05-10-2024, 12:24 PM
Arrivée à l'intérieur. La salle était bondée et les gens déchaînés sur le son de la techno dont les graves martelaient les poitrines.
— Un petit verre ça vous dit avant de danser ? C'est ma tournée ! indiqua Toni au petit groupe.
— Pas d'alcool pour moi si je dois vous ramener ! précisa Camille.
Cylian vint s'asseoir à coté de Toni, sa main discrètement sur la jambe de son amoureux.
Abel, Vincent et Lætitia étaient déjà partis danser.
Camille qui était restée avec les autres ôta avec dégoût la cuillère en métal de son cocktail, incendiant au passage le barman :
— J'avais bien précisé une cuillère en plastique ! Je ne supporte pas le métal, sauf si vous voulez que je gerbe sur votre comptoir !
Excuse de l'intéressé et rire de la part de Toni et Cylian.
— Tu es bizarre comme fille lança Toni à Camille.
— Non, c'est à propos de mon don, je ne supporte pas le fer, j'évite autant que possible le métal, je t'expliquerai plus tard, Toni.
Toni se retourna vers Cylian et lui chuchota à l'oreille :
— Tu te sens d'attaque malgré tes blessures ? Invite Camille et allons danser.
— D'accord voyons ce que mes jambes peuvent faire.
Les 3 amis rejoignirent la piste. Toni dansait avec Lætitia et Cylian avec Camille.
Mais pour Cylian, il n'y avait que Toni. Les deux tourtereaux en venait à oublier la présence des filles. Ils se frôlèrent et s'échangèrent des jeux de regards qui se rejoignirent à travers la foule.
Cylian chercha des yeux Abel. Au bout de quelques secondes, il le vit sur une estrade se déplaçant comme un félin, dansant merveilleusement bien. Il était torse nu attirant des dizaines de regards féminins et même masculins.
Cylian détailla les muscles de son torse éclairé par les néons : des pectoraux bien dessinés et des abdos saillant. Il fut saisi par sa grâce et l'agilité de ses déplacements. Il était magnifique. Vincent dans un style plus comique dansait à coté.
Il sentit ses blessures se manifester et préféra s'asseoir à une table et admirer son adoré qui dansait avec les deux filles. Vincent et Abel ne tardèrent pas à venir rejoindre Toni.
Les 3 garçons entamèrent une danse endiablée autour de Camille et de Lætitia.
Vincent et Toni entamèrent un slow langoureux devant les filles écroulées de rire. L'ambiance était bouillante. Abel passa derrière Vincent et lui effleura ses bras. La tête de Vincent finit contre le torse musclé d'Abel.
« Et bien ! Il perd pas de temps lui ! » pensa Cylian.
Toni vint le rejoindre.
— Ça va ? s'enquit le bel ado blond.
— Salut beau gosse !
Toni détailla les verres de vodka-orange sur la table, trop nombreux à son goût, avec une bouteille de sky en prime.
— Cyl' ? Vas y mollo sur les verres ! Tu ferais mieux de venir danser avec nous.
— Excuse moi Toni mais je suis pas en état ce soir, on se rattrapera une prochaine fois, tu veux bien ?
— Si tu veux, je vais rester un peu à coté de toi.
— Non ça va aller ne t'inquiètes pas ! Va danser avec les autres ! Excuse moi mais je dois aller pisser un coup...
A peine ses mots terminés, Cylian essaya de se lever et tomba lourdement du fauteuil en rigolant.
— Cyl' ! Purée je n'y crois pas ! Tu es pire que mon frère ! Aussi intenable !
A peine Toni se pencha pour aider à relever son ami que l'éthéré l'attrapa par la main et le fit chuter sur lui, le couvrant de baisers.
— Bon cette fois je dois changer l'eau du pocal à boissons rouges. Excuse moi je dois aller chercher les toilettes.
Cylian se leva péniblement pour aller en direction des toilettes.
« Bon il est grand, laissons le y aller tout seul et retournons danser ».
La soirée continua avec des musiques plus langoureuses, les danseurs se serrèrent contre leur partenaire.
Toni observait Vincent et Lætitia danser ensemble. Les bras du jeune garçon était posé sur la taille de la jolie blonde. Vincent lui souriait timidement, en réponse, Lætitia lui renvoyait un joli regard de ses yeux orangé, presque jaune sur le vert de ses yeux, à ce moment, elle étira sa main droite derrière elle et c'est comme si toutes les lumières de la salle se trouvèrent aspiré par la danseuse.
Les flashs stroboscopiques et les lasers furent littéralement dirigés d'un regard.
Deux serpents de lumière bleue et verte ondulèrent sur le corps des deux danseurs, leurs langues fourchues passant dans leurs cheveux, les deux monstres de lumières apprivoisés finirent par tournoyer rapidement autour du jeune couple.
Des étoiles blanches crépitèrent autour de leur tête.
Ce fut un spectacle magnifique pour les observateurs qui assistèrent à la scène.
Lætitia colla sa frimousse contre l'épaule de Vincent et lui donna un petit baiser dans le cou.
Ce geste agit comme un détonateur pour Abel qui les observait. Une boule de chagrin lui partit du fond de l'estomac et remonta jusqu'à sa gorge, paralysant tout son corps. Il ressentit le sentiment âpre de la jalousie.
Abel sortit de sa léthargie et ordonna à ses jambes de quitter la piste. Une colère sourde mêlée de chagrin s'empara de lui. Le poing fermé, il bouscula quelque peu certains danseurs qui se trouvait sur son chemin.
« Il faut que je sorte ! Vite ! » se répétait il dans son esprit. Ses pensées affluèrent en lui de façon chaotique et désordonnée.
Sur son passage, tous les verres volèrent en éclats : espoirs à jamais brisé de conquérir l'être qu'il aimait.
La vague télékinésique de colère qui s'en suivi envoya valser quelques tabourets dans une vague de surprise de certaines personnes, un collier de perle d'une jeune fille explosa littéralement propulsant les billes de nacre dans les quatre directions, heurtant des têtes ou bien des murs dans leur course.
— Un petit verre ça vous dit avant de danser ? C'est ma tournée ! indiqua Toni au petit groupe.
— Pas d'alcool pour moi si je dois vous ramener ! précisa Camille.
Cylian vint s'asseoir à coté de Toni, sa main discrètement sur la jambe de son amoureux.
Abel, Vincent et Lætitia étaient déjà partis danser.
Camille qui était restée avec les autres ôta avec dégoût la cuillère en métal de son cocktail, incendiant au passage le barman :
— J'avais bien précisé une cuillère en plastique ! Je ne supporte pas le métal, sauf si vous voulez que je gerbe sur votre comptoir !
Excuse de l'intéressé et rire de la part de Toni et Cylian.
— Tu es bizarre comme fille lança Toni à Camille.
— Non, c'est à propos de mon don, je ne supporte pas le fer, j'évite autant que possible le métal, je t'expliquerai plus tard, Toni.
Toni se retourna vers Cylian et lui chuchota à l'oreille :
— Tu te sens d'attaque malgré tes blessures ? Invite Camille et allons danser.
— D'accord voyons ce que mes jambes peuvent faire.
Les 3 amis rejoignirent la piste. Toni dansait avec Lætitia et Cylian avec Camille.
Mais pour Cylian, il n'y avait que Toni. Les deux tourtereaux en venait à oublier la présence des filles. Ils se frôlèrent et s'échangèrent des jeux de regards qui se rejoignirent à travers la foule.
Cylian chercha des yeux Abel. Au bout de quelques secondes, il le vit sur une estrade se déplaçant comme un félin, dansant merveilleusement bien. Il était torse nu attirant des dizaines de regards féminins et même masculins.
Cylian détailla les muscles de son torse éclairé par les néons : des pectoraux bien dessinés et des abdos saillant. Il fut saisi par sa grâce et l'agilité de ses déplacements. Il était magnifique. Vincent dans un style plus comique dansait à coté.
Il sentit ses blessures se manifester et préféra s'asseoir à une table et admirer son adoré qui dansait avec les deux filles. Vincent et Abel ne tardèrent pas à venir rejoindre Toni.
Les 3 garçons entamèrent une danse endiablée autour de Camille et de Lætitia.
Vincent et Toni entamèrent un slow langoureux devant les filles écroulées de rire. L'ambiance était bouillante. Abel passa derrière Vincent et lui effleura ses bras. La tête de Vincent finit contre le torse musclé d'Abel.
« Et bien ! Il perd pas de temps lui ! » pensa Cylian.
Toni vint le rejoindre.
— Ça va ? s'enquit le bel ado blond.
— Salut beau gosse !
Toni détailla les verres de vodka-orange sur la table, trop nombreux à son goût, avec une bouteille de sky en prime.
— Cyl' ? Vas y mollo sur les verres ! Tu ferais mieux de venir danser avec nous.
— Excuse moi Toni mais je suis pas en état ce soir, on se rattrapera une prochaine fois, tu veux bien ?
— Si tu veux, je vais rester un peu à coté de toi.
— Non ça va aller ne t'inquiètes pas ! Va danser avec les autres ! Excuse moi mais je dois aller pisser un coup...
A peine ses mots terminés, Cylian essaya de se lever et tomba lourdement du fauteuil en rigolant.
— Cyl' ! Purée je n'y crois pas ! Tu es pire que mon frère ! Aussi intenable !
A peine Toni se pencha pour aider à relever son ami que l'éthéré l'attrapa par la main et le fit chuter sur lui, le couvrant de baisers.
— Bon cette fois je dois changer l'eau du pocal à boissons rouges. Excuse moi je dois aller chercher les toilettes.
Cylian se leva péniblement pour aller en direction des toilettes.
« Bon il est grand, laissons le y aller tout seul et retournons danser ».
La soirée continua avec des musiques plus langoureuses, les danseurs se serrèrent contre leur partenaire.
Toni observait Vincent et Lætitia danser ensemble. Les bras du jeune garçon était posé sur la taille de la jolie blonde. Vincent lui souriait timidement, en réponse, Lætitia lui renvoyait un joli regard de ses yeux orangé, presque jaune sur le vert de ses yeux, à ce moment, elle étira sa main droite derrière elle et c'est comme si toutes les lumières de la salle se trouvèrent aspiré par la danseuse.
Les flashs stroboscopiques et les lasers furent littéralement dirigés d'un regard.
Deux serpents de lumière bleue et verte ondulèrent sur le corps des deux danseurs, leurs langues fourchues passant dans leurs cheveux, les deux monstres de lumières apprivoisés finirent par tournoyer rapidement autour du jeune couple.
Des étoiles blanches crépitèrent autour de leur tête.
Ce fut un spectacle magnifique pour les observateurs qui assistèrent à la scène.
Lætitia colla sa frimousse contre l'épaule de Vincent et lui donna un petit baiser dans le cou.
Ce geste agit comme un détonateur pour Abel qui les observait. Une boule de chagrin lui partit du fond de l'estomac et remonta jusqu'à sa gorge, paralysant tout son corps. Il ressentit le sentiment âpre de la jalousie.
Abel sortit de sa léthargie et ordonna à ses jambes de quitter la piste. Une colère sourde mêlée de chagrin s'empara de lui. Le poing fermé, il bouscula quelque peu certains danseurs qui se trouvait sur son chemin.
« Il faut que je sorte ! Vite ! » se répétait il dans son esprit. Ses pensées affluèrent en lui de façon chaotique et désordonnée.
Sur son passage, tous les verres volèrent en éclats : espoirs à jamais brisé de conquérir l'être qu'il aimait.
La vague télékinésique de colère qui s'en suivi envoya valser quelques tabourets dans une vague de surprise de certaines personnes, un collier de perle d'une jeune fille explosa littéralement propulsant les billes de nacre dans les quatre directions, heurtant des têtes ou bien des murs dans leur course.