10-10-2020, 06:39 PM
CHAPITRE 4 : Une nouvelle étape (suite)L
Nous allons dans la cuisine, Julie met la table et les frites à cuire, j'admire son corps, elle est trop belle, mon sexe est toujours dressé.
« -ça va Paul, tu mâte ?
-heu...non
-petit coquin, tu crois que je ne te voit pas »
Elle s'approche, prend mon pénis, me masturbe.
« -c'est bon ce que tu me fait
-tant mieux »
Elle s'arrête, retourne aux frites.
Une question me brûle les lèvres
« -pourquoi moi Julie ?
-quoi ? Pourquoi toi ?
-tu es jolie, intelligente, n'importe quel garçon voudrait de toi et tu choisit un handicapé ? »
Houlà, grand silence, j'ai dis une connerie !
Elle revient vers moi, me fixe avec ses yeux verts :
« -quand je te vois, Paul, je vois un beau jeune homme, charmant, intelligent, cultivé, qui s'intéresse à tout et qui a un grand cœur alors oui, il y a le fauteuil bien sûr mais quand je suis avec toi, tout mon corps frisonne, ce n'est pas le fauteuil que je vois, c'est l'homme.
Avec toi, je parle de tout, tu n'as aucune limite. Je me sens bien en ta présence, je crois que cela s'appelle de l'amour et c'est incontrôlable.
J'ai eu deux copains avant toi, deux machos, le premier après m'avoir baiser, il m'a virée, il a eu ce qu'il voulait, se baiser une petite vierge. Le deuxième, je lui servait de trophée , qu'il exhibait devant ses copain,s en me tripotant les fesses en public comme une pute et quand on était seul chez lui, c'était jeux vidéos tout le temps, on a couché ensemble trois fois en six mois »
Quelques larmes coulent sur mon visage, c'est beau ce qu'elle dit, elle m'embrasse et essuie ma joue avec sa main.
« -je ne pourrai jamais te faire l'amour
-ça c'est ce que l'on va voir mais avant, à table ! »
Nous mangeons les frites avec du jambon et en dessert une crème au chocolat, nous parlons de beaucoup de choses dans la bonne humeur. Une fois terminé, Julie fait la vaisselle puis me laisse 5 minutes pour aller dans le garage.
Elle revient avec quatre grosses câles en bois :
« -qu'est ce que tu fais ?
-tu vas voir »
Elle les plaça sous les pieds de la table du salon, prit un tabouret et se mit à quatre pattes dessus . Ouah, la vue, quelles fesses, quel beau sexe, c'est pas que je m'y connaît mais c'est magnifique !
« -approches, ton fauteuil dois passer sous la table »
C'est vrai, ça passe, c'est super, ma tête est juste devant sa fente toute humide.
« -c'est super, tu vas pouvoir me lécher la chatte, commence par mes lèvres ici »
Elle me montre avec son doigt, j'approche ma bouche, je suis enivré par son odeur de femme. Je pose ma langue sur son sexe, je lèche du bas vers le haut , le goût est très agréable. Sa fente s'humidifie d'avantage, elle gémit un peu .
Je suis ses indications, j'arrive sur son clitoris, elle pousse un petit cri, j'ai l'impression que je lui donne du plaisir. Au bout d'un moment, je connais mieux son anatomie j'ai repéré ses points sensibles . Julie ne dit plus rien, elle se colle à ma langue et gémit de plus en plus fort, je fouille sa fente le plus profondément possible. Ma verge me fait mal, soudain je sens Julie se contracter violemment, elle a jouit.
J'ai réussit à la faire jouir ! Après un moment elle descend de la table, elle dépose un baiser sur mes lèvres :
« -tu es le premier à me faire jouir avec ta bouche, il te faut une récompense »
Elle grimpe sur une petite marche, j'approche, elle me tend un sein.
« -suces »
J'approche ma bouche, dépose un baiser à côté de son téton, puis je lèche autour, elle frisonne, j'aspire le téton, le lèche et le tête, Julie respire plus vite, elle me tend le second que je traite pareil, une main glisse entre ses cuisses, elle se masturbe.
Nous arrêtons un moment jusqu'à ce qu'elle reprenne mon pénis en bouche, je jouit, elle avale. Nous discutons mais Julie à d'autres choses en tête.
« -Paul, il faut qu'on essais une pénétration
-comment ?
-je ne sais pas encore »
Elle me branle pour me faire durcir, elle essaie de s'assoir sur moi mais sans muscles dans mes jambes, elle est trop lourde (elle qui est toute maigre) et puis avec le corset qui me grossit mon gland touche tout juste son anus, on n'y arrive pas , si seulement j'avais une plus grande verge.
Du coup on est super déçus, Julie est certaine que l'on y arrivera, un jour ! Pas moi.
L'après-midi se passe bien, on se caresse encore et je rentre chez moi, heureux mais un peu frustré !
CHAPITRE 5 : retour à la réalité
Nous allons dans la cuisine, Julie met la table et les frites à cuire, j'admire son corps, elle est trop belle, mon sexe est toujours dressé.
« -ça va Paul, tu mâte ?
-heu...non
-petit coquin, tu crois que je ne te voit pas »
Elle s'approche, prend mon pénis, me masturbe.
« -c'est bon ce que tu me fait
-tant mieux »
Elle s'arrête, retourne aux frites.
Une question me brûle les lèvres
« -pourquoi moi Julie ?
-quoi ? Pourquoi toi ?
-tu es jolie, intelligente, n'importe quel garçon voudrait de toi et tu choisit un handicapé ? »
Houlà, grand silence, j'ai dis une connerie !
Elle revient vers moi, me fixe avec ses yeux verts :
« -quand je te vois, Paul, je vois un beau jeune homme, charmant, intelligent, cultivé, qui s'intéresse à tout et qui a un grand cœur alors oui, il y a le fauteuil bien sûr mais quand je suis avec toi, tout mon corps frisonne, ce n'est pas le fauteuil que je vois, c'est l'homme.
Avec toi, je parle de tout, tu n'as aucune limite. Je me sens bien en ta présence, je crois que cela s'appelle de l'amour et c'est incontrôlable.
J'ai eu deux copains avant toi, deux machos, le premier après m'avoir baiser, il m'a virée, il a eu ce qu'il voulait, se baiser une petite vierge. Le deuxième, je lui servait de trophée , qu'il exhibait devant ses copain,s en me tripotant les fesses en public comme une pute et quand on était seul chez lui, c'était jeux vidéos tout le temps, on a couché ensemble trois fois en six mois »
Quelques larmes coulent sur mon visage, c'est beau ce qu'elle dit, elle m'embrasse et essuie ma joue avec sa main.
« -je ne pourrai jamais te faire l'amour
-ça c'est ce que l'on va voir mais avant, à table ! »
Nous mangeons les frites avec du jambon et en dessert une crème au chocolat, nous parlons de beaucoup de choses dans la bonne humeur. Une fois terminé, Julie fait la vaisselle puis me laisse 5 minutes pour aller dans le garage.
Elle revient avec quatre grosses câles en bois :
« -qu'est ce que tu fais ?
-tu vas voir »
Elle les plaça sous les pieds de la table du salon, prit un tabouret et se mit à quatre pattes dessus . Ouah, la vue, quelles fesses, quel beau sexe, c'est pas que je m'y connaît mais c'est magnifique !
« -approches, ton fauteuil dois passer sous la table »
C'est vrai, ça passe, c'est super, ma tête est juste devant sa fente toute humide.
« -c'est super, tu vas pouvoir me lécher la chatte, commence par mes lèvres ici »
Elle me montre avec son doigt, j'approche ma bouche, je suis enivré par son odeur de femme. Je pose ma langue sur son sexe, je lèche du bas vers le haut , le goût est très agréable. Sa fente s'humidifie d'avantage, elle gémit un peu .
Je suis ses indications, j'arrive sur son clitoris, elle pousse un petit cri, j'ai l'impression que je lui donne du plaisir. Au bout d'un moment, je connais mieux son anatomie j'ai repéré ses points sensibles . Julie ne dit plus rien, elle se colle à ma langue et gémit de plus en plus fort, je fouille sa fente le plus profondément possible. Ma verge me fait mal, soudain je sens Julie se contracter violemment, elle a jouit.
J'ai réussit à la faire jouir ! Après un moment elle descend de la table, elle dépose un baiser sur mes lèvres :
« -tu es le premier à me faire jouir avec ta bouche, il te faut une récompense »
Elle grimpe sur une petite marche, j'approche, elle me tend un sein.
« -suces »
J'approche ma bouche, dépose un baiser à côté de son téton, puis je lèche autour, elle frisonne, j'aspire le téton, le lèche et le tête, Julie respire plus vite, elle me tend le second que je traite pareil, une main glisse entre ses cuisses, elle se masturbe.
Nous arrêtons un moment jusqu'à ce qu'elle reprenne mon pénis en bouche, je jouit, elle avale. Nous discutons mais Julie à d'autres choses en tête.
« -Paul, il faut qu'on essais une pénétration
-comment ?
-je ne sais pas encore »
Elle me branle pour me faire durcir, elle essaie de s'assoir sur moi mais sans muscles dans mes jambes, elle est trop lourde (elle qui est toute maigre) et puis avec le corset qui me grossit mon gland touche tout juste son anus, on n'y arrive pas , si seulement j'avais une plus grande verge.
Du coup on est super déçus, Julie est certaine que l'on y arrivera, un jour ! Pas moi.
L'après-midi se passe bien, on se caresse encore et je rentre chez moi, heureux mais un peu frustré !
CHAPITRE 5 : retour à la réalité