11-10-2020, 04:35 PM
L'adolescent planta alors son regard dans celui de la jeune femme. Un éclair passa entre leurs yeux, donnant le signal du départ. En se déplaçant légèrement, Diane ressentît l'érection prolongée du jeune homme ; une soudaine pulsion l'envahît, croissante. Avec une rapidité stupéfiante, elle se mît à califourchon sur l'adolescent. Ce dernier tenta bien de se dégager, mais mollement ; le plaisir l'ayant envahi également, il se laissa faire. Prise de frénésie, la jeune femme frotta son entre-jambes sur sa braguette, déclenchant en lui le bien-être.
Gaëtan venait de réaliser que, sous sa jupe, Diane ne portait pas de culotte. Malgré les étoffes, il sentît excellement la luxurieuse fente lui labourant la braguette. Tandis qu'il lâchait un discret grognement de bonheur, la jeune femme, ne contrôlant plus sa vulve, haletait comme une diablesse. C'était comme un besoin physique, trop longtemps contrarié, que la rencontre du jeune homme avait soudain réveillé. La professeure entraîna l'adolescent dans ses époumonnements, permettant à leurs corps de s'exprimer enfin. Bientôt les amants unirent leurs essoufflements à la conquête du plaisir.
Dans son émoi, le garçon constata les premiers spasmes féminins de sa partenaire : des tremblements issus de son ventre, bientôt transformés en fortes secousses, lui percutant le buste. Ses seins, durcis à l'extrême, tressautèrent alors dans le pull rouge et Gaëtan, collant son front contre celui de Diane, pût deviner en baissant les yeux, la voluptueuse poitrine ballotant fièrement sous son vêtement.
Après un nouvel orgasme, Diane recula le tronc et Gaëtan, plongeant la tête sur le buste offert, y posa la bouche, embrassant à travers le pull les seins enfin à portée. Après un premier contact, des plus somptueux, sa langue et ses lèvres léchèrent la laine, humidifiant la fine matière recouvrant le galbe et les tétons au plus près. La texture râpeuse ne le décourageât point, et de femme attendrie, Diane devînt sollicitée.
_ OHHH !!!! Arre-e-ête !!!! Tu m'exci-i-te....
_ Tes seins... Je veux les voir...
_ Plus tard, s'il te plaît...
_ Montre-les moi.
_ Plus tard.
Elle le repoussa contre le canapé ; les amants se regardèrent alors quelques instants, désorientés par cette fulgurance inédite. Avant Diane n'éclata de rire, entraînant Gaëtan dans son hilarité. Tous deux se serrèrent ensuite longuement dans les bras, jusqu'à ce que la jeune femme demande :
_ C'était bien-n-n... On le refait ?
_ Oh oui !
La jeune femme se tortilla brièvement, le temps de retrousser complètement sa longue jupe, permettant à son clitoris de frotter davantage sur l'excroissance bombée. Embrassanr longuement le jeune homme, avant de lui raboter à nouveau la braguette. La frénésie sexuelle augmenta. Prise de spasmes de plus en plus puissants, Diane hocquetait. Gaëtan sentît sa bite trépider, et cria :
_ OH ! MON DIEU !
Sa queue, prise d'une violente secousse, avait fait trembler tout le reste de son corps, manquant de le précipiter dans son pantalon. Diane, que le cri masculin avait temporairement interrompu, entoura le cou de son amant dans ses bras, l'embrassant longuement en récompense de son ardeur. Leurs langues se découvrîrent alors une commune passion, celle de la sensualité, et prîrent tout le temps d'en profiter. Multipliant de leurs mains tremblantes, des caresses de plus en plus fébriles, la passion embrasa les amoureux définitivement.
A travers le pull en laine, les mains baladeuses de Gaëtan ne pouvaient s'empêcher de palper les seins volumineux de Diane. Sous l'étoffe rêche, ses paumes captèrent le galbe gonflé, et surtout ses tétons furieusement durcis. Tant de sollicitations suffoquèrent Diane, qui multipliait les grognements, faisant chavirer davantage le jeune homme. Elle dût repousser les assauts du jeune homme, lui écartant les mains presque avec violence. Devenue tigresse, elle cherchait à dompter le tigre. Elle le fixa brièvement à nouveau, dans les yeux ; L'adolescent crût lire un mélange de fureur, de domination, heureusement contre-balancé par une immense tendresse, et un sourire coquin ne laissant aucun doute sur ses intentions.
Collant à nouveau sa bouche sur la sienne, la jeune femme gémissait langoureusement. De ses cris etouffés, elle guidait le jeune homme qui, du fond de sa luxure, ne cherchait plus à comprendre. Elle avait passé la main sous les vêtements de Gaëtan, caressant inlassablement son dos musclé, son torse aux pectoraux et abdominaux développés... Diane en était convaincu maintenant, la chance avait mis sur son chemin un taureau de concours, qui allait lui offrir une monte puissante. Elle sentît également, à travers les fringues de son partenaire, ses tétons durcis, l'excitant davantage.
L'adolescent l'était tout autant. Enflammé comme un brasier, il dévorait la jeune femme à tous sens. Entre sa langue s'entre-mêlant furieusement à la sienne, en un furieux ballet, comme ses féminines mains sur sa peau, lui donnant une chaleur relaxante comme il ne l'eût jamais vécue. Alors qu'il voulût une fois de plus lui palper les seins à travers le pull, Diane s'arracha de sa bouche en grognant puissamment, repoussant ses bras une fois de plus. Nullement découragé, l'adolescent rugît et, se ruant sur le cou de Diane, l'embrassant toujours plus goulûment. Le contact des lèvres survoltées, bientôt accompagnés de coups de langues frénétiques, fît défaillir la jeune femme qui, entre deux soupirs étouffés, eût à peine la force de glapir :
_ Oh ! Arrête ! Arrête !
S'écartant de lui, il ne chercha pas à la retenir. Lui aussi, avait été bien secoué par cette furieuse passion. Reprenant lentement leurs esprits, les deux amants se retrouvèrent assis l'un à côté de l'autre. Encore chamboulés par cette torride expérience, ils se regardèrent longtemps, aussi surpris l'un que l'autre. Leurs vêtements ayant fait les frais de leurs ébats, Gaëtan remis son tee-shirt dans le pantalon et réajusta le sweet-shirt ; Diane en fît de même avec son pull de laine, que l'adolescent manqua de peu retrousser, dernier barrage recouvrant la si convoitée poitrine.
La jeune femme, au visage caché par la longue chevelure en désordre, rejeta d'un brusque mouvement de tête, sa belle crinière dans le dos, écartant ensuite quelques mèches rebelles, du bout des doigts, sur ses épaules ; le tout sous les yeux d'un Gaëtan admiratif.
Emu, il ne pût s'empêcher de faire un compliment :
_ Diane, tu es la Reine des Amazones !
Amusée par le compliment, elle décida de prendre Gaëtan au mot :
_ Sais-tu qui étaient les Amazones ?
_ Des guerrières.
_ Des guerrières de la Grèce Antiques. Elles étaient des femmes-soldats qui vivaient entre elles, ne s'accouplant qu'avec des prisonniers de guerre qu'elles massacraient ensuite. Elles ne gardaient que les nouveau-nés féminins, pour assurer leur descendance, tuant les masculins.
_ Charmant programme !
_ Les Amazones ont changé, Gaëtan. Elles ont compris qu'il fallait faire l'amour, pas la guerre. Elles s'accouplent aujourd'hui avec les hommes, plus pour les tuer, mais pour les faire renaître. Elles ont retrouvé toute leur âme, et si jamais les Amazones de l' Antiquité Grecque revenaient, nous serions horrifiées qu'elles massacrent nos partenaires.
_ Il nous faudrait alors prendre les armes.
_ C'est ça ! Femmes et hommes unis dans l'égalité pour vaincre ce péril commun : des tueuses menaçant nos vies et celles de nos hommes, voulant nous empêcher d'être épanoui(e)s sexuellement comme sentimentalement. Il nous faudrait ressortir les antiques lances, épées et boucliers de nos ancêtres, et massacrer les ennemies de notre mode de vie. Et, après les avoir vaincues, faire l'amour sur le champ de bataille ; et dans la plus belle des orgies, faire renaître la vie, encore et encore, au milieu de la mort...
Diane avait improvisé une envolée lyrique d'une telle intensité, qu'elle se reflétait à travers son sourire, jusque dans son regard. Gaëtan la regardait, fasciné. De nouveau, l'éclair de la passion transperça leurs iris. Diane ne pût réprimer une pulsion soudaine : son corps lui ordonna de se remettre à califourchon sur le jeune homme. Alors qu'elle fût sur lui, un puissant grognement traversa sa gorge, sa vulve impatiente la remerciait du geste, bientôt suivi par un doux râle du garçon, heureux de retrouver sa partenaire sur lui.
Et quelques baisers plus tard, la professeure reprît ses frottements sur la braguette, passionnée comme jamais de cette organe recroquevillé dans un blue-jeans trop étroit. A mesure que l'extase augmentait, l'adolescent, de plus en plus excité, étouffait de bien-être, tout comme la jeune femme, tremblante de tous ses muscles y compris intimes. La passion augmentait au rythme de leurs ébats, toujours plus débordante. Il leur faudrait bientôt ouvrir toutes les vannes, la pudeur ayant volé en éclats depuis longtemps, et le barrage de leurs vêtements ne pouvant plus contenir leur fougue prochaine.
Soudain, Diane se sentît humide, peut-être même comme jamais elle ne l'eût été au cours de sa vie sexuelle. Vagin, clitoris, petites lèvres... Toute sa féminité s'était dilatée, gorgée de sang brûlant. La cyprine, inondant ses entrailles les plus fines, les plus intimes, alla jusqu'à tomber en un long filet chaud sur la braguette du jeune homme, tandis qu'un cri puissant le tétanisa. C'était Diane qui hurlait son bonheur, d'un bref mais déchirant hurlement de confort, tellement puissant qu'elle ne pouvait l'extérioriser entièrement.
La jeune femme n'en pouvait plus, son ventre savait ce qu'elle voulait et Diane savait ce que son ventre voulait. La professeure, pour la première fois de sa vie, se sentait partagée en deux. Deux parts égales d'elle-même, en apparence opposées, mais pourtant complémentaires, la chair et l'esprit, toutes deux dirigées vers un même but : atteindre l'inatteignable, accéder à l'inaccessible, rejoindre l'injoignable... Les qualificatifs se bousculèrent tant dans son esprit qu'à la fin son cerveau disjoncta : l'ineffable avait triomphé de la volonté. Un nouveau cri lui arracha les poumons ; c'était le plaisir, qui lui faisait comprendre que la jouisseuse avait priorité sur l'intellectuelle désormais. D'ultimes secousses l'agitèrent encore, vite interrompues par un brusque sanglot. Aussi épuisée qu'essouflée, Diane s'écroula sur le corps de Gaëtan, lui aussi harassé.
( A suivre )
Gaëtan venait de réaliser que, sous sa jupe, Diane ne portait pas de culotte. Malgré les étoffes, il sentît excellement la luxurieuse fente lui labourant la braguette. Tandis qu'il lâchait un discret grognement de bonheur, la jeune femme, ne contrôlant plus sa vulve, haletait comme une diablesse. C'était comme un besoin physique, trop longtemps contrarié, que la rencontre du jeune homme avait soudain réveillé. La professeure entraîna l'adolescent dans ses époumonnements, permettant à leurs corps de s'exprimer enfin. Bientôt les amants unirent leurs essoufflements à la conquête du plaisir.
Dans son émoi, le garçon constata les premiers spasmes féminins de sa partenaire : des tremblements issus de son ventre, bientôt transformés en fortes secousses, lui percutant le buste. Ses seins, durcis à l'extrême, tressautèrent alors dans le pull rouge et Gaëtan, collant son front contre celui de Diane, pût deviner en baissant les yeux, la voluptueuse poitrine ballotant fièrement sous son vêtement.
Après un nouvel orgasme, Diane recula le tronc et Gaëtan, plongeant la tête sur le buste offert, y posa la bouche, embrassant à travers le pull les seins enfin à portée. Après un premier contact, des plus somptueux, sa langue et ses lèvres léchèrent la laine, humidifiant la fine matière recouvrant le galbe et les tétons au plus près. La texture râpeuse ne le décourageât point, et de femme attendrie, Diane devînt sollicitée.
_ OHHH !!!! Arre-e-ête !!!! Tu m'exci-i-te....
_ Tes seins... Je veux les voir...
_ Plus tard, s'il te plaît...
_ Montre-les moi.
_ Plus tard.
Elle le repoussa contre le canapé ; les amants se regardèrent alors quelques instants, désorientés par cette fulgurance inédite. Avant Diane n'éclata de rire, entraînant Gaëtan dans son hilarité. Tous deux se serrèrent ensuite longuement dans les bras, jusqu'à ce que la jeune femme demande :
_ C'était bien-n-n... On le refait ?
_ Oh oui !
La jeune femme se tortilla brièvement, le temps de retrousser complètement sa longue jupe, permettant à son clitoris de frotter davantage sur l'excroissance bombée. Embrassanr longuement le jeune homme, avant de lui raboter à nouveau la braguette. La frénésie sexuelle augmenta. Prise de spasmes de plus en plus puissants, Diane hocquetait. Gaëtan sentît sa bite trépider, et cria :
_ OH ! MON DIEU !
Sa queue, prise d'une violente secousse, avait fait trembler tout le reste de son corps, manquant de le précipiter dans son pantalon. Diane, que le cri masculin avait temporairement interrompu, entoura le cou de son amant dans ses bras, l'embrassant longuement en récompense de son ardeur. Leurs langues se découvrîrent alors une commune passion, celle de la sensualité, et prîrent tout le temps d'en profiter. Multipliant de leurs mains tremblantes, des caresses de plus en plus fébriles, la passion embrasa les amoureux définitivement.
A travers le pull en laine, les mains baladeuses de Gaëtan ne pouvaient s'empêcher de palper les seins volumineux de Diane. Sous l'étoffe rêche, ses paumes captèrent le galbe gonflé, et surtout ses tétons furieusement durcis. Tant de sollicitations suffoquèrent Diane, qui multipliait les grognements, faisant chavirer davantage le jeune homme. Elle dût repousser les assauts du jeune homme, lui écartant les mains presque avec violence. Devenue tigresse, elle cherchait à dompter le tigre. Elle le fixa brièvement à nouveau, dans les yeux ; L'adolescent crût lire un mélange de fureur, de domination, heureusement contre-balancé par une immense tendresse, et un sourire coquin ne laissant aucun doute sur ses intentions.
Collant à nouveau sa bouche sur la sienne, la jeune femme gémissait langoureusement. De ses cris etouffés, elle guidait le jeune homme qui, du fond de sa luxure, ne cherchait plus à comprendre. Elle avait passé la main sous les vêtements de Gaëtan, caressant inlassablement son dos musclé, son torse aux pectoraux et abdominaux développés... Diane en était convaincu maintenant, la chance avait mis sur son chemin un taureau de concours, qui allait lui offrir une monte puissante. Elle sentît également, à travers les fringues de son partenaire, ses tétons durcis, l'excitant davantage.
L'adolescent l'était tout autant. Enflammé comme un brasier, il dévorait la jeune femme à tous sens. Entre sa langue s'entre-mêlant furieusement à la sienne, en un furieux ballet, comme ses féminines mains sur sa peau, lui donnant une chaleur relaxante comme il ne l'eût jamais vécue. Alors qu'il voulût une fois de plus lui palper les seins à travers le pull, Diane s'arracha de sa bouche en grognant puissamment, repoussant ses bras une fois de plus. Nullement découragé, l'adolescent rugît et, se ruant sur le cou de Diane, l'embrassant toujours plus goulûment. Le contact des lèvres survoltées, bientôt accompagnés de coups de langues frénétiques, fît défaillir la jeune femme qui, entre deux soupirs étouffés, eût à peine la force de glapir :
_ Oh ! Arrête ! Arrête !
S'écartant de lui, il ne chercha pas à la retenir. Lui aussi, avait été bien secoué par cette furieuse passion. Reprenant lentement leurs esprits, les deux amants se retrouvèrent assis l'un à côté de l'autre. Encore chamboulés par cette torride expérience, ils se regardèrent longtemps, aussi surpris l'un que l'autre. Leurs vêtements ayant fait les frais de leurs ébats, Gaëtan remis son tee-shirt dans le pantalon et réajusta le sweet-shirt ; Diane en fît de même avec son pull de laine, que l'adolescent manqua de peu retrousser, dernier barrage recouvrant la si convoitée poitrine.
La jeune femme, au visage caché par la longue chevelure en désordre, rejeta d'un brusque mouvement de tête, sa belle crinière dans le dos, écartant ensuite quelques mèches rebelles, du bout des doigts, sur ses épaules ; le tout sous les yeux d'un Gaëtan admiratif.
Emu, il ne pût s'empêcher de faire un compliment :
_ Diane, tu es la Reine des Amazones !
Amusée par le compliment, elle décida de prendre Gaëtan au mot :
_ Sais-tu qui étaient les Amazones ?
_ Des guerrières.
_ Des guerrières de la Grèce Antiques. Elles étaient des femmes-soldats qui vivaient entre elles, ne s'accouplant qu'avec des prisonniers de guerre qu'elles massacraient ensuite. Elles ne gardaient que les nouveau-nés féminins, pour assurer leur descendance, tuant les masculins.
_ Charmant programme !
_ Les Amazones ont changé, Gaëtan. Elles ont compris qu'il fallait faire l'amour, pas la guerre. Elles s'accouplent aujourd'hui avec les hommes, plus pour les tuer, mais pour les faire renaître. Elles ont retrouvé toute leur âme, et si jamais les Amazones de l' Antiquité Grecque revenaient, nous serions horrifiées qu'elles massacrent nos partenaires.
_ Il nous faudrait alors prendre les armes.
_ C'est ça ! Femmes et hommes unis dans l'égalité pour vaincre ce péril commun : des tueuses menaçant nos vies et celles de nos hommes, voulant nous empêcher d'être épanoui(e)s sexuellement comme sentimentalement. Il nous faudrait ressortir les antiques lances, épées et boucliers de nos ancêtres, et massacrer les ennemies de notre mode de vie. Et, après les avoir vaincues, faire l'amour sur le champ de bataille ; et dans la plus belle des orgies, faire renaître la vie, encore et encore, au milieu de la mort...
Diane avait improvisé une envolée lyrique d'une telle intensité, qu'elle se reflétait à travers son sourire, jusque dans son regard. Gaëtan la regardait, fasciné. De nouveau, l'éclair de la passion transperça leurs iris. Diane ne pût réprimer une pulsion soudaine : son corps lui ordonna de se remettre à califourchon sur le jeune homme. Alors qu'elle fût sur lui, un puissant grognement traversa sa gorge, sa vulve impatiente la remerciait du geste, bientôt suivi par un doux râle du garçon, heureux de retrouver sa partenaire sur lui.
Et quelques baisers plus tard, la professeure reprît ses frottements sur la braguette, passionnée comme jamais de cette organe recroquevillé dans un blue-jeans trop étroit. A mesure que l'extase augmentait, l'adolescent, de plus en plus excité, étouffait de bien-être, tout comme la jeune femme, tremblante de tous ses muscles y compris intimes. La passion augmentait au rythme de leurs ébats, toujours plus débordante. Il leur faudrait bientôt ouvrir toutes les vannes, la pudeur ayant volé en éclats depuis longtemps, et le barrage de leurs vêtements ne pouvant plus contenir leur fougue prochaine.
Soudain, Diane se sentît humide, peut-être même comme jamais elle ne l'eût été au cours de sa vie sexuelle. Vagin, clitoris, petites lèvres... Toute sa féminité s'était dilatée, gorgée de sang brûlant. La cyprine, inondant ses entrailles les plus fines, les plus intimes, alla jusqu'à tomber en un long filet chaud sur la braguette du jeune homme, tandis qu'un cri puissant le tétanisa. C'était Diane qui hurlait son bonheur, d'un bref mais déchirant hurlement de confort, tellement puissant qu'elle ne pouvait l'extérioriser entièrement.
La jeune femme n'en pouvait plus, son ventre savait ce qu'elle voulait et Diane savait ce que son ventre voulait. La professeure, pour la première fois de sa vie, se sentait partagée en deux. Deux parts égales d'elle-même, en apparence opposées, mais pourtant complémentaires, la chair et l'esprit, toutes deux dirigées vers un même but : atteindre l'inatteignable, accéder à l'inaccessible, rejoindre l'injoignable... Les qualificatifs se bousculèrent tant dans son esprit qu'à la fin son cerveau disjoncta : l'ineffable avait triomphé de la volonté. Un nouveau cri lui arracha les poumons ; c'était le plaisir, qui lui faisait comprendre que la jouisseuse avait priorité sur l'intellectuelle désormais. D'ultimes secousses l'agitèrent encore, vite interrompues par un brusque sanglot. Aussi épuisée qu'essouflée, Diane s'écroula sur le corps de Gaëtan, lui aussi harassé.
( A suivre )