22-10-2020, 06:47 PM
Nous nous faisons la bise. Ses joues sont froides… et douces. J’ai du rougir parce que les deux filles me regardent en riant. Quand elle sourit, Marianne a des fossettes qui se creusent de chaque côté de sa bouche, ça lui donne un air câlin et enjôleur. Nous rentrons à l’intérieur de la maison.
Nous passons toute la journée tous les trois, dans la chambre de ma cousine. Marianne est une fille charmante et pleine d’humour bien qu’au fil de la conversation il a pu lui arriver de se montrer timide. Elle forme un joli duo avec Claire et nous nous entendons tous très bien.
Le soir, Claire propose un « action ou vérité » ce que nous acceptons. Ma cousine s’assoit sur son lit, Marianne sur le canapé-lit et moi sur la chaise de bureau de Claire. Le jeu commence calmement avec des questions sans indiscrétion et des défis bon-enfant. Puis, sans préambule, ma cousine décide que le jeu doit prendre une autre tournure.
« - Cyril, action ou vérité ? demande-t-elle.
- Vérité.
- Est-ce que tu as déjà fait l’amour ?
- Non.
J’ai répondu sans réfléchir et maintenant je regrette : les filles vont se moquer de moi. Mais au contraire, je vois s’allumer dans les yeux de Claire une lueur de satisfaction, comme si c’était la réponse qu’elle attendait. C’est à mon tour de poser une question.
- Marianne, action ou vérité ?
- Vérité.
- Je te pose la même question que Claire.
- Oui, une seule fois… Claire, action ou vérité.
- Vérité, répond ma cousine.
- Même question.
- Oulà ! Oui, bien plus d’une fois ! dit-elle avec un sourire.
Quand j’y pense, cette conversation est assez surréaliste et je m’étonne que Marianne et moi ayons répondu sans trop de gène aux questions qui nous étaient posées alors que nous venons à peine de nous rencontrer. Un nouveau tour de table commence.
- Cyril, commence ma cousine, quel est ton plus grand fantasme ?
Le rouge me monte aux joues et je réalise que je n’ai pas du tout envie de répondre.
- Bon euh… j’en ai marre de ce jeu, je vais me coucher.
Et je sors de la chambre de ma cousine en claquant la porte. Mais, je reste devant et je jette un œil par le trou de la
serrure en tendant l’oreille.
- La pauvre ! dit la voix de Marianne. Tu lui as mis la honte, il était tout rouge.
- C’est sûr ! Il ne va pas sortir de sa chambre de si tôt ! Il est encore un peu coincé mais je fais ce qu’il faut pour que ça change.
- En tout cas il est très beau ton cousin, t’as de la chance !
- Ouais ! Et encore tu l’as pas vu torse nu, il est vachement bien foutu !
- Moi ça m’a excité cette discussion, dit Marianne en parlant moins fort.
- Roh… un rien t’excite, répond Claire sur le même ton. Tu veux que je te doigte ?
- Arrête Claire c’est pas drôle !
- Si on ne peut plus plaisanter… »
Le lendemain, je me lève vers 8h30. Mes parents, mon oncle et ma tante sont déjà debouts, dans le jardin, en plein conciliabule. Je décide alors de préparer le petit-déjeuner pour les filles. Je fais toaster du pain et je prépare des œufs au plat avec du jambon. Claire arrive.
« - Salut cousine, ça va ?
- Oui et toi, je suis encore un peu fatiguée, répond-elle en baillant.
- J’ai préparé le petit-déj, Marianne n’est pas là ?
- Elle finissait de prendre sa douche, attends, je vais voir où elle en est.
- Non non, laisse-moi faire ; toi, mange pendant que c’est chaud, dis-je galamment en lui servant une portion d’œuf.
Je monte à l’étage et je rentre dans la chambre de ma cousine.
- Marianne, tu es là ?
- C’est toi Cyril ? Tu peux me rendre un service s’il-te-plaît ? me répond une voix à travers la porte de la salle de bain.
- Oui bien sûr.
- J’ai oublié de prendre des vêtements propres en entrant dans la douche, tu pourrais m’en passer. Ils sont dans ma valise, au pied du lit.
- Euh… je dois pouvoir faire ça. Tu veux quoi comme vêtements ?
- N’importe.
Je sélectionne un mini short noir et un t-shirt marron à motifs en espérant qu’ils iront bien ensemble. Je toque à la porte de la douche que Marianne entrouvre et je lui passe les vêtements en regardant ailleurs.
- Merci beaucoup ! Oh attend, il va me falloir des sous-vêtements aussi.
Je l’entends rigoler et je me tape la honte une fois de plus. Je retourne à la valise, j’y prends une petite culotte grise et un soutien gorge assorti, assez transparent du reste. J’ai l’idée de regarder l’étiquette : 85D. C’est à peu près la taille que j’avais pronostiquée . Et c’est pour moi la mesure parfaite : pas trop imposant mais quand même généreux. Et puis c’est surtout adapté à sa morphologie et à ses proportions. Je lui passe les sous-vêtements.
« - Pas la peine de rougir ! s’esclaffe-t-elle.
- Comment tu sais que je rougis ?
- C’est pas dur à deviner… »
A-t-elle aussi deviné que j'ai une légère érection ? J’attends qu’elle se change puis quand elle sort de la douche, je lui fais un compliment sur sa tenue. Enfin, nous rejoignons Claire en bas.
A midi, les adultes nous font part de leur grand projet :
« - Les jeunes, commence mon oncle, nous allons profiter du retour du soleil pour partir deux jours en camping en pleine nature afin de découvrir et d’observer les oiseaux de Bretagne. Est-ce que vous voulez venir avec nous ?
- Non merci ! Claire et moi répondons en cœur.
Je ne commenterai pas ici leur passion pour l’ornithologie qui après tout ne vaut pas moins qu’une passion pour le bobsleigh ou pour GTA V…
- On se doutait que vous répondriez ça, dit ma tante. On part demain matin très tôt et on vous confie la maison.
- Tu peux compter sur moi pour faire à manger Tata ! dis-je, un brin fayot. »
Les filles et moi nous nous réjouissons du départ des adultes. Même s’ils ne nous gênent pas au quotidien, l’idée d’avoir la maison pour nous tous seuls n’est pas pour nous déplaire. Nous décidons d’occuper la journée du lendemain par une séance de plage et par un pique-nique. Claire m’annonce que je vais devoir faire les sandwichs…
Mais j’avoue que j’ai hâte d’être à demain. La corvée des sandwichs sera vite oublier quand j’aurai sous les yeux… euh… le bleu étincelant de la mer. Le soir, je fais la bise aux deux filles pour leur souhaiter une bonne nuit et j’en profite pour murmurer à l’oreille de Marianne :
« - Demain je veux bien t’aider à choisir tes vêtements aussi. »
Elle me répond par un clin d’œil que j’interprète comme un signe d’approbation. 307
Nous passons toute la journée tous les trois, dans la chambre de ma cousine. Marianne est une fille charmante et pleine d’humour bien qu’au fil de la conversation il a pu lui arriver de se montrer timide. Elle forme un joli duo avec Claire et nous nous entendons tous très bien.
Le soir, Claire propose un « action ou vérité » ce que nous acceptons. Ma cousine s’assoit sur son lit, Marianne sur le canapé-lit et moi sur la chaise de bureau de Claire. Le jeu commence calmement avec des questions sans indiscrétion et des défis bon-enfant. Puis, sans préambule, ma cousine décide que le jeu doit prendre une autre tournure.
« - Cyril, action ou vérité ? demande-t-elle.
- Vérité.
- Est-ce que tu as déjà fait l’amour ?
- Non.
J’ai répondu sans réfléchir et maintenant je regrette : les filles vont se moquer de moi. Mais au contraire, je vois s’allumer dans les yeux de Claire une lueur de satisfaction, comme si c’était la réponse qu’elle attendait. C’est à mon tour de poser une question.
- Marianne, action ou vérité ?
- Vérité.
- Je te pose la même question que Claire.
- Oui, une seule fois… Claire, action ou vérité.
- Vérité, répond ma cousine.
- Même question.
- Oulà ! Oui, bien plus d’une fois ! dit-elle avec un sourire.
Quand j’y pense, cette conversation est assez surréaliste et je m’étonne que Marianne et moi ayons répondu sans trop de gène aux questions qui nous étaient posées alors que nous venons à peine de nous rencontrer. Un nouveau tour de table commence.
- Cyril, commence ma cousine, quel est ton plus grand fantasme ?
Le rouge me monte aux joues et je réalise que je n’ai pas du tout envie de répondre.
- Bon euh… j’en ai marre de ce jeu, je vais me coucher.
Et je sors de la chambre de ma cousine en claquant la porte. Mais, je reste devant et je jette un œil par le trou de la
serrure en tendant l’oreille.
- La pauvre ! dit la voix de Marianne. Tu lui as mis la honte, il était tout rouge.
- C’est sûr ! Il ne va pas sortir de sa chambre de si tôt ! Il est encore un peu coincé mais je fais ce qu’il faut pour que ça change.
- En tout cas il est très beau ton cousin, t’as de la chance !
- Ouais ! Et encore tu l’as pas vu torse nu, il est vachement bien foutu !
- Moi ça m’a excité cette discussion, dit Marianne en parlant moins fort.
- Roh… un rien t’excite, répond Claire sur le même ton. Tu veux que je te doigte ?
- Arrête Claire c’est pas drôle !
- Si on ne peut plus plaisanter… »
Le lendemain, je me lève vers 8h30. Mes parents, mon oncle et ma tante sont déjà debouts, dans le jardin, en plein conciliabule. Je décide alors de préparer le petit-déjeuner pour les filles. Je fais toaster du pain et je prépare des œufs au plat avec du jambon. Claire arrive.
« - Salut cousine, ça va ?
- Oui et toi, je suis encore un peu fatiguée, répond-elle en baillant.
- J’ai préparé le petit-déj, Marianne n’est pas là ?
- Elle finissait de prendre sa douche, attends, je vais voir où elle en est.
- Non non, laisse-moi faire ; toi, mange pendant que c’est chaud, dis-je galamment en lui servant une portion d’œuf.
Je monte à l’étage et je rentre dans la chambre de ma cousine.
- Marianne, tu es là ?
- C’est toi Cyril ? Tu peux me rendre un service s’il-te-plaît ? me répond une voix à travers la porte de la salle de bain.
- Oui bien sûr.
- J’ai oublié de prendre des vêtements propres en entrant dans la douche, tu pourrais m’en passer. Ils sont dans ma valise, au pied du lit.
- Euh… je dois pouvoir faire ça. Tu veux quoi comme vêtements ?
- N’importe.
Je sélectionne un mini short noir et un t-shirt marron à motifs en espérant qu’ils iront bien ensemble. Je toque à la porte de la douche que Marianne entrouvre et je lui passe les vêtements en regardant ailleurs.
- Merci beaucoup ! Oh attend, il va me falloir des sous-vêtements aussi.
Je l’entends rigoler et je me tape la honte une fois de plus. Je retourne à la valise, j’y prends une petite culotte grise et un soutien gorge assorti, assez transparent du reste. J’ai l’idée de regarder l’étiquette : 85D. C’est à peu près la taille que j’avais pronostiquée . Et c’est pour moi la mesure parfaite : pas trop imposant mais quand même généreux. Et puis c’est surtout adapté à sa morphologie et à ses proportions. Je lui passe les sous-vêtements.
« - Pas la peine de rougir ! s’esclaffe-t-elle.
- Comment tu sais que je rougis ?
- C’est pas dur à deviner… »
A-t-elle aussi deviné que j'ai une légère érection ? J’attends qu’elle se change puis quand elle sort de la douche, je lui fais un compliment sur sa tenue. Enfin, nous rejoignons Claire en bas.
A midi, les adultes nous font part de leur grand projet :
« - Les jeunes, commence mon oncle, nous allons profiter du retour du soleil pour partir deux jours en camping en pleine nature afin de découvrir et d’observer les oiseaux de Bretagne. Est-ce que vous voulez venir avec nous ?
- Non merci ! Claire et moi répondons en cœur.
Je ne commenterai pas ici leur passion pour l’ornithologie qui après tout ne vaut pas moins qu’une passion pour le bobsleigh ou pour GTA V…
- On se doutait que vous répondriez ça, dit ma tante. On part demain matin très tôt et on vous confie la maison.
- Tu peux compter sur moi pour faire à manger Tata ! dis-je, un brin fayot. »
Les filles et moi nous nous réjouissons du départ des adultes. Même s’ils ne nous gênent pas au quotidien, l’idée d’avoir la maison pour nous tous seuls n’est pas pour nous déplaire. Nous décidons d’occuper la journée du lendemain par une séance de plage et par un pique-nique. Claire m’annonce que je vais devoir faire les sandwichs…
Mais j’avoue que j’ai hâte d’être à demain. La corvée des sandwichs sera vite oublier quand j’aurai sous les yeux… euh… le bleu étincelant de la mer. Le soir, je fais la bise aux deux filles pour leur souhaiter une bonne nuit et j’en profite pour murmurer à l’oreille de Marianne :
« - Demain je veux bien t’aider à choisir tes vêtements aussi. »
Elle me répond par un clin d’œil que j’interprète comme un signe d’approbation. 307