10-10-2020, 06:29 PM
« - Oh non ! euh…Claire, je suis désolé… bafouillé-je.
- Bah, t’en fais pas pour ça. C’est plutôt flatteur pour moi, non ? Et puis j’ai bien aimé le contact.
Je ne suis pas sûr de comprendre ce qu’elle dit, en revanche, je bande maintenant au maximum et la bosse sur mon short est devenue plus large et plus dure. J’effleure à nouveau, volontairement cette fois, le bord de ses fesses avec le short.
- Ce contact là ?
- Oui. Tu crois que ça serait agréable si tu me massais avec ça ? demande-t-elle.
- Je sais pas, comment tu veux que je sache…
- Ben essaye, je te dirai. »
Un peu confus, je me place au dessus d’elle, dans la même position que pour faire des pompes : mes mains de chaque côté de ses épaules, mes pieds de chaque côté de ses pieds et mon bassin au dessus de ses fesses. Puis je descends mon bassin, le short toujours tendu par l’érection, et je le colle contre sa fesse gauche. Le tissu rentre en contact avec sa culotte et s’enfonce un peu dans sa fesse. C'est doux et chaud et la sensation de mon sexe posé sur la fesse de ma cousine ressemble assez à celle de mon sexe posé sur un coussin… en plus confortable. Je commence des petits mouvements de frottement en utilisant la bosse sur mon short comme j’aurais utilisé mes doigts pour la masser.
« Ça va comme ça ? demandé-je.
- Oui, c’est très bien. C’est original, ça change. »
Alors je continue mes frottements en gardant un rythme lent et régulier. Je dois pousser sur mes bras pour ne pas m’affaisser sur Claire et pour garder mon bassin à la bonne hauteur. A chaque mouvement dans la surface moelleuse, la sensation de bien être autour de mon pénis s’intensifie. Ça ressemble vraiment à ce que j'ai ressenti ce matin avec mon oreiller... Je décide de passer à l’autre fesse. Mêmes mouvements, mêmes sensations. Je sens que la jouissance ne va pas tarder à arriver.
J’essaye de ralentir mes mouvements mais l’excitation est beaucoup trop forte alors, à la place, j’accélère. Claire a forcément remarqué que j’ai augmenté le rythme de son massage ; mais en me demandant de lui masser les fesses avec la bosse de mon short, pouvait-elle ignorer ce que ça allait me procurer ?
Je fixe ma cousine des yeux : son dos bronzé, son grain de beauté sous l’omoplate, son visage calme et souriant. L’orgasme arrive plus tôt que prévu, en plein milieu d’un mouvement. Je marque un temps d’arrêt tandis que quelques gouttes viennent mouiller mon slip. Je romps immédiatement le contact entre mon short et la culotte de Claire pour ne pas qu’elle se rende compte que mon pénis a ramolli.
Claire et moi nous nous relevons.
« - Et ben… Cette méthode est aussi très agréable, dit-elle en se rhabillant. J’espère juste que c’était sympa pour toi aussi, tu as du beaucoup tiré sur tes bras.
- Ouais, c’est vrai que j’ai un peu mal aux bras, réponds-je en regardant mes pieds. »
Claire me raccompagne jusqu’à ma chambre.
Cette nuit là, je rêve de ma cousine. Elle est allongée sur son lit, entrain de se doigter. Je m’approche d’elle et quand elle m’aperçoit, elle m’invite à me masturber avec elle. Je m’allonge à côté et je commence un va et vient puis… je me réveille, en sueur et avec le sexe en érection. Le réveil indique 9h00, c'est-à-dire qu’il est largement temps de se lever. Je fais ma toilette, je mets un short et un t-shirt, j’ouvre mes volets et je me rends compte que ce matin il fait mauvais. Du coup je me change et j’opte pour un jean et un polo.
C’est aujourd’hui que doit arriver Marianne, la meilleure amie de Claire. Je me serais réjoui de sa venue si elle n’avait pas signifié la fin de mes soirées de détente avec ma cousine. Plus de discussion du soir et surtout, plus de massage ni de contact entre mes doigts et la peau de ma cousine bien aimée. Je soupire en repensant à ce à quoi je dois renoncer et j’en viens même à en vouloir à cette Marianne que je n’ai pourtant jamais vue mais que j’assimile à un trouble-fête.
La jeune fille arrive vers 14h00 à bord d’une petite voiture d’occasion. Claire m’avait prévenu qu’elle avait réussi son permis du premier coup. Pour ma part, je n’ai même pas commencé la conduite accompagnée… Elle se gare dans la cour en gravier, à côté de la voiture de mes parents et Claire et moi allons à sa rencontre.
J’avoue que quand elle sort de la voiture, je la trouve tellement jolie que toute mon amertume à son égard s’envole. Elle est brune avec des yeux assortis, elle a un petit nez en trompette et une bouche rieuse. Elle porte un jean moulant et un haut blanc décolleté qui suggère à peine les courbes de sa poitrine qui a l’air d’être d’une taille très respectable. Elle porte ses cheveux en un chignon ( un chignon moderne ) qui lui dégage la nuque.
Ma cousine s’avance et lui fait la bise.
« - Alors Marianne, tu nous amènes le mauvais temps ?
- Ahah oui, je suis désolée ! rigole-t-elle.
- Je te présente mon cousin, Cyril.
- Salut Cyril.
- Salut Marianne. Enchanté. »303
- Bah, t’en fais pas pour ça. C’est plutôt flatteur pour moi, non ? Et puis j’ai bien aimé le contact.
Je ne suis pas sûr de comprendre ce qu’elle dit, en revanche, je bande maintenant au maximum et la bosse sur mon short est devenue plus large et plus dure. J’effleure à nouveau, volontairement cette fois, le bord de ses fesses avec le short.
- Ce contact là ?
- Oui. Tu crois que ça serait agréable si tu me massais avec ça ? demande-t-elle.
- Je sais pas, comment tu veux que je sache…
- Ben essaye, je te dirai. »
Un peu confus, je me place au dessus d’elle, dans la même position que pour faire des pompes : mes mains de chaque côté de ses épaules, mes pieds de chaque côté de ses pieds et mon bassin au dessus de ses fesses. Puis je descends mon bassin, le short toujours tendu par l’érection, et je le colle contre sa fesse gauche. Le tissu rentre en contact avec sa culotte et s’enfonce un peu dans sa fesse. C'est doux et chaud et la sensation de mon sexe posé sur la fesse de ma cousine ressemble assez à celle de mon sexe posé sur un coussin… en plus confortable. Je commence des petits mouvements de frottement en utilisant la bosse sur mon short comme j’aurais utilisé mes doigts pour la masser.
« Ça va comme ça ? demandé-je.
- Oui, c’est très bien. C’est original, ça change. »
Alors je continue mes frottements en gardant un rythme lent et régulier. Je dois pousser sur mes bras pour ne pas m’affaisser sur Claire et pour garder mon bassin à la bonne hauteur. A chaque mouvement dans la surface moelleuse, la sensation de bien être autour de mon pénis s’intensifie. Ça ressemble vraiment à ce que j'ai ressenti ce matin avec mon oreiller... Je décide de passer à l’autre fesse. Mêmes mouvements, mêmes sensations. Je sens que la jouissance ne va pas tarder à arriver.
J’essaye de ralentir mes mouvements mais l’excitation est beaucoup trop forte alors, à la place, j’accélère. Claire a forcément remarqué que j’ai augmenté le rythme de son massage ; mais en me demandant de lui masser les fesses avec la bosse de mon short, pouvait-elle ignorer ce que ça allait me procurer ?
Je fixe ma cousine des yeux : son dos bronzé, son grain de beauté sous l’omoplate, son visage calme et souriant. L’orgasme arrive plus tôt que prévu, en plein milieu d’un mouvement. Je marque un temps d’arrêt tandis que quelques gouttes viennent mouiller mon slip. Je romps immédiatement le contact entre mon short et la culotte de Claire pour ne pas qu’elle se rende compte que mon pénis a ramolli.
Claire et moi nous nous relevons.
« - Et ben… Cette méthode est aussi très agréable, dit-elle en se rhabillant. J’espère juste que c’était sympa pour toi aussi, tu as du beaucoup tiré sur tes bras.
- Ouais, c’est vrai que j’ai un peu mal aux bras, réponds-je en regardant mes pieds. »
Claire me raccompagne jusqu’à ma chambre.
Cette nuit là, je rêve de ma cousine. Elle est allongée sur son lit, entrain de se doigter. Je m’approche d’elle et quand elle m’aperçoit, elle m’invite à me masturber avec elle. Je m’allonge à côté et je commence un va et vient puis… je me réveille, en sueur et avec le sexe en érection. Le réveil indique 9h00, c'est-à-dire qu’il est largement temps de se lever. Je fais ma toilette, je mets un short et un t-shirt, j’ouvre mes volets et je me rends compte que ce matin il fait mauvais. Du coup je me change et j’opte pour un jean et un polo.
C’est aujourd’hui que doit arriver Marianne, la meilleure amie de Claire. Je me serais réjoui de sa venue si elle n’avait pas signifié la fin de mes soirées de détente avec ma cousine. Plus de discussion du soir et surtout, plus de massage ni de contact entre mes doigts et la peau de ma cousine bien aimée. Je soupire en repensant à ce à quoi je dois renoncer et j’en viens même à en vouloir à cette Marianne que je n’ai pourtant jamais vue mais que j’assimile à un trouble-fête.
La jeune fille arrive vers 14h00 à bord d’une petite voiture d’occasion. Claire m’avait prévenu qu’elle avait réussi son permis du premier coup. Pour ma part, je n’ai même pas commencé la conduite accompagnée… Elle se gare dans la cour en gravier, à côté de la voiture de mes parents et Claire et moi allons à sa rencontre.
J’avoue que quand elle sort de la voiture, je la trouve tellement jolie que toute mon amertume à son égard s’envole. Elle est brune avec des yeux assortis, elle a un petit nez en trompette et une bouche rieuse. Elle porte un jean moulant et un haut blanc décolleté qui suggère à peine les courbes de sa poitrine qui a l’air d’être d’une taille très respectable. Elle porte ses cheveux en un chignon ( un chignon moderne ) qui lui dégage la nuque.
Ma cousine s’avance et lui fait la bise.
« - Alors Marianne, tu nous amènes le mauvais temps ?
- Ahah oui, je suis désolée ! rigole-t-elle.
- Je te présente mon cousin, Cyril.
- Salut Cyril.
- Salut Marianne. Enchanté. »303