27-09-2020, 04:21 PM
CHAPITRE LXXXV
''Ferreus sexus''
''Ferreus sexus''
Joachim sourit. Un sourire salace et lubrique. Et Burydan commença à bander. Rien qu'un sourire le mettait dans tous ses états. Surtout parce qu'il savait qu'il allait baiser ce petit mec comme une brute. Pas de tendresse cette fois, de la baise. Et il avait envie de Joachim de la pire des façons.
Son valet enleva sa chemise lentement, dévoilant son joli torse musclé. Il se caressa les pectoraux et le ventre sensuellement. Burydan fut surpris de voir autour de son cou un collier large en cuir.
Joachim enleva ses chaussures et ses chaussettes et commença à dégrafer son pantalon. Il le fit tomber à ses chevilles, révélant sa jolie bite qui commençait à s'ériger par soubresauts. Il la caressa doucement jusqu'à ce qu'elle se dresse. Elle était assez longue et plutôt épaisse. Un joli gland violacé, entièrement décalotté, dans le prolongement de la hampe fit saliver Burydan
Il se leva et s'approcha du minet. Il caressa son torse du bout des doigts, faisant le tour des pectoraux. La respiration de Joachim s'accéléra et il gémit quand Burydan pinça ses tétons. Les abdos tressaillirent sous la caresse et la bite durcit encore un peu plus quand Burydan la prit dans son poing.
Il passa dans le dos de Joachim et, toujours du bout des doigts, il le caressa le long de sa colonne vertébrale jusqu'à la belle chute de reins et caressa les fesses, toutes douces, fermes et musclées.
Joachim gémit de nouveau quand les doigts de Burydan s'insinuèrent dans sa raie et caressèrent son œillet. Burydan remonta le long du dos et présenta son majeur et son index à Joachim. Celui ci les happa et les lécha consciencieusement. Burydan reprit les caresses entre les fesses de son minet, s'appesantissant un peu plus sur son petit trou, faisant lécher ses doigts à Joachim encore et encore.
- A genoux !
Joachim obéit aussitôt. Burydan enleva ses chaussures et ses chaussettes et sa chemise. Il vit les yeux de Joachim s'égarer sur son torse. Il avait l'air d'apprécier. Il enleva son pantalon et le valet braqua ses yeux sur le sous- vêtement, déformé par une phénoménale érection. Burydan s'assit dans le fauteuil :
- Approche... à quatre pattes...
Il n'obéit pas tout de suite mais fouilla dans sa besace. Il mit quelque chose entre ses dents et prit un autre objet dans la main. Toujours à quatre pattes il s'approcha de son mâle.
Prenant ce qu'il avait entre les dents, Burydan vit que c'était une laisse. D'où le collier en cuir. Burydan fit passer le mousqueton dans l'un des anneaux. Joachim lui tendit l'autre objet. Burydan ne comprit pas tout de suite ce que c'était jusqu'à ce que Joachim se tourne en cambrant bien les reins et en écartant ses fesses.
L'objet était noir. Une partie était de forme oblongue avec une garde, l'autre partie était une sorte de flagelle souple. La texture était douce. ''Jouet pour grand garçon en silicone'' se dit Burydan. Et il comprit ce que c'était...
il cracha sur le côté oblong et l'appuya doucement sur le petit trou de Joachim. Le muscle résista un peu mais l'objet finit par entrer en arrachant un petit
- Ooh !
à Joachim. Burydan regarda son petit minet. Une laisse et un jouet en forme de queue de chien. Il n'avait pas menti quand il avait dit qu'il serait sa chienne lubrique.
Il se retourna face à Burydan et s'approcha de lui, à quatre pattes, sa queue gigotant. Il se plaça entre ses cuisses et attendit qu'on lui dise quoi faire.
Burydan le saisit par les cheveux et attira sa tête vers son entrejambe :
- Allez, bouffe salope !
Joachim ne se le fit pas répéter, il commença a frotter son visage contre la bite dure qu'il sentait à travers la fine étoffe, puis entreprit de la mordiller et de la lécher encore et encore...
Burydan poussait des soupirs rauques en regardant sa petite chienne. Il le repoussa enfin. Joachim avait tellement lécher le sous vêtement qu'il était devenu presque transparent.
Burydan se leva et fit tomber ce dernier morceau de tissu. Sa bite jaillit, dure, dressée et décalottée. Son gland joufflu s'épanouissait dans toutes ses dimensions plantureuses. Il saisit sa bite à la base et la fit rebondir sur le visage de Joachim.
- Elle te plaît ma bite ?
La valet hocha la tête.
- Dis le, roulure !
- Oh oui, elle me plaît monsieur...
''Putain cette façon qu'il a de dire monsieur...''
- Lèche moi les couilles, traînée !
Joachim commença à lécher les testicules de Burydan d'une langue baveuse.
- Oui, vas-y, lèche les bien. Tu sens comme elles sont bien grosses et bien pleines. Pleines de tout le foutre que tu vas te prendre dans ton petit cul... ou sur ta petite gueule... Allez, gobe les catin !
Joachim avala les couilles de Burydan, l'une après l'autre. Son mâle, après un petit moment, le repoussa de nouveau. Il regarda ses couilles baveuses et ça l'excita encore plus.
Il prit la laisse et amena sa chienne vers le lit.
- Sur le pieu à quatre pattes !
Joachim monta sur le lit, faisant face à son mâle.
- Allez, suce ma grosse bite !
Joachim se pencha et avala la queue de Burydan
- Oh putain !
Il était doué. ''il a déjà dû en bouffer des bites...'' se dit-il.
Joachim s'appliquait, s'appropriant d'abord le gland replet en enroulant sa langue autour. Puis il commença à avaler toute la longueur de cette belle queue. Il la prit, jusqu'à la garde, et allait remonter mais Burydan le maintint par la nuque, restant le plus longtemps possible au fond de sa gorge. Joachim commença à tousser et à suffoquer. Burydan le relâcha et Joachim ressortit la bite toute dégoulinante de salive de sa bouche pour prendre une goulée d'air. Burydan regardait sa queue et le filet de salive qui la reliait encore aux lèvres écumeuse de Joachim.
Il ouvrit de nouveau la bouche et recommença à sucer.
- Ouais, vas-y, suce la bien... T'aimes ça, hein ?... T'aimes sucer des bites... Prends la bien à fond... je veux sentir mon gland au fond de ta gorge...
Joachim prenait Burydan en gorge profonde, et celui-ci lui maintenait la tête jusqu'à ce qu'il commence à s'étouffer.
Il lui retira enfin sa queue dégoulinante.
- Allonge toi sur le dos !
Burydan le tira par les aisselles vers le bord du lit et lui fit pencher la tête en arrière.
- Ouvre la bouche et sors ta langue !
Joachim obéit. Burydan laissa tomber de gros paquets de salive sur sa langue et enfonça sa bite et commença à baiser la bouche de son minet, l'étouffant à moitié à chaque aller retour.
Il regardait le corps de Joachim, ses muscles bien dessinés, et sa queue dure et raide. Alors qu'il continuait à se faire baiser la bouche, le valet attrapa sa bite et entreprit de se masturber. Burydan lui mit une tape sur la main :
- Touche pas à ça, salope, c'est à moi !
Burydan retira enfin sa queue de la bouche du valet.
- Sur le ventre roulure! Tourne toi, montre moi ton cul.
Burydan enleva le jouet en forme de queue de chien et contempla le petit trou, tout ouvert.
- Tu frétilles comme une chienne en chaleur... t'as envie de te faire bouffer la chatte, hein ?
- Oh oui monsieur...
Burydan sourit, s'agenouilla au pied du lit et écarta les deux globes charnus de ses mains. Il cracha plusieurs fois sur l’œillet et se jeta sur lui, le lapant comme un malade pendant un petit moment. Il se releva.
- Je vais te baiser, hein, tu sais que je vais te baiser...
- Oh oui, baisez moi monsieur...
- Tu la veux, hein, tu la veux ma grosse queue...
- Oh oui monsieur...
- Tu veux que je te la mette, au fond de ta chatte ?
- Oh oui... prenez moi monsieur, prenez moi comme une bête...
Burydan cracha dans sa main, lubrifia sa bite, et la fit rebondir sur les fesses de Joachim pour lui montrer à quel point elle était dure.
- Je vais de défoncer sale petite pute !
Il appuya son gland contre l'ouverture et poussa. Il s'enfonça dans son petit valet d'une seule traite sans coup férir. Les trois quarts de sa queue s'enfoncèrent lentement dans l'antre serré, doux et brûlant, et il lui mit le dernier quart d'un petit coup de reins, faisant claquer son bas ventre contre le cul bien rebondi.
- Oh !
C'est tout ce que dit Joachim.
Burydan retira sa queue entièrement, et la lui remit, entièrement. Il fit ce petit jeu plusieurs fois, adorant déflorer son minet.
Il s'enfonça en Joachim jusqu'à la garde et commença à le limer. Le valet se mit à gémir.
- T'aimes ça, hein, t'aime te faire péter la chatte...
- Oh oui... oui...
- Dis le, chienne, dis-le que tu aimes ça !
- Oh oui... monsieur... j'aime... me... faire... baiser...
- A quatre pattes sur le lit petite pute !
Il était à peine en position que Burydan le pénétrait d'un grand coup de bite. Joachim poussa un cri. Burydan attrapa la laisse et, le tenant ainsi, se mit à le pilonner comme un forcené.
Il poussa Joachim en avant, se mit à califourchon sur lui, la queue enfoncée profondément au fond de son cul.
- Tu voulais de la queue ce soir, hein, tu voulais de la queue...
- Oh oui... oui !
- Tiens, prends la ma queue salope !
Burydan le martela furieusement. Et Joachim cria. De plaisir ? De douleur ? Burydan na savait pas et s'en foutait. Il ne réfléchissait plus. Il baisait.
Burydan planta un genoux dans la matelas et se contorsionna pour mettre son autre pied sur la tête de Joachim, lui enfonçant le visage dans l'oreiller.
- Tu la sens là, tu la sens ma grosse bite. Tu sens comme elle te nique roulure...
- Oh oui... aah... monsieur... aah.. j'aime... aah.. la... sentir... aah.. me... remplir... aah.. j'aime... la... sentir... aah.. me... ramoner... aah...
Burydan le pilonna comme une brute et sentit le plaisir arriver. Il retira sa queue du cul de Joachim.
- Tourne toi et viens me sucer, catin !
Joachim se retourna et se jeta sur la bite de Burydan comme un goinfre.
- Oui, vas-y, suce la bien. T'aimes ça, hein, t'aimes sentir le goût de ta chatte sur ma queue... petite chienne...
Burydan le tira par les cheveux pour lui retirer sa bite.
- Ouvre la bouche sale petite pute !
Joachim ouvrit la bouche et tira la langue. Burydan cracha dessus et le ramena vers sa queue, encore et encore... Puis il le poussa sur le lit.
- Écarte les cuisses, salope !
Burydan le pénétra de nouveau et, le tenant par les hanches, l'empala sur sa queue.
- T'aimes ça, hein, t'aimes te faire baiser comme la dernière des traînées !
- Oh oui... aah... monsieur … aah... j'adore... aah... me... faire... aah... mettre... comme... aah... une... petite... aah... pute... aah...
- C'est tout ce que t'es, une petite pute, une petite chienne, une catin, une traînée, une putain cramante, une roulure...
- Oh oui... aah... monsieur... défoncez-moi... aah... comme... une... chienne... aah... c'est... tout... ce... que... aah... je... mérite... aah... je... suis... votre... aah... vide... couilles... aah... je... ne... suis... aah... bon... qu'à... ça... aah...
Burydan le démonta, le déglingua, lui martela et lui torpilla le cul comme un dingue. Ils étaient tous les deux ruisselants de sueur et la bite de Joachim était tellement gonflée qu'elle semblait sur le point d'exploser, crachant des perles translucides quasiment en continu.
Burydan se saisit de cette colonne de chair et commença à branler Joachim frénétiquement.
- Aaaahhhh... oh oui... aaaaahhhh... oui, monsieur.... aaaaahhhh... je vais.... aaaaaahhhh... je vais jouir... aaahhh...
- Vas-y, jouis, salope, jouis, je veux voir ta bite exploser !
- Aaaaaaahhhhh... aaaaaaaaahhhhhhhh... aaaaaaaaahhhhhhhhhh !!!
La bite de Joachim explosa dans le poing de Burydan. Il envoya une quantité impressionnante de foutre, un premier jet puissant s'écrasant sur son visage, plusieurs autres striant son torse et son ventre, le reste bouillonnant sur le poing de son mâle.
Burydan se retira du cul de Joachim, crapahuta pour se placer au-dessus de son visage et se branla frénétiquement de sa main encore pleine du foutre de son minet.
- Ouvre la bouche, salope... ouvre la bouche et tire la langue...
Joachim obéit et Burydan jouit intensément. Plusieurs jets de foutre chaud strièrent le visage en sueur de son minet et le reste s'écrasa sur sa langue et gicla au fond de sa gorge. Joachim avala tout pendant que Burydan continuait à se branler, pour prolonger son orgasme au maximum.
De sa main il étala son sperme sur le visage de son valet et lui présenta sa bite.
- Nettoie chienne !
D'une langue agile Joachim nettoya la queue de son mâle et Burydan s'affala à côté de lui pour reprendre son souffle.