26-07-2020, 06:40 PM
Merci a tout ceux vont prendre le temps de relire ou de découvrir le récit ici.
CHAPITRE 6
***
Aujourd’hui je me se suis réveillé avant l’alarme. J’ai décidé de parler à Antoine.
Je sors de mon lit, je ne suis pas pressé alors je prends une douche qui dure un peu plus que d’habitude et je suis même tenté de me donner un petit plaisir mais je ne vais pas plus loin que quelques caresses…
Aujourd’hui c’est moi qui vais réveiller mon frère. Je rentre dans sa chambre sans frapper, je me rends compte qu’il dort bien encore alors je décide de le réveiller en douceur, c’est-à-dire que je m’allonge à côté de lui et je dépose un petit baiser sur son front. Il n’aime pas que je le réveille de cette façon et à chaque fois il me repousse en dehors de son lit ce que je trouve drôle et ça m’amuse.
-Olivier : arrête de me réveiller de cette façon ! me crie- t-il
-moi : mais moi j’aime bien alors j’arrêterai pas ! et je me mets à rire et je sors de sa chambre pour le laisser se préparer.
Je descends dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner et une fois prêt j’attends Oli , il nous reste 15 mn avant le passage du bus.
Une fois dans le bus je remarque qu’Antoine ne s’y trouve pas et je me pose des questions…
Le premier cours ce matin c’est le Français. Je demande à Annie, la professeure, si elle sait pourquoi Antoine est absent aujourd’hui. Elle me répond qu’il a un rendez-vous chez son médecin mais qu’il sera présent cet après-midi.
Bon c’est aussi bien finalement puisque cet après-midi on a 2 heures de sport donc on sera plus tranquilles pour parler avec lui de ce que je n’ai pas pu lui dire hier. Mais j’appréhende vraiment ce moment que je vais vivre.
Après le repas à la cantine, on se retrouve tous au gymnase et là je commence à me sentir mal… le cours de sport ça veut dire vestiaire, se déshabiller, se doucher après et donc être nu ou presque devant les autres… et je vais voir Antoine presque nu pour
la première fois.
J’arrive donc le premier dans les vestiaires parce que je suis du genre pudique et j’aime mieux me changer à l’abri des regards. Une fois prêt je m’assois sur un banc du vestiaire et j’attends les autres gars de la classe et surtout … Antoine ! Tous arrivent petit à petit mais toujours pas d’Antoine ; comme d’habitude il se fait attendre.
Enfin le voilà
Il se place à côté de moi et commence à se déshabiller
Et je peux vous dire qu’il a tout pour lui ! et je sais de quoi je parle, moi, le petit grassouillet de la classe de qui on se moque souvent.
Il retire son chandail et je vois aussitôt ses abdos bien marqués pour son âge. Il a une belle musculature. Je m’imagine déjà lui toucher le ventre, lui lécher les têtons… et même aller un peu plus loin ou … un plus bas pour être plus précis ; mais il faut que j’arrête de penser à ça parce qu’il y en a un qui commence à se réveiller dans mon short…
Il continue en enlevant son pantalon et, levant les yeux dans ma direction, il remarque que je le mate. Je tourne la tête aussitôt et je me mets à rougir. Mais je peux pas m’empêcher de diriger à nouveau mon regard dans sa direction et je vois son beau boxer blanc, bien moulant qui laisse entrevoir nettement son anatomie et croyez moi son entrejambe est bien garni! Il enfile ses vêtements de sport et nous sortons du vestiaire ensemble.
Dans le vestiaire nous n’avons pas échangé un seul mot ; j’étais trop occupé à le regarder et lui à se changer.
Dans le gymnase on nous demande une petite présentation et ensuite le professeur nous explique en quoi va consister son cours aujourd’hui.
-professeur : nous allons faire un entrainement par équipe de deux et ça va me permettre de voir quelle est votre forme.
-moi : Antoine, on se met ensemble pour les exercices ?
-Antoine : ok, si tu veux
Plus d’une heures de push-up, redressements assis, course etc… et enfin une pause d’un quart d’heure avant de reprendre . Pendant cette pause Antoine et moi nous éloignons pour nous asseoir dans un coin tranquille et à l’abri du regard des autres.
-moi : est-ce que tu voudrais qu’on continue notre conversation d’hier ?
-Antoine : bien sûr, j’allais justement t’en parler. D’abord dis-moi qui c’était le gars qui était assis à côté de toi ?
-moi : c’était Olivier, mon frère.
-Antoine : ah, bon ! alors continuons notre conversation, dis moi pourquoi tu agis bizarrement avec moi depuis mardi ?
-moi : comment dire … depuis le premier jour je te trouve différent des autres, plus mâture… et tu as été gentil avec moi quand tous les autres se sont foutus de moi. Tu es même venu prendre de mes nouvelles quand j’ai quitté la salle de classe. Tu es protecteur avec moi et j’aime bien.
-Antoine : mais où tu veux en venir avec tout ça ? ça répond pas à ma question
Les larmes commencent à couler sur mes joues et je ne peux pas les retenir
Pendant quelques secondes je ne peux pas parler et Antoine reste silencieux, surpris par ce qu’il voit.
-moi : bah à vrai dire je pense que j’ai des sentiments pour toi… mais je voulais refuser ça en me tenant éloigné de toi… tu comprends mieux ?
-Antoine : …..
-moi : tu me plais beaucoup, voilà ! ton côté protecteur, ta gentillesse, c’est vraiment ce que j’ai ressenti quand tu es venu me voir et quand j’ai senti que je pouvais me coller contre toi. Quelque chose s’est passé en moi qui m’est jamais arrivé avant. J’avais comme des papillons dans mon corps. Mais j’ai refusé ces sentiments et j’avais décidé de m’éloigner de toi mais ça n’a pas marché. J’ai pensé à toi pratiquement toute la journée, j’ai même rêvé de toi. Mais toi qu’est-ce que tu dois penser de moi ? Toi tu es beau mais moi pas. Je n’ai pas bon caractère. Tu dois sans doute intéresser des personnes bien mieux que moi. Et puis tu es sans doute hét…
Antoine s’approche alors de moi et se met à m’embrasser longuement. Il essaye même d’introduire sa langue dans ma bouche mais je le repousse immédiatement.
-moi : qu’est-ce qui te prend Antoine ?
-Antoine : mais je crois que moi aussi j’ai des sentiments pour toi. Pas aussi forts que les tiens peut-être mais je te trouve très gentil, j’aime ta personnalité et tu sais … ton corps ne me dérange pas du tout, c’est toi qui te fait des films. J’aime pas que tu te rabaisses. C’est vrai que la première fois que je t’ai vu tu m’a paru spécial… mais j’ai adoré quand tu m’as sauté dans les bras, même si j’ai reculé mais c’était sous l’effet de surprise. Je viens de t’embrasser pour que tu comprennes que j’ai aussi des sentiments envers toi et je suis content que tu m’ais confié tout ça Mais pour le moment je ne suis pas prêt à avoir une relation après tout ce qui m’est arrivé dans mon ancienne école en France. Mais ça pourra évoluer avec le temps et je te considère déjà comme un grand ami.
-moi : tu sais que c’est dur ce que tu me dis ?
-Antoine : oui j’ai compris que tes sentiments pour moi sont très forts mais fais moi confiance, j’en ai aussi pour toi… simplement pour me mettre en couple à nouveau je ne suis pas encore prêt.
-moi : tu pourrais me dire ce qui s’est passé là-bas ?
-Antoine : pas maintenant mais un jour oui, je te promets
-moi : ok on fait quoi maintenant ?
-Antoine : on agit normalement, comme deux amis que nous sommes. Au fait je t’ai vu me regarder dans les vestiaires, est-ce que tu as aimé ?
Je me sens rougir violemment
-moi : sérieux j’ai adoré ; tu as un très beau corps !
-Antoine : merci. Je le savais mes parents me l’ont souvent dit.
Et nous partons à rire tous les deux
Et après la deuxième heure de cours nous repassons aux vestiaires.
La journée est finie
CHAPITRE 6
***
Aujourd’hui je me se suis réveillé avant l’alarme. J’ai décidé de parler à Antoine.
Je sors de mon lit, je ne suis pas pressé alors je prends une douche qui dure un peu plus que d’habitude et je suis même tenté de me donner un petit plaisir mais je ne vais pas plus loin que quelques caresses…
Aujourd’hui c’est moi qui vais réveiller mon frère. Je rentre dans sa chambre sans frapper, je me rends compte qu’il dort bien encore alors je décide de le réveiller en douceur, c’est-à-dire que je m’allonge à côté de lui et je dépose un petit baiser sur son front. Il n’aime pas que je le réveille de cette façon et à chaque fois il me repousse en dehors de son lit ce que je trouve drôle et ça m’amuse.
-Olivier : arrête de me réveiller de cette façon ! me crie- t-il
-moi : mais moi j’aime bien alors j’arrêterai pas ! et je me mets à rire et je sors de sa chambre pour le laisser se préparer.
Je descends dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner et une fois prêt j’attends Oli , il nous reste 15 mn avant le passage du bus.
Une fois dans le bus je remarque qu’Antoine ne s’y trouve pas et je me pose des questions…
Le premier cours ce matin c’est le Français. Je demande à Annie, la professeure, si elle sait pourquoi Antoine est absent aujourd’hui. Elle me répond qu’il a un rendez-vous chez son médecin mais qu’il sera présent cet après-midi.
Bon c’est aussi bien finalement puisque cet après-midi on a 2 heures de sport donc on sera plus tranquilles pour parler avec lui de ce que je n’ai pas pu lui dire hier. Mais j’appréhende vraiment ce moment que je vais vivre.
Après le repas à la cantine, on se retrouve tous au gymnase et là je commence à me sentir mal… le cours de sport ça veut dire vestiaire, se déshabiller, se doucher après et donc être nu ou presque devant les autres… et je vais voir Antoine presque nu pour
la première fois.
J’arrive donc le premier dans les vestiaires parce que je suis du genre pudique et j’aime mieux me changer à l’abri des regards. Une fois prêt je m’assois sur un banc du vestiaire et j’attends les autres gars de la classe et surtout … Antoine ! Tous arrivent petit à petit mais toujours pas d’Antoine ; comme d’habitude il se fait attendre.
Enfin le voilà
Il se place à côté de moi et commence à se déshabiller
Et je peux vous dire qu’il a tout pour lui ! et je sais de quoi je parle, moi, le petit grassouillet de la classe de qui on se moque souvent.
Il retire son chandail et je vois aussitôt ses abdos bien marqués pour son âge. Il a une belle musculature. Je m’imagine déjà lui toucher le ventre, lui lécher les têtons… et même aller un peu plus loin ou … un plus bas pour être plus précis ; mais il faut que j’arrête de penser à ça parce qu’il y en a un qui commence à se réveiller dans mon short…
Il continue en enlevant son pantalon et, levant les yeux dans ma direction, il remarque que je le mate. Je tourne la tête aussitôt et je me mets à rougir. Mais je peux pas m’empêcher de diriger à nouveau mon regard dans sa direction et je vois son beau boxer blanc, bien moulant qui laisse entrevoir nettement son anatomie et croyez moi son entrejambe est bien garni! Il enfile ses vêtements de sport et nous sortons du vestiaire ensemble.
Dans le vestiaire nous n’avons pas échangé un seul mot ; j’étais trop occupé à le regarder et lui à se changer.
Dans le gymnase on nous demande une petite présentation et ensuite le professeur nous explique en quoi va consister son cours aujourd’hui.
-professeur : nous allons faire un entrainement par équipe de deux et ça va me permettre de voir quelle est votre forme.
-moi : Antoine, on se met ensemble pour les exercices ?
-Antoine : ok, si tu veux
Plus d’une heures de push-up, redressements assis, course etc… et enfin une pause d’un quart d’heure avant de reprendre . Pendant cette pause Antoine et moi nous éloignons pour nous asseoir dans un coin tranquille et à l’abri du regard des autres.
-moi : est-ce que tu voudrais qu’on continue notre conversation d’hier ?
-Antoine : bien sûr, j’allais justement t’en parler. D’abord dis-moi qui c’était le gars qui était assis à côté de toi ?
-moi : c’était Olivier, mon frère.
-Antoine : ah, bon ! alors continuons notre conversation, dis moi pourquoi tu agis bizarrement avec moi depuis mardi ?
-moi : comment dire … depuis le premier jour je te trouve différent des autres, plus mâture… et tu as été gentil avec moi quand tous les autres se sont foutus de moi. Tu es même venu prendre de mes nouvelles quand j’ai quitté la salle de classe. Tu es protecteur avec moi et j’aime bien.
-Antoine : mais où tu veux en venir avec tout ça ? ça répond pas à ma question
Les larmes commencent à couler sur mes joues et je ne peux pas les retenir
Pendant quelques secondes je ne peux pas parler et Antoine reste silencieux, surpris par ce qu’il voit.
-moi : bah à vrai dire je pense que j’ai des sentiments pour toi… mais je voulais refuser ça en me tenant éloigné de toi… tu comprends mieux ?
-Antoine : …..
-moi : tu me plais beaucoup, voilà ! ton côté protecteur, ta gentillesse, c’est vraiment ce que j’ai ressenti quand tu es venu me voir et quand j’ai senti que je pouvais me coller contre toi. Quelque chose s’est passé en moi qui m’est jamais arrivé avant. J’avais comme des papillons dans mon corps. Mais j’ai refusé ces sentiments et j’avais décidé de m’éloigner de toi mais ça n’a pas marché. J’ai pensé à toi pratiquement toute la journée, j’ai même rêvé de toi. Mais toi qu’est-ce que tu dois penser de moi ? Toi tu es beau mais moi pas. Je n’ai pas bon caractère. Tu dois sans doute intéresser des personnes bien mieux que moi. Et puis tu es sans doute hét…
Antoine s’approche alors de moi et se met à m’embrasser longuement. Il essaye même d’introduire sa langue dans ma bouche mais je le repousse immédiatement.
-moi : qu’est-ce qui te prend Antoine ?
-Antoine : mais je crois que moi aussi j’ai des sentiments pour toi. Pas aussi forts que les tiens peut-être mais je te trouve très gentil, j’aime ta personnalité et tu sais … ton corps ne me dérange pas du tout, c’est toi qui te fait des films. J’aime pas que tu te rabaisses. C’est vrai que la première fois que je t’ai vu tu m’a paru spécial… mais j’ai adoré quand tu m’as sauté dans les bras, même si j’ai reculé mais c’était sous l’effet de surprise. Je viens de t’embrasser pour que tu comprennes que j’ai aussi des sentiments envers toi et je suis content que tu m’ais confié tout ça Mais pour le moment je ne suis pas prêt à avoir une relation après tout ce qui m’est arrivé dans mon ancienne école en France. Mais ça pourra évoluer avec le temps et je te considère déjà comme un grand ami.
-moi : tu sais que c’est dur ce que tu me dis ?
-Antoine : oui j’ai compris que tes sentiments pour moi sont très forts mais fais moi confiance, j’en ai aussi pour toi… simplement pour me mettre en couple à nouveau je ne suis pas encore prêt.
-moi : tu pourrais me dire ce qui s’est passé là-bas ?
-Antoine : pas maintenant mais un jour oui, je te promets
-moi : ok on fait quoi maintenant ?
-Antoine : on agit normalement, comme deux amis que nous sommes. Au fait je t’ai vu me regarder dans les vestiaires, est-ce que tu as aimé ?
Je me sens rougir violemment
-moi : sérieux j’ai adoré ; tu as un très beau corps !
-Antoine : merci. Je le savais mes parents me l’ont souvent dit.
Et nous partons à rire tous les deux
Et après la deuxième heure de cours nous repassons aux vestiaires.
La journée est finie