23-10-2024, 10:17 AM
(Modification du message : 23-10-2024, 10:32 AM par fablelionsilencieux.)
Gilgamesh (05) : Humiliation
Ma vie à Kish se poursuivit quelques temps encore. Je m’acquittai de mes devoirs envers mon peuple d’adoption le jour et étanchait mon insatiable désirs la nuit. Naram et son fils étaient maintenant installés dans la pièce sécurisée par Enkihegal et Emisum. Je revoyais de temps en temps le jeune forgeron dont j’avais entrepris l’éducation. En quelques mois il avait encore grandi et sa virilité dépassait maintenant celle de son père.
Je n’avais pas oublié le plaisir que j’avais ressenti à soumettre le forgeron, ni mon désir de vengeance pour ce qu’il m’avait fait subir quelques années auparavant. Je le convoquai donc un jour sous prétexte de lui confier une nouvelle tâche. Il arriva alors que le soleil commençait à monter dans le ciel et me trouva seul, dans la pièce qui servait de cellule à mes prisonniers Elamites.
— Mon prince, me dit-il, vous m’avez fait appeler.
— Oui, Enkihegal, j’aurai besoin de tes services pour un nouveau projet. Approche.
Il se rapprocha de moi et je lui montrai l’objet sur lequel je souhaitai qu’il travaillât. Il s’agissait d’une solide table de bois brute. Le plateau épais et lisse avait été largement entaillé sur une de ses largeurs et des calles avaient été solidement fixées des deux côtés de l’encoche.
— Cette table, vois-tu, doit servir à aider les femmes dans les douleurs de l’enfantement.
Sa femme étant morte en couche lors de la naissance d’Emisum, je le savais sensible à ce propos.
— Vois-tu, lorsque la douleur dépasse leur tolérance, certaines mères doivent être attachées et je souhaiterai que tu œuvres sur cette table d’enfantement afin d’y ajouter un mécanisme, simple et résistant, qui permettrait de maintenir fermement les poignets et les cheville de la future mère.
Je lui indiquai la position que devrait avoir la femme, couchée sur le dos, les jambes posées sur les cale-pieds de chaque côté de l’encoche qui permettait à la sage-femme de s’approcher de son intimité pour l’aider dans sa tâche. Il réfléchit un moment.
— Je pense pouvoir le faire, mon prince. Je reviendrai demain avec mes outils et du métal.
— Ce sera parfait. Tu amèneras Emisum avec toi, j’aurai une tâche à lui confier.
Il opina puis je le congédiai et poursuivis la mise en place de mon plan.
Le lendemain les deux hommes arrivèrent de bonne heure, portant de lourds outils de forgeron. Je regardais Emisum un moment ; il avait grandi en taille et en muscles, et sa pilosité s’était développée sur sa poitrine. Je laissai Enkihegal œuvrer sur la table, comme prévu et emmenai son fils pour lui confier une autre tâche. Nous allâmes dans ma chambre non loin de là et lorsque nous entrâmes, il découvrit Naram à genou au centre de la pièce, nu, bâillonné, pieds et poings liés. Il eut un mouvement de recul mais je me tins fermement derrière lui et lui bloquai toute retraite. Paralysé, il regarda l’homme à genou devant lui, son dos plaqué contre ma poitrine et Naram le fixa avec horreur.
— Te souviens-tu de lui, Emisum ? Te souviens-tu de cet homme. De ce que tu lui as fait.
Il déglutit péniblement et je passai une main devant lui que je posais sur son ventre et descendit vers son entre-jambe. Là, je tombais sur une bosse volumineuse, symbole de son excitation.
— Oui, tu t’en souviens, lui susurrai-je à l’oreille ; bien sûr que tu t’en souviens.
— N… non, haleta-t-il.
Je défis son pagne qui tomba au sol et commençai à caresser son membre d’une main et son torse de l’autre. Sa virilité était énorme, encore plus grande que celle de son père maintenant. Naram écarquilla les yeux, horrifié d’avance.
— Approche le , va, repris-je d’une voix douce. Il t’attend, il n’a pas gouté à la chair d’un homme ou d’une femme depuis qu’il t’a reçu.
Et c’était vrai, je n’avais pas eu recours à ses services contrairement à ceux de son fils.
— Non, c’est… pas bien…
— Allez, va, l’encourageai-je en le poussant doucement.
Je le savais comme son père, incapable de résister à l’attrait que son membre exerçait sur lui. Comme un être dénué de raison, il approcha. Je me glissai derrière Naram et lui retirai son bâillon puis lui maintins la tête, bouche ouverte, afin qu’Emisum s’y installe. Le jeune homme pris la tête de l’Elamite à deux mains mais peina à entrer dans la cavité offerte tant il était gros. Naram salivait abondamment et le liquide s’écoulait de son menton. Ses joues étaient déformées par l’énorme mandrin qui essayait de se frayer un passage jusqu’à sa gorge et il déglutissait avec peine.
Emisum luttait, pestait de ne pouvoir s’introduire complètement ; alors il saisit Naram et le hissa sur mon lit, faisant dépasser sa tête du matelas et la pencha en arrière de manière à placer sa gorge dans l’axe de sa bouche, puis il présenta à nouveau sa chair à Naram. L’Elamite serrait de nouveau les dents et Emisum ne parvenait à forcer l’entrée bien qu’il poussa puissamment son épieu sur l’ivoire. Maintenant excité, le jeune forgeron ne pouvait plus attendre et gifla l’homme qui lui tenait tête jusqu’à ce que sonné, il relâche ses mâchoires et le laisse s’introduire en lui. Emisum posa alors les mains sur ses joues et continua d’introduire son mandrin qui força la gorge de Naram puis poursuivit son chemin.
J’observais la scène, médusé devant l’inventivité du jeune homme puis le laissais besogner l’Elamite pendant que je retournai voir son père.
— Et bien Enkihegal, les choses se passent-elles comme tu le souhaites, dis-je en entrant dans la pièce.
— Oui, mon prince me répondit-il, j’ai terminé. Mais où est Emisum ?
— Ne t’inquiète pas, il s’acquitte magnifiquement de la tâche que je lui ai confiée. Montre-moi ton travail forgeron.
Il m’expliqua le fonctionnement de l’ingénieux mécanisme qu’il avait créé afin de maintenir prisonniers, les pieds et les mains, de la personne sur la table mais je fis comme si son fonctionnement m’échappait.
— Montre-moi, veux-tu, je ne comprends pas bien les termes que tu emploies, lui dis-je.
Tout à son explication et fier de son travail, il s’approcha et s’allongea sur le dos sur le plateau de la table. Il tendit ses bras en arrière, posant ses poignets de chaque côté de sa tête puis positionna ses pieds sur les cales, jambes bien écartées. Des chaînes reliées à des anneaux de métal avaient été fixées à chaque coin de la table. Enkihegal m’expliqua leur fonctionnement. Les cercles étaient composés de deux parties, l’une coulissant sur l’autre et un mécanisme astucieux de loquet permettait de les lier solidement ensemble. Innocemment, et jouant les élèves attentifs, je fis coulisser les demi-cercles autour de son poignet droit puis actionnait le loquet jusqu’à entendre un cliquetis métallique qui m’indiqua que le dispositif s’était verrouillé. Très inventif et facile, en effet. Il me sourit, fier de son travail d’artisan et, lui rendant son sourire, je verrouillais le dispositif autour de son deuxième poignet. Son sourire s’évanouit tout à fait.
— Que… que faîtes-vous ? me dit-il, soudain inquiet.
Je me levai en silence et fit le tour de la table et lui attachait les chevilles aux deux autres anneaux.
— Non, mais arrêtez !, commença-t-il à crier.
Je me plaçais dans l’encoche entre ses jambes, plaçai mes mains sur ses cuisses et les fit glisser vers son intimité. Je posai un doigt à l’entrée de son fondement et le poussait à l’intérieur. Il cria.
— Te souviens-tu, Enkihegal, de ce que tu m’as fait subir sur l’hôtel du temple d’Enlil ?
Il serra les dents et ne répondit pas.
— Eh bien, ça n’était rien comparé à ce que je vais te faire subir.
J’agitai mon doigt en lui. Il était très serré, jamais rien n’avait dû le pénétré.
— Je… je … je n’avais pas le choix, haleta-t-il. (Il serra les dents un moment puis repris). Je devais le faire, par Enlil, je devais le faire même si je ne le voulais pas.
Un deuxième doigt rejoignit le premier, puis un troisième. Son corps se tendait sous l’effet de la douleur et je m’en délectais. De mon autre main, je défis son pagne et le lui retirai. Sa virilité pendait mollement entre ses jambes, mais elle commençait à gonfler malgré lui. Puis je finis de le préparer pour ce qui allait suivre. Je pris un bon morceau de graisse et m’en enduisis la main et son orifice serré. Je posais mon poing serré sur lui et poussait pour le faire entrer. Il hurla alors que mon bras s’enfonçait impitoyablement jusqu’au coude. Il tirait sur ses liens de toutes ses forces, ses muscles se tendaient et saillaient sous sa peau velue. Je me mis à tourner mon poing en lui, tout en entrant et sortant mon bras. Il transpirait abondamment, son corps luisait sous l’effort. Je lui fis subir ce traitement un moment puis, le jugeant prêt, je le bâillonnai et retournai voir Emisum.
Le jeune homme besognait toujours la bouche de Naram, l’obligeant à la prendre profondément dans sa gorge. L’Elamite salivait abondamment et des larmes lui coulaient des yeux. Je passais derrière Emisum et lui caressait le torse. Il ne réagit pas, tout à son plaisir. Je pris un morceau de tissu de lin et le lui nouai sur les yeux.
— Viens avec moi Emisum, lui dis-je.
Il eut du mal à abandonner la bouche accueillante de Naram, mais, à force de cajoleries, je parvins à l’attirer à ma suite. Je le tins par la main et il me suivit docilement jusqu’à la pièce où attendait son père, attaché et bâillonné. J’attirai le jeune forgeron vers la table et le fit mettre entre les jambes d’Enkihegal. L’homme écarquilla les yeux en voyant son fils et essaya de crier, mais le bâillon étouffa ses plaintes. Je me déshabillai puis me plaçais derrière Emisum, rendu docile par le plaisir, ma poitrine contre son dos, et saisis son énorme sexe dont je posais l’extrémité sur l’anneau graisseux et légèrement dilaté de son père. L’homme frissonna de terreur comme il sentit l’énorme masse toucher son intimité. Je posais les mains d’Emisum sur les hanches de l’homme que je lui offrais.
— Allez, pousse, Emisum, entre d’un coup sec.
Et c’est ce qu’il fit. Il s’accrocha aux hanches de son père et planta en lui un bon tiers de son chibre gonflé. Enkihegal était beau, la tête relevée, tous les muscles de son corps tendus, les yeux exorbités et pleins de larmes. Derrière Emisum, je posais le bout de ma virilité entre ses fesses charnues, pile sur son oeuillet, sans chercher à la faire entrer plus avant, puis je lui retirai son bandeau. Il découvrit son père, ivre de douleur, tendu à l’extrême, et recula d’horreur en voyant ce qu’il faisait, s’empalant directement sur mon épieu dressé. Il hurla de douleur comme je m’enfonçais profondément en lui et par pure réflexe se jeta en avant, pénétrant son père jusqu’à taper son bas ventre contre ses fesses. D’un brusque coup de rein je reconquérait l’intimité d’Emisum qui cria de plus belle et se cambra violemment. Il s’agrippait aux hanches de son père comme si sa vie en dépendait. Nous restâmes ainsi un moment, le fils regardant piteusement le père, le père horrifié par ce que lui faisait subir son fils. Je venais, en quelques minutes, de prendre la virginité de cette famille. Puis je commençai à bouger en Emisum et, le tenant par les hanches, je le faisais bouger au même rythme dans les d’entrailles d’Enkihegal. La pièce résonnait de leurs cris et de leurs larmes. Je pris le membre gonflé du forgeron et, appuyant fermement sur la tête de son fils, la fit entrer dans sa bouche. Il me résista un peu, mais quelques mouvements vigoureux de ma virilité lui firent ouvrir la bouche et il se mit à téter le bout rouge et chaud de son père.
Honte et plaisir se disputaient maintenant la place sur le visage du forgeron. Il haletait, ses yeux se révulsaient. Je lui retirai son bâillon pour mieux entendre ses cris rauques et ses gémissements plus aigus lorsque je brusquai Emisum en lui. Puis, brusquement, je le vis haleter plus fort et les muscles se contactèrent. Emisum le vit aussi et voulu recracher son membre qui commençait à palpiter. Mais je l’obligeai à le conserver en lui et il reçut toute la semence paternelle dans sa bouche. Je posai ma main sur sa gorge pour le sentir déglutir encore et encore, fournissant peine à tout avaler. L’épieux dressé d’Enkihegal finit de palpiter et se retira de lui-même, laissant je jeune homme hébété, la bouche ouverte, des filets gluants s’échappant des lèvres. Je posai alors mes mains sur les omoplates d’Emisum et le poussai violemment en avant, le couchant contre la poitrine dure de ton père, puis saisissant les hanches d’Enkihegal je me déchainai. Je les entendais grogner, crier, geindre parfois sous la violence de mes assauts répétés. Emisum avait placé sa tête au creux de l’épaule de son père et subissait bravement l’outrage. A un moment, je le sentis se raidir et ses entrailles se contractèrent autour de ma virilité alors qu’à son tour, il fécondait son père. Je croisai en fin le regard honteux d’Enkihegal, humilier de s’être fait posséder par un homme, de s’être fait pénétrer et féconder par son propre fils ; et s’en fut trop. Le plaisir monta d’un coup en moi, vertigineux, tel que je ne l’avais jamais connu. Je serrai les dents et dans un dernier mouvement, je me callai bien au fond d’Emisum où je me libérai. L’extase fut grandiose, plus que je ne l’aurai cru, m’inondant, me possédant totalement avant que je ne m’effondre sur mes deux amants.
Je ne tardai pas à reprendre mes esprits et je recommençai encore. Je les assaillis tout le jour et toute la nuit suivante et lorsqu’enfin, je les délivrai, je vis le fondement d’Enkihegal béer quand l’énorme virilité d’Emisum quitta son fourreau car les deux bougres, malgré leur honte, avaient également repris du plaisir. Je détachai le père épuisé qui parvint, je ne sais comment, à se relever et enfiler son pagne. Puis boitant, les jambes écartées et puant la semence, les deux hommes s’en allèrent sans un mot, la tête basse, les yeux pleins de larme, le père s’appuyant sur son fils. J’avais obtenu ma vengeance, je le savais… et beaucoup plus encore.
Ma vie à Kish se poursuivit quelques temps encore. Je m’acquittai de mes devoirs envers mon peuple d’adoption le jour et étanchait mon insatiable désirs la nuit. Naram et son fils étaient maintenant installés dans la pièce sécurisée par Enkihegal et Emisum. Je revoyais de temps en temps le jeune forgeron dont j’avais entrepris l’éducation. En quelques mois il avait encore grandi et sa virilité dépassait maintenant celle de son père.
Je n’avais pas oublié le plaisir que j’avais ressenti à soumettre le forgeron, ni mon désir de vengeance pour ce qu’il m’avait fait subir quelques années auparavant. Je le convoquai donc un jour sous prétexte de lui confier une nouvelle tâche. Il arriva alors que le soleil commençait à monter dans le ciel et me trouva seul, dans la pièce qui servait de cellule à mes prisonniers Elamites.
— Mon prince, me dit-il, vous m’avez fait appeler.
— Oui, Enkihegal, j’aurai besoin de tes services pour un nouveau projet. Approche.
Il se rapprocha de moi et je lui montrai l’objet sur lequel je souhaitai qu’il travaillât. Il s’agissait d’une solide table de bois brute. Le plateau épais et lisse avait été largement entaillé sur une de ses largeurs et des calles avaient été solidement fixées des deux côtés de l’encoche.
— Cette table, vois-tu, doit servir à aider les femmes dans les douleurs de l’enfantement.
Sa femme étant morte en couche lors de la naissance d’Emisum, je le savais sensible à ce propos.
— Vois-tu, lorsque la douleur dépasse leur tolérance, certaines mères doivent être attachées et je souhaiterai que tu œuvres sur cette table d’enfantement afin d’y ajouter un mécanisme, simple et résistant, qui permettrait de maintenir fermement les poignets et les cheville de la future mère.
Je lui indiquai la position que devrait avoir la femme, couchée sur le dos, les jambes posées sur les cale-pieds de chaque côté de l’encoche qui permettait à la sage-femme de s’approcher de son intimité pour l’aider dans sa tâche. Il réfléchit un moment.
— Je pense pouvoir le faire, mon prince. Je reviendrai demain avec mes outils et du métal.
— Ce sera parfait. Tu amèneras Emisum avec toi, j’aurai une tâche à lui confier.
Il opina puis je le congédiai et poursuivis la mise en place de mon plan.
Le lendemain les deux hommes arrivèrent de bonne heure, portant de lourds outils de forgeron. Je regardais Emisum un moment ; il avait grandi en taille et en muscles, et sa pilosité s’était développée sur sa poitrine. Je laissai Enkihegal œuvrer sur la table, comme prévu et emmenai son fils pour lui confier une autre tâche. Nous allâmes dans ma chambre non loin de là et lorsque nous entrâmes, il découvrit Naram à genou au centre de la pièce, nu, bâillonné, pieds et poings liés. Il eut un mouvement de recul mais je me tins fermement derrière lui et lui bloquai toute retraite. Paralysé, il regarda l’homme à genou devant lui, son dos plaqué contre ma poitrine et Naram le fixa avec horreur.
— Te souviens-tu de lui, Emisum ? Te souviens-tu de cet homme. De ce que tu lui as fait.
Il déglutit péniblement et je passai une main devant lui que je posais sur son ventre et descendit vers son entre-jambe. Là, je tombais sur une bosse volumineuse, symbole de son excitation.
— Oui, tu t’en souviens, lui susurrai-je à l’oreille ; bien sûr que tu t’en souviens.
— N… non, haleta-t-il.
Je défis son pagne qui tomba au sol et commençai à caresser son membre d’une main et son torse de l’autre. Sa virilité était énorme, encore plus grande que celle de son père maintenant. Naram écarquilla les yeux, horrifié d’avance.
— Approche le , va, repris-je d’une voix douce. Il t’attend, il n’a pas gouté à la chair d’un homme ou d’une femme depuis qu’il t’a reçu.
Et c’était vrai, je n’avais pas eu recours à ses services contrairement à ceux de son fils.
— Non, c’est… pas bien…
— Allez, va, l’encourageai-je en le poussant doucement.
Je le savais comme son père, incapable de résister à l’attrait que son membre exerçait sur lui. Comme un être dénué de raison, il approcha. Je me glissai derrière Naram et lui retirai son bâillon puis lui maintins la tête, bouche ouverte, afin qu’Emisum s’y installe. Le jeune homme pris la tête de l’Elamite à deux mains mais peina à entrer dans la cavité offerte tant il était gros. Naram salivait abondamment et le liquide s’écoulait de son menton. Ses joues étaient déformées par l’énorme mandrin qui essayait de se frayer un passage jusqu’à sa gorge et il déglutissait avec peine.
Emisum luttait, pestait de ne pouvoir s’introduire complètement ; alors il saisit Naram et le hissa sur mon lit, faisant dépasser sa tête du matelas et la pencha en arrière de manière à placer sa gorge dans l’axe de sa bouche, puis il présenta à nouveau sa chair à Naram. L’Elamite serrait de nouveau les dents et Emisum ne parvenait à forcer l’entrée bien qu’il poussa puissamment son épieu sur l’ivoire. Maintenant excité, le jeune forgeron ne pouvait plus attendre et gifla l’homme qui lui tenait tête jusqu’à ce que sonné, il relâche ses mâchoires et le laisse s’introduire en lui. Emisum posa alors les mains sur ses joues et continua d’introduire son mandrin qui força la gorge de Naram puis poursuivit son chemin.
J’observais la scène, médusé devant l’inventivité du jeune homme puis le laissais besogner l’Elamite pendant que je retournai voir son père.
— Et bien Enkihegal, les choses se passent-elles comme tu le souhaites, dis-je en entrant dans la pièce.
— Oui, mon prince me répondit-il, j’ai terminé. Mais où est Emisum ?
— Ne t’inquiète pas, il s’acquitte magnifiquement de la tâche que je lui ai confiée. Montre-moi ton travail forgeron.
Il m’expliqua le fonctionnement de l’ingénieux mécanisme qu’il avait créé afin de maintenir prisonniers, les pieds et les mains, de la personne sur la table mais je fis comme si son fonctionnement m’échappait.
— Montre-moi, veux-tu, je ne comprends pas bien les termes que tu emploies, lui dis-je.
Tout à son explication et fier de son travail, il s’approcha et s’allongea sur le dos sur le plateau de la table. Il tendit ses bras en arrière, posant ses poignets de chaque côté de sa tête puis positionna ses pieds sur les cales, jambes bien écartées. Des chaînes reliées à des anneaux de métal avaient été fixées à chaque coin de la table. Enkihegal m’expliqua leur fonctionnement. Les cercles étaient composés de deux parties, l’une coulissant sur l’autre et un mécanisme astucieux de loquet permettait de les lier solidement ensemble. Innocemment, et jouant les élèves attentifs, je fis coulisser les demi-cercles autour de son poignet droit puis actionnait le loquet jusqu’à entendre un cliquetis métallique qui m’indiqua que le dispositif s’était verrouillé. Très inventif et facile, en effet. Il me sourit, fier de son travail d’artisan et, lui rendant son sourire, je verrouillais le dispositif autour de son deuxième poignet. Son sourire s’évanouit tout à fait.
— Que… que faîtes-vous ? me dit-il, soudain inquiet.
Je me levai en silence et fit le tour de la table et lui attachait les chevilles aux deux autres anneaux.
— Non, mais arrêtez !, commença-t-il à crier.
Je me plaçais dans l’encoche entre ses jambes, plaçai mes mains sur ses cuisses et les fit glisser vers son intimité. Je posai un doigt à l’entrée de son fondement et le poussait à l’intérieur. Il cria.
— Te souviens-tu, Enkihegal, de ce que tu m’as fait subir sur l’hôtel du temple d’Enlil ?
Il serra les dents et ne répondit pas.
— Eh bien, ça n’était rien comparé à ce que je vais te faire subir.
J’agitai mon doigt en lui. Il était très serré, jamais rien n’avait dû le pénétré.
— Je… je … je n’avais pas le choix, haleta-t-il. (Il serra les dents un moment puis repris). Je devais le faire, par Enlil, je devais le faire même si je ne le voulais pas.
Un deuxième doigt rejoignit le premier, puis un troisième. Son corps se tendait sous l’effet de la douleur et je m’en délectais. De mon autre main, je défis son pagne et le lui retirai. Sa virilité pendait mollement entre ses jambes, mais elle commençait à gonfler malgré lui. Puis je finis de le préparer pour ce qui allait suivre. Je pris un bon morceau de graisse et m’en enduisis la main et son orifice serré. Je posais mon poing serré sur lui et poussait pour le faire entrer. Il hurla alors que mon bras s’enfonçait impitoyablement jusqu’au coude. Il tirait sur ses liens de toutes ses forces, ses muscles se tendaient et saillaient sous sa peau velue. Je me mis à tourner mon poing en lui, tout en entrant et sortant mon bras. Il transpirait abondamment, son corps luisait sous l’effort. Je lui fis subir ce traitement un moment puis, le jugeant prêt, je le bâillonnai et retournai voir Emisum.
Le jeune homme besognait toujours la bouche de Naram, l’obligeant à la prendre profondément dans sa gorge. L’Elamite salivait abondamment et des larmes lui coulaient des yeux. Je passais derrière Emisum et lui caressait le torse. Il ne réagit pas, tout à son plaisir. Je pris un morceau de tissu de lin et le lui nouai sur les yeux.
— Viens avec moi Emisum, lui dis-je.
Il eut du mal à abandonner la bouche accueillante de Naram, mais, à force de cajoleries, je parvins à l’attirer à ma suite. Je le tins par la main et il me suivit docilement jusqu’à la pièce où attendait son père, attaché et bâillonné. J’attirai le jeune forgeron vers la table et le fit mettre entre les jambes d’Enkihegal. L’homme écarquilla les yeux en voyant son fils et essaya de crier, mais le bâillon étouffa ses plaintes. Je me déshabillai puis me plaçais derrière Emisum, rendu docile par le plaisir, ma poitrine contre son dos, et saisis son énorme sexe dont je posais l’extrémité sur l’anneau graisseux et légèrement dilaté de son père. L’homme frissonna de terreur comme il sentit l’énorme masse toucher son intimité. Je posais les mains d’Emisum sur les hanches de l’homme que je lui offrais.
— Allez, pousse, Emisum, entre d’un coup sec.
Et c’est ce qu’il fit. Il s’accrocha aux hanches de son père et planta en lui un bon tiers de son chibre gonflé. Enkihegal était beau, la tête relevée, tous les muscles de son corps tendus, les yeux exorbités et pleins de larmes. Derrière Emisum, je posais le bout de ma virilité entre ses fesses charnues, pile sur son oeuillet, sans chercher à la faire entrer plus avant, puis je lui retirai son bandeau. Il découvrit son père, ivre de douleur, tendu à l’extrême, et recula d’horreur en voyant ce qu’il faisait, s’empalant directement sur mon épieu dressé. Il hurla de douleur comme je m’enfonçais profondément en lui et par pure réflexe se jeta en avant, pénétrant son père jusqu’à taper son bas ventre contre ses fesses. D’un brusque coup de rein je reconquérait l’intimité d’Emisum qui cria de plus belle et se cambra violemment. Il s’agrippait aux hanches de son père comme si sa vie en dépendait. Nous restâmes ainsi un moment, le fils regardant piteusement le père, le père horrifié par ce que lui faisait subir son fils. Je venais, en quelques minutes, de prendre la virginité de cette famille. Puis je commençai à bouger en Emisum et, le tenant par les hanches, je le faisais bouger au même rythme dans les d’entrailles d’Enkihegal. La pièce résonnait de leurs cris et de leurs larmes. Je pris le membre gonflé du forgeron et, appuyant fermement sur la tête de son fils, la fit entrer dans sa bouche. Il me résista un peu, mais quelques mouvements vigoureux de ma virilité lui firent ouvrir la bouche et il se mit à téter le bout rouge et chaud de son père.
Honte et plaisir se disputaient maintenant la place sur le visage du forgeron. Il haletait, ses yeux se révulsaient. Je lui retirai son bâillon pour mieux entendre ses cris rauques et ses gémissements plus aigus lorsque je brusquai Emisum en lui. Puis, brusquement, je le vis haleter plus fort et les muscles se contactèrent. Emisum le vit aussi et voulu recracher son membre qui commençait à palpiter. Mais je l’obligeai à le conserver en lui et il reçut toute la semence paternelle dans sa bouche. Je posai ma main sur sa gorge pour le sentir déglutir encore et encore, fournissant peine à tout avaler. L’épieux dressé d’Enkihegal finit de palpiter et se retira de lui-même, laissant je jeune homme hébété, la bouche ouverte, des filets gluants s’échappant des lèvres. Je posai alors mes mains sur les omoplates d’Emisum et le poussai violemment en avant, le couchant contre la poitrine dure de ton père, puis saisissant les hanches d’Enkihegal je me déchainai. Je les entendais grogner, crier, geindre parfois sous la violence de mes assauts répétés. Emisum avait placé sa tête au creux de l’épaule de son père et subissait bravement l’outrage. A un moment, je le sentis se raidir et ses entrailles se contractèrent autour de ma virilité alors qu’à son tour, il fécondait son père. Je croisai en fin le regard honteux d’Enkihegal, humilier de s’être fait posséder par un homme, de s’être fait pénétrer et féconder par son propre fils ; et s’en fut trop. Le plaisir monta d’un coup en moi, vertigineux, tel que je ne l’avais jamais connu. Je serrai les dents et dans un dernier mouvement, je me callai bien au fond d’Emisum où je me libérai. L’extase fut grandiose, plus que je ne l’aurai cru, m’inondant, me possédant totalement avant que je ne m’effondre sur mes deux amants.
Je ne tardai pas à reprendre mes esprits et je recommençai encore. Je les assaillis tout le jour et toute la nuit suivante et lorsqu’enfin, je les délivrai, je vis le fondement d’Enkihegal béer quand l’énorme virilité d’Emisum quitta son fourreau car les deux bougres, malgré leur honte, avaient également repris du plaisir. Je détachai le père épuisé qui parvint, je ne sais comment, à se relever et enfiler son pagne. Puis boitant, les jambes écartées et puant la semence, les deux hommes s’en allèrent sans un mot, la tête basse, les yeux pleins de larme, le père s’appuyant sur son fils. J’avais obtenu ma vengeance, je le savais… et beaucoup plus encore.
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