20-09-2020, 02:42 AM
CHAPITRE 25
***
Toc toc toc…
Noé va ouvrir la porte. Mathieu apparaît avec une personne derrière lui que nous ne voyons pas très bien parce qu’il est penché en avant pour attraper les bagages qu’il avait déposés en attendant. Ils entrent tous les deux et, là, nous découvrons enfin son visage. Mathieu prend la parole pour le présenter…
…Mais il n’a pas besoin de le présenter, du moins pour ceux qui l’ont déjà vu. Eh oui son invité surprise c’est bel et bien Marc-Antoine, celui qui a essayé de me violer il y a quelques temps de ça…
Immédiatement Antoine et Olivier se lèvent et se jettent sur lui, tout le monde ne comprend pas vraiment ce qui se passe, même moi je suis sous le choc, je n’arrive pas à bouger ! Je pensais ne plus jamais le voir et là, aujourd’hui il se trouve parmi nous sans que personne ne l’attende.
Sébastien intervient rapidement pour arrêter ces réactions violentes.
-Séb : Stop ! Putain qu’est-ce qu’il vous a fait pour mériter une telle violence ?
-Oli : Pourquoi arrêter quand j’ai enfin l’occasion de le faire souffrir?
-Mathieu : Oli, pourquoi tu fais ça, tu viens de le rencontrer et il ne t’a rien fait de méchant ! Et tu le frappes dès qu’il entre dans la pièce. Ca va pas dans ta tête ?
-Oli : Ta gueule toi ! Tu sais pas ce qu’il a fait et tout ça c’est de ta faute puisque tu l’as amené ici. Alors ne prends surtout pas sa défense, il mérite même pas d’avoir des amis ce gars…
Quant à Antoine il se débat dans les bras de Hugo qui tente de le maitriser.
-Antoine : Lâche moi Hugo, je dois le frapper pour tout ce qu’il a fait à Nicolas, mais putain lâche moi !!!
Le fait d’avoir entendu mon nom me fait revenir à moi… je dois prendre mon courage à deux mains pour dire quelque chose parce qu’il faut calmer l’ambiance avant que ça dégénère et que nos vacances soient ruinées.
-Moi : Tout le monde calmez vous et laissez moi parler…
Immédiatement tout le monde se tourne vers moi pour m’écouter.
-Moi : Bon maintenant que j’ai l’attention de tout le monde je vais vous dire quelque chose… Pour ceux qui connaissent mon histoire avec lui je comprends votre réaction de vouloir le frapper… Même moi, en ce moment j’ai juste l’envie de lui exploser la tête… mais ça changera quoi sinon de gâcher nos vacances et de ruiner l’ambiance. On est ici pour du fun non ? Bien sûr je sais que ça va être compliqué maintenant avec cette personne dans les parages mais on n’a pas d’autre solution que de faire avec. Pour ceux qui ignorent ce qui s’est passé je n’en dirai rien parce que ce sont pas vos affaires et surtout je ne veux pas me replonger dans ces souvenirs atroces… alors merci de ne rien demander. Mais je voudrais qu’on puisse passer de bons moments puisqu’on est supposer faire la fête tous ensemble.
Et je me dirige vers Antoine, Oli et sa blonde pour leur dire de me suivre, je veux qu’ils m’accompagnent dans ma chambre, j’ai besoin de rester un peu seul avec eux, eux qui connaissent mon histoire. Et une fois arrivé je m’écroule sur mon lit tellement je suis bouleversé par ce que je viens de voir. Revoir celui qui a eu un tel comportement avec moi devant moi, aujourd’hui !
Antoine se rapproche de moi et vient se coller contre moi pour me réconforter et il me parle tout doucement pour me demander si ça va aller .
-Moi : est-ce que tu penses que ça peut vraiment aller après avoir vu ce malade se pointer ici comme si de rien n’était ?
-Antoine : mais après avoir vu ta réaction et entendu ce que tu as dis je pensais que tu allais mieux que je l’aurais imaginé.
-Moi : t’es fou ? Si je me retenais pas en ce moment je retournerais dans le salon pour aller le cogner parce que je crois que ça me soulagerait… Mais ce serait le meilleur moyen de gâcher définitivement ces vacances. Et je veux pas que tout le monde en subisse les conséquences à cause de moi.
-Oli : Oui mais il a quand même essayé de te violer je te rappelle… c’est pas rien !
-Emma : Quoi, le gars qui est arrivé avec votre ami Mathieu a vraiment voulu violer Nicolas ?
-Antoine : oui, tu as bien compris !
-Emma : Attendez, je reviens tout de suite, je vais juste chercher quelque chose dans le salon.
-Oli : fais rien de con…
Emma est déjà sorti de la chambre et on l’entends marcher d’un pas décidé.
On l’entends crier depuis la chambre et elle jette un « tu mérites juste ça fils de p… » et le bruit d’une claque violent suit ses paroles. Puis elle revient peu après avec 4 bières qu’elle nous distribue en nous proposant de passer un petit moment tous les quatre, dans le calme.
-Oli : Je t’avais dit de ne rien faire de con…
-Emma : désolé mais je ne pouvais pas rester sans rien faire. Vous m’avez entendu ?
-Moi : C’était plutôt difficile de ne pas t’entendre, surtout que tu avais laissé la porte ouverte ! Mais merci quand même ça me fait du bien que tu prennes ma défense de cette façon…
-Emma : et je peux y retourner encore si ça peut te soulager.
-Moi : Non ca va, c’est suffisant !
Cette fille m’a redonné le goût d’être joyeux. Je me sens compris et aidé. Je prends la bière qu’elle m’a offerte et je la bois d’un coup. C’est à ce moment là que quelqu’un cogne à la porte.
Oli se dirige vers la porte pour l’ouvrir, c’est seulement Sébastien et Noémie…
Sébastien et Noémie entrent dans la chambre et c’est Sébastien qui, sans surprise, pose la question : « Est-ce que quelqu’un peut m’expliquer ce qui vient de se passer depuis que l’ami de Mathieu est arrivé ? »
-moi : Je pense que je t’en ai parlé mais je ne m’en souviens plus trop. Je vais te le dire ou te le redire parce que je te connais un peu plus que tous ceux qui sont dans le chalet, à part ceux qui sont dans cette chambre bien sûr !
-Séb : Oui si tu pouvais me rappeler ce que tu n’es pas certain de m’avoir déjà dit…
-moi : Il y a quelques temps, quand ça n’allait pas bien avec ma famille et qu’Antoine était à l’hôpital je suis allé vivre chez quelqu’un qui me proposait de me dépanner… et cette personne a tenté de me violer.
-Seb : Ah, je me souviens mieux maintenant, tu m’as parlé de ce que tu as vécu un soir… Mais ne me dis pas que c’est … ce gars ?
-moi : Tu as tout compris, c’est bien Marc-Antoine qui s’est comporté comme ça, oui !
-Noémie : T’es sérieux là ?
-moi : Parce que tu crois que c’est quelque chose que je raconterai si ça n’était pas la réalité ? Bien sûr que j’ai vécu ce moment insupportable.
-Seb : T’aurais pu le dire plus tôt et je ne me serais pas interposé comme je l’ai fait. Je comprends maintenant la réaction d’Antoine et Oli .
-moi : Non tu as bien fait de les arrêter parce que je ne veux pas que cette histoire ruine nos vacances.
-Noémie : Mais tu crois que tu vas pouvoir passer du bon temps avec lui au milieu du groupe ?
-moi : Hee ! Non je ne pense pas vraiment… mais je crois que je dois faire le maximum pour que vous n’ayez pas à supporter une mauvaise ambiance.
-Séb : Au pire on peut faire la fête dans ta chambre pour que tu ne le voies pas le soir du réveillon ?
-moi : Non je vais pas faire un petit groupe avec mes amis proches qui vivrait en dehors des autres personnes. Je vous promets de faire le maximum pour ne pas gâcher ces moments. On attend ces vacances avec impatience depuis quelque temps déjà alors je tiens à ce qu’on en garde malgré tout un bon souvenir. Pour moi c’est le premier noël que je vais passer en dehors de chez mes parents alors j’ai envie qu’on s’éclate ensemble.
-Noémie : D’accord, mais si tu veux je peux lui dire de repartir demain parce que je ne veux pas non plus de lui ici, maintenant que je sais ce qui s’est passé.
-moi : Tu imagines la déception de Mathieu si on demande à son ami de repartir ?
-Noémie : Mais putain Nicolas c’est de toi dont il s’agit ! Si tu dois passer de sales vacances à cause de ce gars il faut pas hésiter à le virer !
-moi : Non laisse faire, et si je me sens trop mal je t’en parlerai et on verra quoi faire.
-Séb : Je t’admire Nicolas ! Tu es quelqu’un qui sait ce que c’est l’amitié et tu es prêt à te sacrifier pour qu’un ami ne soit pas frustré si celui avec qui il est venu est éjecté… J’espère qu’il comprendra quel effort tu fais et qu’il saura le reconnaître.
-Noémie : Ah mon Nicolas, je te reconnais bien là ! Tu es toujours aussi généreux et attentif au bien être de ceux qui t’entourent !
-moi : ok merci mais j’aimerai rester un peu seul avec Antoine maintenant.
Une fois que chacun est sorti, je ferme la porte et m’approche de mon chéri que je sens crispé depuis l’intrusion de ce « personnage » qu’on n’attendait pas.
-moi : Tu sais mon chéri je voudrais qu’on se fasse des calins maintenant parce que j’ai besoin de te sentir tout près de moi pour oublier un peu ce qui se passe depuis tout à l’heure.
-Antoine : Alors toi ! Après ce qui vient de se passer ? Mais ceci dit elle me plait beaucoup ton idée…
-moi : Peut être que c’est surprenant mais je crois que ça va vraiment m’aider à me vider le cerveau de ces choses négatives qu’on vient de vivre.
Et je ne lui donne pas le temps de me répondre, je le positionne sur le dos et je me place à califourchon sur lui. Je commence par quelque vas et viens avec mon bassin tout en lui massant le ventre comme je sais si bien le faire, comme il me le répète à chaque fois ! Dès que je sens son sexe en érection, et ça se produit très vite vous pouvez me croire, je lui retire son pantalon tout en lui conservant son boxer. Je pose mon regard sur ce sexe bien raide qui est moulé par le tissus… Je le prends en main et le carresse avec douceur pour commencer mais très vite l’excitation me gagne aussi et je ne résiste pas à l’envie de retirer très vite cette barrière …
Son sexe libéré se détend instantanément et il déploie toute sa splendeur à mes yeux avides et toujours aussi émerveillés par ce spectacle. J’approche mon visage du sien pour l’embrasser avec passion et simultanément je m’empare de sa tige qui palpite sous mes mains… J’adore ces moments où son sexe me demande d’aller plus loin, de le faire vivre par des gestes précis que je maitrise de mieux en mieux.
Je laisse la bouche de mon chéri pour descendre et me permettre d’avaler avec fougue son organe qui a atteint son excitation maximum. Je l’avale tout entier, ce qui surprend mon amour, car je n’y parviens pas toujours du fait de sa taille ! Je lui fais des vas et viens de plus en plus rapides et je comprends qu’Antoine prend énormément de plaisir si j’en juge par ces petits cris qu’il ne parvient pas bien à maitriser. J’ai un peu peur que ces bruits ne traversent la cloison mais je me dis que le bruit ambiant couvrira et es rendra difficiles à percevoir… et de toute façon s’ils les entendent malgré tout ils comprendront qu’entre nous deux les liens sont forts et le plaisir qu’on se donne est le signe de notre volonté de passer du bon temps ensemble, ici !
Je continue avec mes coups de langue bien appuyés sur la totalité de sa tige, je change de rythme pour ralentir ou accélérer selon ses réactions jusqu’au moment où j’entends un « Nic je vais-je vais jo… hmmmm »
Il vient de lâcher 3 longs jets de sperme que j’avale complétement… Mon chéri exprime son plaisir total par des spasmes qui durent quelques secondes encore puis il vient m’embrasser pour partager un peu plus notre complicité. Il me propose ensuite de me tourner en me faisant comprendre son intention… Je luis demande de ne pas aller plus loin pour le moment, mais qu’au retour dans la chambre tout à l’heure, après le repas en commun, nous vivrons un autre moment de sensualité intense qu’il pourra diriger.
-Antoine : Tu es sûr de vouloir faire comme ça ?
-moi : oui je suis sûr. Mais là, maintenant, on ferait mieux de rejoindre les autres…Ils doivent nous attendre non ? Ils vont se demander ce qu’on fait si on n’y retourne pas rapidement…
-Antoine : D’après moi ils doivent bien s’en douter un peu tu crois pas ?
-moi : d’accord avec toi ! D’autant plus qu’ils ont peut être entendu les bruits qui venaient de la chambre vu ton peu de discrétion.
-Antoine : Au moins ils sauront qu’on s’aime tous les deux et que personne ne doit s’interposer entre nous.
Et nous nous rhabillons et prenons la direction de la salle principale où chacun est déjà occupé à jouer son rôle pour les moments qui vont suivre.
***
Toc toc toc…
Noé va ouvrir la porte. Mathieu apparaît avec une personne derrière lui que nous ne voyons pas très bien parce qu’il est penché en avant pour attraper les bagages qu’il avait déposés en attendant. Ils entrent tous les deux et, là, nous découvrons enfin son visage. Mathieu prend la parole pour le présenter…
…Mais il n’a pas besoin de le présenter, du moins pour ceux qui l’ont déjà vu. Eh oui son invité surprise c’est bel et bien Marc-Antoine, celui qui a essayé de me violer il y a quelques temps de ça…
Immédiatement Antoine et Olivier se lèvent et se jettent sur lui, tout le monde ne comprend pas vraiment ce qui se passe, même moi je suis sous le choc, je n’arrive pas à bouger ! Je pensais ne plus jamais le voir et là, aujourd’hui il se trouve parmi nous sans que personne ne l’attende.
Sébastien intervient rapidement pour arrêter ces réactions violentes.
-Séb : Stop ! Putain qu’est-ce qu’il vous a fait pour mériter une telle violence ?
-Oli : Pourquoi arrêter quand j’ai enfin l’occasion de le faire souffrir?
-Mathieu : Oli, pourquoi tu fais ça, tu viens de le rencontrer et il ne t’a rien fait de méchant ! Et tu le frappes dès qu’il entre dans la pièce. Ca va pas dans ta tête ?
-Oli : Ta gueule toi ! Tu sais pas ce qu’il a fait et tout ça c’est de ta faute puisque tu l’as amené ici. Alors ne prends surtout pas sa défense, il mérite même pas d’avoir des amis ce gars…
Quant à Antoine il se débat dans les bras de Hugo qui tente de le maitriser.
-Antoine : Lâche moi Hugo, je dois le frapper pour tout ce qu’il a fait à Nicolas, mais putain lâche moi !!!
Le fait d’avoir entendu mon nom me fait revenir à moi… je dois prendre mon courage à deux mains pour dire quelque chose parce qu’il faut calmer l’ambiance avant que ça dégénère et que nos vacances soient ruinées.
-Moi : Tout le monde calmez vous et laissez moi parler…
Immédiatement tout le monde se tourne vers moi pour m’écouter.
-Moi : Bon maintenant que j’ai l’attention de tout le monde je vais vous dire quelque chose… Pour ceux qui connaissent mon histoire avec lui je comprends votre réaction de vouloir le frapper… Même moi, en ce moment j’ai juste l’envie de lui exploser la tête… mais ça changera quoi sinon de gâcher nos vacances et de ruiner l’ambiance. On est ici pour du fun non ? Bien sûr je sais que ça va être compliqué maintenant avec cette personne dans les parages mais on n’a pas d’autre solution que de faire avec. Pour ceux qui ignorent ce qui s’est passé je n’en dirai rien parce que ce sont pas vos affaires et surtout je ne veux pas me replonger dans ces souvenirs atroces… alors merci de ne rien demander. Mais je voudrais qu’on puisse passer de bons moments puisqu’on est supposer faire la fête tous ensemble.
Et je me dirige vers Antoine, Oli et sa blonde pour leur dire de me suivre, je veux qu’ils m’accompagnent dans ma chambre, j’ai besoin de rester un peu seul avec eux, eux qui connaissent mon histoire. Et une fois arrivé je m’écroule sur mon lit tellement je suis bouleversé par ce que je viens de voir. Revoir celui qui a eu un tel comportement avec moi devant moi, aujourd’hui !
Antoine se rapproche de moi et vient se coller contre moi pour me réconforter et il me parle tout doucement pour me demander si ça va aller .
-Moi : est-ce que tu penses que ça peut vraiment aller après avoir vu ce malade se pointer ici comme si de rien n’était ?
-Antoine : mais après avoir vu ta réaction et entendu ce que tu as dis je pensais que tu allais mieux que je l’aurais imaginé.
-Moi : t’es fou ? Si je me retenais pas en ce moment je retournerais dans le salon pour aller le cogner parce que je crois que ça me soulagerait… Mais ce serait le meilleur moyen de gâcher définitivement ces vacances. Et je veux pas que tout le monde en subisse les conséquences à cause de moi.
-Oli : Oui mais il a quand même essayé de te violer je te rappelle… c’est pas rien !
-Emma : Quoi, le gars qui est arrivé avec votre ami Mathieu a vraiment voulu violer Nicolas ?
-Antoine : oui, tu as bien compris !
-Emma : Attendez, je reviens tout de suite, je vais juste chercher quelque chose dans le salon.
-Oli : fais rien de con…
Emma est déjà sorti de la chambre et on l’entends marcher d’un pas décidé.
On l’entends crier depuis la chambre et elle jette un « tu mérites juste ça fils de p… » et le bruit d’une claque violent suit ses paroles. Puis elle revient peu après avec 4 bières qu’elle nous distribue en nous proposant de passer un petit moment tous les quatre, dans le calme.
-Oli : Je t’avais dit de ne rien faire de con…
-Emma : désolé mais je ne pouvais pas rester sans rien faire. Vous m’avez entendu ?
-Moi : C’était plutôt difficile de ne pas t’entendre, surtout que tu avais laissé la porte ouverte ! Mais merci quand même ça me fait du bien que tu prennes ma défense de cette façon…
-Emma : et je peux y retourner encore si ça peut te soulager.
-Moi : Non ca va, c’est suffisant !
Cette fille m’a redonné le goût d’être joyeux. Je me sens compris et aidé. Je prends la bière qu’elle m’a offerte et je la bois d’un coup. C’est à ce moment là que quelqu’un cogne à la porte.
Oli se dirige vers la porte pour l’ouvrir, c’est seulement Sébastien et Noémie…
Sébastien et Noémie entrent dans la chambre et c’est Sébastien qui, sans surprise, pose la question : « Est-ce que quelqu’un peut m’expliquer ce qui vient de se passer depuis que l’ami de Mathieu est arrivé ? »
-moi : Je pense que je t’en ai parlé mais je ne m’en souviens plus trop. Je vais te le dire ou te le redire parce que je te connais un peu plus que tous ceux qui sont dans le chalet, à part ceux qui sont dans cette chambre bien sûr !
-Séb : Oui si tu pouvais me rappeler ce que tu n’es pas certain de m’avoir déjà dit…
-moi : Il y a quelques temps, quand ça n’allait pas bien avec ma famille et qu’Antoine était à l’hôpital je suis allé vivre chez quelqu’un qui me proposait de me dépanner… et cette personne a tenté de me violer.
-Seb : Ah, je me souviens mieux maintenant, tu m’as parlé de ce que tu as vécu un soir… Mais ne me dis pas que c’est … ce gars ?
-moi : Tu as tout compris, c’est bien Marc-Antoine qui s’est comporté comme ça, oui !
-Noémie : T’es sérieux là ?
-moi : Parce que tu crois que c’est quelque chose que je raconterai si ça n’était pas la réalité ? Bien sûr que j’ai vécu ce moment insupportable.
-Seb : T’aurais pu le dire plus tôt et je ne me serais pas interposé comme je l’ai fait. Je comprends maintenant la réaction d’Antoine et Oli .
-moi : Non tu as bien fait de les arrêter parce que je ne veux pas que cette histoire ruine nos vacances.
-Noémie : Mais tu crois que tu vas pouvoir passer du bon temps avec lui au milieu du groupe ?
-moi : Hee ! Non je ne pense pas vraiment… mais je crois que je dois faire le maximum pour que vous n’ayez pas à supporter une mauvaise ambiance.
-Séb : Au pire on peut faire la fête dans ta chambre pour que tu ne le voies pas le soir du réveillon ?
-moi : Non je vais pas faire un petit groupe avec mes amis proches qui vivrait en dehors des autres personnes. Je vous promets de faire le maximum pour ne pas gâcher ces moments. On attend ces vacances avec impatience depuis quelque temps déjà alors je tiens à ce qu’on en garde malgré tout un bon souvenir. Pour moi c’est le premier noël que je vais passer en dehors de chez mes parents alors j’ai envie qu’on s’éclate ensemble.
-Noémie : D’accord, mais si tu veux je peux lui dire de repartir demain parce que je ne veux pas non plus de lui ici, maintenant que je sais ce qui s’est passé.
-moi : Tu imagines la déception de Mathieu si on demande à son ami de repartir ?
-Noémie : Mais putain Nicolas c’est de toi dont il s’agit ! Si tu dois passer de sales vacances à cause de ce gars il faut pas hésiter à le virer !
-moi : Non laisse faire, et si je me sens trop mal je t’en parlerai et on verra quoi faire.
-Séb : Je t’admire Nicolas ! Tu es quelqu’un qui sait ce que c’est l’amitié et tu es prêt à te sacrifier pour qu’un ami ne soit pas frustré si celui avec qui il est venu est éjecté… J’espère qu’il comprendra quel effort tu fais et qu’il saura le reconnaître.
-Noémie : Ah mon Nicolas, je te reconnais bien là ! Tu es toujours aussi généreux et attentif au bien être de ceux qui t’entourent !
-moi : ok merci mais j’aimerai rester un peu seul avec Antoine maintenant.
Une fois que chacun est sorti, je ferme la porte et m’approche de mon chéri que je sens crispé depuis l’intrusion de ce « personnage » qu’on n’attendait pas.
-moi : Tu sais mon chéri je voudrais qu’on se fasse des calins maintenant parce que j’ai besoin de te sentir tout près de moi pour oublier un peu ce qui se passe depuis tout à l’heure.
-Antoine : Alors toi ! Après ce qui vient de se passer ? Mais ceci dit elle me plait beaucoup ton idée…
-moi : Peut être que c’est surprenant mais je crois que ça va vraiment m’aider à me vider le cerveau de ces choses négatives qu’on vient de vivre.
Et je ne lui donne pas le temps de me répondre, je le positionne sur le dos et je me place à califourchon sur lui. Je commence par quelque vas et viens avec mon bassin tout en lui massant le ventre comme je sais si bien le faire, comme il me le répète à chaque fois ! Dès que je sens son sexe en érection, et ça se produit très vite vous pouvez me croire, je lui retire son pantalon tout en lui conservant son boxer. Je pose mon regard sur ce sexe bien raide qui est moulé par le tissus… Je le prends en main et le carresse avec douceur pour commencer mais très vite l’excitation me gagne aussi et je ne résiste pas à l’envie de retirer très vite cette barrière …
Son sexe libéré se détend instantanément et il déploie toute sa splendeur à mes yeux avides et toujours aussi émerveillés par ce spectacle. J’approche mon visage du sien pour l’embrasser avec passion et simultanément je m’empare de sa tige qui palpite sous mes mains… J’adore ces moments où son sexe me demande d’aller plus loin, de le faire vivre par des gestes précis que je maitrise de mieux en mieux.
Je laisse la bouche de mon chéri pour descendre et me permettre d’avaler avec fougue son organe qui a atteint son excitation maximum. Je l’avale tout entier, ce qui surprend mon amour, car je n’y parviens pas toujours du fait de sa taille ! Je lui fais des vas et viens de plus en plus rapides et je comprends qu’Antoine prend énormément de plaisir si j’en juge par ces petits cris qu’il ne parvient pas bien à maitriser. J’ai un peu peur que ces bruits ne traversent la cloison mais je me dis que le bruit ambiant couvrira et es rendra difficiles à percevoir… et de toute façon s’ils les entendent malgré tout ils comprendront qu’entre nous deux les liens sont forts et le plaisir qu’on se donne est le signe de notre volonté de passer du bon temps ensemble, ici !
Je continue avec mes coups de langue bien appuyés sur la totalité de sa tige, je change de rythme pour ralentir ou accélérer selon ses réactions jusqu’au moment où j’entends un « Nic je vais-je vais jo… hmmmm »
Il vient de lâcher 3 longs jets de sperme que j’avale complétement… Mon chéri exprime son plaisir total par des spasmes qui durent quelques secondes encore puis il vient m’embrasser pour partager un peu plus notre complicité. Il me propose ensuite de me tourner en me faisant comprendre son intention… Je luis demande de ne pas aller plus loin pour le moment, mais qu’au retour dans la chambre tout à l’heure, après le repas en commun, nous vivrons un autre moment de sensualité intense qu’il pourra diriger.
-Antoine : Tu es sûr de vouloir faire comme ça ?
-moi : oui je suis sûr. Mais là, maintenant, on ferait mieux de rejoindre les autres…Ils doivent nous attendre non ? Ils vont se demander ce qu’on fait si on n’y retourne pas rapidement…
-Antoine : D’après moi ils doivent bien s’en douter un peu tu crois pas ?
-moi : d’accord avec toi ! D’autant plus qu’ils ont peut être entendu les bruits qui venaient de la chambre vu ton peu de discrétion.
-Antoine : Au moins ils sauront qu’on s’aime tous les deux et que personne ne doit s’interposer entre nous.
Et nous nous rhabillons et prenons la direction de la salle principale où chacun est déjà occupé à jouer son rôle pour les moments qui vont suivre.