14-09-2020, 12:30 AM
(Modification du message : 18-10-2022, 03:38 PM par fablelionsilencieux.)
le cinquième pompon,
masque à gaz
Il était un peu dans les vapes, le jeune Oscar, ce vendredi soir-là… Et qu’il avait envie d’aller se coucher !
Par chance, la Valérie était chez ses parents ! Car il eût été bien en peine de lui faire son affaire, à cette mangeuse d’hommes !
Il était donc onze heures vingt-cinq, et la relève arrivait dans cinq minutes. Quand… Quand… Il écarquilla les yeux… à la taille de roues de charrette : il y avait un mec à poil sous ses yeux, là, à la pompe numéro trois !
C’est qu’il tenait la caisse d’une station-essence en libre-service, le soir, pour financer ses études.
Courant août, il n’y avait guère de chalands, et le mec était seul à se servir mais… Ayant un peu affûté son regard embrumé, Oscar vit que le mec n’était pas à poil, à proprement parler…
Le type n’avait rien sur lui, fors une cagoule de cuir avec de gros yeux de verre, comme un scaphandrier, et, lui tombant du nez, un tube flexible qui allait jusqu’à sa bite, laquelle était enserrée dans une sorte de string ne couvrant que l’avant… Et un genre de grosses godasses militaires. Oscar croyait rêver, mais non : le mec raccrocha le tuyau, et revint à sa place, montrant son cul…
Il se gara juste à côté de la caisse, et ressortit ; au guichet, il tendit sa carte de crédit… et Oscar bafouilla :
— Monsieur ?
— Oui, c’est Monsieur ! fit le mec en se prenant le paquet. Ah ! Ah ! T’en vois pas tous les soirs, des mecs comme moi, hein, p’tite tête ?
— Heu…
— T’es mignon, toi !... T’as pas envie de te vider les couilles dans une ambiance sympa ?
— Ha… Euh… Non, non, ça ira ! Voilà, c’est fait, c’est payé, merci !
À ce moment la porte de la cabine s’ouvrit de l’autre côté, et son collègue de relève entra. Affolé, Oscar vit l’autre regagner sa tire, et il salua son successeur.
— Bonne nuit ! J’en peux plus, moi !
— Dors bien, mon pote !
Oscar sortit et alla quérir son vélo, et il allait sortir de la station quand une auto lui barra le passage. La vitre descendit, et il aperçut le mec à poil :
— Allez, tu mets ta bécane dans le coffre, et tu viens boire un coup !
— Non !
Alors le mec ôta son masque, et Oscar aperçut, dans la lueur blafarde de l’auto, un visage d’une trentaine d’années, et pas plus effrayant que ça, non !
— Viens ! Tu bosses, demain ?
— Euh… Non.
— Viens.
Le mec sortit de la voiture et en un tournemain le vélo d’Oscar se retrouva dans le coffre. Et Oscar à côté du mec qui démarra en trombe.
— Moi, c’est Martin. Toi ?
— Oscar…
— Génial ! Y a que toi au monde pour t’appeler comme ça… en dehors des rois de Suède !
— Hein !
— Oui. Et bien sûr de notre reine à tous… Oscar Wilde ! D’ailleurs filleul d’Oscar II de Suède.
Oscar se demandait où cet enlèvement le mènerait… Mais le mec continuait à pérorer, d’une voix calme… et il finit par apprendre ceci :
— Je me promène pas tous les soirs comme ça ! mais… là je me suis laissé piéger comme un con par mes potes… à qui je vais bien baiser la gueule !
— Heu… Je comprends pas tout, là, osa enfin Oscar.
— L’idée était de sortir comme ça, et de ramener un mec à la soirée où je t’amène.
— Mais… gémit Oscar, je peux pas, moi !
— Me dis pas que t’as un coup de prévu, ce soir ?
— Non, non, mais… je vais dormir !
— Ah ! Ah ! On va te remonter, p’tit gars ! J’te jure que mes potes sont équipés, ah ! ah !
— Ooooh…
On stoppa devant une belle villa d’un quartier tranquille, et Martin parut nu, ayant ôté son attirail.
— Vire tout, toi aussi ! ordonna-t-il.
— Mais… Non, non !
— Tu voudrais pas me faire perdre mon pari, mon bel Oscar ? fit le mec, en regardant Oscar dans les yeux, puis en lui posant un bisou sur la joue. Sois gentil, Oscar.
Oscar regarda le mec… qui avait effectivement l’air gentil, lui aussi.
— C’est… quoi, exactement ?
— Une soirée entre potes et potesses, un peu chaude, évidemment, mais sympa aussi ! Et si tu me fais gagner mon pari, je te remercierai bien, je te le promets !
— Et si tu le perds ?
— Ben… Dix mecs doivent m’enculer devant les autres.
— Mais… si tu le gagnes ? osa encore Oscar.
— Toi seul me le feras. Si tu veux. Sinon, on fera ce que tu veux, Oscar. Ah ! Si !... Je les baise tous… ou on se partage le boulot. Voilà.
Oscar resta baba. Il avait une fois réussi à sodomiser une de ses copines… mais il n’avait pas dans ses fantasmes de le faire à un mec ! Et là, c’était de la folie pure !
— Je te cache pas que je te préfère à cette bande d’ahuris !
— Oh… souffla Oscar, incertain. Mais là… qu’est-ce qui…
— Rien : tu parais à poil sous mon bras, et ils ferment leur gueule… évidemment, vu ce qui les attend. Après… c’est la suite de la partouze qu’ils ont déjà commencée en m’attendant ! Tu viens ?
— Je… Oh… Ben… S’tu veux…
— T’es un amour ! fit Martin, qui lui donna derechef un bisou… dans le cou. On sonne, et tu te déloques dans l’entrée.
Bien qu’un peu dépassé par ces étranges événements, Oscar commençait à être excité, tout de même : car la vie avec la Valérie n’était pas si agitée que ça !
On vint ouvrir, et un grand mec nu, fin et poilu eut un immense sourire :
— Oh p’tain !
— Tu me prenais pour une cloche, toi aussi ? fit fièrement Martin.
— Non, non… Venez.
Oscar se déloqua… ce qui lui valut un compliment discret de Martin :
— T’es super joli, toi, p’tit gars !
Un cri immense accueillit les mecs, dans le vaste salon… où tout le monde était à poil. Il y avait là autant de mecs que de nanas, soit une vingtaine de loupiots au total. Et d’aucuns semblaient ne pas s’ennuyer…
Le maître de maison, nommé Pierre-Luc, servit aussitôt des flûtes de champagne pleines à ras bord aux garçons… et Martin présenta Oscar à cette dépravée société… qui sur ordre de Pierre-Luc applaudit tout de même Martin, pas peu fier.
La vue des minettes ne cachant rien de leur intimité profonde aiguisa la curiosité d’Oscar… comme les bulles l’excitèrent aussi…
C’était la première fois qu’il était dans une partouze, à quoi il avait bien fantasmé… sans jamais oser s’arranger pour y participer. Et là, ça lui tombait tout cru dans le bec !
Pierre-Luc le prit par le cou d’une main… tandis que l’autre se saisissait de son kiki.
— Tu vas bien trouver à l’employer ici, ta jolie p’tite bite !
— Petite… t’en sais rien ! réagit Oscar, rieur.
— C’est vrai, ça ! Voyons donc…
Et Pierre-Luc de s’agenouiller devant Oscar pour lui prendre la quéquette en bouche, à l’intense stupéfaction du sucé. Car s’il avait largement fantasmé sur les partouzes, il n’avait nullement pensé à cette possibilité…
Alentour, la vie reprenait son cours… et il vit avec stupéfaction son ravisseur aller se poser entre les cuisses d’un grand noir pour le sucer aussi !
Il ne tarda pas à bander : son suceur était de première force… Mais aussi il vit un couple s’approcher de lui, et tandis que le mec, joli garçon d’ailleurs, lui mettait la main aux fesses, la fille, très belle rousse, lui saisit la bouche tout en lui prenant les mains pour les poser sur ses petits seins fermes et pointus… qui électrisèrent un Oscar friand de ces beautés-là.
Bref, Oscar se laissa aller sans autre forme de procès… et ne s’en trouva pas mal : il bandait comme un fou, et Pierre-Luc se releva pour lui demander à l’oreille :
— Tu veux fourrer ?
— Ben… Oh oui !
— Moi, ou une meuf ?
— Plutôt une chatte…
— D’accord, mais… tu me le feras aussi ?
— Euh… Oui, oui ! fit un Oscar un peu dépassé par l’urgence du moment.
— Tu veux la rouquine ?
— Ouiii !
— Fifine ! Tu t’occuperais pas de notre nouvel ami ?
— Et moi ? fit le mec.
— Tu me baises gentiment, mon poussin !
Ainsi fut fait. Les petits seins pointus de Joséphine, comme sa mignonne chatte auréolée de feu mirent Oscar en transe, et il ne tarda pas à la baiser avec ardeur.
Tandis qu’il matait du coin de l’œil le maître de maison se faire défoncer par le joli châtain qui lui pelotait le cul tantôt ! Et, à son étonnement, il fut excité par ce spectacle, nouveau pour lui… Bref, il en donna à la Joséphine plus qu’elle n’en aurait sans doute attendu du joli mecton, nommé Kévin, qui fourrait Pierre-Luc comme un damné, à cinq centimètre d’eux…
La proximité d’ailleurs fit perdre à Oscar toute notion des bonnes manières et… sans même y penser, il alla poser la main sur le petit cul pâle de Kévin, qui feula un « Ouais ! » assez encourageant…
Tout en bourrant une Joséphine fort satisfaite (eu égard aux décibels rugis par la belle), il était excité par ce qu’il voyait à côté et… il alla jusqu’à pousser une phalange dans le petit trou de Kévin. Puis deux, puis… un, et deux doigts.
Bref, Oscar parut s’intégrer à l’ambiance générale. Et avec le sourire ! La petite chatte rousse se trémoussait fort gentiment autour de sa bite ; il pelotait un téton de la belle d’une main et lui suçait l’autre, avec deux doigts bien fichés dans la rondelle du baiseur limitrophe… Oui, un bon p’tit moment, qui le porta à des incandescences inconnues du Réchauffement lui-même !
Il fallut bien jouir, enfin… Et ce ne fut pas sans ameuter le voisinage par quelques excès vocaux.
Ces quatre loupiots se retrouvèrent à la douche, italienne mais peu large, avant de s’aller rerincer le gosier aux bulles ici omniprésentes. Et l’on papota, entre garçons… Oscar eut la surprise de rencontrer là des mecs sympa et bien élevés. Fifine ayant quitté les lieux, elle fut remplacée par Martin… et tandis que Pierre-Luc saluait tout son monde… dans une ambiance de rut sauvage — il fallut ouvrir tout grand les écoutilles pour revenir à la saine pollution urbaine — on finit par se retrouver à quatre, Pierre-Luc le bras passé sur l’épaule d’un Oscar qui n’y voyait pas malice.
— Bref ! fit enfin Martin, Oscar s’est pas fait baiser… et il a baisé aucun de nous ! C’est-y pas louche, ça ?
— Il me l’a promis, à moi ! s’écria Pierre-Luc.
— Et nous ? demanda le gracieux Kévin.
— Je… Je suis pas gay, vous savez ? fit Oscar, timide.
— T’as une super belle queue, pourtant et… oui, tu mériterais vraiment de l’être ! affirma Martin, tout sourire.
— Si tu me le fais, peut-être que t’auras aussi la gentillesse de le faire à mes amis ? souffla Pierre-Luc.
— Et puis… il y a ce putain de pari ! reprit Martin.
— C’est pas nous qui sera les plus navrés ! fit Kévin sur un ton comique, qui fit éclater de rire.
— Je sais pas tout, là, murmura Oscar en buvant une gorgée de bulles. M’en veuillez pas si…
— Tu baises la Fifine autant que tu veux… mais tu nous baises aussi… sinon on raconte tout aux journaux ! affirma Martin, sérieusement.
— Hein ? Mais quoi ?
— Tout !
Les autres éclatèrent de rire, et l’on poursuivit sur ce mode avant qu’Oscar acceptât de dormir céans, comme les deux autres. Il partagerait le paddock de Pierre-Luc.
Ce fut la bouche de Pierre-Luc qui réveilla ce gentil garçon. Au milieu des soupirs, qui durèrent, il finit par ouïr des voix, et sûrement pas celles de la police des mœurs !
Il se sentit poser sur le museau un fort élégant mandrin, tandis qu’une langue délicate lui entreprenait les parties sacrées. Ouh ! Le bel ensemble de sensations qu’il subissait là ! Il osa ouvrir la bouche et pour la première fois connut un gland sur la langue. Bizarre, mais chaud, ferme et doux… Dès lors, il décida de garder les yeux fermés… et comprit qu’on avait compris, justement, alentour ! Dès lors, les choses prirent un côté tournant qui pouvait en remontrer aux valses de Vienne !
Il dut se soulever un peu, afin qu’on lui broutât la rondelle… avec là encore une réelle alternance des compétences… qui se complétaient si bien !
Enfin, il sentit qu’on s’empalait sur son roide vit. Sans qu’on cessât de se faire sucer, ni de lui titiller la rondelle. Et l’on changea donc : on lui offrit donc trois queues un peu mouillées, certes, mais si douces à sa bouche ! Et autant de langues sur sa fraîche rondelle…
Il se sentit, l’œil toujours clos, nettoyer la quéquette, qu’on resuça avec ardeur, en alternance… Enfin, il annonça devoir déborder… un gosier avala son entier plaisir.
— Je t’aime ! dit alors une voix… celle de Pierre-Luc.
Oscar ne répondit pas. Enfin, pas ce matin-là. Mais…
Mais il resta, ce matin-là, chez Pierre-Luc. Qui ne dit rien. Et qui fut lui-même en toutes choses. Lorsque enfin Oscar décida de quitter les lieux, il savait qu’il ne pourrait faire autrement qu’y revenir, et vite, encore !
Là, il vient de sentir en lui la longue beauté de son amoureux. Et de lui dire enfin son amour.
masque à gaz
Il était un peu dans les vapes, le jeune Oscar, ce vendredi soir-là… Et qu’il avait envie d’aller se coucher !
Par chance, la Valérie était chez ses parents ! Car il eût été bien en peine de lui faire son affaire, à cette mangeuse d’hommes !
Il était donc onze heures vingt-cinq, et la relève arrivait dans cinq minutes. Quand… Quand… Il écarquilla les yeux… à la taille de roues de charrette : il y avait un mec à poil sous ses yeux, là, à la pompe numéro trois !
C’est qu’il tenait la caisse d’une station-essence en libre-service, le soir, pour financer ses études.
Courant août, il n’y avait guère de chalands, et le mec était seul à se servir mais… Ayant un peu affûté son regard embrumé, Oscar vit que le mec n’était pas à poil, à proprement parler…
Le type n’avait rien sur lui, fors une cagoule de cuir avec de gros yeux de verre, comme un scaphandrier, et, lui tombant du nez, un tube flexible qui allait jusqu’à sa bite, laquelle était enserrée dans une sorte de string ne couvrant que l’avant… Et un genre de grosses godasses militaires. Oscar croyait rêver, mais non : le mec raccrocha le tuyau, et revint à sa place, montrant son cul…
Il se gara juste à côté de la caisse, et ressortit ; au guichet, il tendit sa carte de crédit… et Oscar bafouilla :
— Monsieur ?
— Oui, c’est Monsieur ! fit le mec en se prenant le paquet. Ah ! Ah ! T’en vois pas tous les soirs, des mecs comme moi, hein, p’tite tête ?
— Heu…
— T’es mignon, toi !... T’as pas envie de te vider les couilles dans une ambiance sympa ?
— Ha… Euh… Non, non, ça ira ! Voilà, c’est fait, c’est payé, merci !
À ce moment la porte de la cabine s’ouvrit de l’autre côté, et son collègue de relève entra. Affolé, Oscar vit l’autre regagner sa tire, et il salua son successeur.
— Bonne nuit ! J’en peux plus, moi !
— Dors bien, mon pote !
Oscar sortit et alla quérir son vélo, et il allait sortir de la station quand une auto lui barra le passage. La vitre descendit, et il aperçut le mec à poil :
— Allez, tu mets ta bécane dans le coffre, et tu viens boire un coup !
— Non !
Alors le mec ôta son masque, et Oscar aperçut, dans la lueur blafarde de l’auto, un visage d’une trentaine d’années, et pas plus effrayant que ça, non !
— Viens ! Tu bosses, demain ?
— Euh… Non.
— Viens.
Le mec sortit de la voiture et en un tournemain le vélo d’Oscar se retrouva dans le coffre. Et Oscar à côté du mec qui démarra en trombe.
— Moi, c’est Martin. Toi ?
— Oscar…
— Génial ! Y a que toi au monde pour t’appeler comme ça… en dehors des rois de Suède !
— Hein !
— Oui. Et bien sûr de notre reine à tous… Oscar Wilde ! D’ailleurs filleul d’Oscar II de Suède.
Oscar se demandait où cet enlèvement le mènerait… Mais le mec continuait à pérorer, d’une voix calme… et il finit par apprendre ceci :
— Je me promène pas tous les soirs comme ça ! mais… là je me suis laissé piéger comme un con par mes potes… à qui je vais bien baiser la gueule !
— Heu… Je comprends pas tout, là, osa enfin Oscar.
— L’idée était de sortir comme ça, et de ramener un mec à la soirée où je t’amène.
— Mais… gémit Oscar, je peux pas, moi !
— Me dis pas que t’as un coup de prévu, ce soir ?
— Non, non, mais… je vais dormir !
— Ah ! Ah ! On va te remonter, p’tit gars ! J’te jure que mes potes sont équipés, ah ! ah !
— Ooooh…
On stoppa devant une belle villa d’un quartier tranquille, et Martin parut nu, ayant ôté son attirail.
— Vire tout, toi aussi ! ordonna-t-il.
— Mais… Non, non !
— Tu voudrais pas me faire perdre mon pari, mon bel Oscar ? fit le mec, en regardant Oscar dans les yeux, puis en lui posant un bisou sur la joue. Sois gentil, Oscar.
Oscar regarda le mec… qui avait effectivement l’air gentil, lui aussi.
— C’est… quoi, exactement ?
— Une soirée entre potes et potesses, un peu chaude, évidemment, mais sympa aussi ! Et si tu me fais gagner mon pari, je te remercierai bien, je te le promets !
— Et si tu le perds ?
— Ben… Dix mecs doivent m’enculer devant les autres.
— Mais… si tu le gagnes ? osa encore Oscar.
— Toi seul me le feras. Si tu veux. Sinon, on fera ce que tu veux, Oscar. Ah ! Si !... Je les baise tous… ou on se partage le boulot. Voilà.
Oscar resta baba. Il avait une fois réussi à sodomiser une de ses copines… mais il n’avait pas dans ses fantasmes de le faire à un mec ! Et là, c’était de la folie pure !
— Je te cache pas que je te préfère à cette bande d’ahuris !
— Oh… souffla Oscar, incertain. Mais là… qu’est-ce qui…
— Rien : tu parais à poil sous mon bras, et ils ferment leur gueule… évidemment, vu ce qui les attend. Après… c’est la suite de la partouze qu’ils ont déjà commencée en m’attendant ! Tu viens ?
— Je… Oh… Ben… S’tu veux…
— T’es un amour ! fit Martin, qui lui donna derechef un bisou… dans le cou. On sonne, et tu te déloques dans l’entrée.
Bien qu’un peu dépassé par ces étranges événements, Oscar commençait à être excité, tout de même : car la vie avec la Valérie n’était pas si agitée que ça !
On vint ouvrir, et un grand mec nu, fin et poilu eut un immense sourire :
— Oh p’tain !
— Tu me prenais pour une cloche, toi aussi ? fit fièrement Martin.
— Non, non… Venez.
Oscar se déloqua… ce qui lui valut un compliment discret de Martin :
— T’es super joli, toi, p’tit gars !
Un cri immense accueillit les mecs, dans le vaste salon… où tout le monde était à poil. Il y avait là autant de mecs que de nanas, soit une vingtaine de loupiots au total. Et d’aucuns semblaient ne pas s’ennuyer…
Le maître de maison, nommé Pierre-Luc, servit aussitôt des flûtes de champagne pleines à ras bord aux garçons… et Martin présenta Oscar à cette dépravée société… qui sur ordre de Pierre-Luc applaudit tout de même Martin, pas peu fier.
La vue des minettes ne cachant rien de leur intimité profonde aiguisa la curiosité d’Oscar… comme les bulles l’excitèrent aussi…
C’était la première fois qu’il était dans une partouze, à quoi il avait bien fantasmé… sans jamais oser s’arranger pour y participer. Et là, ça lui tombait tout cru dans le bec !
Pierre-Luc le prit par le cou d’une main… tandis que l’autre se saisissait de son kiki.
— Tu vas bien trouver à l’employer ici, ta jolie p’tite bite !
— Petite… t’en sais rien ! réagit Oscar, rieur.
— C’est vrai, ça ! Voyons donc…
Et Pierre-Luc de s’agenouiller devant Oscar pour lui prendre la quéquette en bouche, à l’intense stupéfaction du sucé. Car s’il avait largement fantasmé sur les partouzes, il n’avait nullement pensé à cette possibilité…
Alentour, la vie reprenait son cours… et il vit avec stupéfaction son ravisseur aller se poser entre les cuisses d’un grand noir pour le sucer aussi !
Il ne tarda pas à bander : son suceur était de première force… Mais aussi il vit un couple s’approcher de lui, et tandis que le mec, joli garçon d’ailleurs, lui mettait la main aux fesses, la fille, très belle rousse, lui saisit la bouche tout en lui prenant les mains pour les poser sur ses petits seins fermes et pointus… qui électrisèrent un Oscar friand de ces beautés-là.
Bref, Oscar se laissa aller sans autre forme de procès… et ne s’en trouva pas mal : il bandait comme un fou, et Pierre-Luc se releva pour lui demander à l’oreille :
— Tu veux fourrer ?
— Ben… Oh oui !
— Moi, ou une meuf ?
— Plutôt une chatte…
— D’accord, mais… tu me le feras aussi ?
— Euh… Oui, oui ! fit un Oscar un peu dépassé par l’urgence du moment.
— Tu veux la rouquine ?
— Ouiii !
— Fifine ! Tu t’occuperais pas de notre nouvel ami ?
— Et moi ? fit le mec.
— Tu me baises gentiment, mon poussin !
Ainsi fut fait. Les petits seins pointus de Joséphine, comme sa mignonne chatte auréolée de feu mirent Oscar en transe, et il ne tarda pas à la baiser avec ardeur.
Tandis qu’il matait du coin de l’œil le maître de maison se faire défoncer par le joli châtain qui lui pelotait le cul tantôt ! Et, à son étonnement, il fut excité par ce spectacle, nouveau pour lui… Bref, il en donna à la Joséphine plus qu’elle n’en aurait sans doute attendu du joli mecton, nommé Kévin, qui fourrait Pierre-Luc comme un damné, à cinq centimètre d’eux…
La proximité d’ailleurs fit perdre à Oscar toute notion des bonnes manières et… sans même y penser, il alla poser la main sur le petit cul pâle de Kévin, qui feula un « Ouais ! » assez encourageant…
Tout en bourrant une Joséphine fort satisfaite (eu égard aux décibels rugis par la belle), il était excité par ce qu’il voyait à côté et… il alla jusqu’à pousser une phalange dans le petit trou de Kévin. Puis deux, puis… un, et deux doigts.
Bref, Oscar parut s’intégrer à l’ambiance générale. Et avec le sourire ! La petite chatte rousse se trémoussait fort gentiment autour de sa bite ; il pelotait un téton de la belle d’une main et lui suçait l’autre, avec deux doigts bien fichés dans la rondelle du baiseur limitrophe… Oui, un bon p’tit moment, qui le porta à des incandescences inconnues du Réchauffement lui-même !
Il fallut bien jouir, enfin… Et ce ne fut pas sans ameuter le voisinage par quelques excès vocaux.
Ces quatre loupiots se retrouvèrent à la douche, italienne mais peu large, avant de s’aller rerincer le gosier aux bulles ici omniprésentes. Et l’on papota, entre garçons… Oscar eut la surprise de rencontrer là des mecs sympa et bien élevés. Fifine ayant quitté les lieux, elle fut remplacée par Martin… et tandis que Pierre-Luc saluait tout son monde… dans une ambiance de rut sauvage — il fallut ouvrir tout grand les écoutilles pour revenir à la saine pollution urbaine — on finit par se retrouver à quatre, Pierre-Luc le bras passé sur l’épaule d’un Oscar qui n’y voyait pas malice.
— Bref ! fit enfin Martin, Oscar s’est pas fait baiser… et il a baisé aucun de nous ! C’est-y pas louche, ça ?
— Il me l’a promis, à moi ! s’écria Pierre-Luc.
— Et nous ? demanda le gracieux Kévin.
— Je… Je suis pas gay, vous savez ? fit Oscar, timide.
— T’as une super belle queue, pourtant et… oui, tu mériterais vraiment de l’être ! affirma Martin, tout sourire.
— Si tu me le fais, peut-être que t’auras aussi la gentillesse de le faire à mes amis ? souffla Pierre-Luc.
— Et puis… il y a ce putain de pari ! reprit Martin.
— C’est pas nous qui sera les plus navrés ! fit Kévin sur un ton comique, qui fit éclater de rire.
— Je sais pas tout, là, murmura Oscar en buvant une gorgée de bulles. M’en veuillez pas si…
— Tu baises la Fifine autant que tu veux… mais tu nous baises aussi… sinon on raconte tout aux journaux ! affirma Martin, sérieusement.
— Hein ? Mais quoi ?
— Tout !
Les autres éclatèrent de rire, et l’on poursuivit sur ce mode avant qu’Oscar acceptât de dormir céans, comme les deux autres. Il partagerait le paddock de Pierre-Luc.
Ce fut la bouche de Pierre-Luc qui réveilla ce gentil garçon. Au milieu des soupirs, qui durèrent, il finit par ouïr des voix, et sûrement pas celles de la police des mœurs !
Il se sentit poser sur le museau un fort élégant mandrin, tandis qu’une langue délicate lui entreprenait les parties sacrées. Ouh ! Le bel ensemble de sensations qu’il subissait là ! Il osa ouvrir la bouche et pour la première fois connut un gland sur la langue. Bizarre, mais chaud, ferme et doux… Dès lors, il décida de garder les yeux fermés… et comprit qu’on avait compris, justement, alentour ! Dès lors, les choses prirent un côté tournant qui pouvait en remontrer aux valses de Vienne !
Il dut se soulever un peu, afin qu’on lui broutât la rondelle… avec là encore une réelle alternance des compétences… qui se complétaient si bien !
Enfin, il sentit qu’on s’empalait sur son roide vit. Sans qu’on cessât de se faire sucer, ni de lui titiller la rondelle. Et l’on changea donc : on lui offrit donc trois queues un peu mouillées, certes, mais si douces à sa bouche ! Et autant de langues sur sa fraîche rondelle…
Il se sentit, l’œil toujours clos, nettoyer la quéquette, qu’on resuça avec ardeur, en alternance… Enfin, il annonça devoir déborder… un gosier avala son entier plaisir.
— Je t’aime ! dit alors une voix… celle de Pierre-Luc.
Oscar ne répondit pas. Enfin, pas ce matin-là. Mais…
Mais il resta, ce matin-là, chez Pierre-Luc. Qui ne dit rien. Et qui fut lui-même en toutes choses. Lorsque enfin Oscar décida de quitter les lieux, il savait qu’il ne pourrait faire autrement qu’y revenir, et vite, encore !
Là, il vient de sentir en lui la longue beauté de son amoureux. Et de lui dire enfin son amour.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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