20-09-2020, 05:50 PM
Elle porte un mini short noir et ses jambes sont donc nues, juste sous mon nez. Du bout des doigts, je lui chatouille la jambe. Elle me fait un sourire, elle doit apprécier. Je continue donc en faisant de même avec son pied mais sans oser remonter jusqu’à sa cuisse. A la moitié du film, durant une scène d’amour, je sens que le regard de ma cousine se fixe sur moi mais je fais comme si de rien n’était et je garde les yeux rivés sur l’écran en essayant de ne pas rougir.
Le film s’achève et Claire se lève pour éteindre la télé. Quand j’y pense, c’est à peut près à cette heure ci qu’elle vient me chercher dans ma chambre d’habitude.
« Prêt pour notre petite discussion du soir ? demande-t-elle.
- Si on la faisait ici, pour changer ? proposé-je.
- Bonne idée ! »
Claire s’assoit à côté de moi. « - J’ai bien aimé ton massage hier !
- Et moi j’ai bien aimé te masser…
- Tu crois que tu pourrais recommencer ce soir ?
- C’est fait encore partie du gage ?
- Non, là c’est un service que je te demande… répond-elle avec un petit air innocent.
- Alors je ne vois pas comment je pourrais refuser un service à ma cousine.
- Merci Cyril, t’es vraiment super ! ( je rougis ) Attends, ferme les yeux.
J’obéis et je garde les yeux fermés jusqu’à son signal.
- C’est bon, tu peux regarder.
Claire a enlevé son haut. Je la trouve allongée sur le ventre, sur le canapé, en mini short et soutien-gorge. Sa tête repose sur ses mains qui font figure d’oreiller. Elle me regarde en souriant.
- Tu peux y aller ! J’aimerais que tu me masses tout le dos cette fois, pas seulement les épaules. »
Je monte sur le canapé et je me place à cheval au dessus d’elle, mes genoux de chaque coté de ses cuisses. Dans cette position, je peux me maintenir en équilibre tout en massant son dos. Je commence par les épaules et la nuque en procédant comme la veille : j’applique une pression douce et régulière du bout des doigts en insistant sur les points de tension. La respiration de Claire devient très calme, j’en déduis que mes soins commencent à faire effet et ça m’incite à continuer.
Je m’intéresse maintenant à son dos. Quel dos ! Séparé en deux par l’empreinte légère de sa colonne vertébrale, joliment cambré en bas et subtilement bronzé : il est magnifique. Un coup d’œil à sa taille et à ses hanches me confirme à quel point Claire est bien proportionnée.
Je commence par masser ses omoplates. Je procède symétriquement avec ma main droite et ma main gauche et j’applique une pression avec la paume de l’intérieur vers l’extérieur, en partant de sa colonne vertébrale. Elle a un joli grain de beauté sous l’omoplate droite. J’approche ma bouche et je dépose un baiser sur sa peau, à l’endroit du grain de beauté. J’en profite pour passer rapidement ma langue sur ce dernier. Claire frissonne mais quand je regarde son visage, je constate qu’elle a toujours les yeux fermés et qu’elle sourit. Ça a du lui plaire. Avant de descendre plus bas, je dégrafe délicatement sont soutien gorge. Il est blanc et assorti à sa culotte dont un petit bout dépasse du minishort. L’ensemble de son dos est désormais accessible et je continue mon massage en effectuant les mêmes mouvements. Mes mains s’attardent sur sa taille et ses hanches pour en apprécier la finesse. Je m’efforce également de ne pas trop regarder la courbure de ses seins qui affleurent de part et d’autre de son buste pour ne pas être tenté d’y toucher. Finalement, après de longues minutes aussi agréables pour elle que pour moi, je ré-agrafe son soutien gorge et je m'exclame :
« - Et voilà !
- Tu peux fermer les yeux une minute ?
J’obéis et je l’entends se rhabiller. Décidément, ce n’est pas aujourd'hui que je la verrai de face en sous-vêtements…
- Ouvre les yeux ! Franchement cousin, tu es un as ! C’était super agréable, tu as vraiment des doigts de fée ! D’ailleurs, puisque tu m’as appelé « petite sirène », je crois que je vais t’appeler « ma petite fée »
Je la regarde avec des yeux ronds.
- Je plaisante, ajoute-t-elle. Mais quand je dis que c’était super, je suis sérieuse. J’adore quand tu me touches… euh je veux dire… quand tu me masses comme ça. »
Et Claire me raccompagne jusqu'à ma chambre, me souhaite une bonne nuit, se hisse sur la pointe des pieds et m’embrasse sur le joue. Ça devient une habitude et je ne m’en lasse pas !
Le lendemain matin, je me réveille, je me prépare et je vais rendre visite à Claire dans sa chambre. Je toque à la porte, elle ne répond pas alors je rentre ( logique ). Un bruit d’eau qui coule m’apprend qu’elle est entrain de se doucher dans sa salle de bain personnelle. J’en profite pour faire un petit tour dans sa chambre. Son lit est défait et sa nuisette rouge et noire git par terre. Le papier peint beige des murs est décoré par quelques posters et par de jolies aquarelles encadrées que je n’avais même par remarquées lors de mes précédents passages ici.
Par curiosité, je colle mon oreille à la porte de sa salle de bain. Soudain, au dessus du vacarme de l’eau, je crois entendre un petit cri de ma cousine puis un autre à quelques secondes d’intervalle. Claire serait-elle entrain de… Je sors le plus silencieusement et le plus rapidement possible de sa chambre et je reviens, muni de mon oreiller. Je pose l’oreiller au sol et je m’allonge sur le ventre, le pénis contre l’oreiller et la tête à proximité de la porte. Je tends l’oreille.
J’entends à nouveau des petits cris. Ils sont peu nombreux et presque inaudibles mais ça ne fait aucun doute, Claire est entrain de se doigter de l’autre côté de la porte. Je suppose qu’elle laisse couler l’eau pour que personne n’entende son bruit depuis l’extérieur mais, fort heureusement pour moi, elle ne peut pas non plus entendre les légers bruits que je fais.
Je me concentre sur ses petits gémissements et, au rythme de ses « hi ! » et de ses « ah ! », je commence à frotter mon bassin contre l’oreiller. Je me demande si elle se doigte comme ça tous les matins sans que je m’en aperçoive et surtout, je me demande si je serais aussi efficace pour la doigter que pour la masser… Après tout, c’est elle qui a dit que j’avais « des doigts de fée »...
Je ferme les yeux et je revois la scène du massage de la veille. Je revois son joli dos, j’ai presque l’impression de le sentir sous mes doigts. J’accélère le rythme des frottements tout en veillant à faire le moins de bruit possible. La jouissance finit par arriver. Moins intense qu’avec une masturbation classique et se sont à peine quelques gouttes de semence que je sens mouiller mon slip. C’est l’avantage avec cette méthode, ça va vite et c’est plus propre : idéal quand on est pressé. Et je suis très pressé. Je retourne au pas de course dans ma chambre, je remets l’oreiller en place et j’attends que ma cousine sorte de la douche.
Une demi-heure plus tard, elle vient me dire bonjour dans ma chambre avec ses cheveux encore mouillés.
« - Salut Cyril, je sors tout juste de la douche. »
Trente minutes ca fait un peu long pour une douche, surtout qu’elle avait commencé avant mon arrivée. J’en déduis qu’elle a voulu faire durer son plaisir pendant un moment encore. Combien de temps a-t-elle bien pu passer à sa caresser ? Dix minutes ? Quinze ? Qui sait…
1.
L’après-midi, je confectionne les fameux mille-feuilles que nous dégustons au goûter. Ma tante s’extasie sur les garçons qui cuisinent et félicite ma mère qui m’a, pense-t-elle, tout appris.
« - C’est bon ! dit mon père.
- C’est très bon ! renchérit mon oncle. »
Et les deux commencent à s’empiffrer. Mais c’est surtout la réaction de ma cousine que je guette. Elle goute son mille-feuilles, le mâche lentement puis me fait un clin d’œil d’approbation. Sans aucune raison, je prends un fou rire et elle éclate de rire à son tour. Finalement, c’est toute la tablée qui se met à rigoler sans même savoir pourquoi !
Le soir, je me couche et j’attends fébrilement le moment où Claire viendra me chercher pour notre discussion habituelle. Comme toujours, aux alentours de minuit, elle gratte à ma porte. Je la suis et elle me conduit non pas dans sa chambre mais dans le petit salon. Nous nous retrouvons comme hier, côte à côte sur le canapé.
« - Tes mille-feuilles étaient délicieux !
- Content que ça t’ai plu ! Je les ai faits pour toi…
- Ce soir, c’est un soir un peu spécial ! m’annonce-t-elle.
- Pourquoi ça ?
- Parce que demain, Marianne arrive à la maison donc c’est la dernière fois que nous passons nos petites soirées en tête à tête.
- Ça va me manquer… lui dis-je.
Moi qui commençais à peine à m’habituer à ces discussions du soir et à ces massages réguliers, j’apprends que je vais devoir m’en passer à partir de demain…
- A moi aussi, répond-elle. C’est pour ça qu'aujourd'hui il faut faire un grand coup et en profiter un maximum !
- Je suis bien d’accord, dis-je avec enthousiasme.
- Ce qui me ferait plaisir, c’est que tu me fasses un dernier massage, le meilleur de tous.
- C’est bien parce que c’est toi… lui réponds-je avec un sourire. Installe-toi.
- Tu peux fermer les yeux ?
Je plante mon regard dans le sien.
- J’aimerais bien regarder cette fois.
- Ahah ! Après tout pourquoi pas… Je te dois bien ça ! Vas-y, assieds toi sur le canapé, tu seras plus à l’aise pour mater. » 299
Le film s’achève et Claire se lève pour éteindre la télé. Quand j’y pense, c’est à peut près à cette heure ci qu’elle vient me chercher dans ma chambre d’habitude.
« Prêt pour notre petite discussion du soir ? demande-t-elle.
- Si on la faisait ici, pour changer ? proposé-je.
- Bonne idée ! »
Claire s’assoit à côté de moi. « - J’ai bien aimé ton massage hier !
- Et moi j’ai bien aimé te masser…
- Tu crois que tu pourrais recommencer ce soir ?
- C’est fait encore partie du gage ?
- Non, là c’est un service que je te demande… répond-elle avec un petit air innocent.
- Alors je ne vois pas comment je pourrais refuser un service à ma cousine.
- Merci Cyril, t’es vraiment super ! ( je rougis ) Attends, ferme les yeux.
J’obéis et je garde les yeux fermés jusqu’à son signal.
- C’est bon, tu peux regarder.
Claire a enlevé son haut. Je la trouve allongée sur le ventre, sur le canapé, en mini short et soutien-gorge. Sa tête repose sur ses mains qui font figure d’oreiller. Elle me regarde en souriant.
- Tu peux y aller ! J’aimerais que tu me masses tout le dos cette fois, pas seulement les épaules. »
Je monte sur le canapé et je me place à cheval au dessus d’elle, mes genoux de chaque coté de ses cuisses. Dans cette position, je peux me maintenir en équilibre tout en massant son dos. Je commence par les épaules et la nuque en procédant comme la veille : j’applique une pression douce et régulière du bout des doigts en insistant sur les points de tension. La respiration de Claire devient très calme, j’en déduis que mes soins commencent à faire effet et ça m’incite à continuer.
Je m’intéresse maintenant à son dos. Quel dos ! Séparé en deux par l’empreinte légère de sa colonne vertébrale, joliment cambré en bas et subtilement bronzé : il est magnifique. Un coup d’œil à sa taille et à ses hanches me confirme à quel point Claire est bien proportionnée.
Je commence par masser ses omoplates. Je procède symétriquement avec ma main droite et ma main gauche et j’applique une pression avec la paume de l’intérieur vers l’extérieur, en partant de sa colonne vertébrale. Elle a un joli grain de beauté sous l’omoplate droite. J’approche ma bouche et je dépose un baiser sur sa peau, à l’endroit du grain de beauté. J’en profite pour passer rapidement ma langue sur ce dernier. Claire frissonne mais quand je regarde son visage, je constate qu’elle a toujours les yeux fermés et qu’elle sourit. Ça a du lui plaire. Avant de descendre plus bas, je dégrafe délicatement sont soutien gorge. Il est blanc et assorti à sa culotte dont un petit bout dépasse du minishort. L’ensemble de son dos est désormais accessible et je continue mon massage en effectuant les mêmes mouvements. Mes mains s’attardent sur sa taille et ses hanches pour en apprécier la finesse. Je m’efforce également de ne pas trop regarder la courbure de ses seins qui affleurent de part et d’autre de son buste pour ne pas être tenté d’y toucher. Finalement, après de longues minutes aussi agréables pour elle que pour moi, je ré-agrafe son soutien gorge et je m'exclame :
« - Et voilà !
- Tu peux fermer les yeux une minute ?
J’obéis et je l’entends se rhabiller. Décidément, ce n’est pas aujourd'hui que je la verrai de face en sous-vêtements…
- Ouvre les yeux ! Franchement cousin, tu es un as ! C’était super agréable, tu as vraiment des doigts de fée ! D’ailleurs, puisque tu m’as appelé « petite sirène », je crois que je vais t’appeler « ma petite fée »
Je la regarde avec des yeux ronds.
- Je plaisante, ajoute-t-elle. Mais quand je dis que c’était super, je suis sérieuse. J’adore quand tu me touches… euh je veux dire… quand tu me masses comme ça. »
Et Claire me raccompagne jusqu'à ma chambre, me souhaite une bonne nuit, se hisse sur la pointe des pieds et m’embrasse sur le joue. Ça devient une habitude et je ne m’en lasse pas !
Le lendemain matin, je me réveille, je me prépare et je vais rendre visite à Claire dans sa chambre. Je toque à la porte, elle ne répond pas alors je rentre ( logique ). Un bruit d’eau qui coule m’apprend qu’elle est entrain de se doucher dans sa salle de bain personnelle. J’en profite pour faire un petit tour dans sa chambre. Son lit est défait et sa nuisette rouge et noire git par terre. Le papier peint beige des murs est décoré par quelques posters et par de jolies aquarelles encadrées que je n’avais même par remarquées lors de mes précédents passages ici.
Par curiosité, je colle mon oreille à la porte de sa salle de bain. Soudain, au dessus du vacarme de l’eau, je crois entendre un petit cri de ma cousine puis un autre à quelques secondes d’intervalle. Claire serait-elle entrain de… Je sors le plus silencieusement et le plus rapidement possible de sa chambre et je reviens, muni de mon oreiller. Je pose l’oreiller au sol et je m’allonge sur le ventre, le pénis contre l’oreiller et la tête à proximité de la porte. Je tends l’oreille.
J’entends à nouveau des petits cris. Ils sont peu nombreux et presque inaudibles mais ça ne fait aucun doute, Claire est entrain de se doigter de l’autre côté de la porte. Je suppose qu’elle laisse couler l’eau pour que personne n’entende son bruit depuis l’extérieur mais, fort heureusement pour moi, elle ne peut pas non plus entendre les légers bruits que je fais.
Je me concentre sur ses petits gémissements et, au rythme de ses « hi ! » et de ses « ah ! », je commence à frotter mon bassin contre l’oreiller. Je me demande si elle se doigte comme ça tous les matins sans que je m’en aperçoive et surtout, je me demande si je serais aussi efficace pour la doigter que pour la masser… Après tout, c’est elle qui a dit que j’avais « des doigts de fée »...
Je ferme les yeux et je revois la scène du massage de la veille. Je revois son joli dos, j’ai presque l’impression de le sentir sous mes doigts. J’accélère le rythme des frottements tout en veillant à faire le moins de bruit possible. La jouissance finit par arriver. Moins intense qu’avec une masturbation classique et se sont à peine quelques gouttes de semence que je sens mouiller mon slip. C’est l’avantage avec cette méthode, ça va vite et c’est plus propre : idéal quand on est pressé. Et je suis très pressé. Je retourne au pas de course dans ma chambre, je remets l’oreiller en place et j’attends que ma cousine sorte de la douche.
Une demi-heure plus tard, elle vient me dire bonjour dans ma chambre avec ses cheveux encore mouillés.
« - Salut Cyril, je sors tout juste de la douche. »
Trente minutes ca fait un peu long pour une douche, surtout qu’elle avait commencé avant mon arrivée. J’en déduis qu’elle a voulu faire durer son plaisir pendant un moment encore. Combien de temps a-t-elle bien pu passer à sa caresser ? Dix minutes ? Quinze ? Qui sait…
1.
L’après-midi, je confectionne les fameux mille-feuilles que nous dégustons au goûter. Ma tante s’extasie sur les garçons qui cuisinent et félicite ma mère qui m’a, pense-t-elle, tout appris.
« - C’est bon ! dit mon père.
- C’est très bon ! renchérit mon oncle. »
Et les deux commencent à s’empiffrer. Mais c’est surtout la réaction de ma cousine que je guette. Elle goute son mille-feuilles, le mâche lentement puis me fait un clin d’œil d’approbation. Sans aucune raison, je prends un fou rire et elle éclate de rire à son tour. Finalement, c’est toute la tablée qui se met à rigoler sans même savoir pourquoi !
Le soir, je me couche et j’attends fébrilement le moment où Claire viendra me chercher pour notre discussion habituelle. Comme toujours, aux alentours de minuit, elle gratte à ma porte. Je la suis et elle me conduit non pas dans sa chambre mais dans le petit salon. Nous nous retrouvons comme hier, côte à côte sur le canapé.
« - Tes mille-feuilles étaient délicieux !
- Content que ça t’ai plu ! Je les ai faits pour toi…
- Ce soir, c’est un soir un peu spécial ! m’annonce-t-elle.
- Pourquoi ça ?
- Parce que demain, Marianne arrive à la maison donc c’est la dernière fois que nous passons nos petites soirées en tête à tête.
- Ça va me manquer… lui dis-je.
Moi qui commençais à peine à m’habituer à ces discussions du soir et à ces massages réguliers, j’apprends que je vais devoir m’en passer à partir de demain…
- A moi aussi, répond-elle. C’est pour ça qu'aujourd'hui il faut faire un grand coup et en profiter un maximum !
- Je suis bien d’accord, dis-je avec enthousiasme.
- Ce qui me ferait plaisir, c’est que tu me fasses un dernier massage, le meilleur de tous.
- C’est bien parce que c’est toi… lui réponds-je avec un sourire. Installe-toi.
- Tu peux fermer les yeux ?
Je plante mon regard dans le sien.
- J’aimerais bien regarder cette fois.
- Ahah ! Après tout pourquoi pas… Je te dois bien ça ! Vas-y, assieds toi sur le canapé, tu seras plus à l’aise pour mater. » 299