27-09-2020, 11:53 AM
(Modification du message : 11-10-2020, 10:25 AM par Leflaneur40.)
Envahie par un trouble de plus en plus puissant, Diane eût beaucoup de mal à dissimuler son émotion, et se contrôla difficilement. Ayant gardé la veste en cuir contre elle, elle la tendît au garçon :
_ Tiens ! Il y a une penderie là-bas, au vestibule, dit-elle en montrant l'endroit des yeux, tu peux me la suspendre s'il te plaît ?... Prends un cintre en bois...
L'adolescent rangea dans le placard intérieur le vêtement de cuir avec autant de soin que s'il fût le sien. La jeune femme sourît en voyant l'attention qu'il portait à sa veste ; il était aussi précautionneux qu'elle, pas de doute. Un garçon aussi bien que lui ne pouvait pas être mauvais, un excellent amant même... Cette pensée la remît en émoi...
Lorsque Gaëtan revînt sur ses pas, il frissonnait. Sachant qu'une fois la veste en cuir retirée, il aurait pleine vue sur le pull rouge, gonflé par l'opulente poitrine, la grosse laine tricotée moulant ce galbe exceptionnel, caressant les formes au plus près jusqu'à leurs deux points culminants ; mamelons délicieusement provoquants, tendant le corsage au maximum pour mieux affirmer leur féminité L'adolescent savait qu'en repassant le seuil du salon, la vue de cette déesse lui brûlerait davantage le coeur. Et cette délicieuse perspective renforça sa fébrilité.
Lorsqu'il la vît enfin, si sensuellement vêtue, il en resta figé, les yeux rivés sur son buste, pupilles dilatées par l'amour. Se sentant fière du pouvoir qu'elle avait sur lui, mais vaguement inquiète du tourment qui pourrait la submerger, Diane lui sourît. Gaëtan sentît alors l'érection déformant son pantalon s'accentuer, tendant la braguette au point de la faire craquer. La jeune femme s'en aperçut, et ses désirs secrets s'en confortèrent d'autant.
Elle avait déjà servi les boissons. Diane prît alors un verre , et s'avança vers l'adolescent pour le lui tendre. Experte en séduction, la jeune femme avait fait quelques pas, ondulant subtilement sur elle-même, seins tressautant au rythme de la marche, sous sa chemise fluide. Mais la vue de cette braguette, déformée d'expressive virilité, réveilla en elle une puissante chaleur, et la jeune femme eût bien du mal à tendre le verre, sans faire gicler le whisky, car elle tremblait. Son ventre la brûlait, et elle comprît qu'elle ne tiendrait plus longtemps. En voulant tendre un piège d'amour à Gaëtan, et lui donner l'image d'une femme, libre, fière, indépendante, et inaccessible... Diane s'était piégée elle-même, et était devenue l'esclave de ses propres phantasmes ...
En une fraction de seconde, des pensées entremêlées jaillîrent en elle ; des images, des sons, des souvenirs... Des grincements de lit, des râles masculins, des gémissements féminins, l'orgasme, son corps en Andromaque planté dans le sien, ses seins durcis jusqu'à s'enflammer, le vagin qui explose, un cri puissant...
_ Tiens, c'est pour toi ! lui dit-elle d'une voix devenue, malgré elle, très suave. Son ventre la brûlait de plus en plus, et Diane n'arrivait plus à se contenir. Tout juste avait-elle pû lui donner son verre sans le lâcher. Le coeur des futurs amants battait la chamade, mais ils n'osaient se l'avouer l'un l'autre...
_ Merci, Diane, répondît l'adolescent d'une voix étonnement rauque.
_ C'est ce que l'on doit à un homme exceptionnel comme toi...
_ C'est toi qui est exceptionnelle !
Ravie et gênée à la fois, elle éclata d'un petit rire discret, sans vulgarité :
_ Moi ? Mais je ne suis qu'une femme, tu sais... Comme tant d'autres...
_ Mais non, tu n'es pas comme les autres...
_ Allez, santé ! coupa Diane.
Ils trinquèrent :
_ A... A nous, osa Gaëtan, balbutiant.
_ A nous, lui répondît Diane, soupirant de désirs.
Ils vidèrent leurs verres, lentement, sans se presser, comme vaguement inquiets. Le garçon observait la délicate pomme d' Adam de la jeune femme, remuant au passage du liquide. Elle s'en aperçut, mais ne dit rien ; trop de pensées confuses flottaient dans sa tête.
_ Hmmm !!!! Très bon ce whisky, excellent même.
_ Je suis ravi qu'il te plaîse.
_ Et moi, je suis content de l'avoir goûté. Tu sais pourquoi ?
Diane guetta sa réponse.
_ Parce que mes parents ne m'auraient jamais autorisé à prendre de l'alcool; tu sais...
_ C'est normal, ils font attention à toi.
_ Toi aussi, tu fais attention à moi.
_ Moi c'est différent, c'est parce que je t'aime.
Posant leurs verres, le couple vînt s'embrasser. Des lèvres au fort parfum d'alcool que Diane promena sur le visage de son homme avant de les remettre sur les siennes, tout en douceur. Gaëtan était au ciel. Le temps s'était suspendu, voluptueusement, pour leur plus grand bonheur.
_ C'est très bon quand tu m'embrasses... reprît le garçon
_ Mon amour... chuchota-t'elle alors.
_ J'aime quand ça me brûle la gorge...
_ Moi aussi, si tu savais...
Soudain, Diane se tût. Emporté dans ses pensées, une image érotique lui était revenue malgré elle. Un souvenir qu'elle croyait avoir oublié, mais qui se rappelle toujours, tant il marque les chairs. Quand Diane était lycéenne, elle eût une liaison torride avec son petit ami d'alors. C'était un samedi soir, une rue sombre après une sortie d'un bar irlandais. La bière rousse avait dû couler. Elle lui avait ouvert la braguette, avait pris son sexe dans la paume, l'avait branlé délicatement. Tenir dans sa main cette chose, dure et douce, chaude et brûlante, vibrante, battante, vivante, sans savoir comment elle fonctionnerait mais sachant qu'elle fonctionnerait...
Tout ça lui réchauffait le ventre, elle aurait voulu se la mettre dans le vagin, sentir le feu lui ravager l'intérieur... Mais sans préliminaires, quel intêret ? Et puis, tous deux étaient dans la rue... Heureusement, il n'y avait personne dans cette impasse, et puis les volets était clos. Il faisait nuit depuis longtemps déjà... Diane massait cette bite majestueuse, arrachant de puissants râles de bonheur à l'adolescent. Petit à petit, la lycéenne découvrait le comportement de cet organe, inconnu d'elle jusqu'alors. Soudain, un lampadaire situé juste au dessus d'eux, et qui était éteint suite à un dysfonctionnement, se ralluma.
Inquiets, tous deux regardèrent aux alentours. Heureusement, il n'y avait personne, et la lycéenne reprît dans la main cette chose merveilleuse dont elle apprenait les pouvoirs magiques avec régal. A présent, elle pouvait voir la chose en même temps que la caresser.
La queue devait bien faire seize centimètres de long pour trois et demi de diamètre. Des veines et des vaisseaux la parcouraient, chef-d''oeuvre de finesse sous une peau brûlante et veloutée. Le gland se dévoilait, écarlate de passion comme le visage de Nathan ( le prénom lui était revenu ) qui suffoquait, multipliant les râles. Petit à petit, Diane dosait les sollicitations, intercalant des pauses pour permettre au garçon d'accéder au bien-être. Puis elle recommençait ; cela l'excitait autant que ça l'amusait.
Mais les meilleurs choses ont une fin. A plusieurs reprises le garçon se mît à râler : " âââaahh !!!!!!!! Je vais pâââaartir !!!!!! ", tandis que Diane poursuivait la branle. Ayant entendu parler, comme n'importe quelle autre lycéenne, de la fellation, elle fût prise d'une impulsion subite. Se mettant immédiatement à genoux devant lui, elle prît sa queue en pleine bouche, qu'elle cala contre son palais. Maintenant la bite sur le coussin confortable de sa langue, elle attendît la suite, hûmant la fraîcheur des testicules à pleine narines.
Alors, enveloppé avec une telle délicatesse, et autant de prévenance, Nathan sentît la puissante décharge électrique traverser sa bite. C'était le signal du départ, que ressentît également Diane, avec le tréssautement puissant de l'organe. L'instant d'après, sa langue capta la secousse violente du canal séminal ; la première giclée de sperme surgît aussitôt, elle l'avala.
_ OOH !!! AAAH !!!!!
Aux cris du jeune homme, d'autres éjaculations succèdèrent, et d'autres cris encore...
_ AAAH ! OH ! P..... ! C'EST BON ! OOH !!! AAAH !...
Et Diane avalait à chaque fois... GLOUP ! ... GLOUP !... AAAHH !!!!... GLOUP ! OH ! GLOUP !... GLOUP !...
Combien le fois le jeune homme avait-il giclé ? Elle ne s'en souvenait plus. Comment le pourrait-elle d'ailleurs ? Le plaisir était si bon... Peut-être dix fois maximum... Lorsqu'elle sentît les jets faiblir, puis disparaître, elle se retira lentement, et prît le soin, avant d'ôter le sexe complètement, de lécher le gland du bout de la langue, afin d'ôter soigneusement le reste de sperme y subsistant. Encore à genoux, contemplant la chose encore raide et tremblante, elle leva les yeux pour observer le visage de son petit ami, empourpré comme jamais. Lorsqu'il ouvrît les paupières, elle vît ses pupilles encore dilatées d'extase, et lui sourît. Et lorsqu'il murmura d'une voix rauque " Merci ! ", elle sourît encore plus, exprimant à sa façon la reconnaissance qu'elle avait pour lui. Ce sperme qu'elle avait avalé, mélange de fines herbes et d'ail, avait été le plus bon des repas. Ayant bien aimé, elle était prête à recommencer.
Et elle avait recommencé... Et leur histoire avait duré, faite de rapports intimes, depuis la Première jusqu'en Terminale. Et puis, le baccalauréat obtenu, leurs chemins s'étaient séparés. Elle lui envoyait des lettres, il y répondait, puis un jour il ne répondît plus. Elle rechercha sa trace, en pure perte ; il était parti. Quelques années après, Diane avait appris, en recroisant une ancienne copine, que Nathan avait rencontré à l'Université une étudiante allemande, prenommée Inge. Cette dernière lui avait raconté leurs relations passionnées, peu de temps avant qu'elle et lui ne partent s'installer en Allemagne. Nathan était parti de France depuis longtemps, et vivait en Bavière, où il devait être heureux à tous points de vue...
Si Diane s'attendait à apprendre une pareille nouvelle ; après autant de temps, il avait probablement refait sa vie ; le chagrin n'en fût pas moins immense. Nathan avait été son premier amour, pas seulement pour la découverte de la sexualité, mais aussi pour tous les bon moments partagés, leur complicité... bref, la joie d'être ensemble, tout bonnement... La jeune femme réalisa que tout cela était bien fini maintenant, et que la fellation, même si elle restait un bon souvenir, aurait un goût bien amer désormais...
( A suivre )
_ Tiens ! Il y a une penderie là-bas, au vestibule, dit-elle en montrant l'endroit des yeux, tu peux me la suspendre s'il te plaît ?... Prends un cintre en bois...
L'adolescent rangea dans le placard intérieur le vêtement de cuir avec autant de soin que s'il fût le sien. La jeune femme sourît en voyant l'attention qu'il portait à sa veste ; il était aussi précautionneux qu'elle, pas de doute. Un garçon aussi bien que lui ne pouvait pas être mauvais, un excellent amant même... Cette pensée la remît en émoi...
Lorsque Gaëtan revînt sur ses pas, il frissonnait. Sachant qu'une fois la veste en cuir retirée, il aurait pleine vue sur le pull rouge, gonflé par l'opulente poitrine, la grosse laine tricotée moulant ce galbe exceptionnel, caressant les formes au plus près jusqu'à leurs deux points culminants ; mamelons délicieusement provoquants, tendant le corsage au maximum pour mieux affirmer leur féminité L'adolescent savait qu'en repassant le seuil du salon, la vue de cette déesse lui brûlerait davantage le coeur. Et cette délicieuse perspective renforça sa fébrilité.
Lorsqu'il la vît enfin, si sensuellement vêtue, il en resta figé, les yeux rivés sur son buste, pupilles dilatées par l'amour. Se sentant fière du pouvoir qu'elle avait sur lui, mais vaguement inquiète du tourment qui pourrait la submerger, Diane lui sourît. Gaëtan sentît alors l'érection déformant son pantalon s'accentuer, tendant la braguette au point de la faire craquer. La jeune femme s'en aperçut, et ses désirs secrets s'en confortèrent d'autant.
Elle avait déjà servi les boissons. Diane prît alors un verre , et s'avança vers l'adolescent pour le lui tendre. Experte en séduction, la jeune femme avait fait quelques pas, ondulant subtilement sur elle-même, seins tressautant au rythme de la marche, sous sa chemise fluide. Mais la vue de cette braguette, déformée d'expressive virilité, réveilla en elle une puissante chaleur, et la jeune femme eût bien du mal à tendre le verre, sans faire gicler le whisky, car elle tremblait. Son ventre la brûlait, et elle comprît qu'elle ne tiendrait plus longtemps. En voulant tendre un piège d'amour à Gaëtan, et lui donner l'image d'une femme, libre, fière, indépendante, et inaccessible... Diane s'était piégée elle-même, et était devenue l'esclave de ses propres phantasmes ...
En une fraction de seconde, des pensées entremêlées jaillîrent en elle ; des images, des sons, des souvenirs... Des grincements de lit, des râles masculins, des gémissements féminins, l'orgasme, son corps en Andromaque planté dans le sien, ses seins durcis jusqu'à s'enflammer, le vagin qui explose, un cri puissant...
_ Tiens, c'est pour toi ! lui dit-elle d'une voix devenue, malgré elle, très suave. Son ventre la brûlait de plus en plus, et Diane n'arrivait plus à se contenir. Tout juste avait-elle pû lui donner son verre sans le lâcher. Le coeur des futurs amants battait la chamade, mais ils n'osaient se l'avouer l'un l'autre...
_ Merci, Diane, répondît l'adolescent d'une voix étonnement rauque.
_ C'est ce que l'on doit à un homme exceptionnel comme toi...
_ C'est toi qui est exceptionnelle !
Ravie et gênée à la fois, elle éclata d'un petit rire discret, sans vulgarité :
_ Moi ? Mais je ne suis qu'une femme, tu sais... Comme tant d'autres...
_ Mais non, tu n'es pas comme les autres...
_ Allez, santé ! coupa Diane.
Ils trinquèrent :
_ A... A nous, osa Gaëtan, balbutiant.
_ A nous, lui répondît Diane, soupirant de désirs.
Ils vidèrent leurs verres, lentement, sans se presser, comme vaguement inquiets. Le garçon observait la délicate pomme d' Adam de la jeune femme, remuant au passage du liquide. Elle s'en aperçut, mais ne dit rien ; trop de pensées confuses flottaient dans sa tête.
_ Hmmm !!!! Très bon ce whisky, excellent même.
_ Je suis ravi qu'il te plaîse.
_ Et moi, je suis content de l'avoir goûté. Tu sais pourquoi ?
Diane guetta sa réponse.
_ Parce que mes parents ne m'auraient jamais autorisé à prendre de l'alcool; tu sais...
_ C'est normal, ils font attention à toi.
_ Toi aussi, tu fais attention à moi.
_ Moi c'est différent, c'est parce que je t'aime.
Posant leurs verres, le couple vînt s'embrasser. Des lèvres au fort parfum d'alcool que Diane promena sur le visage de son homme avant de les remettre sur les siennes, tout en douceur. Gaëtan était au ciel. Le temps s'était suspendu, voluptueusement, pour leur plus grand bonheur.
_ C'est très bon quand tu m'embrasses... reprît le garçon
_ Mon amour... chuchota-t'elle alors.
_ J'aime quand ça me brûle la gorge...
_ Moi aussi, si tu savais...
Soudain, Diane se tût. Emporté dans ses pensées, une image érotique lui était revenue malgré elle. Un souvenir qu'elle croyait avoir oublié, mais qui se rappelle toujours, tant il marque les chairs. Quand Diane était lycéenne, elle eût une liaison torride avec son petit ami d'alors. C'était un samedi soir, une rue sombre après une sortie d'un bar irlandais. La bière rousse avait dû couler. Elle lui avait ouvert la braguette, avait pris son sexe dans la paume, l'avait branlé délicatement. Tenir dans sa main cette chose, dure et douce, chaude et brûlante, vibrante, battante, vivante, sans savoir comment elle fonctionnerait mais sachant qu'elle fonctionnerait...
Tout ça lui réchauffait le ventre, elle aurait voulu se la mettre dans le vagin, sentir le feu lui ravager l'intérieur... Mais sans préliminaires, quel intêret ? Et puis, tous deux étaient dans la rue... Heureusement, il n'y avait personne dans cette impasse, et puis les volets était clos. Il faisait nuit depuis longtemps déjà... Diane massait cette bite majestueuse, arrachant de puissants râles de bonheur à l'adolescent. Petit à petit, la lycéenne découvrait le comportement de cet organe, inconnu d'elle jusqu'alors. Soudain, un lampadaire situé juste au dessus d'eux, et qui était éteint suite à un dysfonctionnement, se ralluma.
Inquiets, tous deux regardèrent aux alentours. Heureusement, il n'y avait personne, et la lycéenne reprît dans la main cette chose merveilleuse dont elle apprenait les pouvoirs magiques avec régal. A présent, elle pouvait voir la chose en même temps que la caresser.
La queue devait bien faire seize centimètres de long pour trois et demi de diamètre. Des veines et des vaisseaux la parcouraient, chef-d''oeuvre de finesse sous une peau brûlante et veloutée. Le gland se dévoilait, écarlate de passion comme le visage de Nathan ( le prénom lui était revenu ) qui suffoquait, multipliant les râles. Petit à petit, Diane dosait les sollicitations, intercalant des pauses pour permettre au garçon d'accéder au bien-être. Puis elle recommençait ; cela l'excitait autant que ça l'amusait.
Mais les meilleurs choses ont une fin. A plusieurs reprises le garçon se mît à râler : " âââaahh !!!!!!!! Je vais pâââaartir !!!!!! ", tandis que Diane poursuivait la branle. Ayant entendu parler, comme n'importe quelle autre lycéenne, de la fellation, elle fût prise d'une impulsion subite. Se mettant immédiatement à genoux devant lui, elle prît sa queue en pleine bouche, qu'elle cala contre son palais. Maintenant la bite sur le coussin confortable de sa langue, elle attendît la suite, hûmant la fraîcheur des testicules à pleine narines.
Alors, enveloppé avec une telle délicatesse, et autant de prévenance, Nathan sentît la puissante décharge électrique traverser sa bite. C'était le signal du départ, que ressentît également Diane, avec le tréssautement puissant de l'organe. L'instant d'après, sa langue capta la secousse violente du canal séminal ; la première giclée de sperme surgît aussitôt, elle l'avala.
_ OOH !!! AAAH !!!!!
Aux cris du jeune homme, d'autres éjaculations succèdèrent, et d'autres cris encore...
_ AAAH ! OH ! P..... ! C'EST BON ! OOH !!! AAAH !...
Et Diane avalait à chaque fois... GLOUP ! ... GLOUP !... AAAHH !!!!... GLOUP ! OH ! GLOUP !... GLOUP !...
Combien le fois le jeune homme avait-il giclé ? Elle ne s'en souvenait plus. Comment le pourrait-elle d'ailleurs ? Le plaisir était si bon... Peut-être dix fois maximum... Lorsqu'elle sentît les jets faiblir, puis disparaître, elle se retira lentement, et prît le soin, avant d'ôter le sexe complètement, de lécher le gland du bout de la langue, afin d'ôter soigneusement le reste de sperme y subsistant. Encore à genoux, contemplant la chose encore raide et tremblante, elle leva les yeux pour observer le visage de son petit ami, empourpré comme jamais. Lorsqu'il ouvrît les paupières, elle vît ses pupilles encore dilatées d'extase, et lui sourît. Et lorsqu'il murmura d'une voix rauque " Merci ! ", elle sourît encore plus, exprimant à sa façon la reconnaissance qu'elle avait pour lui. Ce sperme qu'elle avait avalé, mélange de fines herbes et d'ail, avait été le plus bon des repas. Ayant bien aimé, elle était prête à recommencer.
Et elle avait recommencé... Et leur histoire avait duré, faite de rapports intimes, depuis la Première jusqu'en Terminale. Et puis, le baccalauréat obtenu, leurs chemins s'étaient séparés. Elle lui envoyait des lettres, il y répondait, puis un jour il ne répondît plus. Elle rechercha sa trace, en pure perte ; il était parti. Quelques années après, Diane avait appris, en recroisant une ancienne copine, que Nathan avait rencontré à l'Université une étudiante allemande, prenommée Inge. Cette dernière lui avait raconté leurs relations passionnées, peu de temps avant qu'elle et lui ne partent s'installer en Allemagne. Nathan était parti de France depuis longtemps, et vivait en Bavière, où il devait être heureux à tous points de vue...
Si Diane s'attendait à apprendre une pareille nouvelle ; après autant de temps, il avait probablement refait sa vie ; le chagrin n'en fût pas moins immense. Nathan avait été son premier amour, pas seulement pour la découverte de la sexualité, mais aussi pour tous les bon moments partagés, leur complicité... bref, la joie d'être ensemble, tout bonnement... La jeune femme réalisa que tout cela était bien fini maintenant, et que la fellation, même si elle restait un bon souvenir, aurait un goût bien amer désormais...
( A suivre )