10-11-2024, 11:43 PM
Gilgamesh (06/2) : Ourouk
Et puis un jour nous arrivâmes en vue des murs d’Ourouk. Je dépêchai des émissaires pour annoncer ma venue et ce fut au son des tambours et des trompettes que je fis accoster mes navires. Plus de dix mille personnes s’étaient rassemblées pour m’accueillir, clamant mon nom de naissance. A ma descente, je baisai la terre de mes ancêtres puis, me relevant, je fus accueilli par ma mère, la belle Ninsoun. Elle m’observa longuement, jaugeant ma taille, ma puissance et ma virilité. Puis, elle me tendit la main et m’invita à la suivre au temple d’An afin de lui rendre grâce.
Cette journée restera gravée en moi. Après avoir quitté le temple d’An, j’appris la mort du roi Dumuzi, celui qui avait pris la place de mon père après sa mort, celui par la faute de qui j’avais du quitté Ourouk. Plus rien ne s’opposait maintenant à mon retour. Ma mère m’accompagna ensuite au temple d’Enmerkar ou m’attendait la prêtresse Inanna. A sa vue, ma gorge se serra et ma respiration s’accéléra. Je l’avais connu à l’âge où la fillette disparaissait, laissant place à une jeune femme désirable. Mais à présent sa féminité semblait rayonner dans tout Ourouk et le regard qu’elle posa sur moi, à la fois impudique et lubrique enflamma mon désir. Sa peau dorée, sa poitrine ferme et haute, ses longs cheveux bruns – tout en elle évoquait la femme fière et maîtresse qu’elle était devenue.
— Le roi Dumuzi nous a quittés. Il a rejoint les Dieux. Ô toi, fils de Lugalbanda es-tu prêt à accepter la requête de la déesse qui t’offre le trône.
Je m’attendais à sa requête. J’avais quitté Kish pour Ourouk avec cet espoir. Mais l’entendre ainsi formulée me fis comprendre à quel point je l’avais désiré.
— Je m’y emploierai, répondis-je fièrement.
Et bien que je sache mon accession au trône fomenté par Agga et la déesse elle-même, il m’appartiendrait de leur montrer ma détermination et de leur faire comprendre qui était le roi.
Je fus alors conduit dans une salle attenante et apprêté pour mon couronnement. De jeunes prêtresses baignèrent mon corps, le débarrassant de ses moindres impuretés. Leurs doigts s’insinuèrent en moi, je les sentis glisser entre mes cuisses puis s’insinuer dans mon fondement afin de me purifier. Je me laissai faire, prenant malgré moi plaisir à la caresse ; plaisir qui fit bientôt s’ériger ma virilité sous le regard ébahi des jeunes filles. On m’enduisit d’huiles parfumées et l’on m’habilla d’atours royaux avant de m’emmener rejoindre Inanna qui me couronna et me donna mon nom. Mon vrai nom. Celui sous lequel vous me connaissez maintenant.
— Gilgamesh, dit-elle. Tu es Gilgamesh, prince d’Ourouk.
Alors le peuple s’enflamma et mon nouveau nom, mon vrai nom résonna dans toute la cité : Gilgamesh ! Gilgamesh ! Gilgamesh !
La nuit qui suivit mon couronnement, le chambellan des concubines royales me demanda si je désirai de la compagnie pour la nuit. J’acceptai avec entrain et il m’en fournit autant que je pus en consommer. Je leur consacrai à toutes du temps et de la semence avant que la suivante ne prenne la relève. Mais seule une femme aurait pu assouvir mon désir, celle qui venait de me couronner. Mais pour pouvoir la posséder, j’allais devoir attendre le rituel du Nouvel An, celui du Mariage Sacré.
Au matin, je ne me sentais toujours pas fatigué, ni rassasié, et je décidai d’aller à la rencontre de mes soldats. La cours dans laquelle ils s’entrainaient était large et recouverte d’un sable blanc et fin. Je les observai un moment et bien qu’ils fussent solidement bâtis, je les jugeai insuffisamment entrainés et disciplinés. Je pris une lance et décidai de les défier.
— Vous ! les interpelai-je. Vous qui êtes le courage et la puissance d’Ourouk !
Interdits, ils se retournèrent vers moi, et le plus puissant d’entre eux s’approcha. Je ne portais qu’un simple pagne et aucun de mes royales atours.
— Qui es-tu ? me dit l’homme en me toisant.
Il était aussi grand que moi et possédait une chevelure dense et courte ainsi qu’une barbe fournie. Avoisinant la trentaine, son corps à la peau dorée possédait une puissante musculature, probablement aussi développée que la mienne ; et sa simple jupe de lin blanc tranchait avec sa pilosité dense et brune.
Il ne m’avait apparemment pas reconnu et un sourire carnassier se dessina sur mes lèvres.
— A qui ai-je l’honneur ? le contrai-je.
— Je suis Samium, commandant de cette escadre. Et toi qui es-tu, répond à la question !
— Je suis Gilgamesh, lui répondis-je, je suis ton prince et bientôt ton roi !
L’homme ricana et me toisant de la tête aux pieds.
— Gilgamesh, dis-tu. Tu ne me parais pas très royal.
Ses camarades ricanèrent à leur tour mais j’ignorai l’affront et me plantai face à lui.
— Je te lance un défi Samium, dis-je à voix haute et claire. Battons-nous que je sache ce que valent les hommes d’Ourouk.
— Me battre contre toi, celui qui se fait passer pour Gilgamesh, mais pourquoi te ferais-je un si grand honneur.
— Aurais-tu peur Samium ? Craindrais-tu de perdre devant tes hommes.
Une étincelle de colère passa dans son regard. J’avais touché son amour propre et il comptait bien me le faire payer. Il saisit sa lance et se jeta sur moi. J’esquivai et lui écrasai le pied. Emporté par son élan il trébucha et s’étala sur le sol sableux. Prestement, il se releva et m’observa avec plus d’attention. Je venais de le mettre en échec devant ses hommes et il semblait maintenant vouloir faire montre de plus de prudence. Il se mit à me tourner autour, feintant d’un côté puis de l’autre, attaquant rapidement avant de se retirer. Sans effort, je parai certains coups et en esquivai d’autres. Je restai concentré, scrutant chacun de ses mouvements et, profitant d’un geste plus lent, je parvins à me saisir de sa lance et à la lui arracher des mains. Je la mis contre la mienne et brisai net les deux manches que je tenais parallèles. Puis, aussi vif que l’éclair, propulsé par le dieu qui m’habitait, je me débarrassai des débris inutiles et je me ruai sur mon adversaire. C’était à présent à moi de lui montrer comment je me battais. Je le percutai en pleine poitrine, lui coupant le souffle. Il vacilla mais ne céda pas bien que je vis ses yeux s’emplir de larmes. Je pivotai pour me placer derrière lui et d’un violent coup de pied derrière les jambes je le fis tomber à genoux. Il resta ainsi prostré, essayant de recouvrer son souffle alors que ses hommes nous regardaient éberlués. Alors ils réalisèrent que j’étais réellement celui que je prétendais être et se prosternèrent devant moi.
— Je suis Gilgamesh ! tonnai-je. Quelqu’un d’autre souhaite-t-il me tester !
Personne ne répondit. Prosternés, ils fixaient le sol devant eux, incapables de croiser mon regard.
— Vous ! Hommes d’Ourouk ! Je vais vous accorder un peu de ma force et de ma puissance ! Vous qui êtes ceux qui nous défendez, préparez-vous à m’accueillir en vous !
Je saisis Samium par les cheveux et le trainai jusqu’au bloc de pierre blanche qui occupait le centre de la cour. Je lui plaquais le torse contre la roche froide et rude et, tout en le maintenant d’une main dans le dos je lui arrachai sa jupe de mon autre main. Ses fesses m’apparurent, musclées et velues comme le reste de son corps. Sans attendre, je retirai rapidement mon pagne et, saisissant ma virilité à pleine main, je l’enfonçais dans le fondement du commandant d’escadre. Son dos s’arqua et ses abdominaux de contractèrent violemment alors que je forçais son anus inviolé. Il hurla de douleur et tenta de me repousser mais j’étais plus fort que lui. Je me mis à coulisser en lui, violemment, puissamment. Je me devais de lui transmettre ma force et ma puissance afin qu’il défende Ourouk. Ses hommes nous regardaient, fascinés et horrifiés car ils savaient leur tour proche. Je m’occupai de Samium pendant près d’une demi-heure et lorsque je me fus répandu en lui, il s’effondra sur le sol, tremblant d’épuisement. Je retournai alors vers le reste des hommes, mon sexe dressé devant moi, luisant de semence. Je me saisis de celui qui me sembla le plus jeune. Damik, me dit-il lorsque je lui eus demandé son nom. Ses muscles étaient moins développés que ceux de Samium et sa peau aussi lisse que celle d’une jeune vierge. Je le mis en position, flattai un moment ses fesses fermes et musclées puis, saisissant ses hanches étroites, je m’introduisis en lui. Il cria comme son supérieur mais se mit bien vite à gémir sous mes assauts. Il endura l’outrage avec bravoure et se tint bravement debout lorsque je lui eus transmis ma force. Les hommes se succédèrent sur la pierre. Certains, courageux tinrent bon, alors que d’autres, terrifiés, s’effondraient en pleurant.
Ils étaient nombreux et le soleil avait depuis quelque temps déjà dépassé son zénith lorsque je fécondai le dernier. Je les regardai. Tête basse, ils fixaient le sol, humiliés. Certains reniflaient encore, essuyant leurs dernières larmes. D’autres essayaient de cacher leur érection, honteux de l’excitation que leur procurait la situation.
— Soyez fiers hommes d’Ourouk ! leur dis-je. Soyez fiers car vous êtes maintenant bénis ! Vous êtes ceux que j’ai choisis pour m’accompagner. Vous qui constituez ma nouvelle garde personnelle. (Je pris Samium dans mes bras et l’embrassai à pleine bouche.) Tu es mon garde personnel maintenant, sois en fier !
Il releva la tête et un sourire illumina son visage.
— Gilgamesh ! s’écria-t-il. Gilgamesh !
Et à leur tour ses hommes crièrent mon nom, le nom de leur roi, le nom de leur Dieu.
Et puis un jour nous arrivâmes en vue des murs d’Ourouk. Je dépêchai des émissaires pour annoncer ma venue et ce fut au son des tambours et des trompettes que je fis accoster mes navires. Plus de dix mille personnes s’étaient rassemblées pour m’accueillir, clamant mon nom de naissance. A ma descente, je baisai la terre de mes ancêtres puis, me relevant, je fus accueilli par ma mère, la belle Ninsoun. Elle m’observa longuement, jaugeant ma taille, ma puissance et ma virilité. Puis, elle me tendit la main et m’invita à la suivre au temple d’An afin de lui rendre grâce.
Cette journée restera gravée en moi. Après avoir quitté le temple d’An, j’appris la mort du roi Dumuzi, celui qui avait pris la place de mon père après sa mort, celui par la faute de qui j’avais du quitté Ourouk. Plus rien ne s’opposait maintenant à mon retour. Ma mère m’accompagna ensuite au temple d’Enmerkar ou m’attendait la prêtresse Inanna. A sa vue, ma gorge se serra et ma respiration s’accéléra. Je l’avais connu à l’âge où la fillette disparaissait, laissant place à une jeune femme désirable. Mais à présent sa féminité semblait rayonner dans tout Ourouk et le regard qu’elle posa sur moi, à la fois impudique et lubrique enflamma mon désir. Sa peau dorée, sa poitrine ferme et haute, ses longs cheveux bruns – tout en elle évoquait la femme fière et maîtresse qu’elle était devenue.
— Le roi Dumuzi nous a quittés. Il a rejoint les Dieux. Ô toi, fils de Lugalbanda es-tu prêt à accepter la requête de la déesse qui t’offre le trône.
Je m’attendais à sa requête. J’avais quitté Kish pour Ourouk avec cet espoir. Mais l’entendre ainsi formulée me fis comprendre à quel point je l’avais désiré.
— Je m’y emploierai, répondis-je fièrement.
Et bien que je sache mon accession au trône fomenté par Agga et la déesse elle-même, il m’appartiendrait de leur montrer ma détermination et de leur faire comprendre qui était le roi.
Je fus alors conduit dans une salle attenante et apprêté pour mon couronnement. De jeunes prêtresses baignèrent mon corps, le débarrassant de ses moindres impuretés. Leurs doigts s’insinuèrent en moi, je les sentis glisser entre mes cuisses puis s’insinuer dans mon fondement afin de me purifier. Je me laissai faire, prenant malgré moi plaisir à la caresse ; plaisir qui fit bientôt s’ériger ma virilité sous le regard ébahi des jeunes filles. On m’enduisit d’huiles parfumées et l’on m’habilla d’atours royaux avant de m’emmener rejoindre Inanna qui me couronna et me donna mon nom. Mon vrai nom. Celui sous lequel vous me connaissez maintenant.
— Gilgamesh, dit-elle. Tu es Gilgamesh, prince d’Ourouk.
Alors le peuple s’enflamma et mon nouveau nom, mon vrai nom résonna dans toute la cité : Gilgamesh ! Gilgamesh ! Gilgamesh !
La nuit qui suivit mon couronnement, le chambellan des concubines royales me demanda si je désirai de la compagnie pour la nuit. J’acceptai avec entrain et il m’en fournit autant que je pus en consommer. Je leur consacrai à toutes du temps et de la semence avant que la suivante ne prenne la relève. Mais seule une femme aurait pu assouvir mon désir, celle qui venait de me couronner. Mais pour pouvoir la posséder, j’allais devoir attendre le rituel du Nouvel An, celui du Mariage Sacré.
Au matin, je ne me sentais toujours pas fatigué, ni rassasié, et je décidai d’aller à la rencontre de mes soldats. La cours dans laquelle ils s’entrainaient était large et recouverte d’un sable blanc et fin. Je les observai un moment et bien qu’ils fussent solidement bâtis, je les jugeai insuffisamment entrainés et disciplinés. Je pris une lance et décidai de les défier.
— Vous ! les interpelai-je. Vous qui êtes le courage et la puissance d’Ourouk !
Interdits, ils se retournèrent vers moi, et le plus puissant d’entre eux s’approcha. Je ne portais qu’un simple pagne et aucun de mes royales atours.
— Qui es-tu ? me dit l’homme en me toisant.
Il était aussi grand que moi et possédait une chevelure dense et courte ainsi qu’une barbe fournie. Avoisinant la trentaine, son corps à la peau dorée possédait une puissante musculature, probablement aussi développée que la mienne ; et sa simple jupe de lin blanc tranchait avec sa pilosité dense et brune.
Il ne m’avait apparemment pas reconnu et un sourire carnassier se dessina sur mes lèvres.
— A qui ai-je l’honneur ? le contrai-je.
— Je suis Samium, commandant de cette escadre. Et toi qui es-tu, répond à la question !
— Je suis Gilgamesh, lui répondis-je, je suis ton prince et bientôt ton roi !
L’homme ricana et me toisant de la tête aux pieds.
— Gilgamesh, dis-tu. Tu ne me parais pas très royal.
Ses camarades ricanèrent à leur tour mais j’ignorai l’affront et me plantai face à lui.
— Je te lance un défi Samium, dis-je à voix haute et claire. Battons-nous que je sache ce que valent les hommes d’Ourouk.
— Me battre contre toi, celui qui se fait passer pour Gilgamesh, mais pourquoi te ferais-je un si grand honneur.
— Aurais-tu peur Samium ? Craindrais-tu de perdre devant tes hommes.
Une étincelle de colère passa dans son regard. J’avais touché son amour propre et il comptait bien me le faire payer. Il saisit sa lance et se jeta sur moi. J’esquivai et lui écrasai le pied. Emporté par son élan il trébucha et s’étala sur le sol sableux. Prestement, il se releva et m’observa avec plus d’attention. Je venais de le mettre en échec devant ses hommes et il semblait maintenant vouloir faire montre de plus de prudence. Il se mit à me tourner autour, feintant d’un côté puis de l’autre, attaquant rapidement avant de se retirer. Sans effort, je parai certains coups et en esquivai d’autres. Je restai concentré, scrutant chacun de ses mouvements et, profitant d’un geste plus lent, je parvins à me saisir de sa lance et à la lui arracher des mains. Je la mis contre la mienne et brisai net les deux manches que je tenais parallèles. Puis, aussi vif que l’éclair, propulsé par le dieu qui m’habitait, je me débarrassai des débris inutiles et je me ruai sur mon adversaire. C’était à présent à moi de lui montrer comment je me battais. Je le percutai en pleine poitrine, lui coupant le souffle. Il vacilla mais ne céda pas bien que je vis ses yeux s’emplir de larmes. Je pivotai pour me placer derrière lui et d’un violent coup de pied derrière les jambes je le fis tomber à genoux. Il resta ainsi prostré, essayant de recouvrer son souffle alors que ses hommes nous regardaient éberlués. Alors ils réalisèrent que j’étais réellement celui que je prétendais être et se prosternèrent devant moi.
— Je suis Gilgamesh ! tonnai-je. Quelqu’un d’autre souhaite-t-il me tester !
Personne ne répondit. Prosternés, ils fixaient le sol devant eux, incapables de croiser mon regard.
— Vous ! Hommes d’Ourouk ! Je vais vous accorder un peu de ma force et de ma puissance ! Vous qui êtes ceux qui nous défendez, préparez-vous à m’accueillir en vous !
Je saisis Samium par les cheveux et le trainai jusqu’au bloc de pierre blanche qui occupait le centre de la cour. Je lui plaquais le torse contre la roche froide et rude et, tout en le maintenant d’une main dans le dos je lui arrachai sa jupe de mon autre main. Ses fesses m’apparurent, musclées et velues comme le reste de son corps. Sans attendre, je retirai rapidement mon pagne et, saisissant ma virilité à pleine main, je l’enfonçais dans le fondement du commandant d’escadre. Son dos s’arqua et ses abdominaux de contractèrent violemment alors que je forçais son anus inviolé. Il hurla de douleur et tenta de me repousser mais j’étais plus fort que lui. Je me mis à coulisser en lui, violemment, puissamment. Je me devais de lui transmettre ma force et ma puissance afin qu’il défende Ourouk. Ses hommes nous regardaient, fascinés et horrifiés car ils savaient leur tour proche. Je m’occupai de Samium pendant près d’une demi-heure et lorsque je me fus répandu en lui, il s’effondra sur le sol, tremblant d’épuisement. Je retournai alors vers le reste des hommes, mon sexe dressé devant moi, luisant de semence. Je me saisis de celui qui me sembla le plus jeune. Damik, me dit-il lorsque je lui eus demandé son nom. Ses muscles étaient moins développés que ceux de Samium et sa peau aussi lisse que celle d’une jeune vierge. Je le mis en position, flattai un moment ses fesses fermes et musclées puis, saisissant ses hanches étroites, je m’introduisis en lui. Il cria comme son supérieur mais se mit bien vite à gémir sous mes assauts. Il endura l’outrage avec bravoure et se tint bravement debout lorsque je lui eus transmis ma force. Les hommes se succédèrent sur la pierre. Certains, courageux tinrent bon, alors que d’autres, terrifiés, s’effondraient en pleurant.
Ils étaient nombreux et le soleil avait depuis quelque temps déjà dépassé son zénith lorsque je fécondai le dernier. Je les regardai. Tête basse, ils fixaient le sol, humiliés. Certains reniflaient encore, essuyant leurs dernières larmes. D’autres essayaient de cacher leur érection, honteux de l’excitation que leur procurait la situation.
— Soyez fiers hommes d’Ourouk ! leur dis-je. Soyez fiers car vous êtes maintenant bénis ! Vous êtes ceux que j’ai choisis pour m’accompagner. Vous qui constituez ma nouvelle garde personnelle. (Je pris Samium dans mes bras et l’embrassai à pleine bouche.) Tu es mon garde personnel maintenant, sois en fier !
Il releva la tête et un sourire illumina son visage.
— Gilgamesh ! s’écria-t-il. Gilgamesh !
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