29-08-2020, 04:31 PM
Je reste dans ma chambre pendant un moment et j’en profite pour me changer. Puis, alors qu’il doit être autour de 16h30, je me mets à la recherche de ma cousine. Je toque à la porte de sa chambre mais elle n’y est pas. Je la retrouve finalement allongée sur le canapé du petit salon, entrain de faire la sieste. Je m’approche d’elle.
« - Claire, tu dors ? »
Pas de réponse. Elle porte un mini short en jeans et un débardeur gris. Sa poitrine se soulève doucement au rythme de sa respiration. Elle a l’air calme, tranquille. Elle est très belle quand elle dort. Je me penche sur elle et je dépose un petit baiser sur son épaule. Elle ne réagit pas, elle doit dormir à poing fermé ; sans doute la piscine l’a-t-elle fatiguée… Très lentement, je tends une main vers son mini short. Je garde les yeux rivés sur son visage, attentif au moindre signe de réveil tandis qu’avec deux doigts je frotte doucement le tissu au niveau de son entre-jambes. Je fais ça pendant quelques secondes puis je me lève et je quitte la pièce sur la pointe des pieds.
Si je m’étais retourné à ce moment là, j’aurais vu ma cousine avec les yeux entrouverts et un petit sourire sur les lèvres...
Le diner se passe dans le calme même si je sens le regard de Claire qui me dévisage tout au long du repas. Le soir, je lis un peu avant d’éteindre la lumière. Mais, comme la veille, aux alentours de minuit, Claire vient gratter à ma porte et me propose de discuter dans sa chambre. Elle porte toujours sa jolie nuisette rouge et noire qui la met si bien en valeur. Nous reprenons nos places de la veille, respectivement sur le lit et le canapé-lit.
« - Tu te rappelles que tu me dois un gage ? demande ma cousine au milieu de la conversation.
- Euh… J’avais oublié. Qu’est ce que tu vas bien pouvoir me demander ?
L’inquiétude doit se lire sur mon visage.
- Ben…La piscine m’a un peu engourdie, j’aimerais que tu me masses les épaules.
- Je m’attendais à pire.
- Tu t’attendais à quoi ? dit-elle en riant.
- Je sais pas… A pire. Assieds-toi au bord du lit »
Elle s’exécute et je me place juste derrière elle, à genoux sur son lit. Je n’ai jamais vraiment fait de massage alors je m’applique pour la détendre au maximum. Je passe mes mains sur ses épaules en appliquant une pression douce. Je fais de même avec sa nuque. Le contact entre mes mains et sa peau créé une impression de chaleur très agréable pour nous deux. A plusieurs reprises, je lui demande ce qu’elle pense du massage et elle me répond par « mmmh c’est très bien » ou encore par « continue encore un peu ». Je peux sentir sa respiration qui est encore plus calme que lorsqu’elle faisait sa sieste. J’en déduis que j’arrive bien à la relaxer et ça me rend un peu fier. Je finis par arrêter mes mouvements.
« - Alors, ça va mieux ?
-Ah ouais, là je suis bien détendue ! Je vais dormir comme un bébé, répond ma cousine avec un sourire charmeur. Dis-moi Cyril, tu aimes mes épaules ?
-Je les aime tellement que je les embrasserais, lui dis-je avec un clin d’œil pour qu’elle comprenne bien que je plaisante.
Elle se tourne vers moi et plante son regard dans le mien.
- Vas-y, fait toi plaisir ! m’invite-t-elle avec un sourire d’encouragement.
Je la regarde sans comprendre.
« - Tu… tu es sûre ?
- Mais oui si je te propose ! »
Alors, toujours à genoux derrière elle, je reprends mon massage et je me penche en avant. Au premier contact entre mes lèvres et sa peau, je sens sa respiration s’accélérer. Je dépose un premier baiser sur le haut de son épaule puis une série de bisous avant de m’attaquer à l’autre épaule.
Quand nous avons fini, Claire me raccompagne jusqu’à ma chambre et m’embrasse sur la joue, exactement comme la veille. Elle ajoute :
« - Tu as les lèvres très douces, cousin.
- Merci ma petite sirène.
- Ahah ! Pourquoi ce surnom ?
- C’est à ça que tu m’as fait penser quand tu étais dans l’eau. »
Je n’avais pas prévu de lui révéler ce surnom mais sur le coup, il m’avait semblé que l’atmosphère était suffisamment intime pour le lui divulguer.
La journée du lendemain est passablement ennuyeuse, surtout si on la compare à ce qui s’est passé la veille. Mais les choses s’améliorent après le diner. Pour occuper la soirée, ma cousine et moi décidons de regarder un film. Nous allons donc au salon du premier étage et nous nous asseyons côte à côte sur le canapé. Quelques minutes après le début du film, Claire change de position et s’allonge sur le flanc. Elle étant ses jambes qui se retrouvent posées sur mes cuisses.
« - Ca va, tu te mets à l’aise ? lui dis-je pour la taquiner.
- Ouais, là je suis super bien installée ; mais si mes jambes sont trop lourdes pour toi, dis le moi ! me répond-elle sur le même ton. » (295)
« - Claire, tu dors ? »
Pas de réponse. Elle porte un mini short en jeans et un débardeur gris. Sa poitrine se soulève doucement au rythme de sa respiration. Elle a l’air calme, tranquille. Elle est très belle quand elle dort. Je me penche sur elle et je dépose un petit baiser sur son épaule. Elle ne réagit pas, elle doit dormir à poing fermé ; sans doute la piscine l’a-t-elle fatiguée… Très lentement, je tends une main vers son mini short. Je garde les yeux rivés sur son visage, attentif au moindre signe de réveil tandis qu’avec deux doigts je frotte doucement le tissu au niveau de son entre-jambes. Je fais ça pendant quelques secondes puis je me lève et je quitte la pièce sur la pointe des pieds.
Si je m’étais retourné à ce moment là, j’aurais vu ma cousine avec les yeux entrouverts et un petit sourire sur les lèvres...
Le diner se passe dans le calme même si je sens le regard de Claire qui me dévisage tout au long du repas. Le soir, je lis un peu avant d’éteindre la lumière. Mais, comme la veille, aux alentours de minuit, Claire vient gratter à ma porte et me propose de discuter dans sa chambre. Elle porte toujours sa jolie nuisette rouge et noire qui la met si bien en valeur. Nous reprenons nos places de la veille, respectivement sur le lit et le canapé-lit.
« - Tu te rappelles que tu me dois un gage ? demande ma cousine au milieu de la conversation.
- Euh… J’avais oublié. Qu’est ce que tu vas bien pouvoir me demander ?
L’inquiétude doit se lire sur mon visage.
- Ben…La piscine m’a un peu engourdie, j’aimerais que tu me masses les épaules.
- Je m’attendais à pire.
- Tu t’attendais à quoi ? dit-elle en riant.
- Je sais pas… A pire. Assieds-toi au bord du lit »
Elle s’exécute et je me place juste derrière elle, à genoux sur son lit. Je n’ai jamais vraiment fait de massage alors je m’applique pour la détendre au maximum. Je passe mes mains sur ses épaules en appliquant une pression douce. Je fais de même avec sa nuque. Le contact entre mes mains et sa peau créé une impression de chaleur très agréable pour nous deux. A plusieurs reprises, je lui demande ce qu’elle pense du massage et elle me répond par « mmmh c’est très bien » ou encore par « continue encore un peu ». Je peux sentir sa respiration qui est encore plus calme que lorsqu’elle faisait sa sieste. J’en déduis que j’arrive bien à la relaxer et ça me rend un peu fier. Je finis par arrêter mes mouvements.
« - Alors, ça va mieux ?
-Ah ouais, là je suis bien détendue ! Je vais dormir comme un bébé, répond ma cousine avec un sourire charmeur. Dis-moi Cyril, tu aimes mes épaules ?
-Je les aime tellement que je les embrasserais, lui dis-je avec un clin d’œil pour qu’elle comprenne bien que je plaisante.
Elle se tourne vers moi et plante son regard dans le mien.
- Vas-y, fait toi plaisir ! m’invite-t-elle avec un sourire d’encouragement.
Je la regarde sans comprendre.
« - Tu… tu es sûre ?
- Mais oui si je te propose ! »
Alors, toujours à genoux derrière elle, je reprends mon massage et je me penche en avant. Au premier contact entre mes lèvres et sa peau, je sens sa respiration s’accélérer. Je dépose un premier baiser sur le haut de son épaule puis une série de bisous avant de m’attaquer à l’autre épaule.
Quand nous avons fini, Claire me raccompagne jusqu’à ma chambre et m’embrasse sur la joue, exactement comme la veille. Elle ajoute :
« - Tu as les lèvres très douces, cousin.
- Merci ma petite sirène.
- Ahah ! Pourquoi ce surnom ?
- C’est à ça que tu m’as fait penser quand tu étais dans l’eau. »
Je n’avais pas prévu de lui révéler ce surnom mais sur le coup, il m’avait semblé que l’atmosphère était suffisamment intime pour le lui divulguer.
La journée du lendemain est passablement ennuyeuse, surtout si on la compare à ce qui s’est passé la veille. Mais les choses s’améliorent après le diner. Pour occuper la soirée, ma cousine et moi décidons de regarder un film. Nous allons donc au salon du premier étage et nous nous asseyons côte à côte sur le canapé. Quelques minutes après le début du film, Claire change de position et s’allonge sur le flanc. Elle étant ses jambes qui se retrouvent posées sur mes cuisses.
« - Ca va, tu te mets à l’aise ? lui dis-je pour la taquiner.
- Ouais, là je suis super bien installée ; mais si mes jambes sont trop lourdes pour toi, dis le moi ! me répond-elle sur le même ton. » (295)