23-10-2020, 09:57 PM
Troisième malle,
Gonzague, jeune noble oisif, étudiant l’art en dilettante en attendant que son père, le baron Göldlin von Tiefenau, cardiaque, expirât dans les bras d’une de ses maîtresses, avait deux problèmes.
Le premier était son attirance pour les garçons alors que la bienséance l’eût incité à se pâmer dans le lit de sa promise, Clotilde, fille du vicomte Grand d’Hauteville. La baronne avait joué l’entremetteuse, consciente que son rejeton ne fréquentait pas assidument les bals. Par chance, mademoiselle Clotilde préférait les filles.
Les deux tourtereaux s’était cependant trouvés des passions communes, le théâtre, l’opéra et surtout le ballet, ce qui permettait à Point de Vue Images du Monde de publier régulièrement des photos des jeunes gens dans leur plus beaux atours afin d’émoustiller les vieilles dames. Ils avaient prévu un mariage blanc afin que Clotilde pût enfanter quelques jolis bambins. Pour se distraire, Gonzague fricotait avec Pierre, Jacques et Jean, moinillons qui faisaient le mur entre vêpres et complies.
Le deuxième problème était un mal de dos tenace qui obligeait Gonzague à prendre régulièrement les eaux à Spa, en Belgique. Il était très généreux, laissant un pourboire baronnal aux masseurs, ce qui les incitaient à masser plutôt l’entrejambe que le dos et ne guérissait pas la maladie.
Le jour où débute ce récit, le 23 octobre de l’an 57 avant le SARS-CoV-2, Gonzague attendait le train de nuit pour Bruxelles en gare de Bâle. Il avait confié ses bagages à un porteur et avait remarqué sur le chariot une petite valise qui paraissait fort ancienne. Il se demanda qui pouvait voyager avec un tel objet de musée. Il regarda autour de lui, son attention fut attirée par un jeune homme aux cheveux longs et blonds, il se rappela l’avoir vu sur une scène quelques jours avant dans un ballet. Il avait été impressionné par la beauté et le talent du jeune danseur. Celui-ci lui sourit.
Le train entra en gare en provenance de Zurich. Gonzague se dirigea vers sa voiture-lit, suivi du jeune homme. Le conducteur, Fabrice, un Belge bon vivant dans la force de l’âge, avait l’air très ennuyé.
— Bonsoir monsieur le baron, je suis désolé, mais il y a un contretemps.
— Bonsoir Fabrice, qu’il y a-t-il ? La locomotive est-elle en panne ?
— Non, il y a eu une erreur de réservation, deux personnes sont annoncées pour votre compartiment favori, le numéro 3.
— Cela peut arriver, cela ne se reproduira plus avec la cybernétique, il n’y en a pas d’autres de libres ?
— Hélas non, le Club des Amateurs suisses du Manneken-Pis a sa sortie annuelle et occupe presque toute la voiture. Nous vous rembourserons la moitié du supplément, moins les frais administratifs de 1 franc 75 suisse.
— Eh bien, dit Gonzague, résigné, je partagerai ma chambre avec un autre voyageur, j’espère qu’il ne ronflera pas.
— Non, je ne ronfle pas, fit une voix derrière lui. C’est moi qui suis avec vous dans le compartiment numéro 3.
Gonzague se retourna, c’était le jeune danseur.
— Vous ? Cela change tout, je vous ai vu danser l’autre soir et ce sera un plaisir de faire votre connaissance.
Ils montèrent dans le train. Le porteur déposa les deux grosses valises de Gonzague et la petite qui appartenait au danseur dans le compartiment. Fabrice semblait soulagé, il quérit une bouteille de champagne offerte par la Compagnie internationale des wagons-lits pour s’excuser, le service de 1 franc 35 suisse n’était cependant pas compris, Gonzague donna un billet de 10 francs.
Les deux hommes trinquèrent avant d’entamer la discussion. Le danseur se présenta, il s’appelait Joaquin Gómez.
— Ce n’est pas le nom sur la valise, observa Gonzague, je lis « P Lucas ».
— Elle appartenait à mon grand-père maternel, hélas trop tôt disparu. Elle m’a toujours porté chance lorsque je vais à une audition.
— Une audition ? Serait-ce pour ce fameux Ballet du xxe siècle ?
— Exactement. On m’a même offert le train, c’est la première fois que je voyage en wagon-lit.
— Bravo, je vous dis merde, comme au théâtre. J’ai justement acheté un billet pour une représentation à la fin de mon séjour.
Ils devisèrent, terminèrent la bouteille de champagne. Gonzague voulut en commander une autre, mais le danseur était fatigué, il voulait être en forme le lendemain pour l’audition. Fabrice prépara le compartiment pour la nuit.
— Je dois encore me laver les mains, dit Joaquin, je vais ressortir.
— Il y a un lavabo dans le compartiment, expliqua Gonzague en levant la tablette.
— C’est pratique, mais j’utilisais cette expression dans une autre sens.
— Pour pisser ? Ne craignez rien, ce n’est pas parce que je suis noble que je ne connais pas les besoins naturels. Il y a aussi un pot de chambre sous le lavabo, dit Gonzague en le montrant. Cela évite de se rhabiller la nuit pour sortir dans le couloir.
— Ça alors, ils ont tout prévu.
— Je vais vous montrer comme on l’utilise, ne faisons pas de chichis entre nous, vous devez avoir l’habitude de voir les queues des autres danseurs dans les vestiaires.
Gonzague ouvrit sa braguette, dévoilant un gros gland circoncis. Il pissa dans le pot de chambre avant de le replacer dans l’armoire pour le vider sur la voie. Joaquin avait suivi l’opération avec intérêt et l’imita, exhibant sa fine bite prépucée.
— C’est ingénieux, fit-il. Puis-je vous poser une question, on dort dans quelle tenue dans un wagon-lit ?
— Comme vous voudrez, faites comme si je n’étais pas là. Je me demandais… Pourriez-vous me montrer une gaine de danseur. Cela m’a toujours intrigué.
— Certainement.
Joaquin ouvrit la valise et sortit le sous-vêtement spécial qui empêchait les couilles de ballotter pour ne pas émoustiller les vieilles dames et les invertis. Il se déshabilla entièrement sans fausse pudeur, il avait l’habitude de danser nu avec une seule culotte. Gonzague admira son magnifique corps. Joaquin enfila la gaine.
— Je te préfère nu, dit Gonzague.
— Je dors nu, dit le danseur en riant, je ne vais pas mettre ce truc qui me comprime le matériel.
— C’est vrai que tous les danseurs sont des pédés ?
— Il paraît. Mais je dois vraiment dormir, ou essayer, je ne sais pas si j’arriverais dans ce train.
— Je vais te faire une petite branlette, ça te calmera.
Joaquin se coucha sur le lit supérieur, Gonzague se déshabilla et passa sa chemise de nuit avant de masturber le danseur qui s’endormit après l’orgasme.
Joaquin rata l’audition car il refusa de coucher avec le chorégraphe.
Inutile de vous dire, mais je vous le dis quand même, que Gonzague invita Joaquin à le rejoindre à Spa pour le consoler. Les masseurs purent enfin se concentrer sur le dos de leur patient et celui-ci guérit rapidement.
Ils vécurent heureux, ne se marièrent pas puisque Gonzague épousa Clotilde, Joaquin devint le secrétaire et danseur privé du baron, responsable des prélèvements de sperme afin d’inséminer la baronne qui enfanta quelques jolis bambins afin de faire la une de Point de Vue Images du Monde.
Gonzague, jeune noble oisif, étudiant l’art en dilettante en attendant que son père, le baron Göldlin von Tiefenau, cardiaque, expirât dans les bras d’une de ses maîtresses, avait deux problèmes.
Le premier était son attirance pour les garçons alors que la bienséance l’eût incité à se pâmer dans le lit de sa promise, Clotilde, fille du vicomte Grand d’Hauteville. La baronne avait joué l’entremetteuse, consciente que son rejeton ne fréquentait pas assidument les bals. Par chance, mademoiselle Clotilde préférait les filles.
Les deux tourtereaux s’était cependant trouvés des passions communes, le théâtre, l’opéra et surtout le ballet, ce qui permettait à Point de Vue Images du Monde de publier régulièrement des photos des jeunes gens dans leur plus beaux atours afin d’émoustiller les vieilles dames. Ils avaient prévu un mariage blanc afin que Clotilde pût enfanter quelques jolis bambins. Pour se distraire, Gonzague fricotait avec Pierre, Jacques et Jean, moinillons qui faisaient le mur entre vêpres et complies.
Le deuxième problème était un mal de dos tenace qui obligeait Gonzague à prendre régulièrement les eaux à Spa, en Belgique. Il était très généreux, laissant un pourboire baronnal aux masseurs, ce qui les incitaient à masser plutôt l’entrejambe que le dos et ne guérissait pas la maladie.
Le jour où débute ce récit, le 23 octobre de l’an 57 avant le SARS-CoV-2, Gonzague attendait le train de nuit pour Bruxelles en gare de Bâle. Il avait confié ses bagages à un porteur et avait remarqué sur le chariot une petite valise qui paraissait fort ancienne. Il se demanda qui pouvait voyager avec un tel objet de musée. Il regarda autour de lui, son attention fut attirée par un jeune homme aux cheveux longs et blonds, il se rappela l’avoir vu sur une scène quelques jours avant dans un ballet. Il avait été impressionné par la beauté et le talent du jeune danseur. Celui-ci lui sourit.
Le train entra en gare en provenance de Zurich. Gonzague se dirigea vers sa voiture-lit, suivi du jeune homme. Le conducteur, Fabrice, un Belge bon vivant dans la force de l’âge, avait l’air très ennuyé.
— Bonsoir monsieur le baron, je suis désolé, mais il y a un contretemps.
— Bonsoir Fabrice, qu’il y a-t-il ? La locomotive est-elle en panne ?
— Non, il y a eu une erreur de réservation, deux personnes sont annoncées pour votre compartiment favori, le numéro 3.
— Cela peut arriver, cela ne se reproduira plus avec la cybernétique, il n’y en a pas d’autres de libres ?
— Hélas non, le Club des Amateurs suisses du Manneken-Pis a sa sortie annuelle et occupe presque toute la voiture. Nous vous rembourserons la moitié du supplément, moins les frais administratifs de 1 franc 75 suisse.
— Eh bien, dit Gonzague, résigné, je partagerai ma chambre avec un autre voyageur, j’espère qu’il ne ronflera pas.
— Non, je ne ronfle pas, fit une voix derrière lui. C’est moi qui suis avec vous dans le compartiment numéro 3.
Gonzague se retourna, c’était le jeune danseur.
— Vous ? Cela change tout, je vous ai vu danser l’autre soir et ce sera un plaisir de faire votre connaissance.
Ils montèrent dans le train. Le porteur déposa les deux grosses valises de Gonzague et la petite qui appartenait au danseur dans le compartiment. Fabrice semblait soulagé, il quérit une bouteille de champagne offerte par la Compagnie internationale des wagons-lits pour s’excuser, le service de 1 franc 35 suisse n’était cependant pas compris, Gonzague donna un billet de 10 francs.
Les deux hommes trinquèrent avant d’entamer la discussion. Le danseur se présenta, il s’appelait Joaquin Gómez.
— Ce n’est pas le nom sur la valise, observa Gonzague, je lis « P Lucas ».
— Elle appartenait à mon grand-père maternel, hélas trop tôt disparu. Elle m’a toujours porté chance lorsque je vais à une audition.
— Une audition ? Serait-ce pour ce fameux Ballet du xxe siècle ?
— Exactement. On m’a même offert le train, c’est la première fois que je voyage en wagon-lit.
— Bravo, je vous dis merde, comme au théâtre. J’ai justement acheté un billet pour une représentation à la fin de mon séjour.
Ils devisèrent, terminèrent la bouteille de champagne. Gonzague voulut en commander une autre, mais le danseur était fatigué, il voulait être en forme le lendemain pour l’audition. Fabrice prépara le compartiment pour la nuit.
— Je dois encore me laver les mains, dit Joaquin, je vais ressortir.
— Il y a un lavabo dans le compartiment, expliqua Gonzague en levant la tablette.
— C’est pratique, mais j’utilisais cette expression dans une autre sens.
— Pour pisser ? Ne craignez rien, ce n’est pas parce que je suis noble que je ne connais pas les besoins naturels. Il y a aussi un pot de chambre sous le lavabo, dit Gonzague en le montrant. Cela évite de se rhabiller la nuit pour sortir dans le couloir.
— Ça alors, ils ont tout prévu.
— Je vais vous montrer comme on l’utilise, ne faisons pas de chichis entre nous, vous devez avoir l’habitude de voir les queues des autres danseurs dans les vestiaires.
Gonzague ouvrit sa braguette, dévoilant un gros gland circoncis. Il pissa dans le pot de chambre avant de le replacer dans l’armoire pour le vider sur la voie. Joaquin avait suivi l’opération avec intérêt et l’imita, exhibant sa fine bite prépucée.
— C’est ingénieux, fit-il. Puis-je vous poser une question, on dort dans quelle tenue dans un wagon-lit ?
— Comme vous voudrez, faites comme si je n’étais pas là. Je me demandais… Pourriez-vous me montrer une gaine de danseur. Cela m’a toujours intrigué.
— Certainement.
Joaquin ouvrit la valise et sortit le sous-vêtement spécial qui empêchait les couilles de ballotter pour ne pas émoustiller les vieilles dames et les invertis. Il se déshabilla entièrement sans fausse pudeur, il avait l’habitude de danser nu avec une seule culotte. Gonzague admira son magnifique corps. Joaquin enfila la gaine.
— Je te préfère nu, dit Gonzague.
— Je dors nu, dit le danseur en riant, je ne vais pas mettre ce truc qui me comprime le matériel.
— C’est vrai que tous les danseurs sont des pédés ?
— Il paraît. Mais je dois vraiment dormir, ou essayer, je ne sais pas si j’arriverais dans ce train.
— Je vais te faire une petite branlette, ça te calmera.
Joaquin se coucha sur le lit supérieur, Gonzague se déshabilla et passa sa chemise de nuit avant de masturber le danseur qui s’endormit après l’orgasme.
Joaquin rata l’audition car il refusa de coucher avec le chorégraphe.
Inutile de vous dire, mais je vous le dis quand même, que Gonzague invita Joaquin à le rejoindre à Spa pour le consoler. Les masseurs purent enfin se concentrer sur le dos de leur patient et celui-ci guérit rapidement.
Ils vécurent heureux, ne se marièrent pas puisque Gonzague épousa Clotilde, Joaquin devint le secrétaire et danseur privé du baron, responsable des prélèvements de sperme afin d’inséminer la baronne qui enfanta quelques jolis bambins afin de faire la une de Point de Vue Images du Monde.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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