22-10-2020, 07:26 PM
- "Ooh, ne t'arrête pas! Je n'en peux plus..." soufflait-elle entre deux cris étouffés. Je vais venir, je vais venir..."
- "Moi aussi! C'est trop bon, tu es trop bonne...Je vais bientôt jouir..."
Les gémissements de Tom s'accéléraient mais il arrivait à les contenir. Pourtant, elle sentait qu'elle perdait tout contrôle. Elle était uniquement guidée par ses coups de rein et cette bite sur laquelle elle s'empalait. Elle allait jouir. Elle allait jouir. Soudain Tom lui tendit son chemisier et elle l'enfonça dans sa bouche pour étouffer ses cris. Tout devenait blanc. Ses hanches s'agitaient sur son frère sans qu'elle les contrôle réellement. La main de son frère continuait d'harceler son clitoris, multipliant ses spasmes. Elle ne se rendait même plus compte que ses cris étaient à peine étouffés par son chemisier. Elle avait l'impression qu'elle allait de nouveau perdre connaissance.
Tom dut sentir qu'elle perdait pied. Il saisit les hanches et d'un mouvement de rein la rabattit sur lui. Elle se laissa faire, totalement docile. Il reprit les mouvements de va-et-vient en elle. Mais cette fois, il la serrait au niveau des épaules et la pressait contre son pénis, la faisant s'empaler au maximum.
- "Tu vas jouir comme jamais, ma chère sœur. Lâche-toi complètement..." lui murmura-t-il à l'oreille.
La conscience de Pauline se résumait aux vagues de chaleur qui irradiaient depuis son minou. Tout cela était trop fort pour elle, elle avait peur. Mais les mots de Tom lui firent relâcher toute cette peur. Soudain, les vagues de chaleur emplirent son ventre, sa poitrine, sa tête. Elle se laissa submerger par le plaisir, laissant son esprit quitter son corps et ne faire d'elle qu'une poupée de sensations. Elle devina qu'elle jouissait en entendant ses cris étouffés par son chemisier et le cou de Tom. Tom jouissait en même temps qu'elle. Elle le sentait buter plus sèchement au fond d'elle, augmentant encore son plaisir. Elle se sentit partir mais ne se retînt pas. Elle jouissait en même temps que lui pour la 1e fois. Ils fusionnaient ensemble. C'était merveilleux.
Quand elle retrouva doucement la force de penser, Tom l'enlaçait toujours, lui caressant les cheveux. Il lui murmurait des mots doux, des mots d'amoureux. Elle se blottit contre lui, enfouissant sa tête dans son cou.
- "Tu sais, Tom, je crois que je t'aime" avoua-t-elle sans honte. "Pas comme une sœur mais comme une amoureuse. Tu m'en veux?"
- "Je t'aime aussi, Pauline. Ça ne sert à rien d'essayer d'étouffer ce sentiment. Je t'aime, Pauline, même si je ne sais pas sur quel chemin cela nous emmène."
Les retrouvailles en famille rendaient difficiles les moments pour se retrouver seuls. Il n'y avait que le soir où Pauline et Tom pouvaient se retrouver. L'aveu de leurs sentiments avait modifié leur relation. Ils comprenaient qu'aux yeux des autres, ils avaient une complicité et une affection de frère et sœur mais ils savaient eux seuls que c'était un amour de femme et d'homme qui naissait. Et cela les rendaient encore plus proches l'un de l'autre, de partager cette relation secrète. Leurs sourires furtifs avaient aussi changé. Ce n'est plus des sourires de deux êtres qui partagent un jeu excitant mais interdit. C'était ceux de deux personnes qui s'aiment et trouvent une paix dans la présence de l'autre. Pourtant comment cet amour allait pouvoir se développer dans leur famille restait une angoisse. Mais pour l'instant, ils étaient au milieu de jeunes, c'était les vacances et ils avaient décidé d'en profiter.La cabane isolée
Le lendemain d'une soirée qui dura trop longtemps, les ados étaient fatigués et restèrent à lézarder autour de la piscine. Pauline et Tom en profitèrent pour prétexter une petite balade dans la campagne tous les deux. Le sourire aux lèvres, ils quittèrent le groupe d'un pas rapide. Après avoir fait mine de quitter la propriété des grand-parents, ils se dirigèrent vers la vieille cabane au fond du jardin. Une fois la porte refermée sur eux, ils purent laisser libre court à leur amour. Ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre. Sans un mot, ils s'embrassèrent passionnément. Ce n'était pas plus ces baisers effrénés quand ils relâchaient leur excitation et leur animalité l'un envers l'autre. C'était un baiser d'amour, échangeant avec l'autre ce sentiment de don de soi, de paix, de vérité.
Dans cette cabane isolée et la chaleur de l'après-midi, l'excitation monta entre les deux ados. Leurs baisers se faisaient plus langoureux, leurs langues dansaient plus sensuellement. La poitrine de Pauline se serait contre celle de Tom et c'était un régal de sentir ses jolis seins sur lui. Tom sentit la main de son amoureuse se placer sur la bosse qui s'était formée dans son short. Elle la caressait en ronronnant. Lui vint poser ses mains sur les fesses de la jeune fille, qui se cambra en réponse. Comme elle portait une petite jupe, il eut vite fait de la relever et venir glisser ses doigts dans sa culotte. La peau de ses fesses étaient toujours aussi douce et il se délectait de promener ses doigts sur elles, les masser. Pauline soupirait entre deux de ses baisers. La chaleur montait dans leur ventre et, ici, personne ne viendrait les déranger.
- "Je vais te manger tout cru, frérot" lança-t-elle sur un ton de défi.
- "J'attends de voir ça !"
Sans perdre une seconde, Pauline s'agenouilla devant lui. Il la regardait déboutonner son short et le faire glisser en même temps que son boxer. Cela eut pour effet de libérer sa verge déjà dressée devant le visage de la jeune fille. Elle saisit cette verge et la branla quelques secondes. Puis elle releva la tête vers Tom et plongea son regard dans le sien.
- "Cette fois-ci, on n'a pas besoin de se retenir" déclara-t-elle. "Alors, on va prendre notre pied à fond tous les deux. Lâche-toi complètement et si tu dois venir dans ma bouche, ne te retient pas".
Tom n'en croyait pas ses oreilles. Il retrouvait la partenaire, excitée et animale, se livrant aux sensations charnelles. Dans cette cabane, ils allaient pouvoir laisser libre court à leurs désirs. Sans attendre sa réponse et sans quitter son regard, Pauline lécha son gland, le recouvrant de salive avant de l'enfourner dans sa bouche chaude. Elle ne quittait pas Tom des yeux et laissait aller et venir sa bouche le long de la verge durcie. Elle était désinhibée dans cette cabane et cela se sentait. Tom la voyait enfoncer son pénis au fond de sa bouche, sucer son gland, l'aspirer tout en émettant des gémissements de plaisir. Il découvrit qu'à genoux, elle avait glissé sa main sous sa jupe et dans sa culotte. La coquine se masturbait tout en le suçant.
Alors Tom décida de jouer le jeu et laissa sortir son animalité. Il plaça ses mains dans les cheveux de la jeune fille et accompagna ses mouvements de tête. Pauline n'y allait pas de main morte et se donnait à fond dans sa fellation. Tom pouvait lire toute son excitation dans son regard. Elle serrait sa verge dans sa main tout en aspirant son gland au fond de sa bouche. Où avait-elle acquis une telle technique pour son âge ? Il comprenait que l'initiation aux plaisirs charnels avait éveillé un pan de la personnalité de Pauline qui sommeillait. Elle aimait cela et ne s'en privait pas.
Chaque fois qu'elle enfonçait son sexe dans sa bouche, des frissons intenses remontaient du ventre de Tom et parcouraient son dos. Quand Pauline ralentissait le rythme pour essayer d'avaler davantage son sexe, il pouvait sentir son gland palpiter sur sa langue. Elle serrait ses lèvres sur lui, augmentant encore les frissons. Il se sentait fondre dans sa bouche. C'était si bon.
Elle reprit ensuite une fellation rapide. A ses gémissements, il comprenait que son excitation l'emballait. Lui aussi gémissait, criait parfois en sentant son gland au fond de sa bouche. Ses frissons étaient de plus en plus nombreux. Il réalisa que ses mains s'étaient crispées sur la tête de sa sœur et qu'il appuyait sur elle pour accentuer les mouvements de Pauline. Il retira alors ses mains pour éviter de l'incommoder.
Mais celle-ci reprit l'une de ses mains pour la placer à nouveau dans ses cheveux. Son regard n'avait pas quitté celui de son frère et trahissait la fièvre qui la possédait. Comme pour lui donner l'autorisation de se lâcher, Pauline reprit une fellation endiablée. Elle pompait littéralement le pénis son dard. Les vagues électriques qui remontèrent de son ventre dans son dos achevèrent de faire sauter les retenues de Tom. Ses deux mains se crispèrent sur la tête de Pauline et il accentua les mouvements de la bouche sur lui. C'était si bon de se lâcher en respectant la confiance de l'autre. Tom sentait son gland glisser sur le palais de Pauline, ses lèvres serrer sa verge quand elle l'aspirait. Avec ses mains, Tom faisait entrer davantage son sexe dans la bouche de Pauline. Elle subissait ses appuis docilement, continuant à gémir et à se masturber. Leurs regards ne se quittaient pas. Tom voyait sa verge disparaître presque en entier dans la bouche de Pauline.
Au bout d'une minute de ce traitement intense, le garçon sentit qu'il perdait pieds. Ses mains se crispèrent sur la tête de Pauline. Il sentait maintenant qu'il était aspiré dans sa bouche chaude et humide, dans sa gorge. Il avait l'impression de faire l'amour à la bouche de Pauline. La jeune fille comprit en voyant son regard et renforça sa prise sur sa verge. C'était trop. Des spasmes tordaient son ventre, ses jambes tremblaient, son dos était secoué de frissons. Il raffermit sa prise sur la tête de Pauline au moment où il se sentit partir. Il ferma les yeux et releva la tête. En une fraction de seconde, la limite fut franchie et il jouit. Il n'avait encore jamais joui comme ça. En quelques secondes, le brouillard avait envahi son esprit et son corps se résumait à sa verge dans la bouche chaude de son amante. Et il jouissait de ses caresses. Il jouissait et jouissait encore. Ca ne s'arrêtait pas. Il sentait des spasmes puissants contracter son ventre sans qu'il puisse les contrôler. Il criait sa jouissance comme jamais, dans ce coin isolé. Et chaque mouvement de la bouche de Pauline le long de sa verge lui arrachait un nouveau cri et un nouveau spasme. Il ne lâchait pas la tête de Pauline, seul repère pour garder son équilibre, et comprenait qu'il se déversait dans sa bouche. La jeune fille reçut docilement les jets de sperme sur la langue. Elle essayait même de continuer à le sucer pour prolonger son plaisir mais, bien vite, le sperme qui continuait de couler l'en empêcha. Elle dut même lutter un peu contre l'appui sur sa tête.
Quand son orgasme se calma, Tom relâcha la tête de Pauline et vit sa bouche remonter le long de son pénis pour finir par relâcher son gland. Il comprit en voyant le visage tout rougissant de la jeune fille qu'il avait joui trop de sperme pour elle.
- "Recrache tout Pauline, je suis désolé" proposa-t-il. Mais la jeune fille fit non de la tête. Elle dut avaler tout le sperme en deux fois avec une grimace.
- "Il ne faut pas laisser de preuve" expliqua-t-elle. "Mais je ne ferai pas ça tous les jours, c'est sûr." Tom s'agenouilla auprès d'elle, prit son visage entre ses mains et la remercia d'un baiser langoureux.
- "Bravo ma chérie, c'était super" la félicita-t-elle. "C'est fou que tu sois capable de sucer comme ça quand tu te lâches."
- "Oui, j'ai un peu perdu le contrôle. Mais je ne suis pas la seule. J'ai vu que tu as aimé me tenir la tête pendant que je te suçais. Toi aussi tu pourrais te lâcher plus, je suis sûre."
- "C'est clair que j'ai découvert ça chez moi et que je ne pensais pas pouvoir me lâcher autant. Mais ce n'est pas une raison pour s'arrêter en si bon chemin. Maintenant, c'est à moi de perdre le contrôle entre ses cuisses."
Associant ses mots aux gestes, Tom allongea la jeune fille sur une couverture qui servait à protéger les outils. Sans dire un mot, mais leurs regards ne se quittant pas, les deux ados se déshabillèrent et revinrent l'un contre l'autre. Cette cabane était devenue un sanctuaire pour eux. Ici, entouré de l'écrin du jardin, ils pouvaient se lâcher, être eux-mêmes et exprimer tout leur amour. Ils pouvaient se serrer l'un contre l'autre sans avoir à étouffer leurs paroles. Ici, ils n'étaient plus frère et soeur, ils étaient amants, amoureux et vivant comme si c'était le dernier jour sur Terre.
Tom se redressa sur Pauline. Qu'elle était belle. Ses cheveux châtains longs et bouclés se répandaient comme un oreiller sous sa tête. Elle le regardait avec ses yeux marrons, et son regard exprimait tout l'amour et le désir qu'elle avait pour lui. Sur son nez, des petites taches de rousseur la rendaient craquante. Et cette bouche, ces lèvres si roses, ce sourire désarmant. Comment n'avait-il pas peu l'aimer plus tôt ? Il l'embrassa torridement, comme pour rattraper le temps perdu. Puis quitta sa bouche et descendit le long de son corps. Il embrassa son cou et ses lèvres vinrent glisser sur ses seins, ses si jolis seins. Ils avaient la taille qui suffisait pour emplir sa main quand il la refermait sur eux, pour ballotter au rythme de ses coups de rein quand il était entre ses cuisses. Sa langue s'enroula autour de ses tétons et il la sentit frissonner sous elle en lâchant un gémissement. Les mains de Pauline s'étaient emparées de sa tête, comme pour l'encourager dans ses baisers.
Il laissa sa bouche dériver sur sa poitrine, ses lèvres suivre et embrasser ses courbes parfaites, faisant frissonner la peau si douce. Sa langue titillait ses tétons, qui se crispaient, comme pour se défendre. Alors ses dents vinrent les mordiller, ses lèvres vinrent les aspirer, les sucer. Et Pauline se tordait sous ces baisers, ces hanches se cambraient, ses gémissements se muaient en petits cris d'encouragements. Tom descendit ses mains le long des hanches de la jeune fille, les étreignit, comme pour les soumettre à sa volonté. Sa main écarta les cuisses faibles et il vînt glisser son corps entre elles.
Sa bouche descendit sur le ventre chaud, tanguant au rythme de la respiration haletante de Pauline. Sa langue glissa dans son nombril, langoureusement, avant de descendre sur son pubis. La toison de Pauline était d'un brun qui se mariait parfaitement avec le châtain de ses cheveux et sa peau bronzée par le soleil. Les mains de la jeune fille s'étaient crispées sur la tête de Tom quand elle était passée entre ses cuisses. Tom put voir combien la fellation animale avait excitée sa partenaire. Son minou était trempé et il n'eut aucun mal à y glisser la langue. Quand il se coula sur le clitoris de Pauline, elle bloqua sa respiration, sans doute surprise par l'intensité de la stimulation. Mais il n'était pas là pour lui faire l'amour tendrement. Il était là pour se lâcher à son tour, libérer l'animal en lui. Il était là pour la baiser.
- "Moi aussi! C'est trop bon, tu es trop bonne...Je vais bientôt jouir..."
Les gémissements de Tom s'accéléraient mais il arrivait à les contenir. Pourtant, elle sentait qu'elle perdait tout contrôle. Elle était uniquement guidée par ses coups de rein et cette bite sur laquelle elle s'empalait. Elle allait jouir. Elle allait jouir. Soudain Tom lui tendit son chemisier et elle l'enfonça dans sa bouche pour étouffer ses cris. Tout devenait blanc. Ses hanches s'agitaient sur son frère sans qu'elle les contrôle réellement. La main de son frère continuait d'harceler son clitoris, multipliant ses spasmes. Elle ne se rendait même plus compte que ses cris étaient à peine étouffés par son chemisier. Elle avait l'impression qu'elle allait de nouveau perdre connaissance.
Tom dut sentir qu'elle perdait pied. Il saisit les hanches et d'un mouvement de rein la rabattit sur lui. Elle se laissa faire, totalement docile. Il reprit les mouvements de va-et-vient en elle. Mais cette fois, il la serrait au niveau des épaules et la pressait contre son pénis, la faisant s'empaler au maximum.
- "Tu vas jouir comme jamais, ma chère sœur. Lâche-toi complètement..." lui murmura-t-il à l'oreille.
La conscience de Pauline se résumait aux vagues de chaleur qui irradiaient depuis son minou. Tout cela était trop fort pour elle, elle avait peur. Mais les mots de Tom lui firent relâcher toute cette peur. Soudain, les vagues de chaleur emplirent son ventre, sa poitrine, sa tête. Elle se laissa submerger par le plaisir, laissant son esprit quitter son corps et ne faire d'elle qu'une poupée de sensations. Elle devina qu'elle jouissait en entendant ses cris étouffés par son chemisier et le cou de Tom. Tom jouissait en même temps qu'elle. Elle le sentait buter plus sèchement au fond d'elle, augmentant encore son plaisir. Elle se sentit partir mais ne se retînt pas. Elle jouissait en même temps que lui pour la 1e fois. Ils fusionnaient ensemble. C'était merveilleux.
Quand elle retrouva doucement la force de penser, Tom l'enlaçait toujours, lui caressant les cheveux. Il lui murmurait des mots doux, des mots d'amoureux. Elle se blottit contre lui, enfouissant sa tête dans son cou.
- "Tu sais, Tom, je crois que je t'aime" avoua-t-elle sans honte. "Pas comme une sœur mais comme une amoureuse. Tu m'en veux?"
- "Je t'aime aussi, Pauline. Ça ne sert à rien d'essayer d'étouffer ce sentiment. Je t'aime, Pauline, même si je ne sais pas sur quel chemin cela nous emmène."
Les retrouvailles en famille rendaient difficiles les moments pour se retrouver seuls. Il n'y avait que le soir où Pauline et Tom pouvaient se retrouver. L'aveu de leurs sentiments avait modifié leur relation. Ils comprenaient qu'aux yeux des autres, ils avaient une complicité et une affection de frère et sœur mais ils savaient eux seuls que c'était un amour de femme et d'homme qui naissait. Et cela les rendaient encore plus proches l'un de l'autre, de partager cette relation secrète. Leurs sourires furtifs avaient aussi changé. Ce n'est plus des sourires de deux êtres qui partagent un jeu excitant mais interdit. C'était ceux de deux personnes qui s'aiment et trouvent une paix dans la présence de l'autre. Pourtant comment cet amour allait pouvoir se développer dans leur famille restait une angoisse. Mais pour l'instant, ils étaient au milieu de jeunes, c'était les vacances et ils avaient décidé d'en profiter.La cabane isolée
Le lendemain d'une soirée qui dura trop longtemps, les ados étaient fatigués et restèrent à lézarder autour de la piscine. Pauline et Tom en profitèrent pour prétexter une petite balade dans la campagne tous les deux. Le sourire aux lèvres, ils quittèrent le groupe d'un pas rapide. Après avoir fait mine de quitter la propriété des grand-parents, ils se dirigèrent vers la vieille cabane au fond du jardin. Une fois la porte refermée sur eux, ils purent laisser libre court à leur amour. Ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre. Sans un mot, ils s'embrassèrent passionnément. Ce n'était pas plus ces baisers effrénés quand ils relâchaient leur excitation et leur animalité l'un envers l'autre. C'était un baiser d'amour, échangeant avec l'autre ce sentiment de don de soi, de paix, de vérité.
Dans cette cabane isolée et la chaleur de l'après-midi, l'excitation monta entre les deux ados. Leurs baisers se faisaient plus langoureux, leurs langues dansaient plus sensuellement. La poitrine de Pauline se serait contre celle de Tom et c'était un régal de sentir ses jolis seins sur lui. Tom sentit la main de son amoureuse se placer sur la bosse qui s'était formée dans son short. Elle la caressait en ronronnant. Lui vint poser ses mains sur les fesses de la jeune fille, qui se cambra en réponse. Comme elle portait une petite jupe, il eut vite fait de la relever et venir glisser ses doigts dans sa culotte. La peau de ses fesses étaient toujours aussi douce et il se délectait de promener ses doigts sur elles, les masser. Pauline soupirait entre deux de ses baisers. La chaleur montait dans leur ventre et, ici, personne ne viendrait les déranger.
- "Je vais te manger tout cru, frérot" lança-t-elle sur un ton de défi.
- "J'attends de voir ça !"
Sans perdre une seconde, Pauline s'agenouilla devant lui. Il la regardait déboutonner son short et le faire glisser en même temps que son boxer. Cela eut pour effet de libérer sa verge déjà dressée devant le visage de la jeune fille. Elle saisit cette verge et la branla quelques secondes. Puis elle releva la tête vers Tom et plongea son regard dans le sien.
- "Cette fois-ci, on n'a pas besoin de se retenir" déclara-t-elle. "Alors, on va prendre notre pied à fond tous les deux. Lâche-toi complètement et si tu dois venir dans ma bouche, ne te retient pas".
Tom n'en croyait pas ses oreilles. Il retrouvait la partenaire, excitée et animale, se livrant aux sensations charnelles. Dans cette cabane, ils allaient pouvoir laisser libre court à leurs désirs. Sans attendre sa réponse et sans quitter son regard, Pauline lécha son gland, le recouvrant de salive avant de l'enfourner dans sa bouche chaude. Elle ne quittait pas Tom des yeux et laissait aller et venir sa bouche le long de la verge durcie. Elle était désinhibée dans cette cabane et cela se sentait. Tom la voyait enfoncer son pénis au fond de sa bouche, sucer son gland, l'aspirer tout en émettant des gémissements de plaisir. Il découvrit qu'à genoux, elle avait glissé sa main sous sa jupe et dans sa culotte. La coquine se masturbait tout en le suçant.
Alors Tom décida de jouer le jeu et laissa sortir son animalité. Il plaça ses mains dans les cheveux de la jeune fille et accompagna ses mouvements de tête. Pauline n'y allait pas de main morte et se donnait à fond dans sa fellation. Tom pouvait lire toute son excitation dans son regard. Elle serrait sa verge dans sa main tout en aspirant son gland au fond de sa bouche. Où avait-elle acquis une telle technique pour son âge ? Il comprenait que l'initiation aux plaisirs charnels avait éveillé un pan de la personnalité de Pauline qui sommeillait. Elle aimait cela et ne s'en privait pas.
Chaque fois qu'elle enfonçait son sexe dans sa bouche, des frissons intenses remontaient du ventre de Tom et parcouraient son dos. Quand Pauline ralentissait le rythme pour essayer d'avaler davantage son sexe, il pouvait sentir son gland palpiter sur sa langue. Elle serrait ses lèvres sur lui, augmentant encore les frissons. Il se sentait fondre dans sa bouche. C'était si bon.
Elle reprit ensuite une fellation rapide. A ses gémissements, il comprenait que son excitation l'emballait. Lui aussi gémissait, criait parfois en sentant son gland au fond de sa bouche. Ses frissons étaient de plus en plus nombreux. Il réalisa que ses mains s'étaient crispées sur la tête de sa sœur et qu'il appuyait sur elle pour accentuer les mouvements de Pauline. Il retira alors ses mains pour éviter de l'incommoder.
Mais celle-ci reprit l'une de ses mains pour la placer à nouveau dans ses cheveux. Son regard n'avait pas quitté celui de son frère et trahissait la fièvre qui la possédait. Comme pour lui donner l'autorisation de se lâcher, Pauline reprit une fellation endiablée. Elle pompait littéralement le pénis son dard. Les vagues électriques qui remontèrent de son ventre dans son dos achevèrent de faire sauter les retenues de Tom. Ses deux mains se crispèrent sur la tête de Pauline et il accentua les mouvements de la bouche sur lui. C'était si bon de se lâcher en respectant la confiance de l'autre. Tom sentait son gland glisser sur le palais de Pauline, ses lèvres serrer sa verge quand elle l'aspirait. Avec ses mains, Tom faisait entrer davantage son sexe dans la bouche de Pauline. Elle subissait ses appuis docilement, continuant à gémir et à se masturber. Leurs regards ne se quittaient pas. Tom voyait sa verge disparaître presque en entier dans la bouche de Pauline.
Au bout d'une minute de ce traitement intense, le garçon sentit qu'il perdait pieds. Ses mains se crispèrent sur la tête de Pauline. Il sentait maintenant qu'il était aspiré dans sa bouche chaude et humide, dans sa gorge. Il avait l'impression de faire l'amour à la bouche de Pauline. La jeune fille comprit en voyant son regard et renforça sa prise sur sa verge. C'était trop. Des spasmes tordaient son ventre, ses jambes tremblaient, son dos était secoué de frissons. Il raffermit sa prise sur la tête de Pauline au moment où il se sentit partir. Il ferma les yeux et releva la tête. En une fraction de seconde, la limite fut franchie et il jouit. Il n'avait encore jamais joui comme ça. En quelques secondes, le brouillard avait envahi son esprit et son corps se résumait à sa verge dans la bouche chaude de son amante. Et il jouissait de ses caresses. Il jouissait et jouissait encore. Ca ne s'arrêtait pas. Il sentait des spasmes puissants contracter son ventre sans qu'il puisse les contrôler. Il criait sa jouissance comme jamais, dans ce coin isolé. Et chaque mouvement de la bouche de Pauline le long de sa verge lui arrachait un nouveau cri et un nouveau spasme. Il ne lâchait pas la tête de Pauline, seul repère pour garder son équilibre, et comprenait qu'il se déversait dans sa bouche. La jeune fille reçut docilement les jets de sperme sur la langue. Elle essayait même de continuer à le sucer pour prolonger son plaisir mais, bien vite, le sperme qui continuait de couler l'en empêcha. Elle dut même lutter un peu contre l'appui sur sa tête.
Quand son orgasme se calma, Tom relâcha la tête de Pauline et vit sa bouche remonter le long de son pénis pour finir par relâcher son gland. Il comprit en voyant le visage tout rougissant de la jeune fille qu'il avait joui trop de sperme pour elle.
- "Recrache tout Pauline, je suis désolé" proposa-t-il. Mais la jeune fille fit non de la tête. Elle dut avaler tout le sperme en deux fois avec une grimace.
- "Il ne faut pas laisser de preuve" expliqua-t-elle. "Mais je ne ferai pas ça tous les jours, c'est sûr." Tom s'agenouilla auprès d'elle, prit son visage entre ses mains et la remercia d'un baiser langoureux.
- "Bravo ma chérie, c'était super" la félicita-t-elle. "C'est fou que tu sois capable de sucer comme ça quand tu te lâches."
- "Oui, j'ai un peu perdu le contrôle. Mais je ne suis pas la seule. J'ai vu que tu as aimé me tenir la tête pendant que je te suçais. Toi aussi tu pourrais te lâcher plus, je suis sûre."
- "C'est clair que j'ai découvert ça chez moi et que je ne pensais pas pouvoir me lâcher autant. Mais ce n'est pas une raison pour s'arrêter en si bon chemin. Maintenant, c'est à moi de perdre le contrôle entre ses cuisses."
Associant ses mots aux gestes, Tom allongea la jeune fille sur une couverture qui servait à protéger les outils. Sans dire un mot, mais leurs regards ne se quittant pas, les deux ados se déshabillèrent et revinrent l'un contre l'autre. Cette cabane était devenue un sanctuaire pour eux. Ici, entouré de l'écrin du jardin, ils pouvaient se lâcher, être eux-mêmes et exprimer tout leur amour. Ils pouvaient se serrer l'un contre l'autre sans avoir à étouffer leurs paroles. Ici, ils n'étaient plus frère et soeur, ils étaient amants, amoureux et vivant comme si c'était le dernier jour sur Terre.
Tom se redressa sur Pauline. Qu'elle était belle. Ses cheveux châtains longs et bouclés se répandaient comme un oreiller sous sa tête. Elle le regardait avec ses yeux marrons, et son regard exprimait tout l'amour et le désir qu'elle avait pour lui. Sur son nez, des petites taches de rousseur la rendaient craquante. Et cette bouche, ces lèvres si roses, ce sourire désarmant. Comment n'avait-il pas peu l'aimer plus tôt ? Il l'embrassa torridement, comme pour rattraper le temps perdu. Puis quitta sa bouche et descendit le long de son corps. Il embrassa son cou et ses lèvres vinrent glisser sur ses seins, ses si jolis seins. Ils avaient la taille qui suffisait pour emplir sa main quand il la refermait sur eux, pour ballotter au rythme de ses coups de rein quand il était entre ses cuisses. Sa langue s'enroula autour de ses tétons et il la sentit frissonner sous elle en lâchant un gémissement. Les mains de Pauline s'étaient emparées de sa tête, comme pour l'encourager dans ses baisers.
Il laissa sa bouche dériver sur sa poitrine, ses lèvres suivre et embrasser ses courbes parfaites, faisant frissonner la peau si douce. Sa langue titillait ses tétons, qui se crispaient, comme pour se défendre. Alors ses dents vinrent les mordiller, ses lèvres vinrent les aspirer, les sucer. Et Pauline se tordait sous ces baisers, ces hanches se cambraient, ses gémissements se muaient en petits cris d'encouragements. Tom descendit ses mains le long des hanches de la jeune fille, les étreignit, comme pour les soumettre à sa volonté. Sa main écarta les cuisses faibles et il vînt glisser son corps entre elles.
Sa bouche descendit sur le ventre chaud, tanguant au rythme de la respiration haletante de Pauline. Sa langue glissa dans son nombril, langoureusement, avant de descendre sur son pubis. La toison de Pauline était d'un brun qui se mariait parfaitement avec le châtain de ses cheveux et sa peau bronzée par le soleil. Les mains de la jeune fille s'étaient crispées sur la tête de Tom quand elle était passée entre ses cuisses. Tom put voir combien la fellation animale avait excitée sa partenaire. Son minou était trempé et il n'eut aucun mal à y glisser la langue. Quand il se coula sur le clitoris de Pauline, elle bloqua sa respiration, sans doute surprise par l'intensité de la stimulation. Mais il n'était pas là pour lui faire l'amour tendrement. Il était là pour se lâcher à son tour, libérer l'animal en lui. Il était là pour la baiser.