19-10-2024, 12:43 PM
Comme Cylian s'y attendait, son bel amour se releva, il mit les mains dans ses poches et rejoignit les autres élèves près du bus feignant d'ignorer l'incident, sans un mot au grand regret de Cylian, mais c'était mieux ainsi pour leur relation.
Il y avait deux mondes : celui exposé aux yeux des autres et l'univers créé par Cylian et Toni fait de rêves éveillés lorsqu'ils était seul ensemble, le paradis dans les bras l'un de l'autre.
Le trajet jusqu'au centre de la Guilde fut assez long, trois heures de route. Cylian était assis à coté de Vincent, Toni était quelques sièges plus loin, histoire de ne pas attirer trop l'attention sur eux, d'un commun accord, les deux amoureux avait choisi cette solution pénible.
Au moins, pensa Cylian, Vincent n'était pas tenté, Abel n'était pas dans le car.
Au bout de deux heures de temps, Cylian s'était penché dans l'allée centrale entre les sièges pour essayer d'apercevoir son Toni.
Le bel ange dormait. Certainement que la soirée de hier y était pour beaucoup.
L'éthéré ne se lassait pas du spectacle. Son Narcisse était encore plus beau les yeux fermé, une mèche de cheveu entre les yeux clos et une bouche à moitié ouverte, Cylian l'avait vu dormir quand il était chez lui le week-end dernier, mais là, il n'était pas contre lui. Comme son contact lui manquait, il aurait voulu faire descendre tout les passagers du bus à l'instant même pour être seul à seul avec sa moitié.
Tous deux n'avait passé que deux jours ensemble en tout et pour tout.
Ce n'était pas assez !
La chaleur apaisante du corps chaud de Toni lui manquait, sentir son cœur battre contre lui quand ils étaient enlacés lors de cette nuit divine.
Tout à une fin, même les longs trajets pénibles loin de l'être aimé. L'arche de la Guilde était visible au loin.
Cylian observait le bâtiment, immense colosse de Rhodes qui semblait les saluer lorsque le bus stationna entre ses pieds, sous l'arche.
Le bâtiment était ultra moderne, aux formes arrondies, comme une œuvre de Le Corbusier, mélange harmonieux de métal et de verre.
Une entrée devant eux était situé à coté d'une statue représentant un homme d'allure primitive tenant semblait il une boule de feu entre ses mains.
Le groupe accompagné de leur professeur s'engouffra dans l'aile ouest, un guide venant à leur rencontre dans le bâtiment.
Cylian et Toni fermaient la marche, les doigts de Toni ne tardèrent pas à effleurer la main de son adoré, qui se replia délicatement sur eux.
Ils s'arrêtèrent dans une des allées pour se tourner l'un en face de l'autre.
— Tout le voyage à te voir, te désirer sans pouvoir te toucher, je craque, c'est le supplice de Tantale ! Profitons en un peu pour être seul toi et moi.
— Cylian pas maintenant, tu es incorrigible !
Toni le dévisageait de ses yeux graves, les muscles des mâchoires tressaillirent.
Cylian adorait ce tic chez Toni, sa mâchoire fine et carrée, son visage allongé, il voulait le manger tout cru à l'instant même.
— Je t'appartiens... tu le sais bien ! finit par dire Cylian.
— Je suis tout à toi aussi renchérit Toni mais tu ne peux pas attendre ce soir ? On est en week end demain !
Moue de l'intéressé insatisfait de la réponse donnée.
Cylian inclina la tête en direction de son Apollon et lui déposa un baiser fugace sur ses lèvres, Toni ferma les yeux pour accueillir les lèvres douces de son adoré, un baiser électrique qu'amplifiait l'attente pour l'obtenir depuis le matin même.
Puis Toni tourna la tête en direction du couloir, inquiet. Même constat de Cylian affichant la même inquiétude. Ils étaient perdus.
— Bien joué Cylian ! Nous sommes perdu dans un des plus gros bâtiment de France ! Tu n'aurais pas pu attendre un peu ?
Cylian baissa la tête, penaud, conscient que Toni avait raison.
— Hey les jeunes ? On dirait que vous êtes perdu je me trompe ?
La voie venait de derrière, quand il se retournèrent ils furent stupéfaits :
Un petit bonhomme aux cheveux gris hirsute, habillé d'une simple veste sans cravate, venait à leur rencontre.
Son visage était comme surgi d'une livre d'histoire.
— Hey ! Mais je vous reconnais ! Vous êtes...
— Robert Lexin répondit l'homme avec un sourire bienveillant.
— Mais vous ne vous déplacez pas avec des gardes du corps ?
Lexin fut prit d'un fou-rire :
— À mon age ? Je n'ai pas d'argent sur moi pour me détrousser et puis il y a du monde derrière moi pour prendre ma place si on me fait la peau !
Rire gêné des deux ados.
Comment vous appelez vous ? Messieurs les jeunes visiteurs ?
— Je m'appelle Cylian et lui c'est Toni, il n'est pas très bavard, c'est normal.
Toni pris une teinte rouge cramoisie.
— Cylian l'éthéré... un pouvoir puissant représenté par une confédération soudée à travers le monde, je pense que tu ne connais pas Cervantes, leur représentant le plus puissant de votre ordre...
Je suis ravi de te connaître ! Mais fait attention à ne pas être mouillé !
Lexin avait dit ses derniers mots en s'approchant de l'oreille de Cylian
— Mais co... comment savez vous ça ? ? ?
— Et ton ami, Toni est un maître dans l'art de diriger les molécules d'air sauf... durant la nuit !
Ce fut tour de Toni d'écarquiller les yeux.
— J'ai lu vos dossiers à tous les deux ! Non je plaisante, je suis un « dépisteur » c'est tout. Je devine les pouvoirs des gens et chose rare chez les « dépisteurs » également leur limitation. On a recourt à mes services dans la police pour arrêter des criminels récalcitrants.
— C'est génial ! Cylian était stupéfait par le tour du vieil homme, une pensée vint à son esprit. Si seulement il pouvait nous révéler la limitation de Selenn, cela mettrait fin à ses soucis.
Lexin coupa court à ses réflexions :
— Venez, je vous ramène à votre groupe ! Vos accompagnateurs vont s'inquiéter s'ils ne vous trouvent pas.
Lexin les emmena dans une immense salle, à la vue du petit homme à lunette, les élèves restèrent muets !
Il prit la parole. Bon et bien je vais vous servir de guide puisque vous m'êtes bien sympathique et surtout que je n'ait pas de réunion ce matin.
Vous êtes dans la salle la plus célèbre de la fondation, vous connaissez tous le tombeau au centre de la pièce.
Aussi célèbre que la Joconde, il s'agit bien sûr des restes du premier homme doté de pouvoir... l'Alpha bien sûr ! Et donc le premier « incandescent » apparu il y à 60 000 ans.
Vincent regarda à travers la vitre du monument, assemblage d'éléments qui ressemblait vaguement à des os.
Cylian quand à lui, se mit à imaginer l'Alpha, un bipède à l'allure déjà humaine, un crâne développé, chassant dans une plaine broussailleuse... tout à coup, il se rend compte que ses mains chauffent, il brûle littéralement.
Transformé en torche humaine, il doit fuir.
Sans maîtrise de son nouveau pouvoir, il expulse une boule de feu avec sa main sur un arbre qui brûle à son tour.
Rien à voir avec les « incandescents » actuels dont les corps peuvent déployer une énergie calorifique de plus de 3000 degrés.
Fin de la visite à l'Alpha, les lycéens rentrent à présent dans une salle encore plus gigantesque que la précédente, remplie d'étagères jusqu'au plafond, elles semblent toutes contenir quelque chose soigneusement étiqueté.
Toni s'avance perplexe vers l'une d'elle renfermant un insecte desséché, dessus, une étiquette écrit « Apis mellifera » (Abeille).
Qu'est ce que cela signifie ?
Lexin reprit la parole. Vous êtes dans la « salle des limitations », là ou sont entreposé tous les éléments vivants, végétaux ou minéraux destinés à fournir les prisons ou autre établissement contre les individus dangereux.
Peut être votre limitation se trouve ici... même si certaines d'entre elles ne peuvent être contenues dans une étagère.
Malaise visible de l'assemblée.
Après la visite d'autres pièces moins intéressantes, Lexin prit congé du groupe.
Cylian ne laissa pas échapper sa chance, il se dirigea vers Lexin.
— Excusez moi monsieur Lexin mais j'ai besoin de vos service.
— Qui a-t-il Cylian ?
Cylian restait muet, conscient de demander quelque chose d'important à un homme dont l'importance éclipsait la requête d'un simple élève.
Il fini par articuler :
— Voilà, il s'agit d'une fille, elle nous pose des problèmes de par son pouvoir...
Il désigna du doigt Selenn non loin de là, appuyée contre un mur qui se morfondait d'ennui de la visite.
Lexin l'observa en baissant ses lunettes.
— Cette polymorphe ? Qui n'a pas de problème avec ces individus ?
— S'il vous plaît, je sais que je vous demande beaucoup mais j'insiste pour le mal qu'elle nous à fait et qu'elle continuera à nous faire !
— Ce n'est pas possible, tu veux connaître sa limitation ? C'est du domaine de la vie privée, je ne peux pas faire cela, le vieux monsieur leva les bras en signe d'impuissance.
— Je comprends merci quand même...
Un sourire espiègle apparu subitement sur le visage ridé :
— Te le dire non mais te donner un indice je peux le faire...
Lexin sortit un bout de papier et un stylo et griffonna quelque chose, il le tendit à Cylian.
Peu de temps après, il prit congé de Cylian et des autres élèves en les saluant.
Cylian baissa les yeux sur le précieux bout de papier. Il lut l'inscription suivante :
« Numéro 47 selon Mendeleev ».
« C'est peine perdue ! » se dit il, cette inscription ne veut rien dire !
Il passa le temps lors du voyage de retour à chercher la solution à cette énigme.
Il y avait deux mondes : celui exposé aux yeux des autres et l'univers créé par Cylian et Toni fait de rêves éveillés lorsqu'ils était seul ensemble, le paradis dans les bras l'un de l'autre.
Le trajet jusqu'au centre de la Guilde fut assez long, trois heures de route. Cylian était assis à coté de Vincent, Toni était quelques sièges plus loin, histoire de ne pas attirer trop l'attention sur eux, d'un commun accord, les deux amoureux avait choisi cette solution pénible.
Au moins, pensa Cylian, Vincent n'était pas tenté, Abel n'était pas dans le car.
Au bout de deux heures de temps, Cylian s'était penché dans l'allée centrale entre les sièges pour essayer d'apercevoir son Toni.
Le bel ange dormait. Certainement que la soirée de hier y était pour beaucoup.
L'éthéré ne se lassait pas du spectacle. Son Narcisse était encore plus beau les yeux fermé, une mèche de cheveu entre les yeux clos et une bouche à moitié ouverte, Cylian l'avait vu dormir quand il était chez lui le week-end dernier, mais là, il n'était pas contre lui. Comme son contact lui manquait, il aurait voulu faire descendre tout les passagers du bus à l'instant même pour être seul à seul avec sa moitié.
Tous deux n'avait passé que deux jours ensemble en tout et pour tout.
Ce n'était pas assez !
La chaleur apaisante du corps chaud de Toni lui manquait, sentir son cœur battre contre lui quand ils étaient enlacés lors de cette nuit divine.
Tout à une fin, même les longs trajets pénibles loin de l'être aimé. L'arche de la Guilde était visible au loin.
Cylian observait le bâtiment, immense colosse de Rhodes qui semblait les saluer lorsque le bus stationna entre ses pieds, sous l'arche.
Le bâtiment était ultra moderne, aux formes arrondies, comme une œuvre de Le Corbusier, mélange harmonieux de métal et de verre.
Une entrée devant eux était situé à coté d'une statue représentant un homme d'allure primitive tenant semblait il une boule de feu entre ses mains.
Le groupe accompagné de leur professeur s'engouffra dans l'aile ouest, un guide venant à leur rencontre dans le bâtiment.
Cylian et Toni fermaient la marche, les doigts de Toni ne tardèrent pas à effleurer la main de son adoré, qui se replia délicatement sur eux.
Ils s'arrêtèrent dans une des allées pour se tourner l'un en face de l'autre.
— Tout le voyage à te voir, te désirer sans pouvoir te toucher, je craque, c'est le supplice de Tantale ! Profitons en un peu pour être seul toi et moi.
— Cylian pas maintenant, tu es incorrigible !
Toni le dévisageait de ses yeux graves, les muscles des mâchoires tressaillirent.
Cylian adorait ce tic chez Toni, sa mâchoire fine et carrée, son visage allongé, il voulait le manger tout cru à l'instant même.
— Je t'appartiens... tu le sais bien ! finit par dire Cylian.
— Je suis tout à toi aussi renchérit Toni mais tu ne peux pas attendre ce soir ? On est en week end demain !
Moue de l'intéressé insatisfait de la réponse donnée.
Cylian inclina la tête en direction de son Apollon et lui déposa un baiser fugace sur ses lèvres, Toni ferma les yeux pour accueillir les lèvres douces de son adoré, un baiser électrique qu'amplifiait l'attente pour l'obtenir depuis le matin même.
Puis Toni tourna la tête en direction du couloir, inquiet. Même constat de Cylian affichant la même inquiétude. Ils étaient perdus.
— Bien joué Cylian ! Nous sommes perdu dans un des plus gros bâtiment de France ! Tu n'aurais pas pu attendre un peu ?
Cylian baissa la tête, penaud, conscient que Toni avait raison.
— Hey les jeunes ? On dirait que vous êtes perdu je me trompe ?
La voie venait de derrière, quand il se retournèrent ils furent stupéfaits :
Un petit bonhomme aux cheveux gris hirsute, habillé d'une simple veste sans cravate, venait à leur rencontre.
Son visage était comme surgi d'une livre d'histoire.
— Hey ! Mais je vous reconnais ! Vous êtes...
— Robert Lexin répondit l'homme avec un sourire bienveillant.
— Mais vous ne vous déplacez pas avec des gardes du corps ?
Lexin fut prit d'un fou-rire :
— À mon age ? Je n'ai pas d'argent sur moi pour me détrousser et puis il y a du monde derrière moi pour prendre ma place si on me fait la peau !
Rire gêné des deux ados.
Comment vous appelez vous ? Messieurs les jeunes visiteurs ?
— Je m'appelle Cylian et lui c'est Toni, il n'est pas très bavard, c'est normal.
Toni pris une teinte rouge cramoisie.
— Cylian l'éthéré... un pouvoir puissant représenté par une confédération soudée à travers le monde, je pense que tu ne connais pas Cervantes, leur représentant le plus puissant de votre ordre...
Je suis ravi de te connaître ! Mais fait attention à ne pas être mouillé !
Lexin avait dit ses derniers mots en s'approchant de l'oreille de Cylian
— Mais co... comment savez vous ça ? ? ?
— Et ton ami, Toni est un maître dans l'art de diriger les molécules d'air sauf... durant la nuit !
Ce fut tour de Toni d'écarquiller les yeux.
— J'ai lu vos dossiers à tous les deux ! Non je plaisante, je suis un « dépisteur » c'est tout. Je devine les pouvoirs des gens et chose rare chez les « dépisteurs » également leur limitation. On a recourt à mes services dans la police pour arrêter des criminels récalcitrants.
— C'est génial ! Cylian était stupéfait par le tour du vieil homme, une pensée vint à son esprit. Si seulement il pouvait nous révéler la limitation de Selenn, cela mettrait fin à ses soucis.
Lexin coupa court à ses réflexions :
— Venez, je vous ramène à votre groupe ! Vos accompagnateurs vont s'inquiéter s'ils ne vous trouvent pas.
Lexin les emmena dans une immense salle, à la vue du petit homme à lunette, les élèves restèrent muets !
Il prit la parole. Bon et bien je vais vous servir de guide puisque vous m'êtes bien sympathique et surtout que je n'ait pas de réunion ce matin.
Vous êtes dans la salle la plus célèbre de la fondation, vous connaissez tous le tombeau au centre de la pièce.
Aussi célèbre que la Joconde, il s'agit bien sûr des restes du premier homme doté de pouvoir... l'Alpha bien sûr ! Et donc le premier « incandescent » apparu il y à 60 000 ans.
Vincent regarda à travers la vitre du monument, assemblage d'éléments qui ressemblait vaguement à des os.
Cylian quand à lui, se mit à imaginer l'Alpha, un bipède à l'allure déjà humaine, un crâne développé, chassant dans une plaine broussailleuse... tout à coup, il se rend compte que ses mains chauffent, il brûle littéralement.
Transformé en torche humaine, il doit fuir.
Sans maîtrise de son nouveau pouvoir, il expulse une boule de feu avec sa main sur un arbre qui brûle à son tour.
Rien à voir avec les « incandescents » actuels dont les corps peuvent déployer une énergie calorifique de plus de 3000 degrés.
Fin de la visite à l'Alpha, les lycéens rentrent à présent dans une salle encore plus gigantesque que la précédente, remplie d'étagères jusqu'au plafond, elles semblent toutes contenir quelque chose soigneusement étiqueté.
Toni s'avance perplexe vers l'une d'elle renfermant un insecte desséché, dessus, une étiquette écrit « Apis mellifera » (Abeille).
Qu'est ce que cela signifie ?
Lexin reprit la parole. Vous êtes dans la « salle des limitations », là ou sont entreposé tous les éléments vivants, végétaux ou minéraux destinés à fournir les prisons ou autre établissement contre les individus dangereux.
Peut être votre limitation se trouve ici... même si certaines d'entre elles ne peuvent être contenues dans une étagère.
Malaise visible de l'assemblée.
Après la visite d'autres pièces moins intéressantes, Lexin prit congé du groupe.
Cylian ne laissa pas échapper sa chance, il se dirigea vers Lexin.
— Excusez moi monsieur Lexin mais j'ai besoin de vos service.
— Qui a-t-il Cylian ?
Cylian restait muet, conscient de demander quelque chose d'important à un homme dont l'importance éclipsait la requête d'un simple élève.
Il fini par articuler :
— Voilà, il s'agit d'une fille, elle nous pose des problèmes de par son pouvoir...
Il désigna du doigt Selenn non loin de là, appuyée contre un mur qui se morfondait d'ennui de la visite.
Lexin l'observa en baissant ses lunettes.
— Cette polymorphe ? Qui n'a pas de problème avec ces individus ?
— S'il vous plaît, je sais que je vous demande beaucoup mais j'insiste pour le mal qu'elle nous à fait et qu'elle continuera à nous faire !
— Ce n'est pas possible, tu veux connaître sa limitation ? C'est du domaine de la vie privée, je ne peux pas faire cela, le vieux monsieur leva les bras en signe d'impuissance.
— Je comprends merci quand même...
Un sourire espiègle apparu subitement sur le visage ridé :
— Te le dire non mais te donner un indice je peux le faire...
Lexin sortit un bout de papier et un stylo et griffonna quelque chose, il le tendit à Cylian.
Peu de temps après, il prit congé de Cylian et des autres élèves en les saluant.
Cylian baissa les yeux sur le précieux bout de papier. Il lut l'inscription suivante :
« Numéro 47 selon Mendeleev ».
« C'est peine perdue ! » se dit il, cette inscription ne veut rien dire !
Il passa le temps lors du voyage de retour à chercher la solution à cette énigme.