22-10-2020, 07:40 PM
Le lendemain, je me lève tôt mais malgré ça, quand je descends, je m’aperçois que les adultes sont déjà partis. Alors je vais au salon du rez-de-chaussée et je regarde la télé jusqu’à ce que Claire se réveille et me rejoigne.
« - Marianne a besoin de ton aide là haut ! m’annonce-t-elle.
Je suis content de voir que Marianne a accepté ma proposition mais je feins la surprise.
- Pour faire quoi ?
- Elle veut que tu l’aides à choisir son maillot de bain pour notre sortie à la plage.
- Ah… et tu ne peux pas t’en charger toi ?
- Elle dit qu’elle veut l’avis d’un mec.
Je monte donc à l’étage, assez satisfait de ma performance de comédien. Je toque à la porte de la chambre et la voix de Marianne me répond :
- Cyril ? Attends une seconde, je suis toute nue… Attends... Voilà, c’est bon tu peux entrer.
J’entre donc et je la trouve enroulée dans une serviette, les cheveux détachés. Je suis arrivé avec un mauvais timing et je suppose qu’elle a du cacher sa nudité avec le premier truc qu’elle avait sous la main. Sa tenue ne dévoile pas grand-chose de ses formes ce qui m’évite de rougir en la voyant ainsi.
- Claire t’a dit ? J’hésite entre deux maillots de bains et comme tu avais gentiment proposé ton aide hier soir…
- Et puis c’est toujours mieux d’avoir l’avis d’un mec quand on parle de maillot, dis-je en plaisantant.
- C’est l’idée, répond-elle sur un ton décontracté. Tu m’attends ici une seconde, le temps que je me change ?
Je hoche la tête et je la vois s’engouffrer dans la salle de bain. Une minute après, elle ressort les cheveux attachés et vêtue d’un maillot deux pièces vert.
- Voilà le premier, annonce-t-elle en faisant un petit tour sur elle-même alors que je la dévore des yeux.
Elle retourne dans la salle de bain, ferme la porte et ressort avec un nouveau maillot deux pièces. Celui là est bleu avec des poids blancs. Je le préfère largement au précédant : il dévoile plus de sa jolie poitrine, les bretelles sont plus fines et la couleur lui va mieux au teint. Je m’attarde sur le haut, il maintient ses seins fermement en place en leur donnant une jolie forme arrondie. Le bas du maillot épouse bien le galbe de ses fesses et les met en valeur.
-Alors tu préfères lequel ?
- Celui là, sans hésitation.
- C’est vrai que c’est celui qui t’a fait le plus d’effet ! »
Je regarde mon short. Le tissu est gonflé par un début d’érection. Merde…
« - Encore entrain de rougir ! s’amuse Marianne. Tu ferais mieux de rejoindre Claire en bas pendant que je finis de me préparer… à tout de suite. »
Elle m’avait murmuré cette dernière phrase à l’oreille en effleurant la bosse sur mon short du bout des doigts avant de s’engouffrer dans la salle de bain en fermant la porte.
J’attends quelques instants que mon excitation retombe avant de descendre retrouver Claire à la table du petit-déjeuner.
Une heure après cette scène, nous voilà entrain de parcourir le chemin qui mène à la plage, les filles en tête et moi à l’arrière du cortège, entrain de porter les sacs.
Nous marchons jusqu’au bout de la plage pour trouver un endroit calme et relativement isolé. Puis nous posons les serviettes et nous enlevons nos vêtements sous lesquels se cachent nos maillots de bain. Je constate avec plaisir que Marianne a choisi le maillot que je lui avais conseillé, il lui va parfaitement bien et les couleurs sont magnifiques, surtout avec le reflet du soleil sur sa peau. Claire quant à elle porte un maillot deux pièces qui met sa poitrine joliment en valeur. Du coin de l’œil, je peux apercevoir son grain de beauté entre les seins…
« - Crème solaire ! annonce ma cousine.
Elle s’approche de moi et commence à m’en étaler sur le torse.
- Qu’est ce que tu es musclé cousin ! Viens voir Marianne !
Marianne, sans aucune gène, fait de même et commence à me caresser les abdos. Ca a l’air de beaucoup les amuser. Quant à moi, Je regarde ses deux jolies filles presque collées à moi entrain de me tripoter le torse. Elles sont côte à côte, leurs maillots gonflés par leurs belles poitrines me touchent presque. Comme je suis plus grand qu’elles, j’ai une vue plongeante sur leurs décolletés et une étincelle de désir s’allume en moi. J’ai soudain envie d’arracher leurs maillots et de pouvoir les caresser à mon tour, de voir la poitrine de Claire qui m’est toujours inconnue malgré mes nombreux massages, de toucher celle de la très entreprenante Marianne.
Une main m’effleure le pénis à travers le tissu, c'est justement celle de Marianne. C’est là que je réalise que je bande fort : difficile à cacher en short de bain. Je regarde Marianne, elle me sourit et pose à nouveau sa main sur mon sexe. Claire, toujours occupée à m’enduire de crème, n’a rien vu de ce qui s’est passé… ou bien fait elle semblant de ne pas avoir vu ?
- Cyril, à toi de nous mettre de la crème ! déclare ma cousine. »
Si je dois leur étaler de la crème, je crois que mon short va exploser et Claire verra forcément l’effet qu’elle me fait. Je sens toujours la main de Marianne, posée sur mon maillot, qui a commencé une espèce de massage. C’est à la fois terriblement agréable et terriblement gênant.
« - Le dernier à l’eau porte les sacs au retour ! m’écrié-je en courant jusqu’à la mer.
J’avance jusqu’à ce que l’eau me couvre le maillot et le froid fait redescendre mon érection. Les deux filles m’ont regardé courir en riant et finissent par me rejoindre dans l’eau, sans même avoir pris le temps d'enduire leur corps de crème solaire. Nous jouons dans l’eau pendant des heures. A plusieurs reprises, je sens la main de Marianne caresser mon maillot et je lui fais un sourire. Elle a du comprendre que ça me plait beaucoup parce que dès qu’elle a l’occasion de m’effleurer le sexe sans que Claire s’en aperçoive elle le fait.
En nageant sous l’eau, Marianne s’approche de moi sans que je la voie venir et elle baisse complètement mon maillot, laissant mon sexe flotter dans l’eau. Toujours sans remonter à la surface, je sens qu’elle pose la main sur mon pénis et qu’elle commence un va-et-vient. Elle fait ça pendant quelques secondes puis elle remonte mon maillot. Enfin, elle ressort de l’eau quelques mètres plus loin. Heureusement que l’eau de la mer est opaque, sinon Claire qui était entrain de ma parler à ce moment là n’aurait eu aucun mal à voir ce qui se passait. Je suis impressionné par le talent de Marianne pour l’apnée. Par son audace aussi…
Quand nous sortons de l’eau pour aller manger, il est déjà tard. Après le pique-nique, les filles décident de bronzer un peu et s’allongent sur leurs serviettes respectives en fermant les yeux. L’une est sur le ventre, l’autre est sur le dos et je peux donc admirer à la fois les fesses de Marianne et le décolleté de Claire. Après une heure, alors que Marianne s’est endormie sur le sable, ma cousine se rend compte que je l’observe. Elle vient s’assoir en tailleur à côté de moi.
- Alors, t’as rien de mieux à faire que de regarder les filles bronzer ? me demande-t-elle à l’oreille en riant.
Je lui réponds par un clin d’œil.
- Marianne est jolie tu ne trouves pas ? continue ma cousine.
- Toi aussi tu es jolie.
Elle a l’air satisfaite par cette réponse.
- Bon Cyril, je pense qu’on va bronzer pendant une petite heure encore… Alors savoure la vue pendant le temps qu’il te reste ».
Elle me tire la langue et retourne s’allonger.
C’est à moi que revient la lourde tâche d’annoncer aux filles qu’il est l’heure de rentrer à la maison. Elles sont assoupies sur le sable et s’est à contrecœur que je pose ma main sur leurs épaules respectives pour les réveiller. Elles se lèvent et entreprennent de se rhabiller. Claire enfile directement ses vêtements sur son maillot de bain séché par le soleil. Marianne quant à elle s’approche de moi et me tend sa
serviette :
« - Tu pourrais te servir de la serviette pour me cacher pendant que je me déshabille s’il-te-plaît ?
- Tu ne veux pas garder ton maillot ? demandé-je.
- Nan, il est plein de sable, ça gratte.
Alors que Claire est toujours entrain de se rhabiller, je tends la serviette entre mes bras et je m’en sers comme d’un écran entre le corps de Marianne et le regard des badauds installés un peu plus loin sur la plage. Je devine au bruit qu’elle fait que Marianne a commencé à se déshabiller mais je regarde résolument ailleurs. Ma cousine a revêtu sa tenue de ville et me voit entrain de tenir la serviette derrière laquelle sa meilleure amie se change. Elle sourit en voyant que je regarde mes pieds. Ou bien sourit-elle en voyant ma légère érection ? Je ne vous cacherai pas qu’être à seulement quelques centimètres du corps chaud et nu de Marianne m’excite au plus haut point. Je n’ai qu’à tourner la tête… mais je résiste.
Nous rentrons à la maison et le temps d’arriver, il est 18h00. Ça fait bizarre que les adultes ne soient pas là. Nous allons pouvoir passer la soirée entre nous, tranquilles. Et ce n’est pas pour me déplaire… Nous discutons un moment dans la chambre de Claire puis nous décidons de prendre une douche afin de nous débarrasser du sable et du sel. Gentiment, je propose aux filles de prendre leur douche en premier puis je m’en vais d’en ma chambre. Quelques minutes après, ma cousine vient toquer à ma porte.
« - Marianne prend sa douche dans ma chambre, commence-t-elle
- Tu n’as qu’à utiliser la salle de bain du couloir !
- Oui mais… j’aimerais te proposer quelque chose.
- Ah, et quoi donc ?
- Tu vas peut-être trouver ça un peu fou…
Claire a piqué ma curiosité. Je ne l’avais encore jamais vue aussi mal-à-l’aise et je lui fais un sourire pour l’encourager à continuer.
- J’aimerais qu’on prenne notre douche ensemble ! finit-elle par lâcher.
- Maintenant ? Mais… tu es sûre que c’est ce que tu veux ?
- Tu n’as pas envie toi ? demande-t-elle.
Si elle regardait la bosse sur mon short, elle aurait la réponse à sa question.
- Bien sûr que j’en ai envie ! Mais Marianne est juste à côté, elle pourrait nous surprendre…
- Justement, répond Claire avec un sourire gourmand, ça m’excite encore plus ! »
Ma cousine n’a pas tord, c’est vrai que l’idée de pouvoir être découverts par Marianne est très stimulante ! Je me rappelle que quand je lui faisais des massages le soir, j’avais peur que nos parents nous surprennent et dès que j’entendais un grincement dans l’escalier, l’adrénaline augmentait mon plaisir. Ça avait été particulièrement vrai la fois où j’avais frotté mon sexe contre les fesses de Claire pour les lui masser.
Sans un mot, je me lève et je suis Claire dans la salle de bain du couloir. Nous entrons et elle verrouille la porte derrière nous. Nous sommes face à face dans la petite pièce. Elle commence à se déshabiller…
Claire enlève ses chaussettes puis son short, puis son haut. La voilà en sous-vêtements. Je l’ai déjà vu comme ça lors de nos massages mais j’avoue que je ne m’en lasse pas. Elle descend sa petite culotte en rougissant un peu. Elle garde les jambes serrées mais entre ses cuisses je devine la forme de ses grandes lèvres. Elle a le maillot parfaitement épilé à l’exception d’un ticket de métro blond. Elle passe doucement une main derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge, libérant ainsi sa belle poitrine. Ses seins sont volumineux mais fermes, ils tiennent tous seuls et pointent légèrement vers le haut. Je peux voir son grain de beauté entre les deux, celui que j’aimais regarder discrètement en posant un regard plongeant dans son décolleté. Ses tétons son assez petits en proportion et d’un rose assez pâle.
Pour la première fois, le corps de ma cousine se dévoile totalement à moi. Son teint est clair malgré un bronzage subtil et si l’on ajoute à cela ses cheveux blonds, elle a vraiment l’air lumineuse… voire angélique. Elle est vraiment bien proportionnée, sa poitrine ne parait même pas trop grosse, juste enivrante.
Je me suis déshabillé en même temps qu’elle et nous voilà tous les deux, face à face, nus comme des vers. Je vous laisse imaginer l’état dans lequel se trouve mon pénis qui, débarrassé de sa prison de tissu, a tout le loisir de prendre du volume. Mais mon érection n’a pas l’air de déranger Claire, je crois même qu’elle est satisfaite de l’effet qu’elle me fait. Elle monte dans la baignoire et au moment ou elle lève la jambe, j’ai une jolie vue sur sa petite chatte. Elle fait couler l’eau de la douche et oriente le jet de manière à ce qu’il arrose le sol sans trop éclabousser. Elle me fait un sourire et m’invite à la rejoindre.
Elle s’est arrangée pour que le jet d’eau fasse un bruit de fond mais ne nous arrose pas. De cette façon, si Marianne venait à nous écouter, elle croira que Claire est entrain de prendre sa douche et nous pourrons continuer à faire ce que nous avons à faire discrètement et au sec.
Ma cousine se hisse sur la pointe des pieds et dépose un baiser sur mes lèvres. Ses lèvres sont douces, le contact est délicieux. Je n’y tiens plus, alors je pose mes mains sur ses hanches et je l’attire vers moi. Nos corps se collent. Je la sens frissonner. Je frissonne aussi. Mon sexe dressé est coincé entre mon ventre et le sien. Ses seins sont écrasés contre mon torse. Je n’ai jamais rien ressenti de tel que le contact de sa poitrine moelleuse contre moi. Je peux sentir l’endroit ou se trouvent ses tétons grâce à la sensation différente que procure leur contact avec ma peau.
Nos lèvres se soudent pour un baiser rapide. Puis nos regards se croisent et je vois dans les yeux bleus de ma cousine la même étincelle d’envie qui illumine mes yeux. A nouveau nos lèvres se rejoignent et je l’embrasse maladroitement d’abord puis plus langoureusement. Nous ne rompons le contact que pour respirer avant de revenir à se baiser délicieux...Je ressens le besoin presque sauvage de découvrir le corps de Claire. En continuant à l’embrasser, je passe mes mains derrière son dos que je caresse de haut en bas. Les mouvements des mes mains sont rapides et je colle bien mes paumes contre sa peau pour en ressentir tous les détails en toute la douceur. Elle aussi a placé ses mains derrière mon dos et s’en sert pour nous maintenir l’un contre l’autre. Elle s’agrippe à moi comme pour ne pas tomber. Je descends mes mains jusqu’à ces fesses que je malaxe entre mes doigts. Elles ne sont pas très rebondies mais elles ont un joli galbe et surtout, elles sont très fermes. Je continue à les pétrir de plus en plus fort puis je m’arrête de peur de lui faire mal. Je laisse mes mains se balader aléatoirement sur toutes les parties du corps de Claire qui leur sont accessibles tandis que je me concentre sur le baiser.
Depuis que je suis rentré dans cette salle de bain, je sens l’excitation monter en moi. Je ressens comme une espèce de chaleur dans le bas ventre. Mon pénis, toujours plaqué entre mon ventre et celui de Claire, est dur et gonflé. Je ne réfléchis plus. Instinctivement, je pose mes mains sur le bas des fesses de ma cousine et je commence à donner des petits coups de reins pour que mon sexe frotte contre le ventre de Claire. Immédiatement, une onde de plaisir me traverse.
Claire met un terme à notre étreinte et à notre baiser. Elle recule d’un bas et regarde mon pénis fièrement dressé. Puis elle me fait un sourire et me dit à l’oreille :
« -Tu ne peux vraiment plus te retenir, pas vrai ? »
Et sans attendre ma réponse, elle pose la main sur mon pénis et commence un va-et-vient. La sensation est indescriptible. Je n’aurais jamais imaginé à quel point ça pouvait être agréable quand c’est une fille qui le fait. Mon gland apparait et disparait derrière mon prépuce au rythme des mouvements de ma cousine. Je ferme les yeux pour me concentrer uniquement sur le plaisir qu’elle me donne. Au même moment, je la sens augmenter le rythme.
Quand je rouvre les yeux, la vision de ma cousine penchée vers moi entrain de ma branler m’excite encore plus et le plaisir augmente. Les seins de Claire se balancent dans le vide pendant que ses mains continuent leur jeu avec mon sexe. Je la regarde, elle est tellement belle. Je regarde sa peau, j’aperçois ses tâches de rousseur, ses grains de beauté : l’idée que je connaisse le corps de ma cousine dans les moindres détails m’excite plus que tout ! Je suis proche de l’éjaculation et je pousse un petit gémissement pour avertir ma cousine. Au lieu d’accélérer le rythme, elle ralentit. Elle a décidé de me torturer.
Je sens que je suis tout prêt de l’orgasme mais le va-et-vient de ma cousine est devenu tellement lent que je sais qu’à ce rythme je n’y parviendrai pas. Claire me maintient dans un état de plaisir intense mais me torture en m’empêchant d’atteindre la jouissance ultime. J’ai presque envie d’attraper mon pénis et de finir la masturbation moi-même. Mais je résiste… c’est elle qui mène la dance… depuis le premier jour. C’est elle qui a permis que nous ayons des contacts physiques de plus en plus sensuels. Ma cousine a de l’expérience et elle sait ce qu’elle fait.
Les seins de Claire sont a portée de main. Je devine la marque de bronzage de son maillot de bain. Sa poitrine que je rêve de voir depuis le début des vacances, voilà qu’aujourd’hui je pourrais la toucher : je n’ai qu’à tendre la main. Mes doigts rentrent en contact avec son sein gauche. Je la regarde comme pour lui demander la permission et elle me fait un clin d’œil d’encouragement. Comme Claire est penchée vers l’avant, ses seins pointent vers le bas. Je me sers de ma main comme d’un plateau que je mets en dessous du sein gauche. Je le soupèse puis je commence à le malaxer un peu comme j’avais fait avec ses fesses mais plus doucement. La peau est particulièrement douce et mes doigts s’enfonce tant le sein est moelleux. On dirait du beurre.
Ma cousine semble satisfaite que je prenne une initiative et, comme si elle n’attendait que ça pour continuer, elle reprend ses va-et-vient à un rythme plus soutenu. J’ai toujours son sein dans ma main et plus j’approche de l’éjaculation plus je le sers fort. Mon sexe est maintenant bien lubrifié et à chaque aller-retour, Claire décalotte complètement mon gland. Ses mouvements sont de plus en plus amples et terriblement agréables. Elle a compris que je suis au bord de la jouissance alors elle accélère.
« - Mmmmmh !
Avec un petit gémissement, je me vide en grosses saccades qui finissent au fond de la baignoire et sur les jambes de Claire. A chaque nouveau jet de sperme, une onde de chaleur se repend depuis mon pénis jusque dans tout mon corps. La dernière fois qu’une masturbation m’avait donné autant de plaisir, c’était quand j’avais écouté ma sœur faire l’amour à son copain. Et encore, là c’était mieux. Je me rends compte qu’au moment de jouir, j’ai serré le sein de Claire très fort et que j'y suis encore agrippé. Je retire ma main. Le sein est rougi à l’endroit ou j’ai serré mais je ne crois pas que Claire ait eu mal… peut-être même est-ce le contraire. Nous nous redressons et je plante mon regard dans le sien.
- Merci… murmuré-je. »
« - Tu en as mis partout ! dit-elle à voix basse sur un ton faussement contrarié. Tu vas devoir me laver maintenant.
C’est vrai que comme je faisais attention à la marque sur le sein de Claire, je n’avais pas réalisé que j’avais éjaculé sur ses jambes. Ou plutôt qu’elle avait dirigé mon sexe vers ses jambes au moment de l’éjaculation. L’avant de ses cuisses et ses genoux sont couverts par des trainés blanchâtres et visqueuses. Je prends le pommeau de la douche et je commence par rincer mon gland. Je constate au passage que mon pénis a bien ramolli. Puis je dirige le jet d’eau vers les jambes de Claire que je rince abondamment. Quand elles sont bien propres, je m’amuse à envoyer de l’eau vers sa petite chatte dont je peux apercevoir les grandes lèvres quand elle écarte un peu les cuisses.
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« - Marianne a besoin de ton aide là haut ! m’annonce-t-elle.
Je suis content de voir que Marianne a accepté ma proposition mais je feins la surprise.
- Pour faire quoi ?
- Elle veut que tu l’aides à choisir son maillot de bain pour notre sortie à la plage.
- Ah… et tu ne peux pas t’en charger toi ?
- Elle dit qu’elle veut l’avis d’un mec.
Je monte donc à l’étage, assez satisfait de ma performance de comédien. Je toque à la porte de la chambre et la voix de Marianne me répond :
- Cyril ? Attends une seconde, je suis toute nue… Attends... Voilà, c’est bon tu peux entrer.
J’entre donc et je la trouve enroulée dans une serviette, les cheveux détachés. Je suis arrivé avec un mauvais timing et je suppose qu’elle a du cacher sa nudité avec le premier truc qu’elle avait sous la main. Sa tenue ne dévoile pas grand-chose de ses formes ce qui m’évite de rougir en la voyant ainsi.
- Claire t’a dit ? J’hésite entre deux maillots de bains et comme tu avais gentiment proposé ton aide hier soir…
- Et puis c’est toujours mieux d’avoir l’avis d’un mec quand on parle de maillot, dis-je en plaisantant.
- C’est l’idée, répond-elle sur un ton décontracté. Tu m’attends ici une seconde, le temps que je me change ?
Je hoche la tête et je la vois s’engouffrer dans la salle de bain. Une minute après, elle ressort les cheveux attachés et vêtue d’un maillot deux pièces vert.
- Voilà le premier, annonce-t-elle en faisant un petit tour sur elle-même alors que je la dévore des yeux.
Elle retourne dans la salle de bain, ferme la porte et ressort avec un nouveau maillot deux pièces. Celui là est bleu avec des poids blancs. Je le préfère largement au précédant : il dévoile plus de sa jolie poitrine, les bretelles sont plus fines et la couleur lui va mieux au teint. Je m’attarde sur le haut, il maintient ses seins fermement en place en leur donnant une jolie forme arrondie. Le bas du maillot épouse bien le galbe de ses fesses et les met en valeur.
-Alors tu préfères lequel ?
- Celui là, sans hésitation.
- C’est vrai que c’est celui qui t’a fait le plus d’effet ! »
Je regarde mon short. Le tissu est gonflé par un début d’érection. Merde…
« - Encore entrain de rougir ! s’amuse Marianne. Tu ferais mieux de rejoindre Claire en bas pendant que je finis de me préparer… à tout de suite. »
Elle m’avait murmuré cette dernière phrase à l’oreille en effleurant la bosse sur mon short du bout des doigts avant de s’engouffrer dans la salle de bain en fermant la porte.
J’attends quelques instants que mon excitation retombe avant de descendre retrouver Claire à la table du petit-déjeuner.
Une heure après cette scène, nous voilà entrain de parcourir le chemin qui mène à la plage, les filles en tête et moi à l’arrière du cortège, entrain de porter les sacs.
Nous marchons jusqu’au bout de la plage pour trouver un endroit calme et relativement isolé. Puis nous posons les serviettes et nous enlevons nos vêtements sous lesquels se cachent nos maillots de bain. Je constate avec plaisir que Marianne a choisi le maillot que je lui avais conseillé, il lui va parfaitement bien et les couleurs sont magnifiques, surtout avec le reflet du soleil sur sa peau. Claire quant à elle porte un maillot deux pièces qui met sa poitrine joliment en valeur. Du coin de l’œil, je peux apercevoir son grain de beauté entre les seins…
« - Crème solaire ! annonce ma cousine.
Elle s’approche de moi et commence à m’en étaler sur le torse.
- Qu’est ce que tu es musclé cousin ! Viens voir Marianne !
Marianne, sans aucune gène, fait de même et commence à me caresser les abdos. Ca a l’air de beaucoup les amuser. Quant à moi, Je regarde ses deux jolies filles presque collées à moi entrain de me tripoter le torse. Elles sont côte à côte, leurs maillots gonflés par leurs belles poitrines me touchent presque. Comme je suis plus grand qu’elles, j’ai une vue plongeante sur leurs décolletés et une étincelle de désir s’allume en moi. J’ai soudain envie d’arracher leurs maillots et de pouvoir les caresser à mon tour, de voir la poitrine de Claire qui m’est toujours inconnue malgré mes nombreux massages, de toucher celle de la très entreprenante Marianne.
Une main m’effleure le pénis à travers le tissu, c'est justement celle de Marianne. C’est là que je réalise que je bande fort : difficile à cacher en short de bain. Je regarde Marianne, elle me sourit et pose à nouveau sa main sur mon sexe. Claire, toujours occupée à m’enduire de crème, n’a rien vu de ce qui s’est passé… ou bien fait elle semblant de ne pas avoir vu ?
- Cyril, à toi de nous mettre de la crème ! déclare ma cousine. »
Si je dois leur étaler de la crème, je crois que mon short va exploser et Claire verra forcément l’effet qu’elle me fait. Je sens toujours la main de Marianne, posée sur mon maillot, qui a commencé une espèce de massage. C’est à la fois terriblement agréable et terriblement gênant.
« - Le dernier à l’eau porte les sacs au retour ! m’écrié-je en courant jusqu’à la mer.
J’avance jusqu’à ce que l’eau me couvre le maillot et le froid fait redescendre mon érection. Les deux filles m’ont regardé courir en riant et finissent par me rejoindre dans l’eau, sans même avoir pris le temps d'enduire leur corps de crème solaire. Nous jouons dans l’eau pendant des heures. A plusieurs reprises, je sens la main de Marianne caresser mon maillot et je lui fais un sourire. Elle a du comprendre que ça me plait beaucoup parce que dès qu’elle a l’occasion de m’effleurer le sexe sans que Claire s’en aperçoive elle le fait.
En nageant sous l’eau, Marianne s’approche de moi sans que je la voie venir et elle baisse complètement mon maillot, laissant mon sexe flotter dans l’eau. Toujours sans remonter à la surface, je sens qu’elle pose la main sur mon pénis et qu’elle commence un va-et-vient. Elle fait ça pendant quelques secondes puis elle remonte mon maillot. Enfin, elle ressort de l’eau quelques mètres plus loin. Heureusement que l’eau de la mer est opaque, sinon Claire qui était entrain de ma parler à ce moment là n’aurait eu aucun mal à voir ce qui se passait. Je suis impressionné par le talent de Marianne pour l’apnée. Par son audace aussi…
Quand nous sortons de l’eau pour aller manger, il est déjà tard. Après le pique-nique, les filles décident de bronzer un peu et s’allongent sur leurs serviettes respectives en fermant les yeux. L’une est sur le ventre, l’autre est sur le dos et je peux donc admirer à la fois les fesses de Marianne et le décolleté de Claire. Après une heure, alors que Marianne s’est endormie sur le sable, ma cousine se rend compte que je l’observe. Elle vient s’assoir en tailleur à côté de moi.
- Alors, t’as rien de mieux à faire que de regarder les filles bronzer ? me demande-t-elle à l’oreille en riant.
Je lui réponds par un clin d’œil.
- Marianne est jolie tu ne trouves pas ? continue ma cousine.
- Toi aussi tu es jolie.
Elle a l’air satisfaite par cette réponse.
- Bon Cyril, je pense qu’on va bronzer pendant une petite heure encore… Alors savoure la vue pendant le temps qu’il te reste ».
Elle me tire la langue et retourne s’allonger.
C’est à moi que revient la lourde tâche d’annoncer aux filles qu’il est l’heure de rentrer à la maison. Elles sont assoupies sur le sable et s’est à contrecœur que je pose ma main sur leurs épaules respectives pour les réveiller. Elles se lèvent et entreprennent de se rhabiller. Claire enfile directement ses vêtements sur son maillot de bain séché par le soleil. Marianne quant à elle s’approche de moi et me tend sa
serviette :
« - Tu pourrais te servir de la serviette pour me cacher pendant que je me déshabille s’il-te-plaît ?
- Tu ne veux pas garder ton maillot ? demandé-je.
- Nan, il est plein de sable, ça gratte.
Alors que Claire est toujours entrain de se rhabiller, je tends la serviette entre mes bras et je m’en sers comme d’un écran entre le corps de Marianne et le regard des badauds installés un peu plus loin sur la plage. Je devine au bruit qu’elle fait que Marianne a commencé à se déshabiller mais je regarde résolument ailleurs. Ma cousine a revêtu sa tenue de ville et me voit entrain de tenir la serviette derrière laquelle sa meilleure amie se change. Elle sourit en voyant que je regarde mes pieds. Ou bien sourit-elle en voyant ma légère érection ? Je ne vous cacherai pas qu’être à seulement quelques centimètres du corps chaud et nu de Marianne m’excite au plus haut point. Je n’ai qu’à tourner la tête… mais je résiste.
Nous rentrons à la maison et le temps d’arriver, il est 18h00. Ça fait bizarre que les adultes ne soient pas là. Nous allons pouvoir passer la soirée entre nous, tranquilles. Et ce n’est pas pour me déplaire… Nous discutons un moment dans la chambre de Claire puis nous décidons de prendre une douche afin de nous débarrasser du sable et du sel. Gentiment, je propose aux filles de prendre leur douche en premier puis je m’en vais d’en ma chambre. Quelques minutes après, ma cousine vient toquer à ma porte.
« - Marianne prend sa douche dans ma chambre, commence-t-elle
- Tu n’as qu’à utiliser la salle de bain du couloir !
- Oui mais… j’aimerais te proposer quelque chose.
- Ah, et quoi donc ?
- Tu vas peut-être trouver ça un peu fou…
Claire a piqué ma curiosité. Je ne l’avais encore jamais vue aussi mal-à-l’aise et je lui fais un sourire pour l’encourager à continuer.
- J’aimerais qu’on prenne notre douche ensemble ! finit-elle par lâcher.
- Maintenant ? Mais… tu es sûre que c’est ce que tu veux ?
- Tu n’as pas envie toi ? demande-t-elle.
Si elle regardait la bosse sur mon short, elle aurait la réponse à sa question.
- Bien sûr que j’en ai envie ! Mais Marianne est juste à côté, elle pourrait nous surprendre…
- Justement, répond Claire avec un sourire gourmand, ça m’excite encore plus ! »
Ma cousine n’a pas tord, c’est vrai que l’idée de pouvoir être découverts par Marianne est très stimulante ! Je me rappelle que quand je lui faisais des massages le soir, j’avais peur que nos parents nous surprennent et dès que j’entendais un grincement dans l’escalier, l’adrénaline augmentait mon plaisir. Ça avait été particulièrement vrai la fois où j’avais frotté mon sexe contre les fesses de Claire pour les lui masser.
Sans un mot, je me lève et je suis Claire dans la salle de bain du couloir. Nous entrons et elle verrouille la porte derrière nous. Nous sommes face à face dans la petite pièce. Elle commence à se déshabiller…
Claire enlève ses chaussettes puis son short, puis son haut. La voilà en sous-vêtements. Je l’ai déjà vu comme ça lors de nos massages mais j’avoue que je ne m’en lasse pas. Elle descend sa petite culotte en rougissant un peu. Elle garde les jambes serrées mais entre ses cuisses je devine la forme de ses grandes lèvres. Elle a le maillot parfaitement épilé à l’exception d’un ticket de métro blond. Elle passe doucement une main derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge, libérant ainsi sa belle poitrine. Ses seins sont volumineux mais fermes, ils tiennent tous seuls et pointent légèrement vers le haut. Je peux voir son grain de beauté entre les deux, celui que j’aimais regarder discrètement en posant un regard plongeant dans son décolleté. Ses tétons son assez petits en proportion et d’un rose assez pâle.
Pour la première fois, le corps de ma cousine se dévoile totalement à moi. Son teint est clair malgré un bronzage subtil et si l’on ajoute à cela ses cheveux blonds, elle a vraiment l’air lumineuse… voire angélique. Elle est vraiment bien proportionnée, sa poitrine ne parait même pas trop grosse, juste enivrante.
Je me suis déshabillé en même temps qu’elle et nous voilà tous les deux, face à face, nus comme des vers. Je vous laisse imaginer l’état dans lequel se trouve mon pénis qui, débarrassé de sa prison de tissu, a tout le loisir de prendre du volume. Mais mon érection n’a pas l’air de déranger Claire, je crois même qu’elle est satisfaite de l’effet qu’elle me fait. Elle monte dans la baignoire et au moment ou elle lève la jambe, j’ai une jolie vue sur sa petite chatte. Elle fait couler l’eau de la douche et oriente le jet de manière à ce qu’il arrose le sol sans trop éclabousser. Elle me fait un sourire et m’invite à la rejoindre.
Elle s’est arrangée pour que le jet d’eau fasse un bruit de fond mais ne nous arrose pas. De cette façon, si Marianne venait à nous écouter, elle croira que Claire est entrain de prendre sa douche et nous pourrons continuer à faire ce que nous avons à faire discrètement et au sec.
Ma cousine se hisse sur la pointe des pieds et dépose un baiser sur mes lèvres. Ses lèvres sont douces, le contact est délicieux. Je n’y tiens plus, alors je pose mes mains sur ses hanches et je l’attire vers moi. Nos corps se collent. Je la sens frissonner. Je frissonne aussi. Mon sexe dressé est coincé entre mon ventre et le sien. Ses seins sont écrasés contre mon torse. Je n’ai jamais rien ressenti de tel que le contact de sa poitrine moelleuse contre moi. Je peux sentir l’endroit ou se trouvent ses tétons grâce à la sensation différente que procure leur contact avec ma peau.
Nos lèvres se soudent pour un baiser rapide. Puis nos regards se croisent et je vois dans les yeux bleus de ma cousine la même étincelle d’envie qui illumine mes yeux. A nouveau nos lèvres se rejoignent et je l’embrasse maladroitement d’abord puis plus langoureusement. Nous ne rompons le contact que pour respirer avant de revenir à se baiser délicieux...Je ressens le besoin presque sauvage de découvrir le corps de Claire. En continuant à l’embrasser, je passe mes mains derrière son dos que je caresse de haut en bas. Les mouvements des mes mains sont rapides et je colle bien mes paumes contre sa peau pour en ressentir tous les détails en toute la douceur. Elle aussi a placé ses mains derrière mon dos et s’en sert pour nous maintenir l’un contre l’autre. Elle s’agrippe à moi comme pour ne pas tomber. Je descends mes mains jusqu’à ces fesses que je malaxe entre mes doigts. Elles ne sont pas très rebondies mais elles ont un joli galbe et surtout, elles sont très fermes. Je continue à les pétrir de plus en plus fort puis je m’arrête de peur de lui faire mal. Je laisse mes mains se balader aléatoirement sur toutes les parties du corps de Claire qui leur sont accessibles tandis que je me concentre sur le baiser.
Depuis que je suis rentré dans cette salle de bain, je sens l’excitation monter en moi. Je ressens comme une espèce de chaleur dans le bas ventre. Mon pénis, toujours plaqué entre mon ventre et celui de Claire, est dur et gonflé. Je ne réfléchis plus. Instinctivement, je pose mes mains sur le bas des fesses de ma cousine et je commence à donner des petits coups de reins pour que mon sexe frotte contre le ventre de Claire. Immédiatement, une onde de plaisir me traverse.
Claire met un terme à notre étreinte et à notre baiser. Elle recule d’un bas et regarde mon pénis fièrement dressé. Puis elle me fait un sourire et me dit à l’oreille :
« -Tu ne peux vraiment plus te retenir, pas vrai ? »
Et sans attendre ma réponse, elle pose la main sur mon pénis et commence un va-et-vient. La sensation est indescriptible. Je n’aurais jamais imaginé à quel point ça pouvait être agréable quand c’est une fille qui le fait. Mon gland apparait et disparait derrière mon prépuce au rythme des mouvements de ma cousine. Je ferme les yeux pour me concentrer uniquement sur le plaisir qu’elle me donne. Au même moment, je la sens augmenter le rythme.
Quand je rouvre les yeux, la vision de ma cousine penchée vers moi entrain de ma branler m’excite encore plus et le plaisir augmente. Les seins de Claire se balancent dans le vide pendant que ses mains continuent leur jeu avec mon sexe. Je la regarde, elle est tellement belle. Je regarde sa peau, j’aperçois ses tâches de rousseur, ses grains de beauté : l’idée que je connaisse le corps de ma cousine dans les moindres détails m’excite plus que tout ! Je suis proche de l’éjaculation et je pousse un petit gémissement pour avertir ma cousine. Au lieu d’accélérer le rythme, elle ralentit. Elle a décidé de me torturer.
Je sens que je suis tout prêt de l’orgasme mais le va-et-vient de ma cousine est devenu tellement lent que je sais qu’à ce rythme je n’y parviendrai pas. Claire me maintient dans un état de plaisir intense mais me torture en m’empêchant d’atteindre la jouissance ultime. J’ai presque envie d’attraper mon pénis et de finir la masturbation moi-même. Mais je résiste… c’est elle qui mène la dance… depuis le premier jour. C’est elle qui a permis que nous ayons des contacts physiques de plus en plus sensuels. Ma cousine a de l’expérience et elle sait ce qu’elle fait.
Les seins de Claire sont a portée de main. Je devine la marque de bronzage de son maillot de bain. Sa poitrine que je rêve de voir depuis le début des vacances, voilà qu’aujourd’hui je pourrais la toucher : je n’ai qu’à tendre la main. Mes doigts rentrent en contact avec son sein gauche. Je la regarde comme pour lui demander la permission et elle me fait un clin d’œil d’encouragement. Comme Claire est penchée vers l’avant, ses seins pointent vers le bas. Je me sers de ma main comme d’un plateau que je mets en dessous du sein gauche. Je le soupèse puis je commence à le malaxer un peu comme j’avais fait avec ses fesses mais plus doucement. La peau est particulièrement douce et mes doigts s’enfonce tant le sein est moelleux. On dirait du beurre.
Ma cousine semble satisfaite que je prenne une initiative et, comme si elle n’attendait que ça pour continuer, elle reprend ses va-et-vient à un rythme plus soutenu. J’ai toujours son sein dans ma main et plus j’approche de l’éjaculation plus je le sers fort. Mon sexe est maintenant bien lubrifié et à chaque aller-retour, Claire décalotte complètement mon gland. Ses mouvements sont de plus en plus amples et terriblement agréables. Elle a compris que je suis au bord de la jouissance alors elle accélère.
« - Mmmmmh !
Avec un petit gémissement, je me vide en grosses saccades qui finissent au fond de la baignoire et sur les jambes de Claire. A chaque nouveau jet de sperme, une onde de chaleur se repend depuis mon pénis jusque dans tout mon corps. La dernière fois qu’une masturbation m’avait donné autant de plaisir, c’était quand j’avais écouté ma sœur faire l’amour à son copain. Et encore, là c’était mieux. Je me rends compte qu’au moment de jouir, j’ai serré le sein de Claire très fort et que j'y suis encore agrippé. Je retire ma main. Le sein est rougi à l’endroit ou j’ai serré mais je ne crois pas que Claire ait eu mal… peut-être même est-ce le contraire. Nous nous redressons et je plante mon regard dans le sien.
- Merci… murmuré-je. »
« - Tu en as mis partout ! dit-elle à voix basse sur un ton faussement contrarié. Tu vas devoir me laver maintenant.
C’est vrai que comme je faisais attention à la marque sur le sein de Claire, je n’avais pas réalisé que j’avais éjaculé sur ses jambes. Ou plutôt qu’elle avait dirigé mon sexe vers ses jambes au moment de l’éjaculation. L’avant de ses cuisses et ses genoux sont couverts par des trainés blanchâtres et visqueuses. Je prends le pommeau de la douche et je commence par rincer mon gland. Je constate au passage que mon pénis a bien ramolli. Puis je dirige le jet d’eau vers les jambes de Claire que je rince abondamment. Quand elles sont bien propres, je m’amuse à envoyer de l’eau vers sa petite chatte dont je peux apercevoir les grandes lèvres quand elle écarte un peu les cuisses.
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