Or, Charlotte est de couleur châtain et de plus, elle est entièrement épilée. Eric le sait. Il a déjà croisée à de nombreuses reprises la jeune fille dans le couloir, à la sortie de la salle de bain entièrement nue, sans complexe. Contrairement à Chloé, Charlotte n’a aucune pudeur. Non pas qu’elle soit exhibitionniste, elle aime simplement vivre avec sa nudité. C’est pour elle une règle de vie et ses vacances, elle ne les conçoit pas en dehors des plages naturistes. Annie a beau pester devant l’indécence de sa fille, rien n’y fait.
Eric s’interroge. D’où peuvent bien provenir les poils noir ? Il hume les traces vaginales laissées sur les différents sous-vêtements et là aussi les effluves ne correspondent pas. Sur les deux petites inconnues le parfum est plus prononcé, plus fort que sur celles qu’il a l’habitude de sentir.
Enfin, les traces sexuelles laissées sont elles aussi différentes. Charlotte a une fente timide, effilée et ses petites lèvres laissent échapper des sécrétions journalières peu abondantes. Or les deux félonnes sont largement tâchées. Il y a dans les traces de mouille une générosité affolante qui n’hésite pas à s’imposer sur toute la surface du gousset.
Eric caresse tous les tissus, les respire, les compare. Son excitant est à son paroxysme. Il tient dans ses mains toute la sexualité de Charlotte et probablement celle d’une illustre inconnue. C'est encore plus grisant. Il est si proche et en même temps si éloigné de leur sexe qu’il a le sentiment de partager un peu de leurs intimités. Pour lui, ce n’est pas du vol, juste un recyclage écologique du produit des muqueuses et des tissus sur lesquels elles adhérent. Toutes ses sécrétions, toutes ses odeurs irrémédiablement perdues dans les eaux de lavage alors que lui n’a de cesse de les honorer, de les déifier, de les porter aux vertus de l’amour, du plaisir et de la jouissance ; horrible sacrilège dont il se fait le défenseur silencieux.
Et cette douce inconnue qui le provoque par culotte interposée. Insupportable érotisme de ce sexe délaissé, maculé, gluant de cyprine, offrande magnifique à qui sait l’apprécier, cupide et si généreux.
Eric n’en peut plus. Il déboutonne sa brayette, sort précipitamment le sexe de son slip et caresse les tissus souillés avec sa verge. Elle a pris une dimension impressionnante. Il se masturbe avec une délectation frénétique, une culotte sur le nez, une autre sur son sexe baveux. Plus rien n’existe que ces effluves sexuels qu’il consomme sans aucun remord, presque comme si elles étaient siennes.
Le plaisir prend de la hauteur. Le gland frémit, se durcit tout contre les traces sexuelles féminines. Eric accélère le mouvement. Le frottement devient plus intense plus humide aussi, plus glissant sur les effluves sexuelles laissées sur le gousset. L’excitation est à son comble et le sperme, délogé des coursives arrières de ses testicules, gicle en de longues saccades interminables.
Eric a juste eu le temps d’écarter la culotte pour jouir dans la paume de sa main en évitant ainsi d’éclabousser le sous-vêtement.
Il s’essuie le sexe et la main avec un des chandails sales de Charlotte qu'il roule en boule, range les vêtements dans le sac qu'elle a apporté et regagne tranquillement le rez-de-chaussée.
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