18-09-2020, 08:44 AM
Suite
Nous étions passés par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Nous avions ensuite rejoint nos chambres. Une fois au lit Julien m’avait embrassé. Il voyait que je n’étais pas trop dans mon assiette. Il me demanda ce que j’avais. Je lui expliquais que j’étais étonné que Lucas soit gay. Rien ne laissait apparaitre son attrait pour les garçons. Il n’était jamais le dernier aux douches après les cours de sport, il ne regardait pas plus que ça les autres garçons. Mais bien entendu cela ne voulait rien dire. Julien me disait de ne pas m’en faire et que nous verrions dans les prochains jours ce qu’il se passerait.
Finalement nous étions embrassés avec fougue. Nos langues étaient entrées en danse et nous profitions de nos bouches pour nous lécher un peu partout. Nous avions fini par gober la queue de notre partenaire. Puis Julien m’avait demandé s’il pouvait me prendre, me faire l’amour. J’avais remarqué que les préservatifs étaient déjà prêts ainsi que le gel lubrifiant. Je lui avais susurré à l’oreille que je voulais qu’il prenne possession de mon anatomie arrière, qu’il me fasse l’amour. Je n’attendais que cela depuis quelques jours déjà.
Julien avait pris du gel pour m’en enduire la collerette et ainsi avec son doigt préparer l’entrée de ma grotte. Il savait s’y prendre, il avait un doigté incroyable, il avait mis deux doigts, j’étais prêt à le recevoir, à recevoir son pénis bandé. Julien avait mis un préservatif sur son anatomie dressé. Il s’était avancé vers l’objet de ses désirs pour me procurer du plaisir, du plaisir anal ! J’avais senti que son gland était à l’entrée préparée à le recevoir. Puis Julien avait délicatement investi mon antre. Il me pénétrait doucement petit à petit. Je sentais son engin de plaisir prendre possession de mon être. Puis il avait commencé ses mouvements de va et vient, sans brusquer les choses, tout doucement pour ensuite prendre un rythme de croisière. Puis parfois l’allure s’emballait, Julien me pilonnait et moi de mon côté je gémissais de plaisir. Julien poursuivait amoureusement l’acte d’amour masculin, il me sodomisait avec beaucoup de précaution mais aussi avec parfois un peu de fermeté, cela me donnait un plaisir incroyable et bien entendu à mon amour, à mon amant aussi ! Julien poursuivait ses mouvements qui allaient bientôt atteindre le point haut, le point de non-retour, le point où il allait enfin se libérer, enfin jouir et lâcher sa semence. Puis dans un râle rauque et assez sonore, mon amour, mon Julien éjaculait enfin au fond de cet étui en latex qui enserrait son sexe bandé. Moi de mon côté j’avais reçu toute l’intensité du moment, de ce moment de jouissance au plus profond de mon anatomie anale.
Il avait bien fallu dix minutes pour que nous puissions nous en remettre. Nous nous embrassions, nous nous câlinions l’un l’autre. Et enfin mon Julien m’avait lui aussi demandé de prendre son arrière-train d’assaut. Il avait envie de me sentir en lui, de lui aussi m’offrir son corps.
J’avais alors pris les choses en main. J’avais pris du gel lubrifiant et j’avais entrepris de préparer l’entrée de la grotte de mon ami Julien. Puis une fois cet orifice prêt à recevoir mon bâton de joie, j’avais placé sur mon sexe le préservatif. Puis en prenant le soin d’y aller doucement, j’avais commencé à invertir l’antre si désirée. Mon gland était déjà entré dans cette tanière bien chaude. Puis c’est délicatement que mon bâton de plaisir entrait au fur et à mesure. Julien poussait de petits râles de plaisir. Une fois bien installé j’avais alors entamé des mouvements de va et vient tantôt lents et tantôt rapides. Julien me susurrait des « vas-y » ou alors des « Oh oui, plus fort. ». Je m’appliquais à donner du bonheur à mon amour, à mon amant. Je l’aime mon Julien, j’étais si heureux de l’avoir retrouvé. Je m’appliquais à cette tâche si bienfaisante. Je sentais que mon désir montait de plus en plus et que j’allais bientôt arriver à un point de non-retour. Je savais que j’étais au bord de la jouissance. Tout mon corps était brûlant de bonheur. Je donnais du plaisir et bien entendu je me donnais également du plaisir. Julien savait lui aussi que j’allais bientôt lâcher ma semence, car mon sexe avait encore pris de l’ampleur, il avait atteint sa taille maximale. Alors dans un râle à peine contrôlé, j’avais joui, cinq jets de sperme s’étaient déversés au fond de la capote. Puis c’est en douceur que je m’étais retiré de cet endroit de bonheur bien dilaté par cet exercice d’amour partagé. Une fois le condom ôté, je m’étais affalé à côté de Julien.
Nous nous étions alors embrassés, heureux de nous être donnés l’un à l’autre. Nous nagions en plein bonheur. Nous n’avions pas envie que ce moment de quiétude s’arrête trop vite. Puis c’est ainsi dans les bras l’un de l’autre que nous nous étions endormis.
Nous étions passés par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Nous avions ensuite rejoint nos chambres. Une fois au lit Julien m’avait embrassé. Il voyait que je n’étais pas trop dans mon assiette. Il me demanda ce que j’avais. Je lui expliquais que j’étais étonné que Lucas soit gay. Rien ne laissait apparaitre son attrait pour les garçons. Il n’était jamais le dernier aux douches après les cours de sport, il ne regardait pas plus que ça les autres garçons. Mais bien entendu cela ne voulait rien dire. Julien me disait de ne pas m’en faire et que nous verrions dans les prochains jours ce qu’il se passerait.
Finalement nous étions embrassés avec fougue. Nos langues étaient entrées en danse et nous profitions de nos bouches pour nous lécher un peu partout. Nous avions fini par gober la queue de notre partenaire. Puis Julien m’avait demandé s’il pouvait me prendre, me faire l’amour. J’avais remarqué que les préservatifs étaient déjà prêts ainsi que le gel lubrifiant. Je lui avais susurré à l’oreille que je voulais qu’il prenne possession de mon anatomie arrière, qu’il me fasse l’amour. Je n’attendais que cela depuis quelques jours déjà.
Julien avait pris du gel pour m’en enduire la collerette et ainsi avec son doigt préparer l’entrée de ma grotte. Il savait s’y prendre, il avait un doigté incroyable, il avait mis deux doigts, j’étais prêt à le recevoir, à recevoir son pénis bandé. Julien avait mis un préservatif sur son anatomie dressé. Il s’était avancé vers l’objet de ses désirs pour me procurer du plaisir, du plaisir anal ! J’avais senti que son gland était à l’entrée préparée à le recevoir. Puis Julien avait délicatement investi mon antre. Il me pénétrait doucement petit à petit. Je sentais son engin de plaisir prendre possession de mon être. Puis il avait commencé ses mouvements de va et vient, sans brusquer les choses, tout doucement pour ensuite prendre un rythme de croisière. Puis parfois l’allure s’emballait, Julien me pilonnait et moi de mon côté je gémissais de plaisir. Julien poursuivait amoureusement l’acte d’amour masculin, il me sodomisait avec beaucoup de précaution mais aussi avec parfois un peu de fermeté, cela me donnait un plaisir incroyable et bien entendu à mon amour, à mon amant aussi ! Julien poursuivait ses mouvements qui allaient bientôt atteindre le point haut, le point de non-retour, le point où il allait enfin se libérer, enfin jouir et lâcher sa semence. Puis dans un râle rauque et assez sonore, mon amour, mon Julien éjaculait enfin au fond de cet étui en latex qui enserrait son sexe bandé. Moi de mon côté j’avais reçu toute l’intensité du moment, de ce moment de jouissance au plus profond de mon anatomie anale.
Il avait bien fallu dix minutes pour que nous puissions nous en remettre. Nous nous embrassions, nous nous câlinions l’un l’autre. Et enfin mon Julien m’avait lui aussi demandé de prendre son arrière-train d’assaut. Il avait envie de me sentir en lui, de lui aussi m’offrir son corps.
J’avais alors pris les choses en main. J’avais pris du gel lubrifiant et j’avais entrepris de préparer l’entrée de la grotte de mon ami Julien. Puis une fois cet orifice prêt à recevoir mon bâton de joie, j’avais placé sur mon sexe le préservatif. Puis en prenant le soin d’y aller doucement, j’avais commencé à invertir l’antre si désirée. Mon gland était déjà entré dans cette tanière bien chaude. Puis c’est délicatement que mon bâton de plaisir entrait au fur et à mesure. Julien poussait de petits râles de plaisir. Une fois bien installé j’avais alors entamé des mouvements de va et vient tantôt lents et tantôt rapides. Julien me susurrait des « vas-y » ou alors des « Oh oui, plus fort. ». Je m’appliquais à donner du bonheur à mon amour, à mon amant. Je l’aime mon Julien, j’étais si heureux de l’avoir retrouvé. Je m’appliquais à cette tâche si bienfaisante. Je sentais que mon désir montait de plus en plus et que j’allais bientôt arriver à un point de non-retour. Je savais que j’étais au bord de la jouissance. Tout mon corps était brûlant de bonheur. Je donnais du plaisir et bien entendu je me donnais également du plaisir. Julien savait lui aussi que j’allais bientôt lâcher ma semence, car mon sexe avait encore pris de l’ampleur, il avait atteint sa taille maximale. Alors dans un râle à peine contrôlé, j’avais joui, cinq jets de sperme s’étaient déversés au fond de la capote. Puis c’est en douceur que je m’étais retiré de cet endroit de bonheur bien dilaté par cet exercice d’amour partagé. Une fois le condom ôté, je m’étais affalé à côté de Julien.
Nous nous étions alors embrassés, heureux de nous être donnés l’un à l’autre. Nous nagions en plein bonheur. Nous n’avions pas envie que ce moment de quiétude s’arrête trop vite. Puis c’est ainsi dans les bras l’un de l’autre que nous nous étions endormis.