05-04-2025, 11:18 AM
— Tu... tu es un polymorphe ?
— Un polymorphe moi ? Et puis quoi encore ? Reste poli je te prie ! Je vais te dire qui je suis mais avant de faire les présentations... j'ai quelque chose à te montrer, viens, suis moi ! Je pense qu'ils doivent être rentrés à cette heure.
— Attends, qui sont rentrés ? Explique moi !
— Viens et tu comprendras !
Cylian suivit le jeune garçon en dehors de la maison, Ils prirent ensemble un petit sentier sinueux qui descendait vers la mer.
— Mais où va-t-on ?
— Sur la plage ! Et je t'entends cogiter jusqu'ici. Arrête de te poser trop de questions ! Tu vas comprendre !
Au détour d'un talus, un magnifique paysage apparut sous leur yeux. La mer bleu turquoise, agitée de quelques vaguelettes, s'étendait à perte de vue, léchant la plage de gravier blanc.
Au milieu de la crique, un petit bateau se trouvait là, perdu entre terre et mer.
Lorsque les deux garçons s'approchèrent, ils constatèrent que l'embarcation n'était pas vide.
A l'intérieur, Cylian reconnu William. Au dessus de lui était allongé un garçon aux cheveux noirs, son caleçon descendu au niveau de ses chevilles.
Il avait un magnifique dos au teint hâlé dont les courbes sinueuses se perdaient à la limite de ses fesses. Cylian éprouva un frison d'admiration à observer les omoplates saillantes et magnifiquement dessinées de ce jeune homme ténébreux. Les deux garçons étaient quasiment nus.
— Hum, hum on ne vous dérange pas au moins ? Si vous rentrez bredouille de la pêche, je saurais pourquoi ! Lança le jeune homme aux côtés de Cylian en direction des deux amoureux.
Les deux garçons, surpris d'entendre cette voix, firent tanguer le bateau et se redressèrent en un éclair, oubliant leur nudité.
Quand le jeune homme aux cheveux noirs se mit debout, Cylian faillit s'étouffer de stupeur. C'était Mikkos... pourtant Mikkos était à ses cotés.
Il y en avait deux ! Un à coté de lui et l'autre devant lui ! Son regard passait d'un garçon à l'autre. À l'évidence, ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau.
Dans son grand étonnement, Cylian ne vit même pas la boule de métal qui s'éjecta du bateau, filant à toute vitesse dans sa direction.
Mikki cria :
— Stop Artémis ! Il n'y a pas de danger.
La sphère s'arrêta à quelques centimètres de la tête du beau brun.
— Cylian ! Sandro ! Il y a longtemps que vous êtes là ? leur demanda Mikki.
Il se tenait debout aux côtés de William qui plaquait ses mains sur son entrejambe pour cacher les parties intimes de son anatomie.
— C'est bizarre... personne ne m'avait annoncé que cette partie de la plage était devenue un camp de nudiste ! se moqua Sandro.
Cylian tourna brusquement la tête vers sa gauche en direction du garçon qui l'avait amené sur la plage :
— Comment ! Tu t'appelles Sandro ?
— Je présume que tu t'appelle Cylian alors ?
Mikki les coupa:
— Je vois que tu as déjà fais la connaissance de mon frère, Cyl' !
— Bon sang ! Comment n'y ai-je pas pensé avant ! Tout s'explique ! Vous êtes jumeaux ! Et gay !
— Quelle perspicacité mon cher Cylian ! rétorqua Mikki qui courut se placer à côté de son frère.
— Incroyable ! Vous avez le même sourire, les mêmes expressions corporelles !
Les jumeaux gloussèrent :
— Et encore ! Tu n'as pas tout vu. Nous sommes identiques...
— ... partout !
— Bien sûr, comme tout les jumeaux, seul nos pouvoirs...
— ... divergent !
Cylian essaya de contrôler son rire en posant sa main devant sa bouche.
— Synchronisés en plus ! Par contre, Mikki, je te fais remarquer qu'à part ton chapeau vissé sur la tête, tu es toujours à poil !
L'éthéré ne pouvait s'empêcher de détailler le corps de rêve qu'arborait Mikkos. Des pectoraux et des abdos en relief, des cuisses bien charpentées et un joli sexe assez long au repos, à moitié calotté, surmonté d'une petite touffe de poils noirs.
Cette série de regards provoqua naturellement chez lui des picotements dans le bas ventre et une pression de son sexe contre le tissu de son boxer.
Mikki en rajouta une couche quand il se retourna vers William, offrant sa belle paire de fesses à la vue de Cylian, qui dû trouver un moyen pour masquer son érection naissante à travers son jean.
Il se tortilla maladroitement et demanda aux jumeaux :
— Bon et si nous rentrions ? Histoire de préparer le repas...
— Il est déjà trop tard, rétorqua Sandro. Tu pourras manger un reste du repas de hier soir en rentrant.
Au fait, en parlant de repas, celui de hier soir t'as plu ? C'est moi qui l'ai cuisiné ! Mon frangin est un excellent pêcheur mais question cuisine, il a deux pieds à la place des mains !
En guise de réponse, Mikki ceintura son frère de ses bras puissants et le poussa dans la mer.
William eu la même idée que Mikki. Il poussa Cylian à l'eau, mais avec un peu plus de mal. Le blondinet était le plus grand du groupe mais également le moins musclé.
Les quatre amis pataugeaient joyeusement dans la mer dont la surface n'était agitée que de quelques vaguelettes dues à un léger souffle de vent.
Sandro gémit subitement :
— Hey ! Frangin ! T'es un enfoiré ! Cyl' , Will'au secours ! Mikki est en train de me baisser mon pantalon !
Au même moment, Cylian sentit des mains se plaquer contre lui sous la surface de l'eau.
Elles faisaient glisser son bermuda le long de ses cuisses. William était passé derrière lui sans qu'il le voie et comptait bien lui faire subir le même traitement que Mikki à son frère.
Puis ce fut au tour du tee-shirt, plus difficile à enlever. Humide, il collait à la peau de Cylian.
L'attaqué ne se défendait presque pas, il laissait les doigts curieux explorer à loisir la surface de son corps.
Quand le magnifique éphèbe aux yeux verts se retourna pour faire face à l'anglais, l'intensité qui pouvait se lire dans leurs yeux était telle qu'ils ne purent décrocher leur regard l'un de l'autre.
La main de Cylian empoigna à son tour le bermuda de William qui connut le même sort.
De son coté, Mikki parvint également à déshabiller Sandro, si bien qu'ils finirent tous à poils.
La baignade improvisée se termina par une séance de poirier à faible profondeur, exercice d'équilibre. Mikki et Sandro étaient de parfaits équilibristes, les mains fermement posées sur le sable, leurs corps se tenant bien droits... Seule la partie inférieure était hors de l'eau.
Cylian et William ne se privaient pas de mater ces deux magnifiques sexes reposant sur le nombril.
Les jumeaux n'avaient pas menti, ils étaient identiques à tout point de vue.
Puis ce fut au tour de William de faire le poirier.
Le résultat s'avéra catastrophique. Il ne put même pas tenir en équilibre plus de deux secondes dans l'eau.
Quant à Cylian, il ne se débrouillait pas trop mal, presque aussi bien que les jumeaux.
C'est donc William, vexé d'être le plus mauvais à ce jeu qui profita que Cylian ait la tête sous l'eau, le corps en appui sur ses mains et les jambes tendues, pour venir lui chatouiller le sexe.
Déconcentration garantie. Ses jambes retombèrent lourdement dans l'eau, frappant la surface de l'élément aqueux et produisant une gerbe d'écume.
Relevant la tête hors de l'eau, il tonna contre William :
— Attends Will, tu ne perds rien pour attendre !
— Désolé Cyl' mais l'occasion était trop belle, je n'ai pas pu résister !
Les quatre garçons rirent aux éclats.
Quelques minutes plus tard, l'épuisement des batailles d'eau commençait à se faire sentir et ils grelottèrent. Décision fut prise de sortir de l'eau et de rentrer en direction de la maison.
Sur le petit chemin, Cylian fermait la marche.
Il se sentait flotter dans du coton. Ses membres semblaient légers et sa tête libre de tout soucis, comme si son esprit était une cage et ses problèmes, des oiseaux s'agitant et piaillant au fond de son cerveau.
Cette baignade revigorante avait ouvert cette cage pour que s'envolent ses oiseaux-problèmes.
A présent, il ne pensait qu'au bonheur : être enveloppé par les rayons chauds du soleil et respirer l'air marin bienfaisant. Ça lui suffisait amplement.
— Un polymorphe moi ? Et puis quoi encore ? Reste poli je te prie ! Je vais te dire qui je suis mais avant de faire les présentations... j'ai quelque chose à te montrer, viens, suis moi ! Je pense qu'ils doivent être rentrés à cette heure.
— Attends, qui sont rentrés ? Explique moi !
— Viens et tu comprendras !
Cylian suivit le jeune garçon en dehors de la maison, Ils prirent ensemble un petit sentier sinueux qui descendait vers la mer.
— Mais où va-t-on ?
— Sur la plage ! Et je t'entends cogiter jusqu'ici. Arrête de te poser trop de questions ! Tu vas comprendre !
Au détour d'un talus, un magnifique paysage apparut sous leur yeux. La mer bleu turquoise, agitée de quelques vaguelettes, s'étendait à perte de vue, léchant la plage de gravier blanc.
Au milieu de la crique, un petit bateau se trouvait là, perdu entre terre et mer.
Lorsque les deux garçons s'approchèrent, ils constatèrent que l'embarcation n'était pas vide.
A l'intérieur, Cylian reconnu William. Au dessus de lui était allongé un garçon aux cheveux noirs, son caleçon descendu au niveau de ses chevilles.
Il avait un magnifique dos au teint hâlé dont les courbes sinueuses se perdaient à la limite de ses fesses. Cylian éprouva un frison d'admiration à observer les omoplates saillantes et magnifiquement dessinées de ce jeune homme ténébreux. Les deux garçons étaient quasiment nus.
— Hum, hum on ne vous dérange pas au moins ? Si vous rentrez bredouille de la pêche, je saurais pourquoi ! Lança le jeune homme aux côtés de Cylian en direction des deux amoureux.
Les deux garçons, surpris d'entendre cette voix, firent tanguer le bateau et se redressèrent en un éclair, oubliant leur nudité.
Quand le jeune homme aux cheveux noirs se mit debout, Cylian faillit s'étouffer de stupeur. C'était Mikkos... pourtant Mikkos était à ses cotés.
Il y en avait deux ! Un à coté de lui et l'autre devant lui ! Son regard passait d'un garçon à l'autre. À l'évidence, ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau.
Dans son grand étonnement, Cylian ne vit même pas la boule de métal qui s'éjecta du bateau, filant à toute vitesse dans sa direction.
Mikki cria :
— Stop Artémis ! Il n'y a pas de danger.
La sphère s'arrêta à quelques centimètres de la tête du beau brun.
— Cylian ! Sandro ! Il y a longtemps que vous êtes là ? leur demanda Mikki.
Il se tenait debout aux côtés de William qui plaquait ses mains sur son entrejambe pour cacher les parties intimes de son anatomie.
— C'est bizarre... personne ne m'avait annoncé que cette partie de la plage était devenue un camp de nudiste ! se moqua Sandro.
Cylian tourna brusquement la tête vers sa gauche en direction du garçon qui l'avait amené sur la plage :
— Comment ! Tu t'appelles Sandro ?
— Je présume que tu t'appelle Cylian alors ?
Mikki les coupa:
— Je vois que tu as déjà fais la connaissance de mon frère, Cyl' !
— Bon sang ! Comment n'y ai-je pas pensé avant ! Tout s'explique ! Vous êtes jumeaux ! Et gay !
— Quelle perspicacité mon cher Cylian ! rétorqua Mikki qui courut se placer à côté de son frère.
— Incroyable ! Vous avez le même sourire, les mêmes expressions corporelles !
Les jumeaux gloussèrent :
— Et encore ! Tu n'as pas tout vu. Nous sommes identiques...
— ... partout !
— Bien sûr, comme tout les jumeaux, seul nos pouvoirs...
— ... divergent !
Cylian essaya de contrôler son rire en posant sa main devant sa bouche.
— Synchronisés en plus ! Par contre, Mikki, je te fais remarquer qu'à part ton chapeau vissé sur la tête, tu es toujours à poil !
L'éthéré ne pouvait s'empêcher de détailler le corps de rêve qu'arborait Mikkos. Des pectoraux et des abdos en relief, des cuisses bien charpentées et un joli sexe assez long au repos, à moitié calotté, surmonté d'une petite touffe de poils noirs.
Cette série de regards provoqua naturellement chez lui des picotements dans le bas ventre et une pression de son sexe contre le tissu de son boxer.
Mikki en rajouta une couche quand il se retourna vers William, offrant sa belle paire de fesses à la vue de Cylian, qui dû trouver un moyen pour masquer son érection naissante à travers son jean.
Il se tortilla maladroitement et demanda aux jumeaux :
— Bon et si nous rentrions ? Histoire de préparer le repas...
— Il est déjà trop tard, rétorqua Sandro. Tu pourras manger un reste du repas de hier soir en rentrant.
Au fait, en parlant de repas, celui de hier soir t'as plu ? C'est moi qui l'ai cuisiné ! Mon frangin est un excellent pêcheur mais question cuisine, il a deux pieds à la place des mains !
En guise de réponse, Mikki ceintura son frère de ses bras puissants et le poussa dans la mer.
William eu la même idée que Mikki. Il poussa Cylian à l'eau, mais avec un peu plus de mal. Le blondinet était le plus grand du groupe mais également le moins musclé.
Les quatre amis pataugeaient joyeusement dans la mer dont la surface n'était agitée que de quelques vaguelettes dues à un léger souffle de vent.
Sandro gémit subitement :
— Hey ! Frangin ! T'es un enfoiré ! Cyl' , Will'au secours ! Mikki est en train de me baisser mon pantalon !
Au même moment, Cylian sentit des mains se plaquer contre lui sous la surface de l'eau.
Elles faisaient glisser son bermuda le long de ses cuisses. William était passé derrière lui sans qu'il le voie et comptait bien lui faire subir le même traitement que Mikki à son frère.
Puis ce fut au tour du tee-shirt, plus difficile à enlever. Humide, il collait à la peau de Cylian.
L'attaqué ne se défendait presque pas, il laissait les doigts curieux explorer à loisir la surface de son corps.
Quand le magnifique éphèbe aux yeux verts se retourna pour faire face à l'anglais, l'intensité qui pouvait se lire dans leurs yeux était telle qu'ils ne purent décrocher leur regard l'un de l'autre.
La main de Cylian empoigna à son tour le bermuda de William qui connut le même sort.
De son coté, Mikki parvint également à déshabiller Sandro, si bien qu'ils finirent tous à poils.
La baignade improvisée se termina par une séance de poirier à faible profondeur, exercice d'équilibre. Mikki et Sandro étaient de parfaits équilibristes, les mains fermement posées sur le sable, leurs corps se tenant bien droits... Seule la partie inférieure était hors de l'eau.
Cylian et William ne se privaient pas de mater ces deux magnifiques sexes reposant sur le nombril.
Les jumeaux n'avaient pas menti, ils étaient identiques à tout point de vue.
Puis ce fut au tour de William de faire le poirier.
Le résultat s'avéra catastrophique. Il ne put même pas tenir en équilibre plus de deux secondes dans l'eau.
Quant à Cylian, il ne se débrouillait pas trop mal, presque aussi bien que les jumeaux.
C'est donc William, vexé d'être le plus mauvais à ce jeu qui profita que Cylian ait la tête sous l'eau, le corps en appui sur ses mains et les jambes tendues, pour venir lui chatouiller le sexe.
Déconcentration garantie. Ses jambes retombèrent lourdement dans l'eau, frappant la surface de l'élément aqueux et produisant une gerbe d'écume.
Relevant la tête hors de l'eau, il tonna contre William :
— Attends Will, tu ne perds rien pour attendre !
— Désolé Cyl' mais l'occasion était trop belle, je n'ai pas pu résister !
Les quatre garçons rirent aux éclats.
Quelques minutes plus tard, l'épuisement des batailles d'eau commençait à se faire sentir et ils grelottèrent. Décision fut prise de sortir de l'eau et de rentrer en direction de la maison.
Sur le petit chemin, Cylian fermait la marche.
Il se sentait flotter dans du coton. Ses membres semblaient légers et sa tête libre de tout soucis, comme si son esprit était une cage et ses problèmes, des oiseaux s'agitant et piaillant au fond de son cerveau.
Cette baignade revigorante avait ouvert cette cage pour que s'envolent ses oiseaux-problèmes.
A présent, il ne pensait qu'au bonheur : être enveloppé par les rayons chauds du soleil et respirer l'air marin bienfaisant. Ça lui suffisait amplement.