CHAPITRE XCI
''Sic vita est''
''Sic vita est''
Après une bonne toilette et un copieux petit déjeuner Burydan visita les quartiers de Ween'Doz qu'il n'avait pas encore arpentés. Il flâna, admirant les objets vendus dans les échoppes et les boutiques, prit un déjeuner dans une taverne et se promena dans les jardins de la ville.
Il prit un bain privé, se fit masser et rabattre le poil. Il se dirigea vers le quartier vert et chercha la maison d'Arthas.
Il saisit le heurtoir et frappa trois coups. Arthas lui ouvrit lui même la porte.
- Ah, Burydan, quel plaisir de te voir. Entre, je t'en prie...
Maison cossue et richement décorée. ''Eh bien, se dit Burydan, j'aurais dû accepter de devenir le maître d'arme du dauphin, apparemment le roi paye bien''.
Ils s'installèrent au salon et Arthas dit :
- Je t'abandonne trois minutes, je ne voudrais pas que le repas brûle...
- Comment, c'est toi qui fait la cuisine ?
- Oui. Je ne sais si je suis un bon cuisinier, mais bon...
Alors qu'il se levait, Burydan décida de l'accompagner. Une grosse marmite glougloutait sur la plaque de cuisson.
- Excuse moi, Arthas, mais tu n'as pas de cuisinier ?
- Si. J'ai une cuisinière, un majordome, une chambrière, un valet et un palefrenier. Mais je leur ai donné congé tout le saïpong. J'ai pensé qu'ainsi nous serions plus à l'aise pour... ''discuter''
Burydan entendit les guillemets à ''discuter'' et sourit.
Arthas goûta son ragoût, rectifia l'assaisonnement et demanda :
- Tu as faim ?
Burydan ne répondit pas, s'approcha de la cuisinière et poussa la marmite hors du feu. Arthas leva un sourcil interrogateur.
- Non, dit Burydan, je n'ai pas très faim. Je me contenterai d'un... dessert...
Il mit une main sur la poitrine d'Arthas et le poussa doucement jusqu'à ce que son dos bute contre le mur. La respiration du maître d'arme s'accéléra quand il vit une lueur de pure luxure briller dans les yeux de son invité.
Burydan prit les poignets de son hôte et les épingla au dessus de sa tête.
- Et ça va être toi mon dessert...
Et il écrasa ses lèvres sur celles d'Arthas. D'abord un peu surpris, le maître d'arme ne réagit pas, mais il sentit la langue de Burydan caresser ses lèvres. Il entrouvrit la bouche et les deux hommes s'embrassèrent fougueusement.
Burydan lâcha ses poignets et l'attira à lui, le collant contre son corps en avançant le bassin. Il voulait qu'Arthas sente sa phénoménale érection. Et il fut surpris de sentir, à travers le pantalon d'Arthas, une érection encore plus monumentale que la sienne.
Ils s'enlacèrent et commencèrent à se dévêtir lentement.
- Attends, dit Arthas, on sera plus à l'aise dans ma chambre...
Ils y coururent presque tellement ils étaient excités. La porte à peine refermée, ils se jetèrent l'un sur l'autre. Les doigts tremblant ils se déshabillèrent mutuellement.
Arthas, une fois la chemise de Burydan ôtée, se jeta sur ses sublimes pecs et mordilla ses tétons. Burydan fit de même une fois le maître d'arme torse nu. Leurs vêtements jonchèrent bientôt le sol, et ils étaient l'un devant l'autre, nus et la bite tendue.
Arthas était extrêmement bien fait. Les épaules larges, les pectoraux énormes, le ventre bosselé, les cuisses épaisses. Il n'avait pas le moindre poil et avait la peau très douce.
Mais le plus impressionnant, c'était son sexe. Il était extrêmement long, dans les vingt trois pouces au moins, et d'une belle épaisseur. Totalement décalotté sous l'effet de l'excitation, il s'ornait d'un beau gland violacé, replet et joufflu. Burydan prit le sexe dans son poing et commença à le pétrir lentement en plantant ses yeux dans ceux d'Arthas. Et il commença à le masturber lentement, le maître d'arme lui rendant la pareille.
La bite d'Arthas lui rappela celle de Nathanaël, son beau berger, et il mourrait d'envie de la sentir le remplir complètement. Il voulait la sentir en lui, enfoncée jusqu'à la garde et aller et venir dans son fourreau.
Mais Arthas avait d'autres projets.
- Dés la seconde où je t'ai vu, j'ai eu envie de toi, Burydan. J'ai eu envie de te sentir me posséder. Baise moi. Prends moi comme une bête...
Burydan sourit, d'un sourire de carnassier, et dit :
- Allonge toi sur le lit. Sur le dos... et écarte les cuisses...
Une fois le maître d'arme allongé, le dos calé contre deux oreillers, les cuisses bien écartées, Burydan se coucha entre ses jambes confortablement.
Il lécha la peau douce de l'intérieur des cuisses épaisses, remonta jusqu'à l'aine droite, la lécha consciencieusement, fit de même avec l'aine gauche, puis commença à s'occuper des couilles d'Arthas. Elles étaient toutes rondes, toutes douces et bien pleines.
Burydan les lécha, les goba, les suça encore et encore. Il huma à plein poumon la petite fragrance musquée de l'intimité d'Arthas et banda encore plus fort quand le maître d'arme se mit à gémir.
Il regarda ses couilles dégoulinantes de salive et releva les yeux vers sa queue. C’était vraiment un beau morceau. Elle palpitait et une petite trace humide et visqueuse sur son ventre, au niveau de son gland, trahissait son état d'excitation.
Burydan la lécha sur toute sa longueur, lentement, en plantant ses yeux dans ceux d'Arthas, qui ne manquait aucune miette du spectacle. Burydan saisit la bite à sa base, la maintint bien droite, et la lécha de nouveau, dessus et sur le côtés, de bas en haut et de haut en bas. D'une langue baveuse, il tournoya autour du gland joufflu puis, ouvrant la bouche au maximum, vu la taille de l'engin, il l'avala.
- Oh putain ! dit Arthas.
Burydan prit son temps pour s'approprier ce beau fruit mûr, le suçotant, adorant sentir la peau lisse caresser ses lèvres bien serrées, puis enroula sa langue tout autour et le pressa contre son palais. Arthas le regardait faire. Burydan commença à avaler l'énorme colonne de chair lentement, morceau par morceau.
Il n'avait jamais eu de problème à avaler des grosses queues. Certains de ses clients étaient montés comme des mulets, et Burydan avait toujours réussit à les prendre en gorge profonde. Et il adorait ça, même. Comme il adorait sucer la grosse bite d'Aragorn. Elle était peut-être un peu moins longue de trois ou quatre pouces, mais tout aussi épaisse. Comme il avait adoré sucer Nathanaël, son beau berger, dont la sublime queue pouvait rivaliser sans problème avec celle d'Arthas.
Petit hoquet de surprise du maître d'arme quand les lèvres de Burydan se serrèrent à la base de sa bite. Il y était arrivé. Il l'avait prit tout au fond de sa gorge. Il resta ainsi le plus longtemps possible et, quand il commença à s'étouffer, remonta lentement jusqu'au gland, en salivant abondamment.
Il commença à sucer ce colosse avec délectation, s'en goinfrant littéralement, alternant le rythme et la profondeur de la fellation. Arthas s’était mis à pousser des petits cris foutrement excitants en fourrageant ses doigts dans les mèches brunes de Burydan.
Après un long moment de pur plaisir, Burydan recracha la grosse queue. Arthas gémissait tellement fort que Burydan eut peur de le faire jouir. Or, il avait d'autres projets. Il regarda Arthas, les yeux hallucinés, sourit, et mit ses genoux de part et d'autre de son torse sculptural. Il s'avança un peu. Arthas ouvrit la bouche et sortit sa langue. Burydan fit rebondir son gland sur cette langue et s'enfonça dans l'antre moite.
Arthas le suça avec application et il était plutôt doué. Burydan le laissa faire un petit moment, puis le maintint par la nuque et se mit à lui baiser la bouche en cadence. Il lui faisait sucer son gland puis lui remplissait la gorge, reculait quand le maître d'arme se mettait à hoqueter, et recommençait encore et encore.
Il lui retira enfin complètement sa bite. Arthas essuya ses lèvres écumeuses d’un revers de main et Burydan se pencha vers lui pour un baiser fougueux. lécha le corps sculptural de sa langue fouineuse, n'omettant aucun pouce carré de peau en insistant sur les tétons et le nombril. Il prit un oreiller, le plia en deux et le cala sous les reins d'Arthas qui remonta les jambes et les maintint ainsi, les mains sous ses genoux. Vue plongeante sur le petit trou du maître d'arme, tout fripé.
Burydan se mit à le laper avec application. Lentement. Très lentement. Lissant les plis et replis jusqu'à ce qu'apparaisse la chair rose tendre. Il s'en délecta littéralement et ouvrit l'antre d'Arthas de la pointe de sa langue avant de s'enfoncer en lui.
Arthas, entre deux couinement, dit :
- Oh, prends moi ! J'en peux plus... j'ai le cul en feu... baise moi, je t'en supplie !
Burydan se releva sur les genoux et sourit. Il cracha dans sa main et se lubrifia copieusement la queue. Arthas le regardait faire en s'enfonçant un, puis deux, puis trois doigts dans le cul, s'ouvrant pour lui.
Burydan approcha son gland joufflu du trou tout ouvert et poussa. Le muscle résista à peine et il s’enfonça dans Arthas d'un lent mouvement régulier, jusqu'à la garde.
Burydan le lima, le pilonna, le martela, le démonta avec fougue en variant les positions. Arthas adorait que Burydan le domine, et il ne s'en priva pas, étranglant Arthas quand il le prenait de face, le maintenant par la nuque, la tête enfoncée dans les oreillers quand il le prenait par derrière, et lui claquant les fesses.
Arthas, allongé sur le dos, et Burydan à genoux entre ses cuisses le pilonnant comme un dingue, cria de plus en plus fort :
- Oh oui ! Baise moi ! Défonce moi ! Bourre moi ! Prends moi comme une bête ! Fais moi sentir ta bite ! Oh oui, vas-y, plus vite ! Plus fort ! Plus profond ! Oh oui... oui... ouiiiiiii !
Arthas gueula de plaisir et sa bite explosa en un geyser de foutre. Burydan ne savait pas depuis combien de temps il ne s'était pas... soulagé... mais la quantité de sperme était impressionnante. Il lui donna encore quatre puissants coups de reins et jouit à son tour dans un rugissement rauque. Il colla son corps ruisselant de sueur contre celui d'Arthas et ils restèrent ainsi un long moment en savourant les répliques de leur orgasme.