22-10-2020, 07:29 PM
Alors il attrapa les hanches de sa sœur, plaqua sa bouche sur ses lèvres trempées et libéra sa langue en elle. Il eut raison de la tenir. Les hanches de Pauline s'étaient cambrées sous les mouvements de sa langue. Elle gémissait à chaque mouvement de sa langue entre ses cuisses. Elle criait même quand sa langue passait sur son clitoris gonflé ou s'enfonçait en elle. Il la dévorait, cherchant à la stimuler au maximum. Il allait et venait en elle, mordillait, suçait son clitoris, lui arrachant des cris de plaisir nouveaux. Elle écartait toujours plus les cuisses pour le laisser entrer en elle. Elle serrait sa tête entre ses cuisses tout en le suppliant de continuer.
Au bout de quelques minutes de cunnilingus intense, Pauline se crispa entre les mains du jeune garçon, le souffle coupé. Elle venait d'avoir un petit orgasme. Mais Tom n'avait aucune intention de la laisser s'en tirer ainsi après le traitement qu'elle lui avait fait subir. Il releva sa bouche, lécha deux de ses doigts et les porta à l'entrer des lèvres trempées. Pauline les sentit malgré la langueur qui suit l'orgasme puisqu'elle ronronna en ondulant les hanches au passage des doigts en elle. Puis, Tom les enfonça brusquement au fond d'elle. Mouillée comme elle était, ils n'eurent aucun mal à glisser dans son ventre. La sensation intense et soudaine lui arracha un cri de plaisir et la fit cambrer les hanches de nouveau.
- "Tu ne crois pas que je vais te laisser te reposer, coquine" lança Tom sur un ton de défi.
- "Prends-moi maintenant, Tom ! J'en peux plus !" lâcha Pauline, haletante. "Je veux te sentir en moi."
- "Mais je ne vais pas te prendre maintenant. Je vais d'abord te rendre folle, te faire perdre tout contrôle puisque tu peux te lâcher ici. Et crois-moi, tu vas me sentir en toi, ma belle."
Sur ce, Tom entama un va-et-vient vigoureux entre ses cuisses. Pauline ne put rien répliquer tant elle était submergée par la masturbation. Tom glissait en elle avec aisance, remuait ses doigts en elle, pressait son clitoris de son pouce. Pauline se débattait presque sous les assauts de sa main. Elle criait de plaisir à chaque fois que ses doigts venaient buter en elle. Il pouvait sentir son vagin se contracter sur ses doigts. A ces contractions, il était sûr qu'elle avait encore eu quelques petits orgasmes. D'ailleurs son corps alternait des moments de calme et d'agitation.
Il avait de nouveau posé sa bouche sur le clitoris gonflé de plaisir et le suçait avec vigueur. Les reins de Pauline se contractaient à chaque mouvement de sa main ou de sa langue. Entre deux cris, elle l'encourageait à aller plus loin, plus vite, à lui faire perdre la tête. Parfois, elle semblait effrayée et lui demandait d'arrêter. Mais le jeune homme continuait de plus belle et il pouvait la sentir jouir dans sa main.
Sa main était trempée. De son autre main, il maintenait les hanches de la jeune fille qui se débattait sous le plaisir et les mouvements de sa masturbation. Alors que son index et son majeur baisait le minou de sa sœur, Tom fit glisser son annulaire entre ses fesses. Quand il posa son doigt sur l'anus, il sentit un spasme dans le ventre de Pauline. Dans un soupir, elle le supplia même de continuer. Elle voulait plus. Alors Tom, après avoir massé le petit orifice en rythme avec les mouvements de ses doigts entre les lèvres trempées, finit par y glisser un doigt. Il était tellement trempé, et Pauline tellement hors de contrôle, qu'il la pénétra dans problème. Il s'enfonça en elle et synchronisa les mouvements de ses doigts pour reprendre la masturbation. Il accéléra même le rythme. La réaction de Pauline fut sans équivoque. La jeune fille releva ses jambes, les genoux en l'air pour laisser toute latitude à son frère. Ses cris se faisaient plus maladroits. Elle perdait pieds. Elle cherchait à se rattraper à quelque chose autour d'elle mais ne put que se saisir de la couverture.
De sa main libre, Tom maintenait les cuisses de Pauline redressées. De son autre main, il la masturbait avec ardeur. L'anus de la jeune fille était complètement détendu et s'offrait à son traitement de choc. Sa bouche continuait à harceler le clitoris gonflé. Et soudain, Pauline poussa un long cri en se contractant de tout son être. Tom continua à la masturber et ce cri se mua en plusieurs autres plus courts mais tout aussi intenses. Le garçon eut même peur qu'on l'entende au dehors. Mais cela n'avait pas d'importance, elle jouissait. Il sentait le vagin de Pauline se tordre sur ses doigts, son anus se resserrer par spasmes. Et elle criait, elle criait de plaisir à chaque fois que ses doigts venaient buter en elle. Elle n'était plus que plaisir charnel, qu'animalité. Il n'y avait plus d'interdit, plus de secret, plus de parents, rien qu'elle et son minou qui lui ouvrait les portes du paradis. Il n'y avait plus que le temps présent et son cerveau qui décrochait complètement. Tom réussit à prolonger cet instant pendant une minute.
Puis il sentit les forces de son bras diminuer. Il ralentit le rythme de sa masturbation, se fit langoureux et permit à Pauline de redescendre en douceur. Il termina par une masturbation lente de son minou avant de se retirer. Il se redressa entre ses cuisses et l'admira. Elle était sublime, les cheveux trempés collés sur son front et ses épaules. Elle avait les yeux fermés et la tête posée sur le côté. Les mains sur son ventre, suivaient sa respiration essoufflée. Son corps était encore agité de spasmes. Elle frissonnait malgré la chaleur. Tom fut curieux de la voir glisser une main entre ses cuisses et venir masser tendrement son clitoris. Elle souriait, les yeux fermés, en reprenant son souffle. Enfin, elle ouvrit les yeux et tourna la tête vers Tom.
- "Merci..." lâcha-t-elle. "C'était..." Elle ne pouvait finir sa phrase. Il n'y avait pas de mot.
- "Je ne sais pas où tu as été mais je suis comblé de t'y avoir emmené" lui sourit-il tendrement. "Tu as encore envie de continuer ?"
- "Tu penses pouvoir refaire ça ?"
- "Peut-être bien...et peut-être même plus..." fit-il en se redressant à genou entre les cuisses de la jeune fille et exhibant son pénis magnifiquement dressé.
- "Oh, je l'avais oublié celui-là....Alors tu veux le glisser dans mon ventre ?"
- "Mais je ne te demande pas ta permission, ma chérie" lança-t-il en se baissant entre les cuisses de la jeune fille. Elle le regarda faire, mi-anxieuse, mi-excitée. Tom posa sa verge sur ses lèvres, le frotta lentement contre elles, allant et venant. Le frein de Tom glissait sur le clitoris de Pauline, envoyant dans chacun d'eux de nouvelles vagues de plaisir.
L'ambiance était électrique dans la cabane en ce chaud après-midi. Les deux ados brûlaient de se donner l'un à l'autre encore une fois, sans avoir à se retenir de crainte d'être surpris. Tom se releva pour récupérer un préservatif et revînt contre Pauline, toute vibrante. L'un contre l'autre, leurs bouches se joignirent encore une fois pour échanger un baiser torride. Leurs ventres se collaient l'un à l'autre, la poitrine de Tom écrasait celle de Pauline. D'un mouvement du bassin, il plaça son gland à l'entrée des lèvres de la jeune fille. Elle ronronna tout en l'embrassant, lui donnant le feu vert. Il se glissa en elle d'une poussée. Les doigts de Pauline lui griffèrent le dos pendant qu'elle renversait sa tête en arrière en laissant échapper un long soupir de plaisir.
Prenant appui sur ses mains, il entama une pénétration langoureuse. Le corps de Pauline était encore très sensible après l'orgasme intense qu'elle avait eu quelques minutes auparavant et ses cris augmentèrent rapidement à chaque coup de rein. Fidèle à la passion de leurs ébats de cet après-midi, Tom accéléra le rythme de ses coups. Pauline se cambrait pour permettre au pénis de son frère de frotter contre la base de son clitoris. Pendant qu'il la prenait, Tom s'était emparé de ses seins. De sa bouche, il les suçait, tétait les tétons durcis et les mordillait, arrachant de nouveaux cris de plaisir à sa partenaire.
Bien vite, l'animalité qui avait possédé les deux ados reprit le dessus et déjà les coups de rein de Tom se faisaient plus secs, plus puissants. Chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, une onde électrique remontait de ses reins dans son dos. Il aurait voulu jouir et jouir encore en elle, se fondre en elle. Choisissant de se lâcher complètement, il se redressa et releva les cuisses de Pauline. Il les bloqua avec ses bras en appui. La jeune fille le regarda avec passion mais une lueur d'appréhension dans les yeux en imaginant le plaisir augmenter encore.
Cette position permit à Tom d'entrer encore plus profondément en elle. Il s'enfonça d'un mouvement en elle, introduisant dans son ventre la totalité de son pénis. Il sentit son gland buter au fond du minou de Pauline. Le mouvement arracha un puissant cri à Pauline, si fort que Tom crut qu'elle avait joui de nouveau. Cette fois, le rythme de Tom était bien plus rapide. Il la baisait. Il regardait sa sœur, qui, les yeux fermés, avait de nouveau agrippé la couverture pour ne pas perdre pied. Chaque coup de rein qu'il donnait le faisait buter en elle. Parfois, il stoppait le mouvement et pouvait la sentir palpiter autour de son pénis. Dans ces moments, il sentait son gland grossir encore.
Ils criaient tous deux leur plaisir dans cette cabane, sans retenue. Le corps de Pauline tremblait de plaisir et cela rendait fou Tom. Il sentait son contrôle disparaître, il sentait son être disparaître à chaque coup de rein, chaque frisson parcourant son dos. Son amour pour elle disparaissait aussi, sans qu'il cherche à le retenir. Rien ne comptait plus que le plaisir charnel qu'ils se donnaient, qu'il prenait. Ses cris s'étaient mués en partie en rugissements, ses muscles se bandaient. Bon sang, il la baisait et il adorait cela ! Il la contrôlait de ses bras, de son poids, de sa bite en elle. Elle était soumise à son désir, rien qu'à lui.
- "Tourne-toi !" lâcha-t-il en se retirant d'elle. "Je veux te prendre par derrière."
Pauline ne répliqua rien. Elle obéit, soumise totalement au plaisir et à l'emprise nouvelle de son frère. Elle aimait être dominée, il le sentait. Elle se plaça à quatre pattes, en appui sur ses bras tendus. Elle écarta ses genoux et se cambra en invitant son frère du regard. Quand il la vit dans cette position, le sang du garçon ne fit qu'un tour. Tous les muscles de son corps se bandèrent et un tremblement agita tout son être. Il vînt derrière elle, mais pas comme un amant. Il était animal, il était le mâle, il dominait et il prenait.
Il saisit les hanches de Pauline, l'attira contre lui et l'empala sur son sexe dressé. Elle cria longuement de ce premier assaut, elle eut même un petit orgasme comme le sentit Tom aux contractions de son vagin. La tenant fermement entre ses mains, il recommença à la prendre, tout en puissance cette fois. A chaque coup, il butait contre ses fesses, s'enfonçant dans son ventre pour lui arracher des cris de plaisir. Il criait lui aussi.
- " Ce que tu es bonne, Pauline !" criait-il en la baisant. "J'adore ton cul ! Il est à moi, tu es à moi !"
- "Je t'appartiens, Tom !" tentait-elle de répondre sous les assauts de Tom. "Je suis à toi toute entière ! S'il te plait, baise-moi ! Baise-moi !"
Tom ne ralentissait pas, ne se fatiguait pas. Il la prenait encore et encore, s'enfonçant avec puissance dans son ventre. Il ne contrôlait plus rien, ne voulait rien contrôler. Il saisit les épaules de Pauline pour l'attirer encore plus contre son sexe, pour rentrer encore plus en elle. Elle criait de plaisir, certainement de douleur parfois, mais se donnait à lui. Les reins de la jeune fille étaient cambrés au maximum et elle-même ondulait ses hanches pour accompagner les mouvements brutaux de son partenaire. Tom rugissait derrière elle à chaque coup de rein. Ses mains lâchèrent les épaules de Pauline et descendirent le long de son dos en la griffant. Que faisait-il ? Une voix dans sa tête tentait de parler mais il la repoussait. Il la dominait, il la possédait, il pouvait lui faire mal s'il le voulait. Pauline gémit de douleur sous les longues griffures mais ses reins étaient toujours cambrer et ses hanches s'enfonçaient sur la bite de Tom.
- "Encore ! Encore !" criait-elle. "Je suis à toi !"
Le rythme des coups de rein de Tom augmenta encore. Pauline ne pouvait plus soutenir aussi bien les assauts et dû s'appuyer sur ses coudes pour garder l'équilibre. Tom s'était saisi de ses hanches et la maintenait en position. Parfois, il levait la main et la fessait. Ses doigts claquaient sur la peau douce de ces fesses veloutées, qui se mettaient à rougir. Et à chaque fois, Pauline criait et demandait de continuer. Puis leurs cris devinrent plus intenses encore, plus longs. Le rythme de Tom avait ralenti quelque peu mais il s'enfonçait toujours puissamment en elle. Il tenait les hanches de Pauline fermement et il allait jouir en elle. En quelques mouvements, ses cris, ses rugissements retentirent de plus belle. Il jouissait de toute sa force encore et encore. Il explosait en elle à chaque coup de rein. Chaque fois que son gland butait au fond d'elle, de nouvelles vagues électriques déchiraient son dos. Il crut discerner au milieu de ses cris que Pauline jouissait aussi, qu'elle déversait dans ses cris tout le plaisir que pouvait contenir son corps.
Finalement, il ne bougea plus, planté en elle, au fond d'elle. Son sexe était encore secoué de spasmes. Pauline était écroulée devant lui, le visage enfoui dans la couverture, les bras repliés à côté de sa tête. Seules ses fesses étaient encore debout, soutenues par la poigne de Tom. La conscience lui revenait peu à peu, et avec elle il revoyait le comportement qu'il avait eu. Il se retira et s'écroula à côté d'elle, rompu.
Que lui était-il arrivé ? Il n'était plus Tom mais un animal en rut, sauvage. Il s'était lâché quand sa sœur l'avait sucé quelques minutes auparavant. Mais il avait gardé un contrôle relatif. Il ne s'était pas perdu, comme à l'instant. Il aimait Pauline de tout son cœur. Comment avait-il pu faire ça ? La traiter seulement comme une proie à son désir, comme un objet ? Il avait envie de pleurer. Il ne lui avait pas fait l'amour, il ne l'avait pas seulement baisée mais il l'avait fait comme un animal. Il entendait les rugissements qu'il avait poussés en étreignant ses fesses et il frissonnait. Elle avait quitté ses pensées pendant ces quelques minutes et il s'en voulait. Il n'avait plus pensé à son plaisir à elle mais uniquement au sien.
- "Aaah, c'était génial..." soupira Pauline, coupant Tom pendant qu'il se morigénait.
- "Quoi ?!" fut la seule chose que la surprise du compliment lui arracha.
- "Je ne pensais pas que tu pouvais être ainsi, je veux dire te lâcher complètement pour prendre ton pied. Tu m'as baisée, Tom, tu m'as baisée comme une chienne."
- "Je m'excuse, ma chérie, je ne sais pas ce qui m'a pris" suppliait-il tremblant. "J'ai perdu l'esprit..."
- "Idiot, ne t'excuse pas" dit-elle tendrement. "J'étais avec toi et c'est aussi ce que je t'ai demandé depuis qu'on est entré ici et encore après."
- "Mais je n'étais plus moi-même, j'étais un animal..."
- "Tu t'es lâchée complètement, peut-être un peu trop. Je ne pensais pas que tu pouvais aller aussi loin. Mais je dois avouer que j'ai aimé que tu me domines. Tu prends toujours soin de moi, de ce que je ressens, de mon plaisir quand on fait l'amour. Mais j'ai aimé découvrir l'Homme en toi tout à l'heure. Si tu t'es autant lâché, c'est peut-être parce que tu ne le fais jamais d'habitude." Tom, d'abord penaud à côté d'elle, comprenait ses paroles. Elle avait raison et sa culpabilité s'atténuait.
- "Je ne t'ai pas fait mal au moins ?" s'inquiéta-t-il.
- "Oh que si !" déclara-t-elle en souriant. "Mais j'ai découvert que ça pouvait aussi faire partie du plaisir."
- "Je ferai attention la prochaine fois, promis" dit-il en déposant un baiser sur les lèvres de sa soeur. "Je t'aime."
- "Je t'aime aussi, mon p'tit animal" sourit-elle moqueuse. 49
Au bout de quelques minutes de cunnilingus intense, Pauline se crispa entre les mains du jeune garçon, le souffle coupé. Elle venait d'avoir un petit orgasme. Mais Tom n'avait aucune intention de la laisser s'en tirer ainsi après le traitement qu'elle lui avait fait subir. Il releva sa bouche, lécha deux de ses doigts et les porta à l'entrer des lèvres trempées. Pauline les sentit malgré la langueur qui suit l'orgasme puisqu'elle ronronna en ondulant les hanches au passage des doigts en elle. Puis, Tom les enfonça brusquement au fond d'elle. Mouillée comme elle était, ils n'eurent aucun mal à glisser dans son ventre. La sensation intense et soudaine lui arracha un cri de plaisir et la fit cambrer les hanches de nouveau.
- "Tu ne crois pas que je vais te laisser te reposer, coquine" lança Tom sur un ton de défi.
- "Prends-moi maintenant, Tom ! J'en peux plus !" lâcha Pauline, haletante. "Je veux te sentir en moi."
- "Mais je ne vais pas te prendre maintenant. Je vais d'abord te rendre folle, te faire perdre tout contrôle puisque tu peux te lâcher ici. Et crois-moi, tu vas me sentir en toi, ma belle."
Sur ce, Tom entama un va-et-vient vigoureux entre ses cuisses. Pauline ne put rien répliquer tant elle était submergée par la masturbation. Tom glissait en elle avec aisance, remuait ses doigts en elle, pressait son clitoris de son pouce. Pauline se débattait presque sous les assauts de sa main. Elle criait de plaisir à chaque fois que ses doigts venaient buter en elle. Il pouvait sentir son vagin se contracter sur ses doigts. A ces contractions, il était sûr qu'elle avait encore eu quelques petits orgasmes. D'ailleurs son corps alternait des moments de calme et d'agitation.
Il avait de nouveau posé sa bouche sur le clitoris gonflé de plaisir et le suçait avec vigueur. Les reins de Pauline se contractaient à chaque mouvement de sa main ou de sa langue. Entre deux cris, elle l'encourageait à aller plus loin, plus vite, à lui faire perdre la tête. Parfois, elle semblait effrayée et lui demandait d'arrêter. Mais le jeune homme continuait de plus belle et il pouvait la sentir jouir dans sa main.
Sa main était trempée. De son autre main, il maintenait les hanches de la jeune fille qui se débattait sous le plaisir et les mouvements de sa masturbation. Alors que son index et son majeur baisait le minou de sa sœur, Tom fit glisser son annulaire entre ses fesses. Quand il posa son doigt sur l'anus, il sentit un spasme dans le ventre de Pauline. Dans un soupir, elle le supplia même de continuer. Elle voulait plus. Alors Tom, après avoir massé le petit orifice en rythme avec les mouvements de ses doigts entre les lèvres trempées, finit par y glisser un doigt. Il était tellement trempé, et Pauline tellement hors de contrôle, qu'il la pénétra dans problème. Il s'enfonça en elle et synchronisa les mouvements de ses doigts pour reprendre la masturbation. Il accéléra même le rythme. La réaction de Pauline fut sans équivoque. La jeune fille releva ses jambes, les genoux en l'air pour laisser toute latitude à son frère. Ses cris se faisaient plus maladroits. Elle perdait pieds. Elle cherchait à se rattraper à quelque chose autour d'elle mais ne put que se saisir de la couverture.
De sa main libre, Tom maintenait les cuisses de Pauline redressées. De son autre main, il la masturbait avec ardeur. L'anus de la jeune fille était complètement détendu et s'offrait à son traitement de choc. Sa bouche continuait à harceler le clitoris gonflé. Et soudain, Pauline poussa un long cri en se contractant de tout son être. Tom continua à la masturber et ce cri se mua en plusieurs autres plus courts mais tout aussi intenses. Le garçon eut même peur qu'on l'entende au dehors. Mais cela n'avait pas d'importance, elle jouissait. Il sentait le vagin de Pauline se tordre sur ses doigts, son anus se resserrer par spasmes. Et elle criait, elle criait de plaisir à chaque fois que ses doigts venaient buter en elle. Elle n'était plus que plaisir charnel, qu'animalité. Il n'y avait plus d'interdit, plus de secret, plus de parents, rien qu'elle et son minou qui lui ouvrait les portes du paradis. Il n'y avait plus que le temps présent et son cerveau qui décrochait complètement. Tom réussit à prolonger cet instant pendant une minute.
Puis il sentit les forces de son bras diminuer. Il ralentit le rythme de sa masturbation, se fit langoureux et permit à Pauline de redescendre en douceur. Il termina par une masturbation lente de son minou avant de se retirer. Il se redressa entre ses cuisses et l'admira. Elle était sublime, les cheveux trempés collés sur son front et ses épaules. Elle avait les yeux fermés et la tête posée sur le côté. Les mains sur son ventre, suivaient sa respiration essoufflée. Son corps était encore agité de spasmes. Elle frissonnait malgré la chaleur. Tom fut curieux de la voir glisser une main entre ses cuisses et venir masser tendrement son clitoris. Elle souriait, les yeux fermés, en reprenant son souffle. Enfin, elle ouvrit les yeux et tourna la tête vers Tom.
- "Merci..." lâcha-t-elle. "C'était..." Elle ne pouvait finir sa phrase. Il n'y avait pas de mot.
- "Je ne sais pas où tu as été mais je suis comblé de t'y avoir emmené" lui sourit-il tendrement. "Tu as encore envie de continuer ?"
- "Tu penses pouvoir refaire ça ?"
- "Peut-être bien...et peut-être même plus..." fit-il en se redressant à genou entre les cuisses de la jeune fille et exhibant son pénis magnifiquement dressé.
- "Oh, je l'avais oublié celui-là....Alors tu veux le glisser dans mon ventre ?"
- "Mais je ne te demande pas ta permission, ma chérie" lança-t-il en se baissant entre les cuisses de la jeune fille. Elle le regarda faire, mi-anxieuse, mi-excitée. Tom posa sa verge sur ses lèvres, le frotta lentement contre elles, allant et venant. Le frein de Tom glissait sur le clitoris de Pauline, envoyant dans chacun d'eux de nouvelles vagues de plaisir.
L'ambiance était électrique dans la cabane en ce chaud après-midi. Les deux ados brûlaient de se donner l'un à l'autre encore une fois, sans avoir à se retenir de crainte d'être surpris. Tom se releva pour récupérer un préservatif et revînt contre Pauline, toute vibrante. L'un contre l'autre, leurs bouches se joignirent encore une fois pour échanger un baiser torride. Leurs ventres se collaient l'un à l'autre, la poitrine de Tom écrasait celle de Pauline. D'un mouvement du bassin, il plaça son gland à l'entrée des lèvres de la jeune fille. Elle ronronna tout en l'embrassant, lui donnant le feu vert. Il se glissa en elle d'une poussée. Les doigts de Pauline lui griffèrent le dos pendant qu'elle renversait sa tête en arrière en laissant échapper un long soupir de plaisir.
Prenant appui sur ses mains, il entama une pénétration langoureuse. Le corps de Pauline était encore très sensible après l'orgasme intense qu'elle avait eu quelques minutes auparavant et ses cris augmentèrent rapidement à chaque coup de rein. Fidèle à la passion de leurs ébats de cet après-midi, Tom accéléra le rythme de ses coups. Pauline se cambrait pour permettre au pénis de son frère de frotter contre la base de son clitoris. Pendant qu'il la prenait, Tom s'était emparé de ses seins. De sa bouche, il les suçait, tétait les tétons durcis et les mordillait, arrachant de nouveaux cris de plaisir à sa partenaire.
Bien vite, l'animalité qui avait possédé les deux ados reprit le dessus et déjà les coups de rein de Tom se faisaient plus secs, plus puissants. Chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, une onde électrique remontait de ses reins dans son dos. Il aurait voulu jouir et jouir encore en elle, se fondre en elle. Choisissant de se lâcher complètement, il se redressa et releva les cuisses de Pauline. Il les bloqua avec ses bras en appui. La jeune fille le regarda avec passion mais une lueur d'appréhension dans les yeux en imaginant le plaisir augmenter encore.
Cette position permit à Tom d'entrer encore plus profondément en elle. Il s'enfonça d'un mouvement en elle, introduisant dans son ventre la totalité de son pénis. Il sentit son gland buter au fond du minou de Pauline. Le mouvement arracha un puissant cri à Pauline, si fort que Tom crut qu'elle avait joui de nouveau. Cette fois, le rythme de Tom était bien plus rapide. Il la baisait. Il regardait sa sœur, qui, les yeux fermés, avait de nouveau agrippé la couverture pour ne pas perdre pied. Chaque coup de rein qu'il donnait le faisait buter en elle. Parfois, il stoppait le mouvement et pouvait la sentir palpiter autour de son pénis. Dans ces moments, il sentait son gland grossir encore.
Ils criaient tous deux leur plaisir dans cette cabane, sans retenue. Le corps de Pauline tremblait de plaisir et cela rendait fou Tom. Il sentait son contrôle disparaître, il sentait son être disparaître à chaque coup de rein, chaque frisson parcourant son dos. Son amour pour elle disparaissait aussi, sans qu'il cherche à le retenir. Rien ne comptait plus que le plaisir charnel qu'ils se donnaient, qu'il prenait. Ses cris s'étaient mués en partie en rugissements, ses muscles se bandaient. Bon sang, il la baisait et il adorait cela ! Il la contrôlait de ses bras, de son poids, de sa bite en elle. Elle était soumise à son désir, rien qu'à lui.
- "Tourne-toi !" lâcha-t-il en se retirant d'elle. "Je veux te prendre par derrière."
Pauline ne répliqua rien. Elle obéit, soumise totalement au plaisir et à l'emprise nouvelle de son frère. Elle aimait être dominée, il le sentait. Elle se plaça à quatre pattes, en appui sur ses bras tendus. Elle écarta ses genoux et se cambra en invitant son frère du regard. Quand il la vit dans cette position, le sang du garçon ne fit qu'un tour. Tous les muscles de son corps se bandèrent et un tremblement agita tout son être. Il vînt derrière elle, mais pas comme un amant. Il était animal, il était le mâle, il dominait et il prenait.
Il saisit les hanches de Pauline, l'attira contre lui et l'empala sur son sexe dressé. Elle cria longuement de ce premier assaut, elle eut même un petit orgasme comme le sentit Tom aux contractions de son vagin. La tenant fermement entre ses mains, il recommença à la prendre, tout en puissance cette fois. A chaque coup, il butait contre ses fesses, s'enfonçant dans son ventre pour lui arracher des cris de plaisir. Il criait lui aussi.
- " Ce que tu es bonne, Pauline !" criait-il en la baisant. "J'adore ton cul ! Il est à moi, tu es à moi !"
- "Je t'appartiens, Tom !" tentait-elle de répondre sous les assauts de Tom. "Je suis à toi toute entière ! S'il te plait, baise-moi ! Baise-moi !"
Tom ne ralentissait pas, ne se fatiguait pas. Il la prenait encore et encore, s'enfonçant avec puissance dans son ventre. Il ne contrôlait plus rien, ne voulait rien contrôler. Il saisit les épaules de Pauline pour l'attirer encore plus contre son sexe, pour rentrer encore plus en elle. Elle criait de plaisir, certainement de douleur parfois, mais se donnait à lui. Les reins de la jeune fille étaient cambrés au maximum et elle-même ondulait ses hanches pour accompagner les mouvements brutaux de son partenaire. Tom rugissait derrière elle à chaque coup de rein. Ses mains lâchèrent les épaules de Pauline et descendirent le long de son dos en la griffant. Que faisait-il ? Une voix dans sa tête tentait de parler mais il la repoussait. Il la dominait, il la possédait, il pouvait lui faire mal s'il le voulait. Pauline gémit de douleur sous les longues griffures mais ses reins étaient toujours cambrer et ses hanches s'enfonçaient sur la bite de Tom.
- "Encore ! Encore !" criait-elle. "Je suis à toi !"
Le rythme des coups de rein de Tom augmenta encore. Pauline ne pouvait plus soutenir aussi bien les assauts et dû s'appuyer sur ses coudes pour garder l'équilibre. Tom s'était saisi de ses hanches et la maintenait en position. Parfois, il levait la main et la fessait. Ses doigts claquaient sur la peau douce de ces fesses veloutées, qui se mettaient à rougir. Et à chaque fois, Pauline criait et demandait de continuer. Puis leurs cris devinrent plus intenses encore, plus longs. Le rythme de Tom avait ralenti quelque peu mais il s'enfonçait toujours puissamment en elle. Il tenait les hanches de Pauline fermement et il allait jouir en elle. En quelques mouvements, ses cris, ses rugissements retentirent de plus belle. Il jouissait de toute sa force encore et encore. Il explosait en elle à chaque coup de rein. Chaque fois que son gland butait au fond d'elle, de nouvelles vagues électriques déchiraient son dos. Il crut discerner au milieu de ses cris que Pauline jouissait aussi, qu'elle déversait dans ses cris tout le plaisir que pouvait contenir son corps.
Finalement, il ne bougea plus, planté en elle, au fond d'elle. Son sexe était encore secoué de spasmes. Pauline était écroulée devant lui, le visage enfoui dans la couverture, les bras repliés à côté de sa tête. Seules ses fesses étaient encore debout, soutenues par la poigne de Tom. La conscience lui revenait peu à peu, et avec elle il revoyait le comportement qu'il avait eu. Il se retira et s'écroula à côté d'elle, rompu.
Que lui était-il arrivé ? Il n'était plus Tom mais un animal en rut, sauvage. Il s'était lâché quand sa sœur l'avait sucé quelques minutes auparavant. Mais il avait gardé un contrôle relatif. Il ne s'était pas perdu, comme à l'instant. Il aimait Pauline de tout son cœur. Comment avait-il pu faire ça ? La traiter seulement comme une proie à son désir, comme un objet ? Il avait envie de pleurer. Il ne lui avait pas fait l'amour, il ne l'avait pas seulement baisée mais il l'avait fait comme un animal. Il entendait les rugissements qu'il avait poussés en étreignant ses fesses et il frissonnait. Elle avait quitté ses pensées pendant ces quelques minutes et il s'en voulait. Il n'avait plus pensé à son plaisir à elle mais uniquement au sien.
- "Aaah, c'était génial..." soupira Pauline, coupant Tom pendant qu'il se morigénait.
- "Quoi ?!" fut la seule chose que la surprise du compliment lui arracha.
- "Je ne pensais pas que tu pouvais être ainsi, je veux dire te lâcher complètement pour prendre ton pied. Tu m'as baisée, Tom, tu m'as baisée comme une chienne."
- "Je m'excuse, ma chérie, je ne sais pas ce qui m'a pris" suppliait-il tremblant. "J'ai perdu l'esprit..."
- "Idiot, ne t'excuse pas" dit-elle tendrement. "J'étais avec toi et c'est aussi ce que je t'ai demandé depuis qu'on est entré ici et encore après."
- "Mais je n'étais plus moi-même, j'étais un animal..."
- "Tu t'es lâchée complètement, peut-être un peu trop. Je ne pensais pas que tu pouvais aller aussi loin. Mais je dois avouer que j'ai aimé que tu me domines. Tu prends toujours soin de moi, de ce que je ressens, de mon plaisir quand on fait l'amour. Mais j'ai aimé découvrir l'Homme en toi tout à l'heure. Si tu t'es autant lâché, c'est peut-être parce que tu ne le fais jamais d'habitude." Tom, d'abord penaud à côté d'elle, comprenait ses paroles. Elle avait raison et sa culpabilité s'atténuait.
- "Je ne t'ai pas fait mal au moins ?" s'inquiéta-t-il.
- "Oh que si !" déclara-t-elle en souriant. "Mais j'ai découvert que ça pouvait aussi faire partie du plaisir."
- "Je ferai attention la prochaine fois, promis" dit-il en déposant un baiser sur les lèvres de sa soeur. "Je t'aime."
- "Je t'aime aussi, mon p'tit animal" sourit-elle moqueuse. 49