12-11-2024, 06:51 AM
Le second "black à l'eau",
J'étais bêtement avec mes parents en vacances, alors que j'étais encore gamin et innocent. Enfin gamin, peut-être pas car j'avais malgré tout atteint le fameux âge de 18 ans mais innocent cela ne fait pas l'ombre d'un doute, je l'étais vraiment. J'ai une excuse qui vaut ce qu'elle vaut, j'avais une mère adorable mais possessive à l'extrême, non seulement il ne fallait pas me toucher mais dire du mal était déjà un crime de lèse-majesté. Il faut dire que ma maman - à mon âge, je me dois de dire ma mère - avait plus de 40 ans lors de ma naissance et mon père avait deux ans de plus ; pour eux j'étais un petit miracle !
J'avais un jour exprimé le désir de visiter l'Afrique noire et dans mon idée j'aurais dû partir seul mais quelques semaines plus tard, mes parents m'annonçaient fièrement qu'ils avaient trouvé un voyage organisé pour un petit groupe au Mali. Mon intention de partir seul s'évanouissait mais je n'avais pas le cœur de les décevoir même si j'avais tenté de faire valoir que ce déplacement risquait d'être trop fatiguant pour eux. Il faut dire que ma propre jeunesse les avait contraints à cultiver leur forme physique de sorte que, au cours des voyages qu'ils avaient organisés j'étais souvent plus fatigué qu'eux !
Le programme prévoyait une expédition dans la brousse avec une arrivée au bord d'un fleuve assez impressionnant et où nous passerions trois nuits dans des huttes, certes relativement confortables, il ne faut quand même pas exagérer ! Mais grave imprévu, les huttes ne disposaient que de deux lits et malgré l'insistance de ma mère, elle dû admettre que je dispose d'une hutte pour moi tout seul. Comme ils se couchent tôt, je dus promettre que je ne ferais pas de bêtises et surtout que je me coucherais au plus tard à… (je préfère ne pas vous le dévoiler afin que vous n'éclatiez pas de rire !).
La nuit africaine est assez impressionnante, par la nuit qui y règne, par le bruit de tous les animaux nocturnes et souvent, par des ombres qui me paraissaient inquiétantes pour quelqu'un d'inexpérimenté comme moi ! Malgré tout, je quittais le camp pour touristes, bien civilisé tout en prenant garde de toujours avoir une lumière visible au loin... enfin, pas trop loin.
J'étais au bord du fleuve et je me pris à rêver, assis sur une grosse souche en ayant les deux pieds dans l'eau pour les reposer. Sans y prendre garde j'avais ma main dans mon pantalon et j'appuyais délicatement sur mon sexe, non bandé, mais je me sentais bien, d'être seul.
C'est alors que je vis une ombre et surtout une voix grave me dire
- Hum ! beau garçon, il vaudrait mieux que tu sortes tes pieds de l'eau si tu veux les conserver car il peut y avoir des amateurs de pieds blancs !
Inutile de dire que j'obéis instantanément mais simultanément je levais les yeux, sans crainte car la voix n'était absolument pas menaçante, et à ma stupéfaction je vis un jeune Noir qui me regardait avec un superbe sourire. Ma stupéfaction ne provenait pas tant de sa présence mais du fait qu'il était entièrement nu, que malgré mon ignorance des corps humains, habillés ou non, je le trouvais vraiment beau.
- Tu permets que je m'assieds à côté de toi, je n'ai pas souvent l'occasion de parler avec un jeune étranger comme toi ?
Et sans attendre mon accord il prit place sur ma souche qui convenait pour une personne, pour deux si l'on ne craint pas la promiscuité des corps. Dans ma tête c'était le carnaval, tout tournait je ne savais plus ce que je faisais là avec un inconnu dont je remarquais le sexe non pas en érection mais malgré tout clairement visible. Dans mon bas-ventre, c'était également l'agitation et à ma confusion je sentais mon pénis grandir et prendre de plus en plus de place. Je sentais sa jambe nue contre ma propre jambe et ce contact me troublait en même temps que je l'appréciais
- Je m'appelle Kwamé, cela veut dire samedi dans ma langue, j'ai une vingtaine d'années et c'est la première fois que j'ai l'occasion de sentir à mes côté un jeune blanc si près de moi car j'habite loin dans la forêt. Je te trouve beau avec ta peau pâle qui a l'air si douce
Et ce disant il passa sa main sur ma joue et je sentis qu'il ressentait une certaine émotion à ce contact inconnu pour lui. À un moment donné, sa main caressait très doucement ma lèvre inférieure laquelle était, me semble-t-il, légèrement humide. Très superficiellement un de ses doigts pénétra légèrement jusqu'à mes dents que je gardais fermées. Il me prit une main qu'il porta avec beaucoup de délicatesse à sa propre figure et je me mis, sans vraiment m'en rendre compte, à découvrir son visage. Nos deux corps étaient proches l'un de l'autre et je voyais grâce aux lumières du village sa silhouette d'une évidente élégance. Sans le savoir, j'avais mis ma main sur la sienne qui reposait entre nous et c'est à ce moment que les lumières s'éteignirent. Immédiatement je paniquais, il posa ses bras sur mes épaules et me rassura en me disant que c'était pour économiser le courant et que bien sûr il me reconduirait jusqu'à ma hutte.
Je savais quand même ce qu'un homme peut faire avec une femme, je savais également ce que deux hommes peuvent faire ensemble et j'y pensais exactement à ce moment. J'avais peur et j'étais en même temps excité, mais je lui demandais de me raccompagner ce qu'il accepta immédiatement. Mais avant de se lever, il prit juste ma main et me fit effleurer son sexe alors qu'il en fit de même par-dessus mon pantalon de toile. Cinq minutes plus tard, j'étais chez moi et je le vis s'éloigner d'une marche féline après qu'il m'eut murmuré
- À demain soir beau petit Blanc, à le même heure et au même endroit, je serai là
Je dormis comme un loir ce qui ne m'empêcha pas de penser à mon aventure et je me surprenais de mon audace, de n'avoir pas immédiatement fait demi-tour lorsqu'il m'avait surpris alors que je m'apprêtais à me donner un certain plaisir. D'habitude, ce moment se passait dans ma chambre, où j'étais certain de ne pas être dérangé car mes parents ne montaient jamais jusqu'à mon étage. Et là, dans cette semi-obscurité de la jungle, je sentais qu'une certaine volupté était en train de m'envahir lorsque cet homme surgit sans que je l'aie entendu s'approcher. Curieusement, j'étais certes troublé à la vue de ce corps nu, mais je n'ai pas ressenti la moindre peur, éventuellement de la gêne devant ce corps que, malgré mon ignorance totale, je trouvais franchement beau Dans un premier temps, c'était un sentiment abstrait, comme devant un beau tableau. Mais très vite, mon regard s'est focalisé sur un sexe comme je n'en avais jamais vu, c'était véritablement le premier que je voyais, là à proximité immédiate de moi et d'emblée j'ai eu la tentation de le saisir, ce que bien entendu je ne fis pas. Il faut dire qu'il émergeait d’une légère toison très distinguée comme si elle avait été taillée. Je remarquais également que ce sexe était dans un léger état d’excitation de sorte que cette proéminence, loin de me faire peur s’érigeait comme une incitation à… À ce moment précis je me suis souvenu des images érotiques dans une revue qu’un jour j’avais osé acquérir dans un kiosque.
Après le repas du soir, mes parents fatigués de notre journée, me confièrent à un jeune couple dont le premier soin fut de me dire que j’étais assez grand pour me débrouiller tout seul. Je me mis lentement en marche mais à la différence de hier soir où j’errais sans véritable but sinon de voir la rivière, cette fois je savais où je voulais aller, tout mon corps le savait : je sentais une érection bien visible dans mon léger bermuda en toile et cela ne me gênais pas. J’étais sur le point de retrouver ma souche de la veille lorsque je me sentis saisis par des bras musclés qui me plaquèrent contre une large poitrine pendant qu’une bouche me murmurait à l’oreille
- Bienvenue mon petit Blanc à moi, n’aie pas peur, je vais traverser la rivière, nous serons plus tranquilles sur l’autre rive.
Je me laissais aller dans ses bras, je sentais quelque chose de dur contre mes cuisses mais je n’y fis pas particulièrement attention par contre je pris conscience que mon bas-ventre s’écrasait contre son corps ce qui me mis un peu mal à l’aise. Le courant était assez violent mais pas suffisamment pour déséquilibrer mon porteur. Pour ne pas risquer de lui échapper, j’avais passé mes bras autour de son cou et j’étais véritablement collé à lui.
Sur la rive, il me déposa précautionneusement sur le sol tout en m’embrassant dans le creux de mon épaule. Vu sa taille, il avait dû se pencher ce qui me permis de voir deux fesses superbes que je devinais divinement ferme [je bénis l’achat de ma revue érotique]. Nous étions l’un contre l’autre, lui nu bien évidemment, et moi ma chemisette trainait sur le sol. Il ne m’embrassait plus mais me serrait fortement contre lui et je sentais ses vastes mains qui se promenaient sur mon dos jusqu’à la lisière de l’élastique de mon boxer. Le premier bouton de ma culotte était ouvert, ses mains pénétraient de plus en plus vers mes fesses. Par-dessus le fin tissu de mon sous-vêtement, ses mains se faisaient plus hardies, survolant avec insistance ma raie. Il se détacha quelque peu de moi
- Petit Blanc, s’il te plait, enlève ton pantalon, j’aimerais te voir…
Je mourrais d’envie de m’exhiber devant lui, je m’exécutais sans hésiter mais je conservais mon sous-vêtement qui, s’il cachait le détail de mon anatomie laissait sans incertitude deviner l’état dans lequel se trouvait ce qu’on ne voyait pas. Mais Kwamé ne se contenta pas de ce qu’il devait deviner, il saisit le bord de mon boxer et avec une extrême douceur il descendit celui-ci jusqu’au moment fatidique où mon sexe jaillit brusquement en claquant contre mon ventre, un sexe tendu au maximum et qui mouillait largement.
Mes mains avaient largement pris possession de ce corps qui, je le sentais, se donnait sans réserve. J’avais exploré ses fesses, sentis les volutes de la rondelle de son petit cul, soupesé avec encore une certaine timidité ses deux testicules que je sentais bien pleins avant qu’il ne me mette une main directement dans ce sanctuaire. Je jubilais, je ne savais plus très bien où j’en étais, je sentais son odeur âcre qui s’épanchait au gré de sa propre excitation. Mon corps n’avait plus de zones vierges à l’exception de l’entrée de mon petit cul. Nos mains étaient poisseuses de nos sécrétions réciproques. Je sentais une montée irrésistible de ma semence que je ne parvenais que difficilement à contrôler alors que je voyais les contractions de plus en plus nombreuses et violentes qui agitaient le sexe de mon partenaire. Subitement je vis son corps se crisper, son visage se déformer et, en même temps qu’il poussait une série de grands cris, des jets de sperme jaillir de son pénis se répondant sur nos deux corps. Quelques secondes plus tard, je ressentais la violence de mon éjaculation sur ses mains qui ne me lâchaient plus depuis un bon moment.
- Petit Blanc adoré, jamais je n’ai éprouvé une telle jouissance qu’avec toi, c’était tout simplement extraordinaire
- Mon grand Noir, c’était ma première expérience avec un homme et ça, je sens que je m’en souviendrai toujours
Comme la veille, il me ramena jusqu’au village, toutes lumières éteintes. Avant de nous séparer, nous avons convenu de nous retrouver pour le dernier soir avant la poursuite de notre voyage.
Avant de m’endormir après une bonne douche bien nécessaire, j’eu encore l’intuition que demain nous franchirions un pas supplémentaire dans la découverte de nos corps, enfin de mon corps car je n’étais pas à ce point naïf pour imaginer qu’il était comme moi puceau. Bien au contraire, sa gestuelle, ses paroles, sa douceur extrême témoignaient d’une grande expérience, d’une grande habileté et d’un grand pouvoir charmeur. Peut-être, cette fois, avait-il été pris à son propre jeu, pour mon plus grand bonheur je dois le dire.
Notre troisième et dernière soirée ne se déroula absolument pas comme prévu : il n’y eu tout simplement pas de troisième soirée ! En l’honneur de la quinzaine de touristes qui se trouvait là, le chef du village avait organisé une soirée festive et mes parents exigèrent que je sois présent, c’était une question, disaient-ils, de politesse et que c’était une occasion de me sortir de ma solitude. S’ils savaient !
Je dois dire que la soirée était sympathique avec un repas de cuisine locale, des danses vraiment authentiques mais évidemment il me manquait quelque chose ou plus tôt, quelqu'un.
À la fin de la soirée alors que tout le village était plongé dans l’obscurité, peu avant minuit, je sortis en espérant que Kwamé m’attendrait peut-être. Je n’avais parcouru que quelques mètres que je fus soulevé par des bras vigoureux, qu’une main habile plongeait dans mon slip, je n’avais même pas mis un pantalon, et exerçait de vigoureux va-et-vient sur mon sexe pendant que l’autre fouillait dans ma raie. J’avais son sexe chaud et tendu au maximum dans ma main mouillée par son abondant precum...
Quelques instants plus tard, il m’avait posé à terre en me disant qu’il devait impérativement être rentré chez lui, de l’autre côté de la rivière. La dernière vision que j’eu de lui, c’était sa merveilleuse paire de fesses.
Le lendemain, alors que notre tout-terrain venait de quitter le village il y avait quelques instants, je le vis appuyé contre une arbre, totalement nu et le sexe érigé à la verticale, qui nous faisait des signes d’adieu mais je savais que ce geste n’était destiné qu’à moi.
Le dernier mot revint à ma mère qui voyant cet homme nu déclara
- Il n’y a pas à dire, ces Noirs ont des corps splendides !
Quelques années ont passé, j’ai grandi, j’ai heureusement perdu mon innocence et je vis heureux avec un garçon et nous nous aimons, nous n’en doutons ni l’un ni l’autre mais il sait également que cette première expérience restera toujours dans ma mémoire. Il le sait si bien qu’il m’a offert pour mon anniversaire un voyage dans un village perdu dans la forêt, au bord d’une rivière.
Nous partons demain et mon compagnon est aussi impatient que moi de s’assoir sur ma souche où, en se serrant bien, nous pourrions même être trois.
J'étais bêtement avec mes parents en vacances, alors que j'étais encore gamin et innocent. Enfin gamin, peut-être pas car j'avais malgré tout atteint le fameux âge de 18 ans mais innocent cela ne fait pas l'ombre d'un doute, je l'étais vraiment. J'ai une excuse qui vaut ce qu'elle vaut, j'avais une mère adorable mais possessive à l'extrême, non seulement il ne fallait pas me toucher mais dire du mal était déjà un crime de lèse-majesté. Il faut dire que ma maman - à mon âge, je me dois de dire ma mère - avait plus de 40 ans lors de ma naissance et mon père avait deux ans de plus ; pour eux j'étais un petit miracle !
J'avais un jour exprimé le désir de visiter l'Afrique noire et dans mon idée j'aurais dû partir seul mais quelques semaines plus tard, mes parents m'annonçaient fièrement qu'ils avaient trouvé un voyage organisé pour un petit groupe au Mali. Mon intention de partir seul s'évanouissait mais je n'avais pas le cœur de les décevoir même si j'avais tenté de faire valoir que ce déplacement risquait d'être trop fatiguant pour eux. Il faut dire que ma propre jeunesse les avait contraints à cultiver leur forme physique de sorte que, au cours des voyages qu'ils avaient organisés j'étais souvent plus fatigué qu'eux !
Le programme prévoyait une expédition dans la brousse avec une arrivée au bord d'un fleuve assez impressionnant et où nous passerions trois nuits dans des huttes, certes relativement confortables, il ne faut quand même pas exagérer ! Mais grave imprévu, les huttes ne disposaient que de deux lits et malgré l'insistance de ma mère, elle dû admettre que je dispose d'une hutte pour moi tout seul. Comme ils se couchent tôt, je dus promettre que je ne ferais pas de bêtises et surtout que je me coucherais au plus tard à… (je préfère ne pas vous le dévoiler afin que vous n'éclatiez pas de rire !).
La nuit africaine est assez impressionnante, par la nuit qui y règne, par le bruit de tous les animaux nocturnes et souvent, par des ombres qui me paraissaient inquiétantes pour quelqu'un d'inexpérimenté comme moi ! Malgré tout, je quittais le camp pour touristes, bien civilisé tout en prenant garde de toujours avoir une lumière visible au loin... enfin, pas trop loin.
J'étais au bord du fleuve et je me pris à rêver, assis sur une grosse souche en ayant les deux pieds dans l'eau pour les reposer. Sans y prendre garde j'avais ma main dans mon pantalon et j'appuyais délicatement sur mon sexe, non bandé, mais je me sentais bien, d'être seul.
C'est alors que je vis une ombre et surtout une voix grave me dire
- Hum ! beau garçon, il vaudrait mieux que tu sortes tes pieds de l'eau si tu veux les conserver car il peut y avoir des amateurs de pieds blancs !
Inutile de dire que j'obéis instantanément mais simultanément je levais les yeux, sans crainte car la voix n'était absolument pas menaçante, et à ma stupéfaction je vis un jeune Noir qui me regardait avec un superbe sourire. Ma stupéfaction ne provenait pas tant de sa présence mais du fait qu'il était entièrement nu, que malgré mon ignorance des corps humains, habillés ou non, je le trouvais vraiment beau.
- Tu permets que je m'assieds à côté de toi, je n'ai pas souvent l'occasion de parler avec un jeune étranger comme toi ?
Et sans attendre mon accord il prit place sur ma souche qui convenait pour une personne, pour deux si l'on ne craint pas la promiscuité des corps. Dans ma tête c'était le carnaval, tout tournait je ne savais plus ce que je faisais là avec un inconnu dont je remarquais le sexe non pas en érection mais malgré tout clairement visible. Dans mon bas-ventre, c'était également l'agitation et à ma confusion je sentais mon pénis grandir et prendre de plus en plus de place. Je sentais sa jambe nue contre ma propre jambe et ce contact me troublait en même temps que je l'appréciais
- Je m'appelle Kwamé, cela veut dire samedi dans ma langue, j'ai une vingtaine d'années et c'est la première fois que j'ai l'occasion de sentir à mes côté un jeune blanc si près de moi car j'habite loin dans la forêt. Je te trouve beau avec ta peau pâle qui a l'air si douce
Et ce disant il passa sa main sur ma joue et je sentis qu'il ressentait une certaine émotion à ce contact inconnu pour lui. À un moment donné, sa main caressait très doucement ma lèvre inférieure laquelle était, me semble-t-il, légèrement humide. Très superficiellement un de ses doigts pénétra légèrement jusqu'à mes dents que je gardais fermées. Il me prit une main qu'il porta avec beaucoup de délicatesse à sa propre figure et je me mis, sans vraiment m'en rendre compte, à découvrir son visage. Nos deux corps étaient proches l'un de l'autre et je voyais grâce aux lumières du village sa silhouette d'une évidente élégance. Sans le savoir, j'avais mis ma main sur la sienne qui reposait entre nous et c'est à ce moment que les lumières s'éteignirent. Immédiatement je paniquais, il posa ses bras sur mes épaules et me rassura en me disant que c'était pour économiser le courant et que bien sûr il me reconduirait jusqu'à ma hutte.
Je savais quand même ce qu'un homme peut faire avec une femme, je savais également ce que deux hommes peuvent faire ensemble et j'y pensais exactement à ce moment. J'avais peur et j'étais en même temps excité, mais je lui demandais de me raccompagner ce qu'il accepta immédiatement. Mais avant de se lever, il prit juste ma main et me fit effleurer son sexe alors qu'il en fit de même par-dessus mon pantalon de toile. Cinq minutes plus tard, j'étais chez moi et je le vis s'éloigner d'une marche féline après qu'il m'eut murmuré
- À demain soir beau petit Blanc, à le même heure et au même endroit, je serai là
Je dormis comme un loir ce qui ne m'empêcha pas de penser à mon aventure et je me surprenais de mon audace, de n'avoir pas immédiatement fait demi-tour lorsqu'il m'avait surpris alors que je m'apprêtais à me donner un certain plaisir. D'habitude, ce moment se passait dans ma chambre, où j'étais certain de ne pas être dérangé car mes parents ne montaient jamais jusqu'à mon étage. Et là, dans cette semi-obscurité de la jungle, je sentais qu'une certaine volupté était en train de m'envahir lorsque cet homme surgit sans que je l'aie entendu s'approcher. Curieusement, j'étais certes troublé à la vue de ce corps nu, mais je n'ai pas ressenti la moindre peur, éventuellement de la gêne devant ce corps que, malgré mon ignorance totale, je trouvais franchement beau Dans un premier temps, c'était un sentiment abstrait, comme devant un beau tableau. Mais très vite, mon regard s'est focalisé sur un sexe comme je n'en avais jamais vu, c'était véritablement le premier que je voyais, là à proximité immédiate de moi et d'emblée j'ai eu la tentation de le saisir, ce que bien entendu je ne fis pas. Il faut dire qu'il émergeait d’une légère toison très distinguée comme si elle avait été taillée. Je remarquais également que ce sexe était dans un léger état d’excitation de sorte que cette proéminence, loin de me faire peur s’érigeait comme une incitation à… À ce moment précis je me suis souvenu des images érotiques dans une revue qu’un jour j’avais osé acquérir dans un kiosque.
Après le repas du soir, mes parents fatigués de notre journée, me confièrent à un jeune couple dont le premier soin fut de me dire que j’étais assez grand pour me débrouiller tout seul. Je me mis lentement en marche mais à la différence de hier soir où j’errais sans véritable but sinon de voir la rivière, cette fois je savais où je voulais aller, tout mon corps le savait : je sentais une érection bien visible dans mon léger bermuda en toile et cela ne me gênais pas. J’étais sur le point de retrouver ma souche de la veille lorsque je me sentis saisis par des bras musclés qui me plaquèrent contre une large poitrine pendant qu’une bouche me murmurait à l’oreille
- Bienvenue mon petit Blanc à moi, n’aie pas peur, je vais traverser la rivière, nous serons plus tranquilles sur l’autre rive.
Je me laissais aller dans ses bras, je sentais quelque chose de dur contre mes cuisses mais je n’y fis pas particulièrement attention par contre je pris conscience que mon bas-ventre s’écrasait contre son corps ce qui me mis un peu mal à l’aise. Le courant était assez violent mais pas suffisamment pour déséquilibrer mon porteur. Pour ne pas risquer de lui échapper, j’avais passé mes bras autour de son cou et j’étais véritablement collé à lui.
Sur la rive, il me déposa précautionneusement sur le sol tout en m’embrassant dans le creux de mon épaule. Vu sa taille, il avait dû se pencher ce qui me permis de voir deux fesses superbes que je devinais divinement ferme [je bénis l’achat de ma revue érotique]. Nous étions l’un contre l’autre, lui nu bien évidemment, et moi ma chemisette trainait sur le sol. Il ne m’embrassait plus mais me serrait fortement contre lui et je sentais ses vastes mains qui se promenaient sur mon dos jusqu’à la lisière de l’élastique de mon boxer. Le premier bouton de ma culotte était ouvert, ses mains pénétraient de plus en plus vers mes fesses. Par-dessus le fin tissu de mon sous-vêtement, ses mains se faisaient plus hardies, survolant avec insistance ma raie. Il se détacha quelque peu de moi
- Petit Blanc, s’il te plait, enlève ton pantalon, j’aimerais te voir…
Je mourrais d’envie de m’exhiber devant lui, je m’exécutais sans hésiter mais je conservais mon sous-vêtement qui, s’il cachait le détail de mon anatomie laissait sans incertitude deviner l’état dans lequel se trouvait ce qu’on ne voyait pas. Mais Kwamé ne se contenta pas de ce qu’il devait deviner, il saisit le bord de mon boxer et avec une extrême douceur il descendit celui-ci jusqu’au moment fatidique où mon sexe jaillit brusquement en claquant contre mon ventre, un sexe tendu au maximum et qui mouillait largement.
Mes mains avaient largement pris possession de ce corps qui, je le sentais, se donnait sans réserve. J’avais exploré ses fesses, sentis les volutes de la rondelle de son petit cul, soupesé avec encore une certaine timidité ses deux testicules que je sentais bien pleins avant qu’il ne me mette une main directement dans ce sanctuaire. Je jubilais, je ne savais plus très bien où j’en étais, je sentais son odeur âcre qui s’épanchait au gré de sa propre excitation. Mon corps n’avait plus de zones vierges à l’exception de l’entrée de mon petit cul. Nos mains étaient poisseuses de nos sécrétions réciproques. Je sentais une montée irrésistible de ma semence que je ne parvenais que difficilement à contrôler alors que je voyais les contractions de plus en plus nombreuses et violentes qui agitaient le sexe de mon partenaire. Subitement je vis son corps se crisper, son visage se déformer et, en même temps qu’il poussait une série de grands cris, des jets de sperme jaillir de son pénis se répondant sur nos deux corps. Quelques secondes plus tard, je ressentais la violence de mon éjaculation sur ses mains qui ne me lâchaient plus depuis un bon moment.
- Petit Blanc adoré, jamais je n’ai éprouvé une telle jouissance qu’avec toi, c’était tout simplement extraordinaire
- Mon grand Noir, c’était ma première expérience avec un homme et ça, je sens que je m’en souviendrai toujours
Comme la veille, il me ramena jusqu’au village, toutes lumières éteintes. Avant de nous séparer, nous avons convenu de nous retrouver pour le dernier soir avant la poursuite de notre voyage.
Avant de m’endormir après une bonne douche bien nécessaire, j’eu encore l’intuition que demain nous franchirions un pas supplémentaire dans la découverte de nos corps, enfin de mon corps car je n’étais pas à ce point naïf pour imaginer qu’il était comme moi puceau. Bien au contraire, sa gestuelle, ses paroles, sa douceur extrême témoignaient d’une grande expérience, d’une grande habileté et d’un grand pouvoir charmeur. Peut-être, cette fois, avait-il été pris à son propre jeu, pour mon plus grand bonheur je dois le dire.
Notre troisième et dernière soirée ne se déroula absolument pas comme prévu : il n’y eu tout simplement pas de troisième soirée ! En l’honneur de la quinzaine de touristes qui se trouvait là, le chef du village avait organisé une soirée festive et mes parents exigèrent que je sois présent, c’était une question, disaient-ils, de politesse et que c’était une occasion de me sortir de ma solitude. S’ils savaient !
Je dois dire que la soirée était sympathique avec un repas de cuisine locale, des danses vraiment authentiques mais évidemment il me manquait quelque chose ou plus tôt, quelqu'un.
À la fin de la soirée alors que tout le village était plongé dans l’obscurité, peu avant minuit, je sortis en espérant que Kwamé m’attendrait peut-être. Je n’avais parcouru que quelques mètres que je fus soulevé par des bras vigoureux, qu’une main habile plongeait dans mon slip, je n’avais même pas mis un pantalon, et exerçait de vigoureux va-et-vient sur mon sexe pendant que l’autre fouillait dans ma raie. J’avais son sexe chaud et tendu au maximum dans ma main mouillée par son abondant precum...
Quelques instants plus tard, il m’avait posé à terre en me disant qu’il devait impérativement être rentré chez lui, de l’autre côté de la rivière. La dernière vision que j’eu de lui, c’était sa merveilleuse paire de fesses.
Le lendemain, alors que notre tout-terrain venait de quitter le village il y avait quelques instants, je le vis appuyé contre une arbre, totalement nu et le sexe érigé à la verticale, qui nous faisait des signes d’adieu mais je savais que ce geste n’était destiné qu’à moi.
Le dernier mot revint à ma mère qui voyant cet homme nu déclara
- Il n’y a pas à dire, ces Noirs ont des corps splendides !
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Nous partons demain et mon compagnon est aussi impatient que moi de s’assoir sur ma souche où, en se serrant bien, nous pourrions même être trois.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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