26-07-2020, 06:10 PM
CHAPITRE V
''Trahit sua quemque voluptas''
Il commença à lécher tout doucement la mignonne petite oreille. Puis il en happa le lobe et commença à le suçoter et à le mordiller. Le blondinet commença à pousser de longs soupirs qui devinrent plus fort quand il plongea à l'intérieur et commença à faire tournoyer sa langue. Il revint à ses lèvres pour un long baiser langoureux et s'attaqua à l'autre oreille, la grignota et lui infligea les mêmes délicieux tourments, arrachant de nouveaux soupirs au petit blond.
Il déposa de petits baisers dans le cou de son minet, faisant frémir son petit corps, et, posant sa langue sur sa gorge, il remonta jusqu'au menton, le mordillant. Nouveau petit rire espiègle du blondinet, qu'il interrompit quand les lèvres de son beau mâle s'écrasèrent sur les siennes.
Ce dernier repartit à son exploration. Gros baisers mouillés sur la poitrine jusqu'à ce qu'il arrive au téton droit, petite pastille rose qui se détachait parfaitement sur la peau de lait. Il le lécha jusqu'à ce qu'il gonfle et durcisse, le suçota et le mordilla, entre sa langue et ses dents, arrachant à son petit blond ses premiers gémissements. Il alla jusqu'au téton gauche, lui infligea les mêmes supplices, puis revint sur le droit et ainsi de suite pendant un long moment.
Il descendit de nouveau pour arriver au ventre. C'était tout lisse, tout chaud et d'une douceur... ''Bordel, il a vraiment une peau de piscant (1)...'' se dit-il.
Il lécha le ventre un long moment, tournoya autour du nombril et plongea à l'intérieur. Le minet poussa un long gémissement plaintif et creusa le ventre. Le brun releva la tête et vis l'expression de plaisir sur le visage du petit blond. Il ne se le fit pas dire deux fois et lécha le nombril avec application.
Il descendit encore, inexorablement. Il arriva devant la belle petite bite bandée à fond. Enfin, petite, pas tant que ça. La belle petite queue recroquevillée qu'il avait vu quand il avait demandé au minet de se déshabiller ne laissait en rien présager le joli morceau qu'il avait à présent sous les yeux. Un beau morceau de 13 ou 14 pouces (2) et assez épaisse. Elle était complètement rasée et surmontait deux belles couilles, rasées également, toutes rondes.
Il sentait que son blondinet attendait, fébrile, espérant qu'il le suce. Le brun lui fit un sourire et décida de le faire languir un peu. Il lui fit un peu plus écarter les jambes et lécha la peau douce de l'intérieur de ses cuisses de mouche, en terminant sur l'aine, qu'il lécha un long moment. Puis, bon seigneur, il plongea dans l'entrejambe du garçon.
Il joua avec les couilles un petit moment, de la pointe de son nez, humant à pleins poumons la petite fragrance un peu musquée qui se dégageait de son intimité. De la pointe de sa langue, il explora la peau fine, s'attardant à chaque fois qu'un gémissement était plus fort que les autres, puis repartait à la recherche d'une autre niche de plaisir.
Alors que le minet gémissait comme un perdu, il commença à lécher ses deux belles couilles. Une fois luisantes de salive, il en goba une, la suçota, la berça de sa langue, la recracha pour se jeter sur l'autre, avant de revenir à la première, encore et encore.
Il releva la tête. Le blondinet était carrément en transe. Il tira un peu sur la peau tendue de la belle bite, pour la décalotter complètement, et plaça sa langue à sa base. Le minet se releva sur les coudes pour ne pas manquer une miette du spectacle. Et il ne fut pas déçu. La langue lécha lentement toute sa longueur. Le brun la prit dans son poing et déposa un gros baiser mouillé sur le gland, puis commença à tourner tout autour d'une langue baveuse. Il regarda le blondinet et avala le sommet de sa queue.
Il s'occupa d'abord du gland rose, le suçant comme un beau fruit mûr, puis commença à avaler la queue morceau par morceau, pouce par pouce, lentement, sans quitter les grands yeux bleus. Petit hoquet de surprise quand ses lèvres se refermèrent sur la racine de la bite. Il resta comme ça un petit moment, puis remonta le long de la colonne de chair, suçota le gland, puis repartit à l’assaut, encore et encore. Le blondinet se laissa tomber en arrière et commença à se tortiller et à gémir de plaisir, au fur et à mesure que son bel étalon s'acharnait sur son pieu.
Entre deux gémissements, il réussit à murmurer :
- Je... je vais... je vais bientôt jouir, monsieur...
Le brun sortit la bite de sa bouche et le regarda. Bordel, cette façon qu'il avait de dire ''monsieur''...
- Tourne toi bébé...
Le ''bébé'' lui avait échappé. Il se rappela que c'était comme ça que l'appelait... Non, il ne fallait pas qu'il pense à ça. Ça faisait trop mal. Il fallait qu'il se concentre...
Son blondinet s'allongea sur le ventre et écarta largement les jambes. Il se coucha de tout son long sur lui, poitrine contre dos, ventre contre reins, sa bite venant se blottir entre les deux petites fesses toutes douces.
Il fit onduler ses hanches, frottant son érection contre le petit trou qu'il allait bientôt posséder, embrassa le petit minet sur la nuque, puis descendit lentement, couvrant la colonne vertébrale de baisers mouillés et de coups de langue, jusqu'aux reins.
Il commença à caresser les jolies petites fesses toutes blanches, toutes douces. Il les embrassa, les lécha et les mordilla. Puis, tout doucement, il les écarta de ses pouces.
Le petit trou était là, tout fripé. Cette simple vue le fit bander encore plus fort. Il laissa couler de longs filets de salive et plongea en avant. Sa langue slaloma dans le sillon de bas en haut et de haut en bas un long moment, arrachant des petits couinements au petit blond à chaque fois qu'elle butait sur son œillet.
Une fois sa raie bien lubrifiée, il s'attarda sur le petit cratère onctueux, avec application, lissant chaque pli, jusqu’à ce qu'apparaisse la petite chair rose tendre. Il la contempla un instant puis commença à la laper d'une langue baveuse.
Le petit minet se tortillait de plaisir en gémissant. Puis il émit un petit couinement quand la langue fut remplacée par un doigt fouineur, s'insinuant lentement en lui. L'index de son beau mâle fit des allers retours, lui arrachant de nouveaux gémissements, qui s'intensifièrent quand un doigt devint deux, puis trois.
Le brun retira ses doigts. Le petit trou resta entrouvert. Il lubrifia sa bite gonflée à bloc de salive, la fit claquer sur les petites fesses, pour montrer à son minet à quel point elle était dure, positionna son gland contre l'entrée du petit cul et poussa. La pastille résista à peine et son gland entra. Gémissement plaintif du blondinet. Il se figea. Pas question de lui faire mal.
Le minet prit de longues inspirations. Le fourreau de détendit et le brun reprit sa progression. Il n'y eut plus aucune crispation et son ventre s'écrasa contre les fesses bien rebondies.
Il resta ainsi un long moment. C'était tellement bon. C'était doux... tellement doux... serré aussi, comme si son fourreau épousait intimement les contours de sa queue... et il sentait la chaleur du ventre du blondinet tout autour de sa bite.
- J'en peux plus, gémit le blondinet.
- Tu... tu veux que je me retire ?
- Oh non... baisez moi, monsieur, s'il vous plaît...
Il sourit, se retira lentement de quelques pouces, qu'il lui remit aussitôt, tout aussi lentement. Les gémissements reprirent au fur et à mesure de ses va-et-vient de plus en plus amples.
- Tu aimes, bébé ?
- Oh oui monsieur...
- Plus vite ?
- Oh oui monsieur...
Il accéléra ses coups de reins.
- Comme ça ?
- Oh oui monsieur...
- Plus fort ?
- Oh oui monsieur...
Il il fit claquer ses abdos contre le petit cul offert à chaque aller retour. Le petit minet poussait des petits cris et les ''monsieur'' qu'il gémissait étaient vraiment excitants.
Il se retira entièrement, arrachant un gémissement de frustration au blondinet.
- Retourne toi, bébé, j'ai envie de te regarder...
Le minet se retourna, écarta les cuisses et ramena ses genoux vers sa poitrine. Le brun sourit devant sa docilité, se positionna et le pénétra de nouveau, d'un lent mouvement régulier. Son torse était ruisselant de sueur, rendant ses muscles encore plus saillants. Le blondinet avança ses mains vers ses pectoraux et commença à les caresser comme un malade. Le brun sourit et saisit sa belle petite bite bien raide. Il cala ses mouvements de poignet sur celui de ses reins.
Il s'emballa. Ses coups de reins et ses mouvements de poignet devinrent frénétiques. Le blondinet poussait des petits cris en continu, entrecoupé de ''oh oui monsieur, oh oui c'est bon...'' Quand soudain, il dit :
- Oh je vais jouir, monsieur, je vais jouir...
C'était justement le but. Le brun sentit la bite de son minet gonfler dans son poing et exploser. Le minet émit un râle d'agonie à chaque giclée de sperme. Son fourreau convulsa autour de la queue de son étalon et celui-ci s'affala de tout son long, colla son corps musclé contre le petit corps tout frêle, enfoui sa tête dans le cou mollet, et jouit dans un rugissement. Son foutre semblait être de la lave en fusion, brûlant agréablement son gland à chaque giclée, et une vague de pur plaisir le submergea et noya son cerveau.
Ils restèrent ainsi un long moment, soudés l'un à l'autre, leurs cœurs battant à leur rompre les côtes et leurs respirations hachées balayant leurs cous.
Remit à la parfin de cet orgasme phénoménal, le brun commença à piquer la gorge du blondinet de petits bisous, puis releva la tête. Yeux bleus brillants et sourire aux lèvres. Il lui contre-sourit et l'embrassa passionnément.
Ils allèrent jusqu'à la salle d'eau et se lavèrent mutuellement pour effacer les traces de sueur et de sperme qui maculaient leur corps. Puis le brun fouilla dans son escarcelle et en tira 10 sols. Le blondinet leva un sourcil interrogateur.
- Reste toute la nuit. J'ai envie que tu t'endormes dans mes bras.
Il en fut tout étonné lui-même. C'était la première fois depuis très longtemps qu'il éprouvait cette envie. Le minet sourit et acquiesça.
Le brun se coucha de tout son long et écarta les bras. Le blondinet se précipita sur lui en souriant et plaça sa tête sur son énorme pectoral droit, très confortable coussin. De sa petite main il commença à caresser le ventre bosselé, tandis que son beau mâle lui caressait le dos du bout des doigts.
La main du blondinet arrêta ses agaceries et sa respiration devint régulière. Il s'était endormi. Le brun referma ses bras musclés sur lui, le serra un peu plus fort et s'endormit à son tour.
(1) Piscant : fruit à noyau produit par le pisca. Très apprécié pour sa chair, jaune, blanche ou rouge, sucrée. Il est recouvert d'une peau très veloutée. Très semblable à la pêche.
(2) Pouce : mesure de longueur utopienne. 1 pouce représente environ 1,002 centimètres.