Chapitre I (Suite)
Le ronronnement du moteur s’efface lentement du paysage aussitôt remplacé par le tic tac régulier de l’horloge. Miha en profite pour s’avachir au fond d’un des deux fauteuils du salon, résignée devant la pénurie de câlin et la perspective éloignée du prochain repas.
Eric est maintenant seul à la maison. Il emprunte les escaliers qui mènent au sous-sol. Son sang bouillonne dans ses veines. Il perçoit le battement de son cœur sur ses tempes, synonyme d’une excitation profonde. Arrivé dans la lingerie, il repère facilement le sac déposée quelques minutes au préalable pas Charlotte à proximité de la machine à laver. Il le renverse et trie les vêtements en séparant la lingerie des autres frusques. Il met aussi de côté les collants.
Eric adore les sous-vêtements féminins et plus généralement tout ce qui touche de près ou de loin au sexe. Les petites culottes lui livrent nombre de secrets sur la femme qui les porte et son imaginaire déborde d’enthousiasme devant les odeurs sexuelles et l’abondance des traces qui ornent le fond des goussets. Parfois Charlotte est très généreuse mais il arrive aussi de temps en temps que son sexe marque une certaine réserve, un défoulement timide, peu prononcé, juste un filet étiré qui prend source après la naissance du clitoris pour terminer à la jointure des fesses. Quel que soit la représentation, Eric adore.
Et aujourd’hui il a beaucoup de chance. Il a comptabilisé huit culottes en tout genre, string, tanga, shorty, culotte invisible et deux collants. Il sourit. Huit, pour une semaine de cinq jours, c’est trois de trop, probablement des accidents et certains indices corroborent.
Le ronronnement du moteur s’efface lentement du paysage aussitôt remplacé par le tic tac régulier de l’horloge. Miha en profite pour s’avachir au fond d’un des deux fauteuils du salon, résignée devant la pénurie de câlin et la perspective éloignée du prochain repas.
Eric est maintenant seul à la maison. Il emprunte les escaliers qui mènent au sous-sol. Son sang bouillonne dans ses veines. Il perçoit le battement de son cœur sur ses tempes, synonyme d’une excitation profonde. Arrivé dans la lingerie, il repère facilement le sac déposée quelques minutes au préalable pas Charlotte à proximité de la machine à laver. Il le renverse et trie les vêtements en séparant la lingerie des autres frusques. Il met aussi de côté les collants.
Eric adore les sous-vêtements féminins et plus généralement tout ce qui touche de près ou de loin au sexe. Les petites culottes lui livrent nombre de secrets sur la femme qui les porte et son imaginaire déborde d’enthousiasme devant les odeurs sexuelles et l’abondance des traces qui ornent le fond des goussets. Parfois Charlotte est très généreuse mais il arrive aussi de temps en temps que son sexe marque une certaine réserve, un défoulement timide, peu prononcé, juste un filet étiré qui prend source après la naissance du clitoris pour terminer à la jointure des fesses. Quel que soit la représentation, Eric adore.
Et aujourd’hui il a beaucoup de chance. Il a comptabilisé huit culottes en tout genre, string, tanga, shorty, culotte invisible et deux collants. Il sourit. Huit, pour une semaine de cinq jours, c’est trois de trop, probablement des accidents et certains indices corroborent.
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