25-09-2024, 04:06 PM
Un dernier défi,
Liste de mots :
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Bérenger fait des miracles
— Dans ta grande mansuétude, t'aurais pas une poudre de perlimpinpin à me refiler ? demanda Armel à son pote Vincent.
Ces deux minets étaient inséparables depuis la seconde, mais pas si intimes que ça, voyez-vous... Oh ! bien sûr qu'on s'était souvent vu à poil au vestiaire de la piscine du lycée, m'enfin, ça n'allait pas plus loin.
Surtout, on n'avait jamais abordé les sujets importants... le premier, sans doute : garçons, ou filles ? Certes, on se savait puceau, mais bon... Cela restait indicible.
— Qu'est-ce qui t'arrive encore ?
— Y m'faut un philtre d'amour.
— Ah ! Alors pour ça, il me faut le nom de la personne, son âge, son sexe, et ses quartiers de noblesse depuis la Révolution liégeoise !
— Hein ? s'écria Armel, tu déconnes, là ?
— Je rigole. Je ne fais pas dans la droguerie de village, moi ! Mais si tu me dis qui c'est, alors je peux t'élaborer des stratégies gagnantes, comme disent les politiques.
— Ah ! oui, c'est ça qui me rassure !
— Du calme. Donc, t'es amoureux. Et de qui ?
— Ben... fit Armel en regardant le tapis.
— Je la connais ?
— Euh...
— Donc c'est oui. Bérenger ?
— Hein ? Mais...
Armel rougit violemment et baissa le nez jusqu'aux chevilles. Il parvint cependant à articuler :
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce qu'il est éblouissant, beau, bien foutu, déconneur et même clownesque... Le rêve de tous les gentils garçons, quoi !
— Mais, Vincent....
— Bon ! Ma proposition n'est pas encore caduque, tu sais ? J'ai rien de mirobolant à te proposer, m'enfin... ça coûte rien d'essayer. On n'a plus que ça à faire de nos vacances, n'est-ce pas ? En espérant qu'il reste en ville lui aussi !
— Justement... J'ai appris qu'il avait un mi-temps tout l'été, pour se faire un peu de fric, et...
— Parfait ! Moitié du temps, y bosse, et l'autre moitié, galipettes !
— Vincent !
— Écoute ! J'ai assez vu comment tu le regardais depuis des mois pour être sûr de mon coup, allez ! Et puis... au fond, j'aimerais bien être à ta place.
— Hein ?
— Ouais... Faut du culot pour être amoureux d'un mec pareil.
— Mais pourquoi ?
— Hétéro, toutes les filles de la fac à ses trousses... et la bite qu'a pas le temps de sécher entre deux chattes !
— Vincent ! cria Armel, mais pourquoi tu dis des trucs pareils ?
— Peut-être parce que j'aurais jamais ce courage.
— Oh ! Pour ce que j'en ai, du courage ! Et pis tu viens bien de le dire, c'est la connerie absolue !
— N'empêche que je vais t'aider, tiens! Ça nous occuper c't été ! Et si c'est une connerie, je la ferai avec toi !
— T'es... Oh, t'es gentil, murmura Armel, laissant la place à un petit silence ému.
Ces jeunes gens terminaient leur première année de fac. Ils n'avaient pas de sous pour partir en vacances, et pas le courage de bosser... Au reste, la perspective de rester en ville pendant l'été leur agréait assez, au terme de leur première année de liberté.
Et devant un Armel épaté, Vincent se mit à échafauder mille stratégies plus fantaisistes l'une que l'autre...
Puis il se mit immédiatement au boulot : Armel savait le nom de la boîte de Bérenger, et il alla tout simplement planquer devant dès le lendemain midi. Bingo ! Faisant les cent pas, il n'avait pas l'air d'attendre, et il fut effectivement hélé par l'incomparable Bérenger.
— Je passais, mentit-il.
— Moi j'ai fini ! Tu fais quoi, là ?
— Je zonais...
— On peut bouffer ensemble, s'tu veux.
— Ben... ouais, sympa.
Il avait l'air ravi de trouver Vincent, le rude Bérenger, dont le t-shirt moulant donnait déjà des idées à Vincent. .Et après un arrêt à la supérette, on monta dans sa piaule. Quoique que passablement bordélique, l'endroit était accueillant.
— Quand j'ai une meuf, évidemment, je pousse à droite et à gauche, mais là, elles sont toutes parties faire bronzer leurs petits nénés sur la côte !
— T'as donc repris contact avec la Veuve Poignet ? fit Vincent, saisissant l'occasion.
— Ouais, m'enfin... c'est mieux de se faire tripoter... et pomper, aussi !
— T'as vraiment rien en ville, à c't' heure ?
— Non, et si ça continue, j'vais finir au Gay cochon rose !
— Ce serait p'têt' pas la pire idée de la semaine, après tout !
— Oh putain !... Me faire sucer par un pédé... Pfff... Chais pas, vraiment.
— On dit que les mecs sucent mieux que les nanas, pourtant.
— Ouais, ouais, je sais... mais c'est pas une légende urbaine, ça ?
— Je peux te garantir que non, mentit Vincent... sans doute aidé par la Leffe qu'il avait en main.
— Oh ! Tu t'es fait pomper par un mec, toi ?...
— Ben... plus d'une fois, oui ! rementit le minet.
— Oh p'tain... Ton pote Armel ?
— Hein ? Euh... non, non !
— T'emmerde pas, ça reste entre nous.
Sur ce, Bérenger termina sa chope, et émit un énorme rot, qui les fit éclater de rire.
— Tu sais quoi ? fit Bérenger en se levant, j'vais aller me doucher, fait trop chaud. Et t'as bien fait de voir large, je sens que j'ai soif !
Et de se déloquer sous l'œil intéressé et gêné à la fois d'un Vincent qui eut peur de se mettre à bander, car... il était réellement beau de partout, ce cochon-là !
Et même... Vincent eût juré qu'il en avait une à demi dure sous le nez... Peut-être suite à la conversation ?
En tout cas, il tut que les réserves de bonne belge étaient inscrites au compte de son Armel de commanditaire !...
Cinq ou six minutes plus tard réapparaissait le superbe sportif, dont je n'ai pas précisé que les poils, harmonieusement disposés, soulignaient parfaitement une musculature pas du tout excessive, quoique bien que réelle...
Mais là... Bérenger bandait, et pas qu'un peu ! Bel objet droit et lisse, et tout à fait dans les fantasmes de Vincent...
— T'y vas aussi ?
— Non, non, ça ira !
— T'y vas ! ordonna Bérenger, allez, j'te désape vite fait !
Et de joindre le geste à la parole, saisissant d'abord le t-shirt du garçon, avant de lui baisser vigoureusement le bermuda avec le slip.
— Nooon ! gémit Vincent.
Qui l'avait demi-dure... et n'imaginait pas prendre la poudre d'escampette !
— T'y vas, ou je te savonne moi-même !
— Oh ! Tu serais cap' de savonner un mec, toi ? lâcha Vincent sans y penser.
— Tu vas voir, p'tit con !
Le moment fut vif, d'abord, avant que Bérenger se calmât et savonnât Vincent plus doucement, beaucoup plus doucement... Un Vincent qui bandait comme jamais.
— P'tain, t'es monté, toi ! souffla Bérenger.
Vincent n'avait plus rien dans le crâne : il était tout entier aux mains de cette splendeur, et... Et advint ce qui devait arriver : il s'agenouilla et prit en bouche le bel objet d'iceluy. Qui ne lésina pas sur les décibels !
On changea enfin de position, en sorte que ce bel enfant eut la quéquette de Vincent à portée de main, et qu'il entreprit de le manipuler... non sans talent.
Enfin, les belligérants se firent jouir l'un l'autre... et Vincent avala tout le plaisir de Bérenger, qui soupira enfin :
— P'tain, t'es trop bon, toi ! Première fois qu'on m'avale le jus !...
Vincent, lui, n'était pas plus fier de lui que ça... car il pensait à ce pauvre Armel. Mais on grignota, non sans picoler aussi, et Vincent fut bientôt gêné des gestes de tendresse appuyés du beau Bérenger... Lorsqu'on eut fini la collation, celui-ci demanda :
— Tu reviens demain ? P'tain... Tu sais quoi ? Tu m'as donné envie de sucer...
— Ah ! fit Vincent en s'efforçant de sourire largement.
Dans la rue, Vincent avait les esprits dans tous les sens... mais il ne tarda pas à décider de tout dire à son ami, tout !
Il fila directement chez iceluy : il n'était pas quatre heures. Ça tombait bien qu'il fût un peu gris, car ça lui donnerait le courage de tout déballer : pas question de trahir son ami !
Vincent fut bref et sans fioritures, et Armel accusa le coup.
— Bon... J'ai plus qu'à fermer ma gueule, quoi... lâcha-t-il après un temps d'abattement.
— Non ! Ce mec est hétéro, c'est sûr ! M'enfin... il est du cul, surtout, et t'as toutes tes chances, du moins cet été !
— Mais... souffla Armel, défait.
— Il m'a convoqué demain : tu viens aussi, et hop ! Y dira pas non, j'te jure !
— Maiiis, maiiis... bêla Armel... tu nous vois... tous les deux...
— Si tu veux, je fermerai les yeux !
— Ooooh !... Je... Je sais pas...Non, non... murmura le garçon, mourant.
— Allez ! Je t'assure que tu ne regretteras pas l'expérience !
On continua sur ce thème un petit temps avant de se séparer... où Vincent reçut un appel de Bérenger.
— P'tain, tu m'as bien chauffé, mon p'tit ccohon ! Tu repasserais pas ce soir ? J'ai la pine à l'agonie, depuis ton départ !
— Oh ! Ben... Oui, pourquoi pas ?
Pour sûr que ce mignon puceau n'allait rater la chance de sa jeune vie! Mais il balança, s'il allait ou non en parler à Armel.
Il opta pour le oui et l'appela incontinent.
— Eh ben... Vas-y... et tu me raconteras.
— Viens !
Mais Vincent ne réussit pas à convaincre son ami.
Avait-il éveillé une vocation chez le bel hétéro ? Toujours est-il que celui-ci le reçut en boxer moulant, et avec bulles et petits fours de classe... Vincent opta pour une nouvelle stratégie... après la première flûte :
— Tu m'as demandé si j'avais fait des trucs avec mon pote Armel... Non, mais en fait... je suis sûr qu'il adorerait être là, ce soir.
— Sérieux ? Pour s'amuser, aussi ? Eh ben, pourquoi tu l'appelles pas ? fit Bérenger, l'œil brillant.
Vincent minauda un peu... ce qui eut pour effet que Bérenger insista, l'air tout excité, et il appela enfin son ami. qui refusa tout net.
— Dis-lui qu'on débarque chez lui ! fit Bérenger.
Après de longues négociations, agrémentées d'insolents mensonges, Vincent finit par emporter le morceau :
— Arrête ton vieux refrain ! Bien sûr que tu peux, et vite ! Allez, hop ! Sans vouloir te vexer, t'entendras pas crépiter les flashes des paparazzi en sortant de chez toi !
— Ah ! Ah ! Ah ! éclata Bérenger, quand Vincent eut raccroché. Il est aussi bien monté que toi, ton copain ?
— Justement, je sais pas encore...
— Super ! T'as envie de te le faire, avoue ! — Vincent opina. On va s'éclater, je crois. Jamais vu deux mecs baiser ensemble, moi !
— T'emballe pas !
— Trop tard ! fit Bérenger en virant son boxer, pour montrer son beau chibre en toute sa splendeur.
Et les opérations commencèrent sur le champ. Comme annoncé, Bérenger s'exerça à la sucette... pour laquelle il montra des talents certains ; au reste Vincent ne lésina pas sur les encouragements ni sur les louanges !
Une demi-heure plus tard sonnait Armel... penaud comme tout. Bérenger lui versa une demi-chope de crémant, que l'impétrant dut vider d'un trait, tandis qu'il était déloqué fissa. Il regardait ailleurs, le pauvret, quand Bérenger lui empoigna la quéquette... qui crût promptement, jusqu'à ce que Bérenger émît un long sifflement.
— Ouh ! En ben la Nature t'a pas raté, toi ! Tu mates ça, Vincent ?
Là, les deux minets durent échanger un regard incertain.
— Bon ! Qui fait quoi ? poursuivit Bérenger.
— Eh ben... On te pompe, et toi, tu nous branles, déclara Vincent sur un ton volontaire.
Ainsi fut fait, ce qui amena les garçons à échanger d'inattendus coups de langue, le long de la bite à Bérenger. Et puis les choses évoluèrent selon la courbe naturelle de ces choses... Bérenger demanda :
— Envie d'essayer de sucer... (mensonge, comme vous savez). Vincent, tu me montres comment on fait ? demanda-t-il en désignant la queue d'Armel.
Vincent évita les regard de son ami et plongea vite fait sur son magnifique engin, à l'immense soupir d'iceluy.
— Ouais, p'tain ! Pompe le bien ! Ça m'excite à mort, les mecs ! beugla Bérenger, qui se pencha soudain sur la biroute à Vincent.
Et peu après, Vincent fit signe à Armel de s'emparer de celle dudit... Puis on changea de sens, ce qui eut pour effet de mettre la bite à Vincent dans la bouche d'Armel...
Bérenger se mit à donner des ordres, et les minets obtempérèrent sans renauder : caresses partout, bisous partout, léchouilles partout... et pour finir le baiser bavouilleux... que ces Messieurs espéraient sûrement depuis longtemps, à les voir agir !
On se resuça, rebranla et relécha, avant de jouir ensemble en de forts ahanements.
— Embrassez-vous, les mecs, ça m'excite de vous voir !
On ne se fit pas prier, croyez-m'en !
— Sûr que j'aime les chattes, m'enfin... si vous avez rien de mieux à faire c't été... on recommence quand vous voulez !
— Pourquoi pas ? minauda Vincent, au sourire d'Armel.
La vie changea pour ces jeunes gens, du tout au tout : désormais, on s'amusa tous les jours avec le beau Bérenger, qui présida à toutes les expériences de ces garçons, à commencer par leurs premières pénétrations... auxquelles ils prêta ensuite le secours de son beau gourdin.
Avant quinze jours, les minets s'étaient avoué de tendres sentiments. Aujourd'hui, Bérenger reste l'ami de cœur... et de cul pour ce mignon petit couple.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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