30-08-2020, 10:21 AM
(Modification du message : 30-08-2020, 12:36 PM par emmanolife.)
Une petite suite alternative au texte de Lange 129.
Après la signature du contrat, Valentin voulut repartir dans la réalité virtuelle, mais avant qu’il ne mette le casque sur les yeux, Laura lui demanda de se mettre nu et de se coucher sur le lit. Valentin sembla un peu étonné, mais Laura indiqua le contrat d’un signe de tête, et il se conforma à sa demande. Il avait plusieurs capteurs sur le corps, mais ils étaient sans fil, du coup il n’était pas trop dérangé. Les parties sexuelles étaient libres (Valentin n’avait pas commandé l’option « porno » que se parents ne lui auraient probablement pas payée non plus).
Valentin ne bandait plus, et Laura décida de remédier à cette situation. Elle avait déjà visionné attentivement plusieurs vidéos de fellation, elle s’efforça de mettre en pratique les connaissances acquises. Elle prit le pénis d’une main, et, de la langue, commença à lui chatouiller le gland, dégagea le prépuce, lécha le frein, le méat urétral et la couronne, dont elle découvrit avec étonnement qu’elle était couverte de petites papilles blanches, bien qu’il ait pourtant l’air bien propre. L’organe gagna rapidement de la vigueur, sans que Valentin, toujours plongé dans son univers virtuel de SF, y trouve à redire. Elle prit le gland en bouche, il avait une bonne taille, un peu comme une glace à l’eau, mais en moins froid. Elle avala le pénis en tentant de l’envelopper avec sa langue, mais ne le fit pas entrer trop profondément comme dans certaines vidéos, car la sensation devenait vite inconfortable. Elle remonta, puis recommença une demi-douzaine de fois. Valentin avait plutôt l’air d’apprécier, son sexe gagnait en rigidité.
Elle lui enfila alors un préservatif, ôta sa culotte. Elle jugea que ce n’était pas nécessaire d’ôter le haut, vu que Valentin ne regardait pas de toute façon. Elle s’assit sur le lit, à cheval sur les cuisses de Valentin, et commença à faire coulisser le pénis le long de sa fente, d’abord à l’extérieur, puis elle le fit entrer progressivement en le frottant doucement aux endroits les plus sensibles. Les sensations étaient délicieuses, et elle commença à s’humidifier un peu, ce qui permettait de faciliter le mouvement. Elle faisait bien attention de ne pas aller trop loin, car elle sentait bien les moments où le pénis faisait pression sur son hymen encore intact, et elle avait décidé qu’il était un peu tôt pour perdre sa virginité : elle le ferait un jour où elle pourrait disposer de toute l’attention de son partenaire.
Elle n’eut pas vraiment d’orgasme pour cette première fois, mais c’était agréable. Tout se gâta un peu quand Valentin commença à bouger, car il se mit à soulever rythmiquement son bassin, et elle avait peur qu’il n’aille trop loin. Elle lui prit donc la bite de ses deux mains, commença de le branler avec vigueur, et il jouit rapidement.
A vrai dire, il avait dû apprécier le traitement, car il en ôta même le casque de réalité virtuelle et fit un baiser sur la bouche de Laura. Un petit baiser, 5 à 10 secondes peut-être, puis il fit un sourire à Laura et repartit dans son monde virtuel.
Laura entreprit alors de lui retirer la capote, et elle la mit dans son sac. Elle fit un message à Valentin pour le remercier de son invitation et lui dire qu’elle partait. Il retira un instant son casque, lui fit un petit au revoir de la main, puis remit le casque.
Laura rentra chez elle, salua sa mère (son père n’était pas là) puis monta dans sa chambre. Elle sortit alors la capote bien remplie, elle en coupa le bout avec une paire de ciseaux, et en vida le contenu dans une petite assiette. Cela ressemblait un peu à des œufs brouillés, sans le jaune.
Elle s’approcha alors du terrarium où vivaient un couple de spermiphages qu’elle avait reçu en cadeau pour les fêtes. Normalement, elle leur donnait à manger des croquettes pour chats, mais elle avait entendu dire qu’ils appréciaient avant tout de manger du sperme humain. Elle posa la soucoupe au fond du terrarium, et les spermiphages, qui étaient d’habitude plutôt tranquilles et, à vrai dire, pas très intéressants à observer, s’y précipitèrent. Ils avaient même l’air très énervés, et, dans leur enthousiasme, l’un d’eux mordit Laura sur le dos de la main. En quelques minutes, l’écuelle était complètement nettoyée, vidée de son contenu. Laura se dit qu’elle pourrait recommencer régulièrement.
Toutefois, au cours des heures qui suivirent, la morsure qu’elle avait à la main commença à la démanger sérieusement.
A SUIVRE
Après la signature du contrat, Valentin voulut repartir dans la réalité virtuelle, mais avant qu’il ne mette le casque sur les yeux, Laura lui demanda de se mettre nu et de se coucher sur le lit. Valentin sembla un peu étonné, mais Laura indiqua le contrat d’un signe de tête, et il se conforma à sa demande. Il avait plusieurs capteurs sur le corps, mais ils étaient sans fil, du coup il n’était pas trop dérangé. Les parties sexuelles étaient libres (Valentin n’avait pas commandé l’option « porno » que se parents ne lui auraient probablement pas payée non plus).
Valentin ne bandait plus, et Laura décida de remédier à cette situation. Elle avait déjà visionné attentivement plusieurs vidéos de fellation, elle s’efforça de mettre en pratique les connaissances acquises. Elle prit le pénis d’une main, et, de la langue, commença à lui chatouiller le gland, dégagea le prépuce, lécha le frein, le méat urétral et la couronne, dont elle découvrit avec étonnement qu’elle était couverte de petites papilles blanches, bien qu’il ait pourtant l’air bien propre. L’organe gagna rapidement de la vigueur, sans que Valentin, toujours plongé dans son univers virtuel de SF, y trouve à redire. Elle prit le gland en bouche, il avait une bonne taille, un peu comme une glace à l’eau, mais en moins froid. Elle avala le pénis en tentant de l’envelopper avec sa langue, mais ne le fit pas entrer trop profondément comme dans certaines vidéos, car la sensation devenait vite inconfortable. Elle remonta, puis recommença une demi-douzaine de fois. Valentin avait plutôt l’air d’apprécier, son sexe gagnait en rigidité.
Elle lui enfila alors un préservatif, ôta sa culotte. Elle jugea que ce n’était pas nécessaire d’ôter le haut, vu que Valentin ne regardait pas de toute façon. Elle s’assit sur le lit, à cheval sur les cuisses de Valentin, et commença à faire coulisser le pénis le long de sa fente, d’abord à l’extérieur, puis elle le fit entrer progressivement en le frottant doucement aux endroits les plus sensibles. Les sensations étaient délicieuses, et elle commença à s’humidifier un peu, ce qui permettait de faciliter le mouvement. Elle faisait bien attention de ne pas aller trop loin, car elle sentait bien les moments où le pénis faisait pression sur son hymen encore intact, et elle avait décidé qu’il était un peu tôt pour perdre sa virginité : elle le ferait un jour où elle pourrait disposer de toute l’attention de son partenaire.
Elle n’eut pas vraiment d’orgasme pour cette première fois, mais c’était agréable. Tout se gâta un peu quand Valentin commença à bouger, car il se mit à soulever rythmiquement son bassin, et elle avait peur qu’il n’aille trop loin. Elle lui prit donc la bite de ses deux mains, commença de le branler avec vigueur, et il jouit rapidement.
A vrai dire, il avait dû apprécier le traitement, car il en ôta même le casque de réalité virtuelle et fit un baiser sur la bouche de Laura. Un petit baiser, 5 à 10 secondes peut-être, puis il fit un sourire à Laura et repartit dans son monde virtuel.
Laura entreprit alors de lui retirer la capote, et elle la mit dans son sac. Elle fit un message à Valentin pour le remercier de son invitation et lui dire qu’elle partait. Il retira un instant son casque, lui fit un petit au revoir de la main, puis remit le casque.
Laura rentra chez elle, salua sa mère (son père n’était pas là) puis monta dans sa chambre. Elle sortit alors la capote bien remplie, elle en coupa le bout avec une paire de ciseaux, et en vida le contenu dans une petite assiette. Cela ressemblait un peu à des œufs brouillés, sans le jaune.
Elle s’approcha alors du terrarium où vivaient un couple de spermiphages qu’elle avait reçu en cadeau pour les fêtes. Normalement, elle leur donnait à manger des croquettes pour chats, mais elle avait entendu dire qu’ils appréciaient avant tout de manger du sperme humain. Elle posa la soucoupe au fond du terrarium, et les spermiphages, qui étaient d’habitude plutôt tranquilles et, à vrai dire, pas très intéressants à observer, s’y précipitèrent. Ils avaient même l’air très énervés, et, dans leur enthousiasme, l’un d’eux mordit Laura sur le dos de la main. En quelques minutes, l’écuelle était complètement nettoyée, vidée de son contenu. Laura se dit qu’elle pourrait recommencer régulièrement.
Toutefois, au cours des heures qui suivirent, la morsure qu’elle avait à la main commença à la démanger sérieusement.
A SUIVRE