CHAPITRE LXXVII
''In ulnas''
''In ulnas''
Burydan se recula de quelques pas et commença à se dévêtir. Lentement... très lentement... Aragorn le regardait faire, les yeux brillants.
Une fois nu, la bite déjà dure et dressée, il se rapprocha du milicien. Aragorn saisit sa queue et commença à le masturber lentement sans le quitter des yeux.
- Déshabille moi maintenant... tout doucement...
Burydan commença à retirer les vêtements de son beau mâle. A chaque fois que sa peau apparaissait, il se penchait pour l'embrasser et la lécher. Une fois l'effeuillage terminé, les deux hommes se retrouvèrent nus. Et Aragorn bandait comme un gaidaro, sa belle queue pratiquement entièrement décalottée sous l'effet de l'excitation.
Il embrassa Burydan passionnément et lui dit :
- A genoux.
Burydan obéit. Aragorn sourit.
- Bon garçon...
Il fit rebondir plusieurs fois sa bite dure sur le visage de Burydan.
- Elle te plaît ma queue ?
Burydan hocha la tête.
- Dis le !
- Oh oui, elle me plaît ta queue...
- Regarde comme elle est dure... tu sens à quel point j'ai envie de toi... et toi aussi tu bandes... toi aussi t'as envie, hein ?
- Oh oui, j'ai envie de me faire baiser...
- Lèche moi les couilles !
Burydan se mit à laper les couilles rondes et douces d'Aragorn d'une langue baveuse, les suçotant et les pourléchant pendant un long moment.
- Oui, vas-y, lèche les bien... tu sens comme elles sont bien pleines... je vais t'en mettre plein le cul, bébé...
Les mots salaces d'Aragorn excitèrent Burydan qui banda encore plus fort.
Une fois ses couilles poisseuses de salive, Aragorn leva la tête de Burydan et pointa sa bite vers sa bouche.
- Vas-y, embrasse la...
Burydan couvrit la colonne de chair de baisers mouillés.
- Oh oui... lèche la...
Burydan donna de grands coups de langue de bas en haut et de haut en bas en s'attardant sur le gland et le frein.
- Oh oui, c'est bon bébé... fais la glisser entre tes lèvres...
Burydan obtempéra, léchant la grosse queue encore et encore.
- Vas-y bébé, suce...
Burydan laissa tomber de longs filets de salive sur la bite dure, l'étala de sa main, ouvrit au maximum la bouche, vu le calibre, et avala le gland joufflu, enroulant sa langue autour.
- Oh putain ! dit Aragorn
Burydan s'attarda sur le gland, le suçant avec application. Il en laissait ressortir une moitié avant de l'aspirer entre ses lèvres serrées. Aragorn poussait des gémissements rauques.
Burydan commença à avaler la bite offerte, la prenant de plus en plus profondément dans sa gorge.
- Regarde moi, bébé, regarde moi...
Burydan regarda Aragorn. Yeux enfiévrés de désir, grimace de plaisir, bouche entrouverte d'où s’échappaient des gémissements rauques. En contre plongée, son corps semblait encore plus musclé, plus massif. Il était beau, fort, viril.
Il plaqua ses mains au niveau des tempes de Burydan et, le maintenant ainsi, il lui baisa la bouche, l'étouffant à moitié. Il accéléra encore ses coups de reins, son gland dodu s'enfonçant au fond de la gorge de Burydan.
Il retira sa bite tout soudain. Il essuya la sueur de son front d'un revers de bras en regardant l'homme agenouillé à ses pieds, pendant que celui-ci s'essuya sa bouche écumeuse d'un revers de main en regardant la bite dégoulinante de salive qu'il avait sous les yeux.
Aragorn s’allongea sur le lit.
- Viens, bébé, suce moi encore, c'est trop bon...
Burydan s'agenouilla sur le lit et se pencha. Il suça de nouveau cette colonne de chair offerte à sa gourmandise. Aragorn fourragea ses doigts dans ses cheveux pour accompagner ses hochements de tête en gémissant.
- Putain bébé, qu'est-ce que tu suces bien...
Burydan sourit, sourire un peu déformé par le beau morceau qu'il avait en bouche. Il s'appliqua encore plus. D'une main il maintenait bien droite la belle queue d'Aragorn, de l'autre il caressait son ventre et ses pecs. Il recracha le membre et se jeta sur les couilles, les lapant comme un dingue. Mais il revenait inlassablement sur la bite, comme si rien ne pouvait étancher sa soif de queue.
Aragorn gémissait comme un perdu et Burydan pensa qu'il allait lui jouir dans la bouche. Mais le milicien attrapa sa tête et le fit remonter vers lui. Il le coucha contre lui, l'enlaça et l'embrassa passionnément Et Burydan fondit entre ses bras.
Les baisers d'Aragorn étaient... étaient tellement... tellement... enfin tellement quoi... Jamais personne ne l'avait embrasser comme ça.
Darren embrassait très bien. C'était avec lui qu'il avait échangé son premier baiser et puis... ben c'était Darren quoi... son amour pour les siècles des siècles...
Martouf, lui, se laissait embrasser. Enfin, c'était Burydan qui fourrait sa langue dans la bouche de son petit minet pour l'emmêler à la sienne.
Nathanaël, c'était plus fougueux. Quand il embrassait Burydan, il l'étouffait pratiquement avec sa langue tellement ses baisers étaient profonds. Mais c'était bon. Il n'avait passé que quelques semaines avec le beau berger, mais il se souvenait de lui. Il avait été là au bon moment et avait donné à Burydan ce qu'il lui fallait après la mort de Darren : de la tendresse.
Raven avait été son préféré, sa petite langue rose et frétillante était un pur délice. Burydan adorait la suçoter et l'emmêler à la sienne.
Mais Aragorn... Ses baisers étaient tout simplement... divins. Profonds, langoureux et humides. C'est ça qu'adorait Burydan Quand Aragorn sortait sa langue et lui léchait les lèvres, puis la faisait glisser entre et l'emmêlait à la sienne. Burydan tirait la langue et Aragorn la caressait avec la sienne, avant de l'emballer à pleine bouche. Bordel que c'était bon.
Les deux hommes, enlacés, se caressaient passionnément Des caresses de plus en plus ciblées. Burydan caressait les muscles fermes et compacts d'Aragorn, ses pectoraux massifs et ses flancs. Aragorn caressait le dos noueux, la belle chute de reins et pétrissait les fesses du chasseur de prime de ses doigts cupides.
Burydan frémit quand il sentit les doigts d'Aragorn passer entre ses deux globes charnus et caresser son œillet. Le milicien le regarda intensément. Ce n'était plus un petit feu qui brillait dans ses yeux, mais un véritable brasier.
- Allonge toi sur le ventre, bébé, et écarte bien les jambes, j'ai envie de te bouffer la chatte...
Burydan sourit et obéit.
- Oui, bon garçon, dit Aragorn, ravi de sa docilité.
Il embrassa Burydan sur toute la largeur de son dos, de gros baisers mouillés accompagnés de grands coups de langue. Il commença à embrasser, lécher et mordiller les fesses avant de les entrouvrir de ses pouces. Il sentit de long filet de salive s'écouler dans sa raie et la langue de son beau milicien slaloma dans son sillon en butant contre son entrée, brûlante de désir. Et Burydan gémit.
Aragorn le lécha un long, un très long moment, s'attarda sur sa pastille, en testa la résistance de la pointe de sa langue, la lapa d'une langue baveuse encore et encore, puis enfin, alors que Burydan se tortillait de plaisir en geignant, il sentit la langue de son beau mâle s'engouffrer en lui.
Aragorn fit aller et venir la pointe de sa langue dans le petit trou brûlant aussi profondément que possible, puis la remplaça par un doigt fouineur, puis deux et enfin trois, dilatant le petit cul serré, le préparant à recevoir sa grosse queue.
Il retira ses doigts et regarda l’œillet entrouvert qui palpitait. Il tartina copieusement sa bite, dure comme jamais, de salive et posa son gland poisseux contre l'ouverture. Il poussa et son gland joufflu pénétra Burydan, qui empoigna les draps en poussant un petit cri. Aragorn se figea et attendit que le fourreau de Burydan s'habitue à son calibre. Ce qu'il fit. Les parois élastique de son antre épousèrent intimement les pourtours de la queue et Aragorn progressa d'un long mouvement ample, jusqu'à ce que son bas ventre s'écrase sur les fesses musclées et rebondies.
Burydan sentit la bite en lui. Tout au fond. Le remplissant. Aragorn commença à aller et venir, en appui sur ses bras puissants. Il se retirait de quelques pouces, en douceur, et les lui remettait, tout aussi doucement. Burydan gémissait et les aller et retour d'Aragorn devinrent de plus en plus amples. Puis Aragorn commença à le marteler et à le pilonner en cadence et Burydan se mit à crier sans retenue.
- Oh oui... baise moi... plus... plus vite !
Aragorn augmenta la vitesse de ses coups de bite.
- Oh oui... comme ça... plus... plus fort... défonce moi !
Aragorn s'enfonça encore plus profondément en lui, faisant claquer son ventre contre ses fesses.
- Oh oui... oui... oui !
Aragorn retira sa queue et dit :
- Mets toi à quatre pattes, bébé.
Il tartina de nouveau sa bite de salive pendant que Burydan prenait la pose. Il appuya entre ses omoplates et s'enfonça en lui. Il commença à aller et venir en lui, ses couilles claquant contre les fesses de Burydan
Variant la vitesse et la force de ses tamponnements, il le baisa ainsi un long moment. Puis, il passa un bras autour du torse musclé de Burydan et le ramena vers lui. Burydan colla son dos en sueur contre la poitrine ruisselante d'Aragorn Celui-ci se déhancha lascivement. Burydan tourna la tête et son beau milicien étouffa ses cris par un baiser langoureux.
Burydan émit un petit gémissement de frustration quand Aragorn se retira de nouveau de son cul en feu.
- Sur le dos, bébé.
Burydan, toujours aussi docile, obéit. Aragorn plia un oreiller en deux et le glissa sous ses reins, attrapa les chevilles de son mec et s'enfonça en lui. Il commença à lui torpiller le cul comme un dingue.
Burydan ne savait plus où il était, qui il était. Le monde entier se réduisait à cette colonne de chair qui le fendait en deux...
Aragorn enroula les jambes de Burydan autour de sa taille et saisit la queue qui claquait sur le ventre bosselé et commença à masturber le chasseur de prime, en calant ses mouvements de poignets sur celui de ses hanches.
Burydan le regardait. La respiration rapide, la sueur ruisselant sur son corps parfait, soulignant encore plus ses muscles ciselés, la grimace de plaisir sur son visage et ses yeux brillants. Et sa bite qui le défonçait.
Aragorn regardait Burydan. Son corps divin luisant de sueur, ses cris rauques, ses yeux qui chaviraient et se fermaient de plus en plus souvent. Et son petit cul serré, doux, chaud et accueillant.
Les déhanchements et les mouvements de poignet devinrent frénétiques. Burydan criait en continu et une boule de feu brûlait ses entrailles.
- Je vais jouir, je vais jouir !
- Vas-y, jouis bébé, jouis !
Et La bite explosa dans le poing d'Aragorn. Burydan jouit intensément en poussant un grand cri rauque. Aragorn se coucha sur lui, l'embrassa passionnément et lui donna un, deux, trois puissants coups de reins. Et il jouit à son tour, noyant les entrailles de son beau mec de son sperme chaud. Ils restèrent un long moment ainsi, enlacés, l'un sur l'autre, l'un contre l'autre, l'un dans l'autre.