22-04-2025, 01:18 PM
Premier "spécial Pâques"
Ce jour-là, le lundi de Pâques 2025, Léonard était invité chez la baronne et le baron de Gondremarck. Les ancêtres de celui-ci étaient arrivés en 1866 à Paris, en provenance de leur lointaine Suède, et n’étaient jamais repartis.
Le baron et la baronne avaient trois enfants : un garçon, Lars, et deux filles, Ebba et Alva. Léonard fréquentait le même lycée que Lars, mais pas dans la même classe. Ils venaient de fêter leur dix-huitième anniversaire.
C’étaient deux garçons solitaires, introvertis et invertis. Lars avait créé une chaine YouTube où il racontait sa vie, chaine plutôt confidentielle, mais Léonard avait découvert une vidéo intitulée « Pourquoi je n’ai pas d’amis » grâce aux algorithmes. Il avait fait le rapprochement avec le beau gosse qu’il matait tous les jours pendant les pauses, avait pris son courage à deux mains et l’avait abordé. C’était comme cela qu’ils étaient devenus amis quelques jours avant Pâques.
La baronne, qui ne se faisait plus beaucoup d’illusions sur l’orientation sexuelle de son fils, avait immédiatement invité Léonard pour le déjeuner du lundi, heureuse que Lars rompît enfin sa solitude.
Il est 10 heures lorsque Léonard sonne à l’entrée de la résidence des nobles, il arrive tôt à cause de l’horaire de son bus. Son cœur bat fort. Il s’attend à un domestique en livrée pour lui ouvrir, il doit déchanter, le portail est automatique et le baron, quoique assez riche, n’a plus les moyens d’avoir du personnel de maison. La baronne l’attend sur le perron de la maison.
— Bonjour Madame la baronne de Gondremarck, dit le jeune homme, intimidé.
— Bonjour Monsieur… Léonard, répond celle-ci. Je peux vous appeler par votre prénom ?
— Bien sûr.
Léonard prend le bras de la dame pour lui faire un baise-main. Il a répété ce geste la semaine précédente avec sa mère qui a déniché un guide du savoir-vivre de Nadine de Rothschild. La baronne sourit :
— Charmant, mais ce n’est plus nécessaire, nous vivons simplement maintenant. Je vais vous conduire vers mon fils.
La maison est ancienne, un bel hôtel particulier du 19ème siècle, mais n’a plus d’ameublement d’époque, celui-ci semble provenir d’une entreprise d’ameublement d’origine suédoise bien connue. La chambre du fils se trouve au premier étage, la baronne frappe malgré l’écriteau « Ne pas déranger ». Lars répond d’entrer.
Léonard reconnait immédiatement la chambre qu’il a déjà vue de nombreuses fois en vidéo, avec un couvre-lit démodé. Lars est assis au pied du lit, en train de faire une patience, les jambes écartées. Il a mis un débardeur blanc, un pendentif avec une croix et des shorts vraiment courts. Il a des oreilles de lapin sur la tête. Léonard pense qu’il n’a pas l’air d’un suédois avec ses longs cheveux noirs, il doit y avoir eu de nombreux métissages depuis 1866.
— Quelle tenue, mon fils ! s’exclame la baronne.
— Vous pensez aux oreilles de lapin, Madame ma mère ? Ce n’est pas de ma faute si mes sœurs me les ont offertes hier.
— Non, je pense à vos jambes écartées. C’est, comment dire… obscène.
— Obscène ? J’ai pourtant mis un sous-vêtement, on ne voit pas ma… euh, mon…
— Un affreux caleçon noir comme en portaient les voyous dans les films en noir et blanc. Prenez exemple sur votre ami qui a mis un veston et une chemise blanche.
La mère de Léonard avait en effet insisté pour qu’il s’habillât correctement, il avait pu renoncer à la cravate.
— Je suis sûre qu’il ne porte de caleçon noir, continua la baronne, n’est-ce pas Monsieur Léonard ?
— C’est exact, il est… euh… blanc.
— Vous voyez, mon fils.
— Madame ma mère, nous avons passé un contrat, ma chambre est mon domaine privé, je peux m’y comporter comme je le désire.
— Domaine privé ? Alors que le monde entier peut voir le désordre sur les vidéos ?
— Comment… Vous savez ?
— Oui, je sais. Je ne vous reproche rien, j’en apprends plus sur vous que vous ne m’avez jamais raconté. Bon, je compte sur vous pour que vous soyez présentable pour l’apéritif, à midi, le champagne est au frais. Vous avez le temps de faire plus ample connaissance. À plus tard.
La baronne quitte la pièce en fermant la porte.
— Elle n’est pas commode, ta mère, fait Léonard.
— Détrompe-toi, nous nous entendons très bien, nos disputes sont toujours amicales.
— Et vous vous vouvoyez tout le temps ?
— Seulement en français, vielle tradition. Lorsque nous parlons en suédois nous nous tutoyons.
— Elle ne savait vraiment pas pour tes vidéos ?
— Elle devait le savoir depuis longtemps, mes sœurs sont des pipelettes. Dis-moi franchement, tu les aimes mes vidéos ?
Léonard hésite avant de répondre :
— Oui, mais tu parles souvent de Dieu. Autant te le dire tout de suite, je ne suis pas croyant.
— Pas de souci, moi non plus je ne l’étais pas, ce n’est que récemment que Jésus m’a appelé. Mais je ne fais pas de prosélytisme, je parle seulement de mon expérience personnelle. Mes suiveurs en font ce qu’ils veulent.
Lars se lève, il regarde Léonard.
— C’est vrai que tu est tiré à quatre épingles. Tu peux enlever ta veste, il fait déjà chaud.
— Je l’avais achetée pour le mariage de mon frère.
Lars la prend et la pose sur le dossier d’une chaise. Il ouvre ensuite le tiroir de la commode et en sort un slip blanc en disant :
— Je vais me changer pour faire plaisir à ma mère.
— Euh… je peux sortir si tu le désires.
— Ce ne sera pas nécessaire.
Lars baisse son short et son boxer noir, dévoilant un long pénis bien prépucé, surmonté d’une touffe noire, et des petites couilles pendantes que Léonard regarde un peu trop attentivement. Lars ne s’en offusque pas ; au contraire, il semble fier de s’exhiber et prend tout son temps avant d’enfiler le slip lorsqu’il sent qu’il va bander.
— Voilà, dit-il, je suis de nouveau en blanc, symbole de la pureté.
— Tu penses que ta mère craint que tu perdes ta virginité ? Enfin, je ne sais pas si tu es toujours vierge.
— Je le suis, pourtant j’aurais eu des occasions, elle m’a présenté beaucoup de jeunes filles à marier. J’ai plutôt l’impression qu’elle serait contente, son petit lapinou serait enfin un homme. Les sous-vêtements noirs, elle trouve ça juste vulgaire quand on est noble.
— Cela ne te pose pas des problèmes de conscience, la religion et le sexe ? demande Léonard. Il y a des interdits. La masturbation. Ou l’homosexualité. Euh… ce n’est qu’un exemple, excuse-moi, je ne veux pas dire que tu l’es.
— Chez les catholiques, pas chez les protestants, dit Lars en riant. Je n’ai jamais fait de vidéo « Comment survivre sans se branler pendant des mois ». Rassuré ?
— Oui.
— Mais j’ai omis de le faire ce matin, je pensais que… tu pourrais aussi être gay.
Léonard ne dément pas, Lars commence à caresser distraitement son pénis sur l’étoffe de son slip puis il dit :
— Alors je vais regarder si tu as vraiment mis un caleçon blanc, ou si c’était pour faire plaisir à la baronne, seulement si tu es d’accord, évidemment.
— Euh… Ce n’est pas un caleçon, c’est un boxer. Je suis d’accord, évidemment.
Lars se rapproche de Léonard, il décroche la ceinture du pantalon et le laisse choir. Il tire l’élastique du sous-vêtement et regarde son contenu puis glisse sa main à l’intérieur en disant :
— C’est bon, j’ai trouvé la carotte bien croquante et les œufs, on aura plus besoin de les chasser cet après-midi. Ils sont de belle taille, pas comme les miens qui sont plutôt des œufs de caille.
Lars déshabille lentement Léonard, décrochant d’abord les boutons de la chemise blanche, s’amuse de voir les tétons excités, puis débarrasse son ami de tout vêtement. Le pénis dressé de celui-ci n’est pas très long, mais assez épais avec un large gland. Lars enlève son slip pour comparer, son membre est plus long et plus mince, le gland petit et pointu. Les deux amis se caressent mutuellement, puis Lars s’agenouille pour faire une fellation.
— Tu cries si je te mords, dit-il.
Léonard ne crie pas, il éjacule cependant trop rapidement, surprenant Lars qui ne pensait pas recevoir la semence dans sa bouche.
— Excuse-moi, dit Léonard, d’habitude je tiens plus longtemps.
— T’inquiète pas.
Lars finit par enlever son débardeur ; il hésite, puis ôte également son pendentif. Ils échangent un premier baiser maladroit.
— Que fait-on maintenant ? demande Lars.
Léonard lui chuchote quelque chose à l’oreille.
— Ai-je bien compris ? Tu aimerais que…
— Oui, si cela ne te dérange pas, mon petit lapinou.
— Tu me prends au dépourvu.
— Tu as pourtant publié une vidéo : « Comment bien préparer sa première fois avec un homme ».
— Tu l’as aussi vue ? Ce n’était pas sur ma chaine officielle…
— Les algorithmes de YouTube ont fait le lien et me l’ont aussi proposée, dit Léonard. Un peu gonflé lorsqu’on est encore puceau.
— C’est bon, je vais assumer, ou essayer. Heureusement que mes sœurs ont pensé aux accessoires avec les oreilles de lapin, elles doivent aussi avoir vu cette vidéo. Je pose cependant une condition.
— Laquelle ?
— Ne m’appelle plus jamais « mon petit lapinou », sinon tu pourras regarder ma vidéo « Comment bien réussir sa rupture ». Tu cries si je te fais mal.
Lars enlève le couvre-lit et demande à Léonard de se coucher sur le côté. Il a choisi la cuillère pour cette première fois et cela se passe assez bien, mais il ne sent pas le plaisir monter, il n’insiste pas et ressort rapidement. Léonard l’aide à terminer à la main.
— On fera mieux la prochaine fois, fait Lars, un peu dépité.
— Il y aura une prochaine fois ?
— J’espère.
Ils échangent un deuxième baiser.
Les deux amis ne sortirent pas officiellement du placard lors du repas qui suivit, mais tout le monde devina qu’une idylle était née.
![[Image: Capture-d-cran-2025-03-18-160702.jpg]](https://i.postimg.cc/C1VHsSp5/Capture-d-cran-2025-03-18-160702.jpg)
Ce jour-là, le lundi de Pâques 2025, Léonard était invité chez la baronne et le baron de Gondremarck. Les ancêtres de celui-ci étaient arrivés en 1866 à Paris, en provenance de leur lointaine Suède, et n’étaient jamais repartis.
Le baron et la baronne avaient trois enfants : un garçon, Lars, et deux filles, Ebba et Alva. Léonard fréquentait le même lycée que Lars, mais pas dans la même classe. Ils venaient de fêter leur dix-huitième anniversaire.
C’étaient deux garçons solitaires, introvertis et invertis. Lars avait créé une chaine YouTube où il racontait sa vie, chaine plutôt confidentielle, mais Léonard avait découvert une vidéo intitulée « Pourquoi je n’ai pas d’amis » grâce aux algorithmes. Il avait fait le rapprochement avec le beau gosse qu’il matait tous les jours pendant les pauses, avait pris son courage à deux mains et l’avait abordé. C’était comme cela qu’ils étaient devenus amis quelques jours avant Pâques.
La baronne, qui ne se faisait plus beaucoup d’illusions sur l’orientation sexuelle de son fils, avait immédiatement invité Léonard pour le déjeuner du lundi, heureuse que Lars rompît enfin sa solitude.
Il est 10 heures lorsque Léonard sonne à l’entrée de la résidence des nobles, il arrive tôt à cause de l’horaire de son bus. Son cœur bat fort. Il s’attend à un domestique en livrée pour lui ouvrir, il doit déchanter, le portail est automatique et le baron, quoique assez riche, n’a plus les moyens d’avoir du personnel de maison. La baronne l’attend sur le perron de la maison.
— Bonjour Madame la baronne de Gondremarck, dit le jeune homme, intimidé.
— Bonjour Monsieur… Léonard, répond celle-ci. Je peux vous appeler par votre prénom ?
— Bien sûr.
Léonard prend le bras de la dame pour lui faire un baise-main. Il a répété ce geste la semaine précédente avec sa mère qui a déniché un guide du savoir-vivre de Nadine de Rothschild. La baronne sourit :
— Charmant, mais ce n’est plus nécessaire, nous vivons simplement maintenant. Je vais vous conduire vers mon fils.
La maison est ancienne, un bel hôtel particulier du 19ème siècle, mais n’a plus d’ameublement d’époque, celui-ci semble provenir d’une entreprise d’ameublement d’origine suédoise bien connue. La chambre du fils se trouve au premier étage, la baronne frappe malgré l’écriteau « Ne pas déranger ». Lars répond d’entrer.
Léonard reconnait immédiatement la chambre qu’il a déjà vue de nombreuses fois en vidéo, avec un couvre-lit démodé. Lars est assis au pied du lit, en train de faire une patience, les jambes écartées. Il a mis un débardeur blanc, un pendentif avec une croix et des shorts vraiment courts. Il a des oreilles de lapin sur la tête. Léonard pense qu’il n’a pas l’air d’un suédois avec ses longs cheveux noirs, il doit y avoir eu de nombreux métissages depuis 1866.
— Quelle tenue, mon fils ! s’exclame la baronne.
— Vous pensez aux oreilles de lapin, Madame ma mère ? Ce n’est pas de ma faute si mes sœurs me les ont offertes hier.
— Non, je pense à vos jambes écartées. C’est, comment dire… obscène.
— Obscène ? J’ai pourtant mis un sous-vêtement, on ne voit pas ma… euh, mon…
— Un affreux caleçon noir comme en portaient les voyous dans les films en noir et blanc. Prenez exemple sur votre ami qui a mis un veston et une chemise blanche.
La mère de Léonard avait en effet insisté pour qu’il s’habillât correctement, il avait pu renoncer à la cravate.
— Je suis sûre qu’il ne porte de caleçon noir, continua la baronne, n’est-ce pas Monsieur Léonard ?
— C’est exact, il est… euh… blanc.
— Vous voyez, mon fils.
— Madame ma mère, nous avons passé un contrat, ma chambre est mon domaine privé, je peux m’y comporter comme je le désire.
— Domaine privé ? Alors que le monde entier peut voir le désordre sur les vidéos ?
— Comment… Vous savez ?
— Oui, je sais. Je ne vous reproche rien, j’en apprends plus sur vous que vous ne m’avez jamais raconté. Bon, je compte sur vous pour que vous soyez présentable pour l’apéritif, à midi, le champagne est au frais. Vous avez le temps de faire plus ample connaissance. À plus tard.
La baronne quitte la pièce en fermant la porte.
— Elle n’est pas commode, ta mère, fait Léonard.
— Détrompe-toi, nous nous entendons très bien, nos disputes sont toujours amicales.
— Et vous vous vouvoyez tout le temps ?
— Seulement en français, vielle tradition. Lorsque nous parlons en suédois nous nous tutoyons.
— Elle ne savait vraiment pas pour tes vidéos ?
— Elle devait le savoir depuis longtemps, mes sœurs sont des pipelettes. Dis-moi franchement, tu les aimes mes vidéos ?
Léonard hésite avant de répondre :
— Oui, mais tu parles souvent de Dieu. Autant te le dire tout de suite, je ne suis pas croyant.
— Pas de souci, moi non plus je ne l’étais pas, ce n’est que récemment que Jésus m’a appelé. Mais je ne fais pas de prosélytisme, je parle seulement de mon expérience personnelle. Mes suiveurs en font ce qu’ils veulent.
Lars se lève, il regarde Léonard.
— C’est vrai que tu est tiré à quatre épingles. Tu peux enlever ta veste, il fait déjà chaud.
— Je l’avais achetée pour le mariage de mon frère.
Lars la prend et la pose sur le dossier d’une chaise. Il ouvre ensuite le tiroir de la commode et en sort un slip blanc en disant :
— Je vais me changer pour faire plaisir à ma mère.
— Euh… je peux sortir si tu le désires.
— Ce ne sera pas nécessaire.
Lars baisse son short et son boxer noir, dévoilant un long pénis bien prépucé, surmonté d’une touffe noire, et des petites couilles pendantes que Léonard regarde un peu trop attentivement. Lars ne s’en offusque pas ; au contraire, il semble fier de s’exhiber et prend tout son temps avant d’enfiler le slip lorsqu’il sent qu’il va bander.
— Voilà, dit-il, je suis de nouveau en blanc, symbole de la pureté.
— Tu penses que ta mère craint que tu perdes ta virginité ? Enfin, je ne sais pas si tu es toujours vierge.
— Je le suis, pourtant j’aurais eu des occasions, elle m’a présenté beaucoup de jeunes filles à marier. J’ai plutôt l’impression qu’elle serait contente, son petit lapinou serait enfin un homme. Les sous-vêtements noirs, elle trouve ça juste vulgaire quand on est noble.
— Cela ne te pose pas des problèmes de conscience, la religion et le sexe ? demande Léonard. Il y a des interdits. La masturbation. Ou l’homosexualité. Euh… ce n’est qu’un exemple, excuse-moi, je ne veux pas dire que tu l’es.
— Chez les catholiques, pas chez les protestants, dit Lars en riant. Je n’ai jamais fait de vidéo « Comment survivre sans se branler pendant des mois ». Rassuré ?
— Oui.
— Mais j’ai omis de le faire ce matin, je pensais que… tu pourrais aussi être gay.
Léonard ne dément pas, Lars commence à caresser distraitement son pénis sur l’étoffe de son slip puis il dit :
— Alors je vais regarder si tu as vraiment mis un caleçon blanc, ou si c’était pour faire plaisir à la baronne, seulement si tu es d’accord, évidemment.
— Euh… Ce n’est pas un caleçon, c’est un boxer. Je suis d’accord, évidemment.
Lars se rapproche de Léonard, il décroche la ceinture du pantalon et le laisse choir. Il tire l’élastique du sous-vêtement et regarde son contenu puis glisse sa main à l’intérieur en disant :
— C’est bon, j’ai trouvé la carotte bien croquante et les œufs, on aura plus besoin de les chasser cet après-midi. Ils sont de belle taille, pas comme les miens qui sont plutôt des œufs de caille.
Lars déshabille lentement Léonard, décrochant d’abord les boutons de la chemise blanche, s’amuse de voir les tétons excités, puis débarrasse son ami de tout vêtement. Le pénis dressé de celui-ci n’est pas très long, mais assez épais avec un large gland. Lars enlève son slip pour comparer, son membre est plus long et plus mince, le gland petit et pointu. Les deux amis se caressent mutuellement, puis Lars s’agenouille pour faire une fellation.
— Tu cries si je te mords, dit-il.
Léonard ne crie pas, il éjacule cependant trop rapidement, surprenant Lars qui ne pensait pas recevoir la semence dans sa bouche.
— Excuse-moi, dit Léonard, d’habitude je tiens plus longtemps.
— T’inquiète pas.
Lars finit par enlever son débardeur ; il hésite, puis ôte également son pendentif. Ils échangent un premier baiser maladroit.
— Que fait-on maintenant ? demande Lars.
Léonard lui chuchote quelque chose à l’oreille.
— Ai-je bien compris ? Tu aimerais que…
— Oui, si cela ne te dérange pas, mon petit lapinou.
— Tu me prends au dépourvu.
— Tu as pourtant publié une vidéo : « Comment bien préparer sa première fois avec un homme ».
— Tu l’as aussi vue ? Ce n’était pas sur ma chaine officielle…
— Les algorithmes de YouTube ont fait le lien et me l’ont aussi proposée, dit Léonard. Un peu gonflé lorsqu’on est encore puceau.
— C’est bon, je vais assumer, ou essayer. Heureusement que mes sœurs ont pensé aux accessoires avec les oreilles de lapin, elles doivent aussi avoir vu cette vidéo. Je pose cependant une condition.
— Laquelle ?
— Ne m’appelle plus jamais « mon petit lapinou », sinon tu pourras regarder ma vidéo « Comment bien réussir sa rupture ». Tu cries si je te fais mal.
Lars enlève le couvre-lit et demande à Léonard de se coucher sur le côté. Il a choisi la cuillère pour cette première fois et cela se passe assez bien, mais il ne sent pas le plaisir monter, il n’insiste pas et ressort rapidement. Léonard l’aide à terminer à la main.
— On fera mieux la prochaine fois, fait Lars, un peu dépité.
— Il y aura une prochaine fois ?
— J’espère.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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