14-10-2020, 10:22 PM
Tous étaient dans les " vaps' ", tellement le " trip' " fût intense. Ce fût Diane qui brisa ce long et agréable silence, après l'effort. Cette douce félicité, elle la rompît à peine en murmurant à l'oreille de l'adolescent :
_ T'as le canon prêt à tirer, mets-le dans ma chatte, tires-moi, fais-moi sentir ton gros sexe, s'il te plaît, ta braguette...
Les sens affolés, Diane sortait un flot de propos insensés. Mais c'étaient les mots d'une femme follement amoureuse, sincère dans ses déclarations. Et lorsque le jeune homme capta sa demande, chuchotée d'une voix extrêmement douce, il lui glissa à son tour :
_ Pas tout de suite, s'il te plaît... Frottes-toi encore sur moi, masturbes-toi, ça m'excite...
Enchantée par la perspective de faire durer le plaisir, Diane reprît ses mouvements. Comme un couple de marathoniens unis dans la performance, tous deux suffoquèrent longtemps. Bien que concentrée sur le plaisir, son cerveau lui rappela, l'espace d'une fraction de seconde, un souvenir ; lorsqu'elle était sportive, elle s'était inscrite à une course de quinze kilomètres, dans une ville voisine. Plus que l'épreuve elle-même, l'approche et le franchissement de la ligne d'arrivée fûrent un supplice. Bien qu'entraînée à l'époque, pratiquant régulièrement le jogging et le trekking, elle ne souhaita pas renouveler l'expérience par la suite.
C'était en 1996 que Diane avait arrêté le sport, pour se consacrer à ses études. Depuis cette date, jamais plus qu'avec Gaétan, il ne lui avait semblé reprendre une activité physique avec autant de plaisir. Soudain, un violent soubressaut remua le corps du garçon. Sa queue avait bondi dans le carcan de tissu, d'une agréable fulgurance et, n'en pouvant plus, il ouvrît sa braguette. La jeune femme, écartant sa jupe en ampleur, forma une vaste corolle protectrice aux intimités bientôt unies. La verge, liberée du caleçon, émergea enfin. Diane frissona. Le bout de l'organe, impatient, cherchait la fente. Effleurant le clitoris, il la fît réagir de picotements au ventre.
Alors, progressivement guidé par les doigts de la jeune femme, dont les ongles longs effleuraient autant sa virilité que la peau des phalanges, sa robuste texture, le phallus trouva enfin le chemin. Diane apprivoisa un cylindre extrêmement brûlant, aussi doux au toucher que dur à la consistance, vibrant de battements de coeur ; sensations extrêmes qui l'impressionnèrent fortement. Arrivant entre ses petites lèvres, le gland s'introduisît en douceur dans le vagin. Et ce fût pour les amants le plus agréable choc de découvertes.
Soudainement, de fortes trépidations secouèrent le ventre de Diane. Ses muscles fessiers s'agitant, ce fûrent ensuite ses abdominaux qui lui comprimèrent l'intimité. Déjà le muscle constricteur frissonnait, savourant d'avance le festin proposé. Comprenant qu'elle ne pourrait plus se dégager de cette protubérance extérieure, devant aller jusqu'au bout désormais, la jeune femme se soumît aux forces du sexe. Elle n'éprouvait aucune peur cependant ; pleinement consentante, son corps et son âme étaient prêts à subir le grand chamboulement. Une ultime pensée traversa son esprit : jusqu'où le plaisir allait-il la mener ?
La professeure n'eût pas le temps de creuser la question, car le gland, à peine entré en elle, spongieux et doux, la fît redoubler de frissons. Cette puissante et agréable fièvre, elle la transporta plus encore de bien-être. Diane émît alors un doux sanglot, accompagné
d'autres... Et de contractions pulmonaires, sans cesse croissantes... Tant elle eût l'impression de chevaucher une " chose " hors normes...
Mais il n'y avait pas qu'elle à avoir peur. Ressentant le fourreau absorbant progressivement son gland, Gaétan avait peur lui aussi. On lui avait raconté que certaines femmes, et notamment les prostituées, savaient se servir de leurs muscles pour " purger " toutes les queues, même les plus robustes et endurcies de la Terre. Mais quand il sentît la douceur soyeuse du vagin, qui enveloppa bientôt son vît d'une bienveillance humidité, comme l'annonce d'une pluie tropicale, alors il cessa d'avoir peur.
Ressentant pleinement le madrier sur lequel elle s'empala avec toute son âme, Diane couina longuement. Ces vocalises d'abandon, l'adolescent les ressentît jusqu'au fond de son coeur, comme le plus beau des cadeaux. Et lorsqu'il se mît à râler profondément, il rejoignît la jeune femme en plein confort. Tous deux étaient pleinement reliés par leurs intimités ; désormais leurs corps n'existaient plus : elle était en lui, il était en elle. L'énergie de Gaïa, la déesse-terre, circulait en eux, passant de l'un à l'autre sans discontinuer. Tambourinant leurs corps, leurs coeurs se confondaient en battements sourds. Leurs esprits, envolés dans une autre dimension, étaient inaccessibles à d'autres qu'eux, trésor ultime offert à de soudains initiés.
Bien calée en son amant, la jeune femme savourait cette queue ultra-puissante lui developpant le buste en secousses orgasmiques ultra-fabuleuses. Son corps devenait celui d'une athlète olympique, partant à la quête d'un record personnel, celui de la plus grande jouissance au monde, emmenant son partenaire à se découvrir lui-même, en toute complicité. Diane haletait puissamment, en longues saccades ; le jeune homme, en amples inspirations et expirations. Leurs poumons, oppressés, ne parvenaient plus à leur fournir la quantité d'oxygène nécessaire pour absorber davantage de plaisirs. Leurs visages écarlates exprimaient tout leur bonheur de vivre, tout comme leur limite humaine.
Mais le couple tenait vaillamment. Comme la locomotive à vapeur, remontant péniblement une forte côte à pleine chaudière, tiroirs expulsant abondamment les longues traînées blanches sur son passage, " respirant " bruyamment comme les corps frénétiques des deux amoureux s'ébattant furieusement dans le canapé crissant. Mais la locomotive arrivait toujours au sommet, tractant de sa force invincible le convoi. Et Diane et Gaétan formaient en quelque sorte deux locomotives, unissant leurs tractions pour monter toujours plus haut, expulsant toujours plus de souffle de leurs bouches exacerbées. Comme la montée du train à vapeur dans les montagnes, leur ascension serait longue mais fantastique, véritable épopée humaine, inoubliable pour celles et ceux l'ayant vécu.
( A suivre )
_ T'as le canon prêt à tirer, mets-le dans ma chatte, tires-moi, fais-moi sentir ton gros sexe, s'il te plaît, ta braguette...
Les sens affolés, Diane sortait un flot de propos insensés. Mais c'étaient les mots d'une femme follement amoureuse, sincère dans ses déclarations. Et lorsque le jeune homme capta sa demande, chuchotée d'une voix extrêmement douce, il lui glissa à son tour :
_ Pas tout de suite, s'il te plaît... Frottes-toi encore sur moi, masturbes-toi, ça m'excite...
Enchantée par la perspective de faire durer le plaisir, Diane reprît ses mouvements. Comme un couple de marathoniens unis dans la performance, tous deux suffoquèrent longtemps. Bien que concentrée sur le plaisir, son cerveau lui rappela, l'espace d'une fraction de seconde, un souvenir ; lorsqu'elle était sportive, elle s'était inscrite à une course de quinze kilomètres, dans une ville voisine. Plus que l'épreuve elle-même, l'approche et le franchissement de la ligne d'arrivée fûrent un supplice. Bien qu'entraînée à l'époque, pratiquant régulièrement le jogging et le trekking, elle ne souhaita pas renouveler l'expérience par la suite.
C'était en 1996 que Diane avait arrêté le sport, pour se consacrer à ses études. Depuis cette date, jamais plus qu'avec Gaétan, il ne lui avait semblé reprendre une activité physique avec autant de plaisir. Soudain, un violent soubressaut remua le corps du garçon. Sa queue avait bondi dans le carcan de tissu, d'une agréable fulgurance et, n'en pouvant plus, il ouvrît sa braguette. La jeune femme, écartant sa jupe en ampleur, forma une vaste corolle protectrice aux intimités bientôt unies. La verge, liberée du caleçon, émergea enfin. Diane frissona. Le bout de l'organe, impatient, cherchait la fente. Effleurant le clitoris, il la fît réagir de picotements au ventre.
Alors, progressivement guidé par les doigts de la jeune femme, dont les ongles longs effleuraient autant sa virilité que la peau des phalanges, sa robuste texture, le phallus trouva enfin le chemin. Diane apprivoisa un cylindre extrêmement brûlant, aussi doux au toucher que dur à la consistance, vibrant de battements de coeur ; sensations extrêmes qui l'impressionnèrent fortement. Arrivant entre ses petites lèvres, le gland s'introduisît en douceur dans le vagin. Et ce fût pour les amants le plus agréable choc de découvertes.
Soudainement, de fortes trépidations secouèrent le ventre de Diane. Ses muscles fessiers s'agitant, ce fûrent ensuite ses abdominaux qui lui comprimèrent l'intimité. Déjà le muscle constricteur frissonnait, savourant d'avance le festin proposé. Comprenant qu'elle ne pourrait plus se dégager de cette protubérance extérieure, devant aller jusqu'au bout désormais, la jeune femme se soumît aux forces du sexe. Elle n'éprouvait aucune peur cependant ; pleinement consentante, son corps et son âme étaient prêts à subir le grand chamboulement. Une ultime pensée traversa son esprit : jusqu'où le plaisir allait-il la mener ?
La professeure n'eût pas le temps de creuser la question, car le gland, à peine entré en elle, spongieux et doux, la fît redoubler de frissons. Cette puissante et agréable fièvre, elle la transporta plus encore de bien-être. Diane émît alors un doux sanglot, accompagné
d'autres... Et de contractions pulmonaires, sans cesse croissantes... Tant elle eût l'impression de chevaucher une " chose " hors normes...
Mais il n'y avait pas qu'elle à avoir peur. Ressentant le fourreau absorbant progressivement son gland, Gaétan avait peur lui aussi. On lui avait raconté que certaines femmes, et notamment les prostituées, savaient se servir de leurs muscles pour " purger " toutes les queues, même les plus robustes et endurcies de la Terre. Mais quand il sentît la douceur soyeuse du vagin, qui enveloppa bientôt son vît d'une bienveillance humidité, comme l'annonce d'une pluie tropicale, alors il cessa d'avoir peur.
Ressentant pleinement le madrier sur lequel elle s'empala avec toute son âme, Diane couina longuement. Ces vocalises d'abandon, l'adolescent les ressentît jusqu'au fond de son coeur, comme le plus beau des cadeaux. Et lorsqu'il se mît à râler profondément, il rejoignît la jeune femme en plein confort. Tous deux étaient pleinement reliés par leurs intimités ; désormais leurs corps n'existaient plus : elle était en lui, il était en elle. L'énergie de Gaïa, la déesse-terre, circulait en eux, passant de l'un à l'autre sans discontinuer. Tambourinant leurs corps, leurs coeurs se confondaient en battements sourds. Leurs esprits, envolés dans une autre dimension, étaient inaccessibles à d'autres qu'eux, trésor ultime offert à de soudains initiés.
Bien calée en son amant, la jeune femme savourait cette queue ultra-puissante lui developpant le buste en secousses orgasmiques ultra-fabuleuses. Son corps devenait celui d'une athlète olympique, partant à la quête d'un record personnel, celui de la plus grande jouissance au monde, emmenant son partenaire à se découvrir lui-même, en toute complicité. Diane haletait puissamment, en longues saccades ; le jeune homme, en amples inspirations et expirations. Leurs poumons, oppressés, ne parvenaient plus à leur fournir la quantité d'oxygène nécessaire pour absorber davantage de plaisirs. Leurs visages écarlates exprimaient tout leur bonheur de vivre, tout comme leur limite humaine.
Mais le couple tenait vaillamment. Comme la locomotive à vapeur, remontant péniblement une forte côte à pleine chaudière, tiroirs expulsant abondamment les longues traînées blanches sur son passage, " respirant " bruyamment comme les corps frénétiques des deux amoureux s'ébattant furieusement dans le canapé crissant. Mais la locomotive arrivait toujours au sommet, tractant de sa force invincible le convoi. Et Diane et Gaétan formaient en quelque sorte deux locomotives, unissant leurs tractions pour monter toujours plus haut, expulsant toujours plus de souffle de leurs bouches exacerbées. Comme la montée du train à vapeur dans les montagnes, leur ascension serait longue mais fantastique, véritable épopée humaine, inoubliable pour celles et ceux l'ayant vécu.
( A suivre )