26-07-2020, 06:30 PM
CHAPITRE XIII
''Caro autem infirma''
Burydan se branlait quotidiennement. Avant, il y avait deux souvenirs qui le faisaient jouir.
Le premier, c'était la fille du meunier, Griselda. Un jour, alors que Burydan allait se baigner à la rivière, il la vit sortir de l'eau, entièrement nue. Il se tapit dans un fourré pour l'observer. Elle avait deux ans de plus que lui, était mince, avait de longs cheveux blonds, un petit nez retroussé et deux petits seins tout ronds. Burydan sortit sa queue et commença à se masturber quand il la vit regarder à droite et à gauche puis, s'étant assurée qu'il n’y avait personne, écarter ses cuisses, se sucer un doigt et se caresser avec application. Burydan la regardait caresser sa chatte, puis entrer le doigt, avant de le ressortir et se caresser de nouveau et ainsi de suite. Il jouit en même temps qu'elle poussait un long cri strident.
Le deuxième, c'était quand il était allé pêcher au lac. Il venait de lancer son fil quand il distingua, sur l'autre rive, un couple. Il entra discrètement dans l'eau et se dirigea vers eux. C'était Lana, une fille de fermier, et Ruben, un fils de fermier également. Se cachant parmi les roseaux, Burydan les regarda. Ils se mirent nus tous les deux et, pendant que Lana branlait la queue énorme de Ruben, celui-ci lui caressait la chatte. Puis Lana se mit à quatre pattes et Ruben, à genoux derrière elle, lui enfila d’une seule traite son monstre. Lana gémissait et Burydan n'arrivait pas à distinguer ce que lui disait Ruben. Il pensait que ça devait être des mots doux et s'approcha pour les entendre, et il fut surpris :
- T'aime ça, hein, petite putain... t'aime de faire défoncer par ma grosse queue... tu l'aimes, hein ma bite... t'en veux encore salope... t'en as jamais assez, roulure... t'es ma petite chienne lubrique, hein... t'aime te faire mettre comme la dernière des traînées... t'aime ça esclave, t'aime te faire défoncer par la grosse queue de ton maître... dis le catin, dis le que tu aimes ça !
Plus Ruben l'insultait et lui donnait de grands coups de reins et des claques sur les fesses, et plus Lana criait. Burydan jouit en imaginant être à la place de Ruben.
Mais ça, c'était avant... maintenant quand Burydan se masturbait, il pensait à Darren. A son corps parfait, à sa peau douce et chaude, a sa bite qu'il aimait tant branler et sucer, à ses mains qui le caressaient, à ses grands yeux bleus enfiévrés de désir, à ses lèvres douces collées au sienne, à ses soupirs, gémissements et cris de plaisir. Et il jouissait intensément.
Alors qu'ils étaient chez Darren, les deux cousins allèrent jusqu'à la rivière. Tous les deux aimaient beaucoup nager, et passait le plus clair de leur temps dans l'eau. Ils n'avaient pas trouver de cachette mais autre chose. Une petite source au bord de l'eau, entourée de hauts rochers. Le plus remarquable de cette source était qu'elle était chaude et sortait de la terre en bouillonnant. Les deux garçons adoraient s'y baigner.
Alors que Burydan s'y était immergé jusqu'au cou, Darren fouilla dans ses poches et vint enfin rejoindre son cousin en exhibant deux morceaux nacrés.
- C'est quoi ? demanda Burydan.
- Du savon. Je veux que l'on se lave. Parce que, excuse moi de te le dire, mais tu pues...
Il est vrai que Burydan se lavait peu et rarement, son père ayant décrété que c'était une perte de temps et que, l'eau chaude ouvrant les pores de la peau, ça laissait entrer toutes les maladies.
- Tu te laves souvent, toi ?
- Presque trois fois par semaine, bébé.
- Trois fois par semaine !
- Et oui. Et je vais te laver aujourd'hui, et pas qu'un peu, parce que cette nuit je vais lécher chaque pouce carré de ta peau, petit brun.
La queue de Burydan se dressa à cette seule idée,.
- Et apparemment, dit Darren en saisissant la bite de Burydan, ça n'a pas l'air de te déplaire...
Darren lava donc Burydan qui, il est vrai, en avait bien besoin, et Burydan lava Darren, juste pour avoir une excuse pour le peloter tout son saoul, ''même si, se dit-il, j'ai pas vraiment besoin d'excuses pour caresser mon blondinet''
Dans l'intimité de leur chambre, ils s'effeuillèrent lentement, en prenant leur temps. Puis Burydan s'allongea sur le dos en écartant les jambes. Darren vint coller son corps au sien et le lécha de sa langue agile. Le cou, la gorge les épaules, les pectoraux, mordillant ses tétons et arrachant à son cousin ses premiers gémissements, ses abdos, faisant le tour de chaque muscle, ses aines, l'intérieur de ses cuisses. Burydan était en transe et se tortillait de plaisir en sentant la langue de Darren goûter sa peau. Il fut surpris quand son cousin se mit à lécher ses pieds, guettant ses réactions. Ça chatouillait un peu, mais sans plus. Darren parut déçu, remonta le long du corps offert de Burydan et dit :
- Je me demande si...
Il n'en dit pas plus et lécha le creux de l'épaule droite de Burydan, lui fit mettre sa main derrière la tête, passa sa langue sur le gros biceps dur et sur la peau fine de l'intérieur du bras, sourit et se jeta sur l'aisselle. Burydan poussa un long gémissement. Il ne pensait pas être aussi sensible de cet endroit et se laissa aller aux lapements lubriques de son cousin, gémissant de plus en plus.
Alors qu'il pensait qu'il allait jouir rien qu'en se faisant laper les aisselles, Burydan entendit Darren lui dire :
- Retourne toi.
Burydan obtempéra et s'allongea sur le ventre.
- Écarte les jambes
C'est ce qu'il fit.
Darren se coucha de tout son long sur lui, se collant à son corps, sa bite dure venant se nicher comme d'elle même entre ses fesses. Darren lui embrassa la nuque puis commença à descendre le long de son dos musclé, le couvrant de baisers mouillés et de coups de langues, jusqu'à ses fesses.
Il commença à caresser les deux globes charnus, fermes et musclés, les embrassa et les mordilla. Puis, de ses deux pouces, il les écarta pour découvrir l'intimité la mieux cachée de Burydan.
Celui-ci se raidit quand il sentit Darren laisser tomber de long filet de salive dans sa raie. Il savait ce que Darren avait en tête, il savait que cela allait arriver, et était paniqué. Darren lui-même lui avait dit que ça faisait mal la première fois. Il émit un long feulement quand il sentit la langue fouineuse parcourir tout son sillon, en butant au passage sur son entrée. Bordel que c'était bon. Burydan se détendit pour profiter au maximum de cette caresse divine.
Darren fit promener sa langue un long moment, puis, une fois la raie brillante de salive, il s'attarda sur le petit cratère moelleux, dévoilant la chair rose tendre sous les plis et replis du petit trou fripé. Il s'en délecta un long moment.
Burydan gémissait comme un perdu et émit un petit couinement quand sa pastille céda sous les assauts répétés de la pointe de la langue de Darren. Il la sentit aller et venir en lui, et c'était tellement bon qu'il cambra un peu plus les reins pour faciliter les incursions lubriques de son cousin. Il émit un petit hoquet quand la langue fut remplacée par un doigt. Son fourreau se rétracta fortement contre cet intrus.
Darren sentit le cul de Burydan se rebeller contre l'intrusion de son doigt. Il attendit et sentit la pression diminuer progressivement. Il enfonça son majeur au maximum et commença à faire de lents allers-retours.
Putain que c'était bon. La première surprise passée, Burydan apprécia le va et vient du doigt de Darren en lui. Nouveau couinement quand un doigt devint deux. Darren fit des mouvements de ciseaux pour ouvrir son antre au maximum. Ça brûlait un peu, mais c'était supportable.
Darren retira ses doigts. Le petit trou resta béant. Il cracha dans sa main et tartina généreusement sa bite de salive. Il s'approcha de Burydan et appuya entre ses omoplates pour qu'il se penche bien en avant. Il mit son gland à l'entrée et appuya. Le muscle résista à peine et son gland entra.
Putain de bordel de merde que ça faisait mal ! Darren semblait énorme en lui et était certainement en train de le déchirer, de le fendre en deux. Burydan empoigna le drap et mordit l'oreiller pour étouffer son cri de douleur.
Darren s'était figé en sentant le fourreau de Burydan se contracter violemment. Il savait que la première fois ça faisait mal. Il caressa le dos, les flancs, les hanches et les reins de son cousin.
- Détends toi, bébé, laisse toi aller.
Laisse toi aller, il en avait de bonne lui. Burydan prit de longues inspirations par le nez. Son cul se détendit un peu et Darren progressa de nouveau. La douleur empira et Burydan cria :
- Arrête, Darren, arrête, ça fait trop mal !
Darren se retira tout doucement pour ne pas infliger d'autres souffrances à son cousin. Celui-ci poussa un petit soupir de soulagement quand la bite ressortit de son corps. Il s'affala sur le dos et Darren se coucha à ses côtés
- .Je suis désolé, dit Burydan, mais ça faisait vraiment trop mal.
- C'est rien, bébé, et puis c'est moi qui m'excuse, je suis désolé de t'avoir fait mal. Je sais que la première fois...
- Je me demande vraiment comment on peut trouver ça agréable.
Darren s'allongea sur le dos et dit :
- Lèche moi, bébé, et prends moi.
- Tu... tu es sûr ?
- Oui, je veux te sentir en moi. Fais moi l’amour Burydan.
Burydan lécha Darren comme un affamé, n'excluant aucune parcelle de sa peau. Darren gémit quand il lui lécha les aisselles mais poussa des véritables cris de plaisir quand Burydan s'occupa de ses petits petons. Il lécha l'ouverture de Darren, trouvant que ça n'avait aucun goût non plus, sinon un peu de sueur, et s'enfonça en lui.
Bordel que c'était bon... c'était serré, tellement serré... et doux, tellement doux... et Burydan sentait la chaleur du ventre de Darren autour de sa queue. Il cala son rythme sur les ''plus vite'', ''plus fort'', ''doucement'' et ''baise moi bébé'' de Darren. Puis il sentit tout son corps se tendre et il jouit intensément. Le cul de Darren convulsa sur la bite de Burydan, et il jouit à son tour, comme un malade. Il s'affala, entraînant Burydan dans sa chute et les deux cousins restèrent ainsi un long moment, savourant les répliques de leur orgasme.
La bite de Burydan sortit d'elle-même des confins du corps de Darren, et il se coucha à ses côtés, les yeux brillants et un sourire béat aux lèvres.
Darren se donna à Burydan tous les soirs, et ce dernier se dit que si le Tiantang existait, il était entre les fesses de son cousin.