Il y a 11 heures
La petite coccinelle réveillée de son hibernation détallait devant le pinceau que tenait Toni, le garçon se recula pour évaluer le travail qui lui restait à faire : plus qu'un mètre et son travail serait finit.
Toni avait profité de son après-midi de libre pour repeindre le portail du jardin, un bon coup de peinture le protégerai des frimas de l'hiver, l'empêchant de s'écailler.
Son père étant trop souvent pris par son travail, c'est à son fils à qui il revenait l'obligation de réaliser certaines tâches.
Une voix derrière lui le fit sursauter :
— Si Cylian te voyait en salopette sans tee-shit comme c'est le cas maintenant, il te sauterait dessus, tu es très sexy, avec tes beaux pectoraux qui ressortent !
Toni se retourna intrigué : c'était son frère et Logan qui étaient rentrés du lycée et semblait être partis pour se moquer de lui à cause de sa tenue rudimentaire.
— Vous êtes déjà là ? Arrête de jouer à l'inspecteur des travaux finis Kevin ou tu vas te manger un pinceau d'ici peu.
Les trois ados gloussèrent.
— Bon, puisque c'est comme ça, je vais préparer le dîner alors vu que tu es occupé ! renchérit Kevin.
Au fait Logan vient dormir ici ce soir ! On vient de passer chez lui, sa mère nous à dit qu'elle était d'accord ! Papa ne devrait pas tarder, je pense que lui non plus n'y verra pas d'inconvénient, sur ce, nous te laissons à tes occupations.
En effet, quelques instants plus tard, le bruit caractéristique de la grosse berline du père des deux garçons se fit entendre.
Toni embrassa son père suivit des formalités d'usage comme : « Tu as passé une bonne journée ? » ou « Pas top dur le boulot ? ».
Le père de Toni était toujours d'humeur joviale en rentrant du boulot, toujours heureux que « ses garçons » s'occupent aussi bien de la maison, c'était un peu devenu une seconde nature pour Toni et Kevin depuis qu'ils avaient perdus leur mère il y a longtemps.
Lorsqu'il fut rentré dans la maison, il s'arrêta devant Logan et lui serra chaleureusement la main.
— C'est donc toi Logan ? Toni m'a raconté tes exploits de l'autre nuit, je te remercie pour tout ce que tu as fait pour mon fils, sans toi, il lui serait peut-être arrivé quelque chose de grave, soit le bienvenue chez nous, considère toi comme faisant partie de la famille, tu seras toujours la bienvenue ici.
— Merci monsieur, mais je n'ai fais qu'aider mes amis.
— Je m'appelle Franck et si nous pouvons t'aider un jour, n'hésite pas !
— Merci Franck de m'accueillir chez vous, vos fils sont épatants de sympathie et de gentillesse. Ils auraient fait de même pour moi, j'en suis sûr.
Logan fut heureux bien qu'un peu gêné d'être le héro du jour. Il alla chercher Toni, une fois que le repas fut prêt.
— Toni ! Viens manger, mais Kevin est responsable du repas, si vous n'aimez pas, il faudra se plaindre au cuistot. Ayant jeté un oeil au fourneau, autant vous dire que je préfère que vous goûtiez avant !
A cet instant retentit au fond de la cuisine :
— Salop ! Tu perds rien pour attendre, tu m'as aussi aidé Logan ! Si mon repas n'est pas bon, on mange du chat ce soir !
C'est avec un grand sourire teinté d'une certaines curiosité que les convives se mirent à table, se demandant quel repas ils allaient avoir droit, Toni et Logan ne pouvant s'empêcher de se moquer gentiment de Kevin. Après tout, Toni avait été lui aussi charrié en repeignant le portail.
Mais dès le dîner fut sur la table, tout le monde lui présenta ses excuses, son père le félicita en lui frottant les cheveux amicalement.
Logan quand à lui, ne parlait déjà plus, occupé à son assiette, mangeant copieusement, il avait un appétit d'ogre, si bien qu'au bout d'un moment, les autres le regardèrent, avec des yeux hagards...
Toni se gratta la tête, haussant les sourcils :
— Mais où tu mets tout ça ? Cela fait trois fois que tu reprends de la purée !
Logan en fut presque gêné, il s'excusa :
— Avec les transformations, j'ai besoin de forces, surtout pour emmener Kevin au lycée le matin, tu viendras avec nous Toni si tu veux, prendre 500 kilos le matin demande de l'énergie.
Toni et son père se regardèrent, ne sachant pas ce que Logan voulait dire par là.
Sitôt que la table fut débarrassée, Logan et Kevin s'éclipsèrent, ils prirent leur douche chacun leur tour et quand Kevin eut fini, il s'éclipsa doucement pour rentrer à pas de loups dans la chambre d'amis.
Logan l'attentait au lit par un large sourire, le coude posé sur le matelas, la main dans ses cheveux en bataille, admirant Kevin en caleçon qui se dirigeait vers lui.
Kevin rampa sous la couette et se lova contre son amour, ils étaient enfin seuls.
Un jeu de regards commença, à celui qui souriait le premier, perdu dans les yeux de l'autre.
Logan lui chuchota :
— Merci Kevin, tu es celui qui m'a apporté l'espoir d'aimer, le premier qui n'a pas eu peur de moi contrairement au autres, avec toi je me sens bien, merci pour être simplement... toi.
et...
Logan s'arrêta de parler, Kevin le dévisageait avec un grand sourire.
— Quoi ? A quoi tu penses ?
Les yeux de Kevin pétillèrent :
— Tu sais, je repense quand tu étais nu couché dans ma chambre, la première idée qui m'a traversé l'esprit est que je sois avec toi, sous ce drap qui cachait ta nudité, tu avais l'air d'avoir tellement mal... j'aurai tant voulu te serrer contre moi tellement tu me faisais mal au cœur dans ton état, je me serais damné pour te posséder ce soir là, tu m'entends ? Et là maintenant... mes rêves se réalisent enfin, je peux te toucher, être rien qu'à moi et en même temps t'appartenir...
— Et bien ? Qu'est ce que tu attends ? Serre moi fort Kevin, j'ai besoin de toi...
Kevin se mit à frissonner sous l'émotion. Logan déposa un baiser sur les lèvres de son ange.
— Tu as froid attends... je vais élever la température de mon corps.
— Tu peux faire ça ?
— Bien sûr, c'est juste une question de métabolisme, tu vas voir.
Kevin sentit le corps qu'il serrait se remplir d'une douce chaleur.
— Wahow ! C'est génial !
Kevin serra ses jambes contre les cuisses de Logan, elles étaient douces et duveteuses, sa main remonta à son entre jambe, il poussa un cri de surprise quand il découvrit que Logan ne portait pas de caleçon.
Ses doigts serraient son membre bien proportionné entre sa toison pubienne.
— Tu dors tout nu ? Je croyais que tu avais un caleçon
— Non, pourquoi sa te gêne ?
Logan regarda Kevin au plus profond de ses yeux, adoptant ce sourire malicieux et si craquant que le blondinet se plaisait à admirer plus que tout dans son visage.
— A vrai dire... non.
Kevin était visiblement gêné, son cœur battait à tout rompre, la main de Logan plongea dans son boxer pour lui dire que lui aussi il désirait le corps du blondinet.
Kevin se pinça les lèvres avec les dents quand il sentit les doigts de son compagnon lui caresser son sexe qui ne pu s'empêcher de bander, il fit glisser son caleçon le long de ses jambes pour permettre à Logan de s'occuper de son sexe gonflé. Cette sensation nouvelle pour Kevin était divine, les petits doigts faisaient des viens et viens le long de sa queue durcie, malaxant ses boules pendant que l'autre main était contre son torse à caresser ses tétons. Il était couché à coté de Logan et gémissait en même temps que son bassin était agité de soubresauts.
Logan descendit le long du corps de Kevin et mit le sexe du blondinet entre ses lèvres, sa langue jouant avec l'extrémité de son gland.
Kevin fit de même et se retrouva tête-bêche avec son compagnon.
Un feu de désir remonta le long de la hampe de Logan et sans prévenir, expulsa plusieurs jets de sperme dans la bouche de son partenaire.
Kevin fut surpris et n'avala qu'en partie la précieuse liqueur de son ami, le reste de semence dégoulinant au coin des lèvres. Le plaisir fut tel chez le polymorphe qu'il en vint à griffer involontairement le ventre du garçon, que Kevin éjacula accompagné d'un cri aigu, les salves de giclées blanchâtres allaient se perdre sur le torse et l'épaule de Logan.
Kevin haletait, il était à bout de souffle et vint se serrer contre l'épaule de Logan, une main perdu dans la chevelure brune, l'autre au niveau du bassin.
L'air expiré de ses narines faisant frémir la peau soyeuse et douce du torse de celui qui lui avait procuré tant de plaisir.
Kevin leva les yeux sur le visage paisible de son amoureux, sa respiration était apaisante, Logan semblait ronronner de ce bonheur parfait.
Au petit matin, réveil difficile... du moins pour certains !
Toni alla réveiller les deux tourtereaux en tirant la couverture hors du lit, il gloussa en voyant son frère blotti dans les bras de Logan qui lui était dans une position étendue sur toute la longueur du matelas.
Les deux garçons étaient nus comme des vers.
— Debout les amoureux ! Il faut aller en cours ! s'écria Toni.
En réponse, deux gémissements synchronisés qui ressemblaient à de l'irritation s'échappèrent du lit.
— Je vous ai préparé le petit déj ! Ne me remerciez pas surtout ! Bien dormi ? A propos, vous avez été bien silencieux cette nuit, je trouve ça louche !
L'allusion fit mouche : Logan qui n'avait toujours pas ouvert les yeux, retroussa le coin des lèvres en guise de sourire (silencieux, nous ? pensa-t-il...), sourire contagieux reprit par Kevin, déjà réveillé, laissant vagabonder son regard sur la plus belle chose qui comptait pour lui en ce moment.
Le déjeuner fut vite avalé. A la suite de quoi, Kevin s'adressa à son frère :
— Si tu veux aller au lycée avec nous, viens devant la porte du garage, on t'attend, fais vite !
Toni interloqué, sortit dans le jardin, les mains dans ses poches il frissonnait, se demandant encore à quoi il allait avoir droit comme surprise de la part des deux petits diables.
Il s'approcha du porche du garage, à cette heure, les étoiles disparaissaient pour laisser place aux premiers rayons du soleil.
L'intérieur était dans la pénombre mais il devina la silhouette de son frère.
Que faisait il ? Il semblait tenir un sac et le remplissait avec les vêtements de Logan.
Il fit signe à Kevin de sa présence :
— Je suis prêts, ou est Logan ?
Kevin éclata de rire :
— Mais regarde derrière toi voyons ! Ne me dis pas que tu ne l'as pas remarqué !
A ce moment, un souffle lui souleva quelques mèches de cheveux, Une respiration gutturale résonna dans les oreilles.
Toni, se raidit de peur.
Il se retourna lentement... Il se trouva nez à nez avec deux yeux énormes qui l'observaient sur une tête massive prolongée par des naseaux qui expulsaient violemment de l'air.
L'animal se cabra, en même temps que Kevin était plié en deux, riant aux éclats, à observer la tête que faisait son frère.
Visiblement, les deux chenapans étaient ravis de la surprise infligée à Toni, qui était pétrifié de stupeur, il ne pu qu'articuler que quelques mots...
— Alors là... si je m'attendais à ça !
— Qu'en dis tu Toni ? Toujours partant pour une ballade à cheval ?
Toni avait profité de son après-midi de libre pour repeindre le portail du jardin, un bon coup de peinture le protégerai des frimas de l'hiver, l'empêchant de s'écailler.
Son père étant trop souvent pris par son travail, c'est à son fils à qui il revenait l'obligation de réaliser certaines tâches.
Une voix derrière lui le fit sursauter :
— Si Cylian te voyait en salopette sans tee-shit comme c'est le cas maintenant, il te sauterait dessus, tu es très sexy, avec tes beaux pectoraux qui ressortent !
Toni se retourna intrigué : c'était son frère et Logan qui étaient rentrés du lycée et semblait être partis pour se moquer de lui à cause de sa tenue rudimentaire.
— Vous êtes déjà là ? Arrête de jouer à l'inspecteur des travaux finis Kevin ou tu vas te manger un pinceau d'ici peu.
Les trois ados gloussèrent.
— Bon, puisque c'est comme ça, je vais préparer le dîner alors vu que tu es occupé ! renchérit Kevin.
Au fait Logan vient dormir ici ce soir ! On vient de passer chez lui, sa mère nous à dit qu'elle était d'accord ! Papa ne devrait pas tarder, je pense que lui non plus n'y verra pas d'inconvénient, sur ce, nous te laissons à tes occupations.
En effet, quelques instants plus tard, le bruit caractéristique de la grosse berline du père des deux garçons se fit entendre.
Toni embrassa son père suivit des formalités d'usage comme : « Tu as passé une bonne journée ? » ou « Pas top dur le boulot ? ».
Le père de Toni était toujours d'humeur joviale en rentrant du boulot, toujours heureux que « ses garçons » s'occupent aussi bien de la maison, c'était un peu devenu une seconde nature pour Toni et Kevin depuis qu'ils avaient perdus leur mère il y a longtemps.
Lorsqu'il fut rentré dans la maison, il s'arrêta devant Logan et lui serra chaleureusement la main.
— C'est donc toi Logan ? Toni m'a raconté tes exploits de l'autre nuit, je te remercie pour tout ce que tu as fait pour mon fils, sans toi, il lui serait peut-être arrivé quelque chose de grave, soit le bienvenue chez nous, considère toi comme faisant partie de la famille, tu seras toujours la bienvenue ici.
— Merci monsieur, mais je n'ai fais qu'aider mes amis.
— Je m'appelle Franck et si nous pouvons t'aider un jour, n'hésite pas !
— Merci Franck de m'accueillir chez vous, vos fils sont épatants de sympathie et de gentillesse. Ils auraient fait de même pour moi, j'en suis sûr.
Logan fut heureux bien qu'un peu gêné d'être le héro du jour. Il alla chercher Toni, une fois que le repas fut prêt.
— Toni ! Viens manger, mais Kevin est responsable du repas, si vous n'aimez pas, il faudra se plaindre au cuistot. Ayant jeté un oeil au fourneau, autant vous dire que je préfère que vous goûtiez avant !
A cet instant retentit au fond de la cuisine :
— Salop ! Tu perds rien pour attendre, tu m'as aussi aidé Logan ! Si mon repas n'est pas bon, on mange du chat ce soir !
C'est avec un grand sourire teinté d'une certaines curiosité que les convives se mirent à table, se demandant quel repas ils allaient avoir droit, Toni et Logan ne pouvant s'empêcher de se moquer gentiment de Kevin. Après tout, Toni avait été lui aussi charrié en repeignant le portail.
Mais dès le dîner fut sur la table, tout le monde lui présenta ses excuses, son père le félicita en lui frottant les cheveux amicalement.
Logan quand à lui, ne parlait déjà plus, occupé à son assiette, mangeant copieusement, il avait un appétit d'ogre, si bien qu'au bout d'un moment, les autres le regardèrent, avec des yeux hagards...
Toni se gratta la tête, haussant les sourcils :
— Mais où tu mets tout ça ? Cela fait trois fois que tu reprends de la purée !
Logan en fut presque gêné, il s'excusa :
— Avec les transformations, j'ai besoin de forces, surtout pour emmener Kevin au lycée le matin, tu viendras avec nous Toni si tu veux, prendre 500 kilos le matin demande de l'énergie.
Toni et son père se regardèrent, ne sachant pas ce que Logan voulait dire par là.
Sitôt que la table fut débarrassée, Logan et Kevin s'éclipsèrent, ils prirent leur douche chacun leur tour et quand Kevin eut fini, il s'éclipsa doucement pour rentrer à pas de loups dans la chambre d'amis.
Logan l'attentait au lit par un large sourire, le coude posé sur le matelas, la main dans ses cheveux en bataille, admirant Kevin en caleçon qui se dirigeait vers lui.
Kevin rampa sous la couette et se lova contre son amour, ils étaient enfin seuls.
Un jeu de regards commença, à celui qui souriait le premier, perdu dans les yeux de l'autre.
Logan lui chuchota :
— Merci Kevin, tu es celui qui m'a apporté l'espoir d'aimer, le premier qui n'a pas eu peur de moi contrairement au autres, avec toi je me sens bien, merci pour être simplement... toi.
et...
Logan s'arrêta de parler, Kevin le dévisageait avec un grand sourire.
— Quoi ? A quoi tu penses ?
Les yeux de Kevin pétillèrent :
— Tu sais, je repense quand tu étais nu couché dans ma chambre, la première idée qui m'a traversé l'esprit est que je sois avec toi, sous ce drap qui cachait ta nudité, tu avais l'air d'avoir tellement mal... j'aurai tant voulu te serrer contre moi tellement tu me faisais mal au cœur dans ton état, je me serais damné pour te posséder ce soir là, tu m'entends ? Et là maintenant... mes rêves se réalisent enfin, je peux te toucher, être rien qu'à moi et en même temps t'appartenir...
— Et bien ? Qu'est ce que tu attends ? Serre moi fort Kevin, j'ai besoin de toi...
Kevin se mit à frissonner sous l'émotion. Logan déposa un baiser sur les lèvres de son ange.
— Tu as froid attends... je vais élever la température de mon corps.
— Tu peux faire ça ?
— Bien sûr, c'est juste une question de métabolisme, tu vas voir.
Kevin sentit le corps qu'il serrait se remplir d'une douce chaleur.
— Wahow ! C'est génial !
Kevin serra ses jambes contre les cuisses de Logan, elles étaient douces et duveteuses, sa main remonta à son entre jambe, il poussa un cri de surprise quand il découvrit que Logan ne portait pas de caleçon.
Ses doigts serraient son membre bien proportionné entre sa toison pubienne.
— Tu dors tout nu ? Je croyais que tu avais un caleçon
— Non, pourquoi sa te gêne ?
Logan regarda Kevin au plus profond de ses yeux, adoptant ce sourire malicieux et si craquant que le blondinet se plaisait à admirer plus que tout dans son visage.
— A vrai dire... non.
Kevin était visiblement gêné, son cœur battait à tout rompre, la main de Logan plongea dans son boxer pour lui dire que lui aussi il désirait le corps du blondinet.
Kevin se pinça les lèvres avec les dents quand il sentit les doigts de son compagnon lui caresser son sexe qui ne pu s'empêcher de bander, il fit glisser son caleçon le long de ses jambes pour permettre à Logan de s'occuper de son sexe gonflé. Cette sensation nouvelle pour Kevin était divine, les petits doigts faisaient des viens et viens le long de sa queue durcie, malaxant ses boules pendant que l'autre main était contre son torse à caresser ses tétons. Il était couché à coté de Logan et gémissait en même temps que son bassin était agité de soubresauts.
Logan descendit le long du corps de Kevin et mit le sexe du blondinet entre ses lèvres, sa langue jouant avec l'extrémité de son gland.
Kevin fit de même et se retrouva tête-bêche avec son compagnon.
Un feu de désir remonta le long de la hampe de Logan et sans prévenir, expulsa plusieurs jets de sperme dans la bouche de son partenaire.
Kevin fut surpris et n'avala qu'en partie la précieuse liqueur de son ami, le reste de semence dégoulinant au coin des lèvres. Le plaisir fut tel chez le polymorphe qu'il en vint à griffer involontairement le ventre du garçon, que Kevin éjacula accompagné d'un cri aigu, les salves de giclées blanchâtres allaient se perdre sur le torse et l'épaule de Logan.
Kevin haletait, il était à bout de souffle et vint se serrer contre l'épaule de Logan, une main perdu dans la chevelure brune, l'autre au niveau du bassin.
L'air expiré de ses narines faisant frémir la peau soyeuse et douce du torse de celui qui lui avait procuré tant de plaisir.
Kevin leva les yeux sur le visage paisible de son amoureux, sa respiration était apaisante, Logan semblait ronronner de ce bonheur parfait.
Au petit matin, réveil difficile... du moins pour certains !
Toni alla réveiller les deux tourtereaux en tirant la couverture hors du lit, il gloussa en voyant son frère blotti dans les bras de Logan qui lui était dans une position étendue sur toute la longueur du matelas.
Les deux garçons étaient nus comme des vers.
— Debout les amoureux ! Il faut aller en cours ! s'écria Toni.
En réponse, deux gémissements synchronisés qui ressemblaient à de l'irritation s'échappèrent du lit.
— Je vous ai préparé le petit déj ! Ne me remerciez pas surtout ! Bien dormi ? A propos, vous avez été bien silencieux cette nuit, je trouve ça louche !
L'allusion fit mouche : Logan qui n'avait toujours pas ouvert les yeux, retroussa le coin des lèvres en guise de sourire (silencieux, nous ? pensa-t-il...), sourire contagieux reprit par Kevin, déjà réveillé, laissant vagabonder son regard sur la plus belle chose qui comptait pour lui en ce moment.
Le déjeuner fut vite avalé. A la suite de quoi, Kevin s'adressa à son frère :
— Si tu veux aller au lycée avec nous, viens devant la porte du garage, on t'attend, fais vite !
Toni interloqué, sortit dans le jardin, les mains dans ses poches il frissonnait, se demandant encore à quoi il allait avoir droit comme surprise de la part des deux petits diables.
Il s'approcha du porche du garage, à cette heure, les étoiles disparaissaient pour laisser place aux premiers rayons du soleil.
L'intérieur était dans la pénombre mais il devina la silhouette de son frère.
Que faisait il ? Il semblait tenir un sac et le remplissait avec les vêtements de Logan.
Il fit signe à Kevin de sa présence :
— Je suis prêts, ou est Logan ?
Kevin éclata de rire :
— Mais regarde derrière toi voyons ! Ne me dis pas que tu ne l'as pas remarqué !
A ce moment, un souffle lui souleva quelques mèches de cheveux, Une respiration gutturale résonna dans les oreilles.
Toni, se raidit de peur.
Il se retourna lentement... Il se trouva nez à nez avec deux yeux énormes qui l'observaient sur une tête massive prolongée par des naseaux qui expulsaient violemment de l'air.
L'animal se cabra, en même temps que Kevin était plié en deux, riant aux éclats, à observer la tête que faisait son frère.
Visiblement, les deux chenapans étaient ravis de la surprise infligée à Toni, qui était pétrifié de stupeur, il ne pu qu'articuler que quelques mots...
— Alors là... si je m'attendais à ça !
— Qu'en dis tu Toni ? Toujours partant pour une ballade à cheval ?