26-07-2020, 06:36 PM
CHAPITRE XIX
''Coitus more ferrarum''
Il était arrivé à Berg'Ham, gros bourg, où il avait aidé plusieurs marchands à monter leurs étals. L'un d'eux, vendeur de bijoux, le regarda avec une sorte de... pitié. Et Burydan rougit. Il est vrai qu'il devait avoir une drôle d'allure, avec ses vêtements qui, après plusieurs semaines passées à dormir dans les bois, avaient soufferts.
- Petit, dit le joaillier, je ne peux pas te laisser comme ça. Viens avec moi, ma sœur vend des vêtements, elle aura sûrement ce qu'il te faut...
- Je... je n'ai pas d'argent, monsieur...
- Bah, elle a le cœur sur la main, ne t'inquiète pas pour ça...
Burydan le suivit donc, et ils s’arrêtèrent devant un immense étal, couvert d'étoffes et de vêtements.
- Indra, dit l'homme, je te présente Burydan, qui m'a aidé à monter mon étal. Et vois comment il est habillé... tu peux faire quelque chose.
Indra regarda Burydan. Elle était grande, la petite quarantaine, de longs cheveux noirs qui tombaient en cascade sur son dos, élancée et une poitrine généreuse aux seins pommelant. Elle sourit.
- Je pense que je peux faire quelque chose. Repasse ce soir vers 17 heures, jeune garçon.
- Je... je n'ai pas d'argent, madame...
- Ce n'est rien, j'ai des vêtements de seconde main qui devraient t'aller...
Burydan était perplexe. Mais bon, des vêtements, même de seconde main, gratuits...
A 17 heures, il arriva devant la boutique d'Indra. Celle ci le fit entrer, mit le panneau ''fermé'' sur la porte, et l'entraîna dans l'arrière boutique. Il y avait des ballots d'étoffes un peu partout et des vêtements à profusion.
- Attends moi ici, je vais me mettre un peu plus à l'aise, dit Indra.
Burydan attendit donc. Indra revint vêtue d'une sorte de robe de nuit noire, fermée par une ceinture.
- Alors, voyons ce que nous pouvons faire pour toi... quelle est ta taille de chemise ?
- Je... je ne sais pas madame...
- Appelle moi Indra, veux-tu. Tu ne connais pas ta taille... pas de problème, ôte le haut...
Burydan resta interdit un moment. Indra le regarda, un petit sourire aux lèvres.
- Allons, point de vergogne, ôte ta chemise que je prenne les mesures...
Burydan obtempéra donc. Enfin torse nu, il vit l’œil d'Indra briller
- Quel âge as-tu ?
- 16 ans.
- Et bien, pour 16 ans, tu es extrêmement bien fait... tous ces muscles...
Indra commença à prendre les mesures, le tour de cou, des épaules, de la poitrine, de la taille, des biceps, la longueur des bras... Burydan trouvait qu'elle le frôlait souvent, et son parfum l'enivrait.
- Bien, dit Indra, j'ai ce qu'il te faut...
Elle disparu dans les profondeurs de l'arrière boutique et revint avec trois chemises.
- Bien, maintenant, quelle taille fais-tu en pantalon ?
- Je... je ne sais pas non plus
- Très bien, nous allons mesurer.
- Vous... vous voulez que j'enlève mon... pantalon ?!
- Ce sera plus facile, oui...
- Mais... je suis... nu en dessous...
- Évidemment, comme tout le monde. Mais ne t'inquiète pas, je vois souvent des hommes nus, ça ne me dérange pas...
Ça ne la dérangeait peut-être pas, mais Burydan si. Il hésita. Indra s'approcha de lui, puis lui dit ;
- Peut-être veux tu que je t'aide...
Avant que qu'il ne comprenne ce qu'elle voulait dire, elle dégrafa son pantalon et le fit tomber à ses chevilles. Elle le fixait dans les yeux et porta sa main à son sexe. Burydan se mit à bander. Indra sourit, commença de lents mouvements de va-et-vient. Elle baissa les yeux.
- Tu es bien fait et bien membré... Tu me trouves attirante ?
- Oui, dit Burydan d'une petite voix.
- Tu as envie de moi ? Parce que moi j'ai envie de toi. J’aime les garçons jeunes et beaux. Et mon mari ne m'a pas touchée depuis un long moment...
Elle défit la ceinture de sa robe de nuit, révélant son corps nu. Elle prit la main de Burydan et la posa sur sa chatte. Elle était trempée...
- Tu sens comme je mouille ?... Tu sens comme tu m'excites ?... Caresse moi...
Burydan ne savait pas comment on faisait mais essaya de se rappeler la fille du meunier. Il effleura doucement ce sexe trempé. Indra commença à gémir. Puis elle se mit à genoux et prit le sexe dur de Burydan en bouche, et commença à le sucer avec gourmandise.
Elle se débrouillait bien... pas aussi bien que Darren ou que Nathanaël, mais pas trop mal. Et surtout, elle avait l'air d'aimer ça vu les gémissements qu'elle poussait. Et Burydan se mit à gémir à son tour.
Indra se releva soudain et s'allongea sur le dos sur une pile d'étoffes.
- Viens...
Burydan, la queue raide, s'allongea à côté d'elle. Elle l'attira pour un baiser brûlant.
- Caresse moi...
Burydan s'exécuta. Il la caressa lentement puis se mit à suçoter ses tétons.
- Oh oui, c'est bon... caresse ma chatte...
Il passa ses doigts entre les grandes lèvres et sentit un petit bouton dur. Vu les petits cris que commença à pousser Indra, il comprit qu'il devait s'attarder sur cet endroit. Mais Indra commença à le pousser aux épaules, et Burydan comprit qu'il devait mettre à présent la langue là où il avait mis le doigt.
Il écarta doucement les grandes lèvres pour révéler une chair rose tendre. Il vit le clitoris dur et gonflé. Il avança prudemment la langue, ne sachant quel goût ça allait avoir, et commença à le laper. Ça n'avait pas vraiment de goût. Mais c'était trempé. Et Indra commença à pousser des couinements.
- Oh oui, vas-y... oh, j'ai la chatte en feu... lèche la bien...
Après un petit moment émaillé de longs gémissements, Indra se dégagea soudain de lui et se mit à quatre pattes en cambrant bien ses reins.
- Vas-y, baise moi !
Burydan se positionna derrière elle. Il allait enfin découvrir ce que c'était de baiser une femme. Il cracha sur sa queue et la positionna à l'entrée de l'antre brûlant d'Indra Il poussa tout doucement et s'y enfonça comme dans du beurre. C'était chaud, humide, ruisselant même, serré, mais pas autant qu'un petit trou de garçon.
Il s'enfonça en elle jusqu'à la garde et resta là un petit moment.
- Lime moi, lime moi !
Burydan commença à aller et venir en elle.
- Oh oui... plus vite !
Il accéléra le rythme.
- Oui... oui... plus fort !
Il fit claquer son bas ventre contre ses fesses à chaque aller et retour.
- Oui... oui... claque moi les fesses...
Burydan mit des petites tapes sur son cul, mais Indra en voulait plus.
- Plus fort... baise moi comme une chienne... baise moi comme la chienne que je suis...
Burydan la baisa encore plus fort et lui mit de grandes claques sur les fesses. Elle cria de plaisir.
- Oh oui, vas-y, c'est tout ce que je mérite... défonce moi la chatte... claque moi le cul... je ne suis bonne qu'à ça... insulte moi, insulte moi !
Burydan se rappela la scène de Ruben et de Lana, et se lâcha :
- T'aimes ça hein, petite salope...
- Oh oui... oui !
- T'aimes te faire mettre pas une grosse bite...
- Oh oui, ce qu'elle est bonne ta queue...
- T'es une petite pute, hein ?
- Oh oui, oh oui...
- Dis le traînée !
- Oh oui, je suis ta petite pute...
- Appelle moi maître, esclave !
- Oh oui maître, c'est bon ce que vous me faîtes maître...
- Tu voulais de la bite hein, chienne, tu voulais de la bite...
- Oh oui, défoncez moi maître.
Burydan se lâcha complètement. Il continua à l'insulter et à lui claquer les fesses tout en la martelant, en la pilonnant, en la défonçant et en la démontant. Plus il y allait fort, plus elle criait fort, et plus elle criait fort, plus il y allait fort. C'est bestial, animal...
- Oh oui, maître.. oui... ouiiiiiiii !
Le dernier ''i'' mourut dans sa gorge et elle jouit intensément. Burydan était lui aussi à deux doigt d'exploser. Il ressortit sa queue et dit :
- Retourne toi sur le dos, catin...
Indra obéit bien docilement. Burydan se plaça juste au dessus de son visage en se branlant frénétiquement.
- Ouvre la bouche et sors ta langue, chienne...
Elle obéit de nouveau et Burydan jouit. Plusieurs traînées de foutre strièrent la face d'Indra et le reste coula dans sa gorge.
- Allez, avale, esclave, avale le foutre de ton maître...
Et Indra avala. Burydan présenta sa bite à ses lèvres écumeuses et dit :
- Nettoie, sale petite pute...
Et Indra nettoya sa queue d'une langue agile.
Ils reprirent leur souffle. Indra se débarbouilla, remit sa robe de nuit, et empaqueta 2 chemises épaisses, une plus légère, deux pantalons de cuir et même une paire de chaussure en cuir bien épais. Elle rajouta quelques paires de chaussettes et une veste bien chaude.
Burydan se retrouvait habillé de pied en cape pour une séance de baise violente. C’était pas cher payé...
- Tu peux t'en aller, mon mari va revenir. Tu m'as bien baisée. Reviens demain, à la même heure, tu verras, je serai encore plus chienne qu'aujourd'hui et tu pourras même me prendre par le cul, si tu veux...
Burydan sourit et ne répondit rien. Évidemment, il n'y retourna pas et partit à l'aube. Il avait pris son pied, certes, mais il avait aussi découvert deux choses : d'abord, il avait pris du plaisir en étant... brutal... et ça le perturbait... mais surtout, le plaisir qu'Indra lui avait donné n'était rien en comparaison de celui qu'il avait pris dans les bras de Darren et de Nathanaël. Il en était sûr, à présent, il était définitivement bougre.
- Désolé, Darren, mais il fallait que j'essaie au moins une fois. Tu me manques... je t'aime pour toujours... murmura-t-il en reprenant la route.
Au bout de quelques jours, il s'arrêta en haut d'une colline et vit, au loin, les remparts d'une immense ville. Il se dirigea vers elle. Un embarras de chariots engorgeait chaque porte. Il demanda à un quidam quelle ville c'était là. L'homme le regarda, en levant les yeux au ciel :
- Mais c'est Menast'Hérith...
Menast'Hérith, la deuxième plus grande ville après la capitale, Ank'Arat, et le plus grand port de tout Britania.