26-01-2025, 05:58 PM
Texte en 3 parties. C'est dans la deuxième qu'il y a une présentation du personnage principal de l'histoire.
Enfant très attendu, il est finalement né d'une fécondation naturelle lorsque sa mère a eu 40 ou 41 ans et son père 56 (ce qui reste plus jeune que Donald Trump lorsqu'il a eu son dernier fils).
La surprotection dont il a bénéficié avait comme inconvénient d'avoir à rendre des comptes de tout ce qu'il faisait à l'extérieur.
Ça m'a rappelé la période de ma vie allant de l'adolescence à mon trentième anniversaire. Fils unique, j'habitais avec mes parents et les grands parents paternels. Depuis tout petit, je respectais la consigne de ne pas aller dans la chambre de mes parents, sauf invitation à la traverser pour rejoindre le balcon) ni (surtout) celle de mes grands parents. Par contre, j'avais remarqué que ma mère et ma grand mère ne se gênaient pas pour aller dans ma chambre quand bon leur semblaient.
Vers l'âge de 12-13 ans, je me suis mis à écrire un cahier de pensées qui était rangé dans un tiroir du bureau de ma chambre. Et puis quelques mois après, j'ai constaté que je n'était plus le seul scribe de ce cahier. Ma grand-mère l'avait trouvé dans le tiroir et l'avait montré à ma mère qui, bien qu'elle s'occupât de l'école des filles, avait fait quelques dizaines de minutes supplémentaires en corrigeant la calligraphie et l'orthographe. C'est de cette manière que j'ai su que mon cahier de pensées avait été lu. Du reste, ma grand-mère a prétendu qui si j'écrivais ce cahier, c'était pour que eux le lisent !
Comme c'était au siècle dernier, pas encore de téléphone portable. Ma grand-mère devrait donc attendre mon retour en fin d'après-midi pour me demander ce que j'avais mangé au lycée puis à la fac. Au tout début 1981, lors d'une grève à la fac (distante de 5 km du domicile), j'ai annoncé y rester pour la semaine. Ma grand-mère d'un air tout triste a répondu : "Et si on vous expulse, ou est-ce que tu iras coucher ?".
Même adulte avec un travail, je devais rendre des comptes de mes départs en week-end. Ce qui a fait que lorsque l'ai estimé avoir les moyens financiers de quitter le domicile familial, à 30 ans, j'avais déjà choisi que je ne prendrai pas de femme, trouvant ces créatures trop indiscrètes.
Donc fin août, le personnage principal de l'histoire part en vélo sur une vingtaine de kilomètres puis continue à pied par un sentier jusqu'à un endroit où il aime s'arrêter dans l'herbe près d'un des arbres. En principe, il y est seul, mais cette fois-ci, il trouve un jeune homme d'à peine plus que son âge allongé sur une couverture en train de dormir près de son arbre tout en offrant son corps au soleil et au vent.
Le personnage principal choisit de le pas le réveiller et se contente d'observer ce très beau garçon qui, pendant son sommeil, se met à avoir une érection, puis une goutte translucide avant d'éjaculer. À son tour, le randonneur se met à bander et sent la pression monter.
... Mais ce n'était qu'un rêve, qui aura pour conséquence pour le personnage principal d'expérimenter une éjaculation nocturne, signe qu'il est en train de devenir un homme.
Pour reprendre le commentaire de lelivredejeremie, pour ma part, à mon adolescence, c'est au moins deux fois que c'est arrivé pendant mon sommeil. Une fois, juste des trucs desséchés autour de mes poils pubiens, une autre fois du liquide poisseux au même endroit. Mais pour les rêves, et général, je les oublie dès le réveil. Il y a juste un souvenir d'une fois où je faisais pipi sur une herbe bien verte et ça me faisait du bien. Je me suis réveillé 2 à 3 secondes avant la fin du pipi, puis quelques secondes de plus ont été nécessaire pour réaliser ce qui s'était passé.
Par rapport aux éjaculations incontrôlées, fw190a, un Belge des environ de Namur actif sur doctissimo dit que pour ceux qui ne se masturbent pas assez (pas du tout ?), elles peuvent survenir aussi bien la nuit que dans la journée, par exemple au lycée.
Enfant très attendu, il est finalement né d'une fécondation naturelle lorsque sa mère a eu 40 ou 41 ans et son père 56 (ce qui reste plus jeune que Donald Trump lorsqu'il a eu son dernier fils).
La surprotection dont il a bénéficié avait comme inconvénient d'avoir à rendre des comptes de tout ce qu'il faisait à l'extérieur.
Ça m'a rappelé la période de ma vie allant de l'adolescence à mon trentième anniversaire. Fils unique, j'habitais avec mes parents et les grands parents paternels. Depuis tout petit, je respectais la consigne de ne pas aller dans la chambre de mes parents, sauf invitation à la traverser pour rejoindre le balcon) ni (surtout) celle de mes grands parents. Par contre, j'avais remarqué que ma mère et ma grand mère ne se gênaient pas pour aller dans ma chambre quand bon leur semblaient.
Vers l'âge de 12-13 ans, je me suis mis à écrire un cahier de pensées qui était rangé dans un tiroir du bureau de ma chambre. Et puis quelques mois après, j'ai constaté que je n'était plus le seul scribe de ce cahier. Ma grand-mère l'avait trouvé dans le tiroir et l'avait montré à ma mère qui, bien qu'elle s'occupât de l'école des filles, avait fait quelques dizaines de minutes supplémentaires en corrigeant la calligraphie et l'orthographe. C'est de cette manière que j'ai su que mon cahier de pensées avait été lu. Du reste, ma grand-mère a prétendu qui si j'écrivais ce cahier, c'était pour que eux le lisent !
Comme c'était au siècle dernier, pas encore de téléphone portable. Ma grand-mère devrait donc attendre mon retour en fin d'après-midi pour me demander ce que j'avais mangé au lycée puis à la fac. Au tout début 1981, lors d'une grève à la fac (distante de 5 km du domicile), j'ai annoncé y rester pour la semaine. Ma grand-mère d'un air tout triste a répondu : "Et si on vous expulse, ou est-ce que tu iras coucher ?".
Même adulte avec un travail, je devais rendre des comptes de mes départs en week-end. Ce qui a fait que lorsque l'ai estimé avoir les moyens financiers de quitter le domicile familial, à 30 ans, j'avais déjà choisi que je ne prendrai pas de femme, trouvant ces créatures trop indiscrètes.
Donc fin août, le personnage principal de l'histoire part en vélo sur une vingtaine de kilomètres puis continue à pied par un sentier jusqu'à un endroit où il aime s'arrêter dans l'herbe près d'un des arbres. En principe, il y est seul, mais cette fois-ci, il trouve un jeune homme d'à peine plus que son âge allongé sur une couverture en train de dormir près de son arbre tout en offrant son corps au soleil et au vent.
Le personnage principal choisit de le pas le réveiller et se contente d'observer ce très beau garçon qui, pendant son sommeil, se met à avoir une érection, puis une goutte translucide avant d'éjaculer. À son tour, le randonneur se met à bander et sent la pression monter.
... Mais ce n'était qu'un rêve, qui aura pour conséquence pour le personnage principal d'expérimenter une éjaculation nocturne, signe qu'il est en train de devenir un homme.
Pour reprendre le commentaire de lelivredejeremie, pour ma part, à mon adolescence, c'est au moins deux fois que c'est arrivé pendant mon sommeil. Une fois, juste des trucs desséchés autour de mes poils pubiens, une autre fois du liquide poisseux au même endroit. Mais pour les rêves, et général, je les oublie dès le réveil. Il y a juste un souvenir d'une fois où je faisais pipi sur une herbe bien verte et ça me faisait du bien. Je me suis réveillé 2 à 3 secondes avant la fin du pipi, puis quelques secondes de plus ont été nécessaire pour réaliser ce qui s'était passé.
Par rapport aux éjaculations incontrôlées, fw190a, un Belge des environ de Namur actif sur doctissimo dit que pour ceux qui ne se masturbent pas assez (pas du tout ?), elles peuvent survenir aussi bien la nuit que dans la journée, par exemple au lycée.