Hier, 09:31 AM
(Modification du message : Hier, 09:37 AM par fablelionsilencieux.)
CHAPITRE 7
Tests
L’énorme chibre du Kriss allait et venait dans le fondement de Jim. Il serrait les dents pour tenir malgré la douleur que lui infligeait la pénétration. De la sueur coulait de son front, sa tête lui donnait l’impression d’être sur le point d’exploser tant la pression se faisait forte. Le precum du démon n’avait aucun effet sur lui, son anus ne s’était donc pas dilaté pour recevoir l’énorme membre. La pénétration s’était faite en force, le Kriss luttant pied à pied pour le pénétrer en profondeur. Il avait l’impression que cela durait depuis des heures, une éternité que le démon se servait de son trou pour se soulager. Un clapotis régulier rythmait la scène, flop… flop… flop, comme le bruit de gouttes d’eau tombant sur le sol. Flop… flop… flop, le son se faisait de plus en plus distinct, ne cadrait pas avec ce qu’il vivait, pas avec l’endroit où il se trouvait.
Brusquement il ouvrit les yeux et tenta de se redresser mais retomba brutalement sur une surface molle. Il se trouvait allongé sur un lit d’hôpital dans la pièce dans laquelle il s’était battu. Les souvenirs affluèrent rapidement, son combat avec Kamji, la manière dont il l’avait repoussé et avait bloqué l’entrée en faisant s’écrouler le plafond, la rupture du sortilège de conversion de Mike, Kamji et Tamara, enragés, déboulant dans la salle en lançant un sort puissant, lui trop épuisé par son accouplement avec le démon et puis… plus rien. Juste ce rêve dans lequel il copulait avec un Kriss. Il savait parfaitement ce que cela signifiait. Il ne s’agissait pas là de l’un de ses fantasmes inavoués, non, mais de l’une des conséquences de la malédiction dont il était victime. La nuit de chaque pleine lune il rêvait d’un démon et ce dernier devait le féconder avant que le soleil ne se coucha sur le jour suivant. Dans le cas contraire, Jim perdait tout contrôle et son côté démoniaque prendrait l’ascendant, le transformant en machine à tuer. Il avait expérimenté le phénomène une fois et ne voulait en aucun cas que cela se reproduise.
Soit, à cette pleine lune ce serait un Kriss. Mais pour le moment il avait plus urgent à penser. Il ferma les yeux, respira profondément et les rouvrit. Le plafond rocheux au-dessus de lui s’était fissuré, probablement une des conséquences de sa lutte avec Kamji et des gouttes d’eau s’échappaient des entailles, l’une après l’autre, entraînant le bruit répétitif qui l’avait réveillé.
Le lit qu’il occupait se trouvait au centre de la rangée de huit semblables à droite de l’entrée. Ses mains étaient fermement attachées par des menottes aux montants métalliques, des runes renforçant leur mécanisme et l’empêchait de se libérer au moyen d’un simple sort. On lui avait retiré son t-shirt, ses chaussures et ses chaussettes. Il ne portait que son jean et son caleçon en-dessous. Une bosse proéminente ornait son entre-jambes prouvant que, malgré lui, son corps s’excitait à l’idée de se faire défoncer par un Kriss. Il tourna la tête à droite, vers le fond de la salle. Deux individus en blouse blanche, Kamji et sa fille, se tenaient de part et d’autre d’un lit identique au sien situé au bout de la rangée et sur lequel Mike se trouvait allongé sur le dos, complètement nu, les mains liées dans le dos. Il n’était pas attaché aux montants du lit, contrairement à lui mais relié à une curieuse machine pourvue d’un nombre indéfinissable de tubes de tous diamètres. De la console, placée en tête de lit, partait un tuyau transparent de gros diamètre qui se séparait en deux à mi-parcours ; une des deux branches s’enfonçait dans son anus alors que l’autre servait de manchon à son sexe. Le tube anal semblait douée d’une vie propre, s’agitant dans son fondement tel un serpent déchaîné afin de stimuler sa prostate. L’autre ramification était agitée de mouvements péristaltiques, aspirant le liquide sortant du prépuce. Mike se contorsionnait, son visage se tordant de douleur et de plaisir, serrant les dents tout en émettant des grognements de jouissance. Il ne pouvait ni parler ni crier, sa bouche étant obstruée par un autre tube, écartant ses lèvres aux maximum, récupérant ainsi toute la salive possible.
Plus loin, quatre cages munies de lourds barreaux métalliques avaient récemment été apportées. Sur les tiges de métal, des runes avaient été gravées afin d’annihiler les pouvoirs des prisonniers qui les occupaient. L’une d’entre elles hébergeait Tamos et sa femelle, une autre Thomas alors que les deux autres contenaient chacune deux jeunes hommes, bien fait de leur personnes et totalement nus. Probablement des étudiants, pensa Jim. Ils s’accrochaient aux barreaux, essayant d’interpeller leurs kidnappeurs, inquiets à l’idée de ce qui allait leur arriver. De part et d’autre de chaque cages, deux démons montaient la garde : des Koloss, une race humanoïde qui vendait leurs services au plus offrant, employés comme gardien, tueurs à gage ou gardes du corps. Ils mesuraient au moins deux mètres et leur peau rouge résistait à presque tout. Ces spécimens-là étaient entraînés au combat, les muscles particulièrement développés de leurs torses nus en attestaient. Ils portaient un pantalon de toile kaki et à leur ceinture de cuir pendait une lourde matraque en métal. Leur corps était totalement imberbe, mais une chevelure noire, dense et courte, recouvrait leur cuir chevelu.
— Je pense que nous allons pouvoir commencer les tests, annonça Kamji à sa fille. Nous disposons d’assez de precum et de salive et il nous fournira bientôt une quantité importante de sperme.
— Oui père, répondit sa fille, et peut-être que tout n’est pas perdu. Après tout, même si sa métamorphose n’a pas été totale, les sécrétions des hybrides de son genre donnent parfois des résultats inattendus.
— Oui, je suis très content de ton travail, ma fille, tu nous as trouvé des spécimens de toute beauté pour les tests, où les as-tu eu ?
— J’ai des accords avec certaines confréries, sur le campus de l’université. Chacun fournit à l’autre ce dont il a besoin sans poser de question. J’ai pu avoir ces quatre spécimens très rapidement, ce sont des bizuths de l’année, ils ne peuvent rien refuser à leurs maîtres. J’en aurai d’autre si besoin.
— Oui, ils sont parfaits, confirma Kamji.
Il baissa son regard vers Mike et passa une main sur son bas-ventre, titillant son téton gauche de l’autre.
— Jeune homme, il est temps de nous fournir un peu de sperme.
Comme si elle avait compris le message, la machine s’excita, les tuyaux accélérant leurs traitements. Mike se cambra sous l’effet conjugué de ces stimulations et éjacula puissamment un liquide visqueux et épais dans le tuyau. Émettant une série de bips, la machine se calma puis délivra une série de tubes contenant les sécrétions du jeune homme.
Kamji fit signe aux quatre démons Koloss qui encadraient les cages des cobayes. Trois d’entre eux amenèrent chacun un étudiant qu’ils attachèrent sur les lits. Certains se débâtirent mais ils n’étaient pas de taille à lutter contre les démons. Le quatrième resta dans sa cage, observant anxieusement la scène.
— Commencez par la salive, ordonna Kamji aux Koloss, administration orale.
Les démons prirent chacun un tube et en vidèrent le contenu dans la bouche de leur victime. L’un d’eux serra les dents mais le Koloss se contenta de lui boucher le nez et d’attendre qu’il manque d’air pour le faire avaler de force.
Dans un premier temps, il ne se passa rien, puis, insidieusement, la respiration des étudiants s’accéléra et leur visage rougit légèrement. Ils se mirent à haleter doucement et leur sexe commença à grossir. Des gémissements succédèrent aux halètements et leur sexe se dressèrent de plus en plus avant d’éjaculer à peine deux minutes après l’administration de la salive.
— Très intéressant, intervint Kamji. Si nous arrivons à en produire à grande échelle, cette drogue pourrait nous rapporter pas mal d’argent.
Jim était sidéré. C’était donc l’argent le nerf de la guerre. Kamji ne cherchait rien d’autre que créer une nouvelle drogue pour les humains.
Comme s’il avait capté ses pensées, le sorcier se retourna vers le détective.
— Ah, Jimmy, je vois que tu t’es réveillé juste au bon moment, pour assister à mon succès. C’est en partie à toi que je le dois, si tu n’avais pas arrêté le processus de conversion, je n’aurais eu qu’un simple Kriss, mais là, je dispose d’un spécimen beaucoup plus prometteur. Maintenant nous allons tester l’efficacité du precum. Comme tu le sais, il s’agit généralement d’un liquide très puissant, nous allons donc le tester en inhalation, par administration orale et anale.
Kamji tendit un tube à chaque Koloss et chacun de leur cobaye reçut son traitement par l’une des voies d’administration. Seules l’inhalation et la voie anale donnèrent un résultat. L’anus des victimes se dilata dans des proportions impressionnantes avant de se contracter brutalement.
— Moui, commenta Kamji, apparemment déçu de l’effet. Passons au sperme. Voie rectale uniquement. Mais avant, enfermé celui-là dans la cage vide.
Deux Koloss saisirent Jim et l’emmenèrent brutalement vers la cage laissée vide par les étudiants. Ils le propulsèrent à l’intérieur et fermèrent la porte.
Kamji donna à chaque Koloss une dose du sperme de Mike dans une sorte de seringue.
— Administrez-leur puis enfermez-les, un dans chacune de ces cages, dit-il en montrant celles de Thomas, de Jim et de l’étudiant restant.
Les Koloss s’exécutèrent sans discuter, enfilant la seringue dans les anus serrés des étudiants sans tenir compte de leurs plaintes, pour leur injecter le liquide encore chaud. Puis ils saisirent les jeunes humains et les jetèrent dans les cages prévues. Jim, Thomas et l’étudiant restant eurent le même réflexe et vinrent s’occuper de leurs nouveaux colocataires. Ces derniers se tordaient sur le sol, en position fœtale, gémissant de douleur. Puis brusquement les cris cessèrent et lorsqu’ils ouvrirent les yeux, leurs pupilles noires emplissaient presque tout leurs globes oculaires. Ils se redressèrent d’un même mouvement et se jetèrent sur leurs camarades. Dans chaque cellule la lutte s’engagea. L’étudiant n’ayant pas reçu le traitement fut le premier à céder. Il se retrouva à plat ventre et son camarade déchaîné lui enfila son sexe bandé d’un violent coup de rein. Le jeune écarquilla ses yeux pleins de larmes, le souffle coupé par la douleur, la bouche grande ouverte, puis avant qu’il ne puisse émettre le moindre son l’autre entama un pilonnage en règle, le limant sur toute la longueur de sa queue. Heureusement pour la victime, le sexe en question conservait ses proportions humaines moyennes.
Thomas lutta avec plus d’efficacité, repoussant les premiers assauts de l’étudiant qui partageait maintenant sa cellule. Mais l’autre ne se fatiguait pas et il ne tarda pas à être débordé. Il reçut un direct du droit en pleine tempe qui le fit tomber à genoux. L’autre en profita pour lui enfiler son sexe dans la bouche, lui enfonçant jusqu’au fond de la gorge et le maintenant dans cette position en le tenant par les cheveux. L’homme commença à étouffer, cherchant à repousser son tortionnaire, mais l’autre maintenait sa prise, insensible aux coups qu’il recevait. Brutalement, alors qu’il avait l’impression que sa tête allait exploser, Thomas fut repoussé. Il percuta le sol de la cellule au même moment que l’autre se jetait sur lui. Assommé par le choc, il réagit à peine quand ses vêtements lui furent arrachés et qu’un sexe bandé vint se ficher dans son fondement.
Dans la dernière cellule, Jim avait entamé un violent corps à corps, parvenant à maîtriser son adversaire qui écumait de rage, bloqué à plat ventre.
Kamji semblait ravi de l’effet produit. Ces cobayes défonçaient sans faiblir le cul des deux humains qui n’avaient rien pu faire d’autre que subir. L’effet dura près de vingt minutes ; vingt minutes au cours desquelles Thomas et l’étudiant subirent les assauts des drogués ; vingt minutes au cours desquelles Jim dut résister à la rage animale de celui qu’il avait immobilisé. Puis, comme si de rien n'était, ils reprirent leurs esprits, horrifiés par ce qu’ils faisaient.
— Je pense qu’il pourrait être intéressant d’essayer un mélange, père, intervint Tamara.
Kamji fonça les sourcils.
— Hum, pourquoi pas ? Je te laisse faire, choisis ceux à qui tu vas l’administrer, l’approuva son père.
Prenant les flacons, elle mélangea les trois sécrétions puis en emplit deux seringues.
— Je vais l’administrer à ces deux-là, dit-elle en indiquant Thomas et l’étudiant de la cellule de Jim, puis je les enfermerai avec Jimmy, fit-elle d’une voix aigüe en tapant des mains.
— Ma chérie, je ne peux rien te refuser, lui dit son père.
Il fit signe aux Koloss qui traînèrent les deux hommes sélectionnés hors de leurs cellules. Ils reçurent leur dose et furent éjectés dans la cellule de Jim. Ce dernier se plaça à l’autre bout de la cage d’environ trois mètres carrés et les regarda se tortiller au sol, complètements nus. Il vit leur sexe durcir et gonfler toujours plus, atteignant le double, puis le triple de leur taille maximale habituelle. Ils se relevèrent, le regard vitreux, un sourire malsain aux lèvres et se jetèrent sur lui. Résister à un homme lui avait déjà été difficile, mais à deux se révéla impossible. Avant qu’il ne puisse mettre au point la moindre tactique de défense, il fut plaqué au sol. Ses agresseurs tirèrent violemment sur son jean sans prendre la peine de le déboutonner et finirent par le lui retirer en ayant fait sauter les premiers boutons. Le boxer fut déchiré et arraché d’un même mouvement. Alors qu’il allait crier, essayer de lancer un sort quelconque, il reçut le sexe de l’étudiant dans la gorge, ses lèvres complètement écartelées sur le membre massif. Il sentit sa gorge se contracter alors que le gland en frappait le fond. Au même moment Thomas cherchait à s’introduire entre ses fesses sans la moindre préparation. L’anus serré de Jim se rebella, refusant l’intrusion. Au cours de ces dernières années, il avait dû se faire prendre par bon nombre de démons, mais à chaque fois il recouvrait un anus vierge. Thomas ne se laissa pas rebuter. Déchaîné, il multiplia les assauts, finissant par entrer son gland, puis l’intégralité de son chibre grossi par les drogues. En moins de deux minutes Jim s’était retrouvé complètement à la merci des deux sexes, subissant les assauts des deux hommes complètement hors de contrôle. L’effet dura encore plus longtemps cette fois, prolongeant la scène près d’une demi-heure, ne s’arrêtant que lorsque les cobayes éjaculèrent des quantités torrentielles de sperme dans les orifices de Jim. Ce dernier toussa, manquant de s’étouffer quand l’étudiant se déversa dans sa gorge alors qu’au même instant le sperme chaud de Thomas lui emplissait les intestins et se répandait sur ses cuisses. Reprenant leurs esprits, les deux hommes se retirèrent, s’excusant auprès de leur victime. Mais Jim, complètement épuisé, s’effondra au sol, du sperme s’écoulant de toutes ses ouvertures.
— Je pense que tu as trouvé la combinaison idéale, ma fille, intervint Kamji. Nous allons devoir procéder à quelques tests complémentaires pour obtenir le bon dosage, mais nous tenons là notre formule de base.
Thomas vint se placer aux côté de Jim, s’excusant de son comportement. Le détective se releva finalement, assurant aux deux hommes qu’ils n’étaient en rien fautifs tout en essayant de cacher son sexe en pleine érection. Au même instant la machine à laquelle Mike était branché reprit du service, recommençant sa récolte de sécrétion, repoussant le jeune homme toujours plus loin dans la douleur et le plaisir.
Tests
L’énorme chibre du Kriss allait et venait dans le fondement de Jim. Il serrait les dents pour tenir malgré la douleur que lui infligeait la pénétration. De la sueur coulait de son front, sa tête lui donnait l’impression d’être sur le point d’exploser tant la pression se faisait forte. Le precum du démon n’avait aucun effet sur lui, son anus ne s’était donc pas dilaté pour recevoir l’énorme membre. La pénétration s’était faite en force, le Kriss luttant pied à pied pour le pénétrer en profondeur. Il avait l’impression que cela durait depuis des heures, une éternité que le démon se servait de son trou pour se soulager. Un clapotis régulier rythmait la scène, flop… flop… flop, comme le bruit de gouttes d’eau tombant sur le sol. Flop… flop… flop, le son se faisait de plus en plus distinct, ne cadrait pas avec ce qu’il vivait, pas avec l’endroit où il se trouvait.
Brusquement il ouvrit les yeux et tenta de se redresser mais retomba brutalement sur une surface molle. Il se trouvait allongé sur un lit d’hôpital dans la pièce dans laquelle il s’était battu. Les souvenirs affluèrent rapidement, son combat avec Kamji, la manière dont il l’avait repoussé et avait bloqué l’entrée en faisant s’écrouler le plafond, la rupture du sortilège de conversion de Mike, Kamji et Tamara, enragés, déboulant dans la salle en lançant un sort puissant, lui trop épuisé par son accouplement avec le démon et puis… plus rien. Juste ce rêve dans lequel il copulait avec un Kriss. Il savait parfaitement ce que cela signifiait. Il ne s’agissait pas là de l’un de ses fantasmes inavoués, non, mais de l’une des conséquences de la malédiction dont il était victime. La nuit de chaque pleine lune il rêvait d’un démon et ce dernier devait le féconder avant que le soleil ne se coucha sur le jour suivant. Dans le cas contraire, Jim perdait tout contrôle et son côté démoniaque prendrait l’ascendant, le transformant en machine à tuer. Il avait expérimenté le phénomène une fois et ne voulait en aucun cas que cela se reproduise.
Soit, à cette pleine lune ce serait un Kriss. Mais pour le moment il avait plus urgent à penser. Il ferma les yeux, respira profondément et les rouvrit. Le plafond rocheux au-dessus de lui s’était fissuré, probablement une des conséquences de sa lutte avec Kamji et des gouttes d’eau s’échappaient des entailles, l’une après l’autre, entraînant le bruit répétitif qui l’avait réveillé.
Le lit qu’il occupait se trouvait au centre de la rangée de huit semblables à droite de l’entrée. Ses mains étaient fermement attachées par des menottes aux montants métalliques, des runes renforçant leur mécanisme et l’empêchait de se libérer au moyen d’un simple sort. On lui avait retiré son t-shirt, ses chaussures et ses chaussettes. Il ne portait que son jean et son caleçon en-dessous. Une bosse proéminente ornait son entre-jambes prouvant que, malgré lui, son corps s’excitait à l’idée de se faire défoncer par un Kriss. Il tourna la tête à droite, vers le fond de la salle. Deux individus en blouse blanche, Kamji et sa fille, se tenaient de part et d’autre d’un lit identique au sien situé au bout de la rangée et sur lequel Mike se trouvait allongé sur le dos, complètement nu, les mains liées dans le dos. Il n’était pas attaché aux montants du lit, contrairement à lui mais relié à une curieuse machine pourvue d’un nombre indéfinissable de tubes de tous diamètres. De la console, placée en tête de lit, partait un tuyau transparent de gros diamètre qui se séparait en deux à mi-parcours ; une des deux branches s’enfonçait dans son anus alors que l’autre servait de manchon à son sexe. Le tube anal semblait douée d’une vie propre, s’agitant dans son fondement tel un serpent déchaîné afin de stimuler sa prostate. L’autre ramification était agitée de mouvements péristaltiques, aspirant le liquide sortant du prépuce. Mike se contorsionnait, son visage se tordant de douleur et de plaisir, serrant les dents tout en émettant des grognements de jouissance. Il ne pouvait ni parler ni crier, sa bouche étant obstruée par un autre tube, écartant ses lèvres aux maximum, récupérant ainsi toute la salive possible.
Plus loin, quatre cages munies de lourds barreaux métalliques avaient récemment été apportées. Sur les tiges de métal, des runes avaient été gravées afin d’annihiler les pouvoirs des prisonniers qui les occupaient. L’une d’entre elles hébergeait Tamos et sa femelle, une autre Thomas alors que les deux autres contenaient chacune deux jeunes hommes, bien fait de leur personnes et totalement nus. Probablement des étudiants, pensa Jim. Ils s’accrochaient aux barreaux, essayant d’interpeller leurs kidnappeurs, inquiets à l’idée de ce qui allait leur arriver. De part et d’autre de chaque cages, deux démons montaient la garde : des Koloss, une race humanoïde qui vendait leurs services au plus offrant, employés comme gardien, tueurs à gage ou gardes du corps. Ils mesuraient au moins deux mètres et leur peau rouge résistait à presque tout. Ces spécimens-là étaient entraînés au combat, les muscles particulièrement développés de leurs torses nus en attestaient. Ils portaient un pantalon de toile kaki et à leur ceinture de cuir pendait une lourde matraque en métal. Leur corps était totalement imberbe, mais une chevelure noire, dense et courte, recouvrait leur cuir chevelu.
— Je pense que nous allons pouvoir commencer les tests, annonça Kamji à sa fille. Nous disposons d’assez de precum et de salive et il nous fournira bientôt une quantité importante de sperme.
— Oui père, répondit sa fille, et peut-être que tout n’est pas perdu. Après tout, même si sa métamorphose n’a pas été totale, les sécrétions des hybrides de son genre donnent parfois des résultats inattendus.
— Oui, je suis très content de ton travail, ma fille, tu nous as trouvé des spécimens de toute beauté pour les tests, où les as-tu eu ?
— J’ai des accords avec certaines confréries, sur le campus de l’université. Chacun fournit à l’autre ce dont il a besoin sans poser de question. J’ai pu avoir ces quatre spécimens très rapidement, ce sont des bizuths de l’année, ils ne peuvent rien refuser à leurs maîtres. J’en aurai d’autre si besoin.
— Oui, ils sont parfaits, confirma Kamji.
Il baissa son regard vers Mike et passa une main sur son bas-ventre, titillant son téton gauche de l’autre.
— Jeune homme, il est temps de nous fournir un peu de sperme.
Comme si elle avait compris le message, la machine s’excita, les tuyaux accélérant leurs traitements. Mike se cambra sous l’effet conjugué de ces stimulations et éjacula puissamment un liquide visqueux et épais dans le tuyau. Émettant une série de bips, la machine se calma puis délivra une série de tubes contenant les sécrétions du jeune homme.
Kamji fit signe aux quatre démons Koloss qui encadraient les cages des cobayes. Trois d’entre eux amenèrent chacun un étudiant qu’ils attachèrent sur les lits. Certains se débâtirent mais ils n’étaient pas de taille à lutter contre les démons. Le quatrième resta dans sa cage, observant anxieusement la scène.
— Commencez par la salive, ordonna Kamji aux Koloss, administration orale.
Les démons prirent chacun un tube et en vidèrent le contenu dans la bouche de leur victime. L’un d’eux serra les dents mais le Koloss se contenta de lui boucher le nez et d’attendre qu’il manque d’air pour le faire avaler de force.
Dans un premier temps, il ne se passa rien, puis, insidieusement, la respiration des étudiants s’accéléra et leur visage rougit légèrement. Ils se mirent à haleter doucement et leur sexe commença à grossir. Des gémissements succédèrent aux halètements et leur sexe se dressèrent de plus en plus avant d’éjaculer à peine deux minutes après l’administration de la salive.
— Très intéressant, intervint Kamji. Si nous arrivons à en produire à grande échelle, cette drogue pourrait nous rapporter pas mal d’argent.
Jim était sidéré. C’était donc l’argent le nerf de la guerre. Kamji ne cherchait rien d’autre que créer une nouvelle drogue pour les humains.
Comme s’il avait capté ses pensées, le sorcier se retourna vers le détective.
— Ah, Jimmy, je vois que tu t’es réveillé juste au bon moment, pour assister à mon succès. C’est en partie à toi que je le dois, si tu n’avais pas arrêté le processus de conversion, je n’aurais eu qu’un simple Kriss, mais là, je dispose d’un spécimen beaucoup plus prometteur. Maintenant nous allons tester l’efficacité du precum. Comme tu le sais, il s’agit généralement d’un liquide très puissant, nous allons donc le tester en inhalation, par administration orale et anale.
Kamji tendit un tube à chaque Koloss et chacun de leur cobaye reçut son traitement par l’une des voies d’administration. Seules l’inhalation et la voie anale donnèrent un résultat. L’anus des victimes se dilata dans des proportions impressionnantes avant de se contracter brutalement.
— Moui, commenta Kamji, apparemment déçu de l’effet. Passons au sperme. Voie rectale uniquement. Mais avant, enfermé celui-là dans la cage vide.
Deux Koloss saisirent Jim et l’emmenèrent brutalement vers la cage laissée vide par les étudiants. Ils le propulsèrent à l’intérieur et fermèrent la porte.
Kamji donna à chaque Koloss une dose du sperme de Mike dans une sorte de seringue.
— Administrez-leur puis enfermez-les, un dans chacune de ces cages, dit-il en montrant celles de Thomas, de Jim et de l’étudiant restant.
Les Koloss s’exécutèrent sans discuter, enfilant la seringue dans les anus serrés des étudiants sans tenir compte de leurs plaintes, pour leur injecter le liquide encore chaud. Puis ils saisirent les jeunes humains et les jetèrent dans les cages prévues. Jim, Thomas et l’étudiant restant eurent le même réflexe et vinrent s’occuper de leurs nouveaux colocataires. Ces derniers se tordaient sur le sol, en position fœtale, gémissant de douleur. Puis brusquement les cris cessèrent et lorsqu’ils ouvrirent les yeux, leurs pupilles noires emplissaient presque tout leurs globes oculaires. Ils se redressèrent d’un même mouvement et se jetèrent sur leurs camarades. Dans chaque cellule la lutte s’engagea. L’étudiant n’ayant pas reçu le traitement fut le premier à céder. Il se retrouva à plat ventre et son camarade déchaîné lui enfila son sexe bandé d’un violent coup de rein. Le jeune écarquilla ses yeux pleins de larmes, le souffle coupé par la douleur, la bouche grande ouverte, puis avant qu’il ne puisse émettre le moindre son l’autre entama un pilonnage en règle, le limant sur toute la longueur de sa queue. Heureusement pour la victime, le sexe en question conservait ses proportions humaines moyennes.
Thomas lutta avec plus d’efficacité, repoussant les premiers assauts de l’étudiant qui partageait maintenant sa cellule. Mais l’autre ne se fatiguait pas et il ne tarda pas à être débordé. Il reçut un direct du droit en pleine tempe qui le fit tomber à genoux. L’autre en profita pour lui enfiler son sexe dans la bouche, lui enfonçant jusqu’au fond de la gorge et le maintenant dans cette position en le tenant par les cheveux. L’homme commença à étouffer, cherchant à repousser son tortionnaire, mais l’autre maintenait sa prise, insensible aux coups qu’il recevait. Brutalement, alors qu’il avait l’impression que sa tête allait exploser, Thomas fut repoussé. Il percuta le sol de la cellule au même moment que l’autre se jetait sur lui. Assommé par le choc, il réagit à peine quand ses vêtements lui furent arrachés et qu’un sexe bandé vint se ficher dans son fondement.
Dans la dernière cellule, Jim avait entamé un violent corps à corps, parvenant à maîtriser son adversaire qui écumait de rage, bloqué à plat ventre.
Kamji semblait ravi de l’effet produit. Ces cobayes défonçaient sans faiblir le cul des deux humains qui n’avaient rien pu faire d’autre que subir. L’effet dura près de vingt minutes ; vingt minutes au cours desquelles Thomas et l’étudiant subirent les assauts des drogués ; vingt minutes au cours desquelles Jim dut résister à la rage animale de celui qu’il avait immobilisé. Puis, comme si de rien n'était, ils reprirent leurs esprits, horrifiés par ce qu’ils faisaient.
— Je pense qu’il pourrait être intéressant d’essayer un mélange, père, intervint Tamara.
Kamji fonça les sourcils.
— Hum, pourquoi pas ? Je te laisse faire, choisis ceux à qui tu vas l’administrer, l’approuva son père.
Prenant les flacons, elle mélangea les trois sécrétions puis en emplit deux seringues.
— Je vais l’administrer à ces deux-là, dit-elle en indiquant Thomas et l’étudiant de la cellule de Jim, puis je les enfermerai avec Jimmy, fit-elle d’une voix aigüe en tapant des mains.
— Ma chérie, je ne peux rien te refuser, lui dit son père.
Il fit signe aux Koloss qui traînèrent les deux hommes sélectionnés hors de leurs cellules. Ils reçurent leur dose et furent éjectés dans la cellule de Jim. Ce dernier se plaça à l’autre bout de la cage d’environ trois mètres carrés et les regarda se tortiller au sol, complètements nus. Il vit leur sexe durcir et gonfler toujours plus, atteignant le double, puis le triple de leur taille maximale habituelle. Ils se relevèrent, le regard vitreux, un sourire malsain aux lèvres et se jetèrent sur lui. Résister à un homme lui avait déjà été difficile, mais à deux se révéla impossible. Avant qu’il ne puisse mettre au point la moindre tactique de défense, il fut plaqué au sol. Ses agresseurs tirèrent violemment sur son jean sans prendre la peine de le déboutonner et finirent par le lui retirer en ayant fait sauter les premiers boutons. Le boxer fut déchiré et arraché d’un même mouvement. Alors qu’il allait crier, essayer de lancer un sort quelconque, il reçut le sexe de l’étudiant dans la gorge, ses lèvres complètement écartelées sur le membre massif. Il sentit sa gorge se contracter alors que le gland en frappait le fond. Au même moment Thomas cherchait à s’introduire entre ses fesses sans la moindre préparation. L’anus serré de Jim se rebella, refusant l’intrusion. Au cours de ces dernières années, il avait dû se faire prendre par bon nombre de démons, mais à chaque fois il recouvrait un anus vierge. Thomas ne se laissa pas rebuter. Déchaîné, il multiplia les assauts, finissant par entrer son gland, puis l’intégralité de son chibre grossi par les drogues. En moins de deux minutes Jim s’était retrouvé complètement à la merci des deux sexes, subissant les assauts des deux hommes complètement hors de contrôle. L’effet dura encore plus longtemps cette fois, prolongeant la scène près d’une demi-heure, ne s’arrêtant que lorsque les cobayes éjaculèrent des quantités torrentielles de sperme dans les orifices de Jim. Ce dernier toussa, manquant de s’étouffer quand l’étudiant se déversa dans sa gorge alors qu’au même instant le sperme chaud de Thomas lui emplissait les intestins et se répandait sur ses cuisses. Reprenant leurs esprits, les deux hommes se retirèrent, s’excusant auprès de leur victime. Mais Jim, complètement épuisé, s’effondra au sol, du sperme s’écoulant de toutes ses ouvertures.
— Je pense que tu as trouvé la combinaison idéale, ma fille, intervint Kamji. Nous allons devoir procéder à quelques tests complémentaires pour obtenir le bon dosage, mais nous tenons là notre formule de base.
Thomas vint se placer aux côté de Jim, s’excusant de son comportement. Le détective se releva finalement, assurant aux deux hommes qu’ils n’étaient en rien fautifs tout en essayant de cacher son sexe en pleine érection. Au même instant la machine à laquelle Mike était branché reprit du service, recommençant sa récolte de sécrétion, repoussant le jeune homme toujours plus loin dans la douleur et le plaisir.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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