25-08-2020, 12:16 PM
Bonjour !
Voici donc une autre vision des choses...
Patrick & Adelin
De Lange128 :
La chambre d’amis est grande : en plus de deux lits très hauts, avec un matelas mince, il y a le fameux canapé blanc, meubles dessinés par Le Corbusier. Des coussins de soie noire sont posés sur le canapé, Adelin se souvient que la duchesse lui avait dit qu’elle brodait elle-même les dra-gons et autres animaux chimériques sur ceux-ci. Au mur, des dessins d’hommes nus, œuvres des élèves de l’École d’art.
De Louklouk :
Les garçons regardaient étonnés cet étrange décor. Mais ce n’était pas ce qui les intimidait le plus …
Ils savaient qu’en cet endroit… ils passeraient le mo-ment le plus essentiel de leur vie, et… comme ils en étaient impressionnés !
D’où vient qu’ils ne disaient rien. Adelin enfin souffla, en se retournant sur Patrick :
— Ça te plaît ?
— Oh ! C’est… étonnant, mais… oui, oui, ça me plaît !
— Et tu crois que pour… nous deux… ça ira ?
— Oh oui ! fit Patrick avec un immense sourire en se retournant vivement sur son ami, oh oui !
Les garçons s’enlacèrent fortement, et un vif et mouillé baiser unit ces jeunes bouches.
— Il y a une salle de bains, là… On y va ?
Les minets se déloquèrent, chacun de son côté du vaste lit. Adelin déclara :
— Ôte ton pansement, je te le referai ensuite : il y a tout ce qu’il faut ici. Et aussi pour te soigner le mental !
— Hein ?
— Un frigo bourré de crémant de Jura.
— Ah ! Ah ! éclata Patrick, soudain détendu.
La douche fut délicate et tendre. Les garçons bandèrent sans plus de manières que ça. Mais on se contenta de se caresser les parties sacrées, avec douceur et componction.
Caresses qui entretinrent chez ces jeunes Messieurs des roideurs remarquables, croyez-le !
— Comme t’es beau ! souffla Patrick sans regarder son ami.
— Comme t’es magnifique, toi !
— Chut !
Mais ce qui avait été dit n’était pas destiné à être ou-blié…
On attaqua donc une bouteille de crémant… qui n’offrit aucune résistance ; les verres de l’endroit était de Bohême ancienne, pas moins.
Drôle de spectacle que celui de ces fins garçons, posés face à face aux deux bouts d’un superbe sofa Louis XV — qu’Adelin avait affirmé authentique, lui —, nus et raides, et trinquant à l’union des peuples !
— Je l’ai tellement attendu, ce moment, Patrick ! osa enfin ce garçon.
— Moi aussi.
On s’entreregarda en sirotant. Il parut qu’aucun n’osait aller plus loin. On reposa enfin son verre vide sur la table basse, et Adelin en profita pour saisir le poignet de Pa-trick… qui sourit gentiment, et laissa Adelin organiser la suite des événements… espérés.
Plus de crémant, lors ! Mais la délicate salive d’Adelin. Oh ! Qu’ils furent doux à Patrick, les baisers de ce garçon !
— Je sais pas quoi faire, murmura Patrick.
— Peut-être on essaye… d’être tous les deux ?
— Oui… Oh oui, tous les deux…
Adelin prit alors la direction des opérations et se mit à poser des doigts ci et là, sur la fine académie d’un Patrick qui ne tarda pas à sourire, puis à en faire autant sur les beautés d’Adelin.
Mignon jeu… qui mena les timides phalanges de ces garçons un peu partout… y compris en les sites classés, ou supposés tels ! Les garçons changèrent de position moult fois… avant qu’Adelin montrât, du menton, le vaste lit… où l’on se transporta vitement.
Comme on s’y frôla du bout des doigts ! Et comme on s’y regarda avec émotion !
— Est-ce que… nous voudrons ? osa enfin Adelin.
— Je voudrai ce que tu voudras, répondit Patrick.
— T’as envie ?
— De ce que nous avons envie.
— Patrick ! souffla Adelin en prenant tendrement la bouche de Patrick.
Enfin, on s’organisa : Adelin avait tout le gel qu’il fal-lait pour… Mais avant, la langue aimante d’Adelin prépara longuement un Patrick qui gémit, geignit !... Et finit par supplier :
— Tes doigts, s’te plaît !
Lesquels ne tardèrent point à entrer en l’intimité d’un Patrick qui poussa quelques soupirs, certes, mais pas assez pour ameuter la communauté internationale…
Non : juste assez pour faire comprendre à Adelin qu’il faisait ce qu’il fallait… Puis… Adelin souffla :
— Tu veux, là ?
— Oui, viens… Viens, Bébé, viens !
Patrick était sur le dos, et regardait Adelin en les yeux.
Qui le pénétra donc avec la plus grande douceur du monde, et sans plus de difficulté que ça : la préparation avait été bien efficace, sans doute.
Les minets se fixaient, tandis que le joli vit d’Adelin se mettait à coulisser ès profondeurs d’un Patrick qui trouvait ça… bien, bien !
— Tu… Tu… souffla Adelin.
— Oui, c’est bon, Adelin, bon, oui ! Vas-y, comme… comme tu veux ! Vas-y, Adelin !
Et Adelin y alla… oh non de toutes ses forces, mais… avec une application délicate, qui prit cependant de l’ampleur, petit à petit, et sous les encouragements de Patrick devint bientôt une sorte de chevauchée impérieuse où les garçons se mirent à crier…
Il baisa, Adelin, comme un démon, et presque comme s’il eût été condamné à tirer son aimé pour la vie éternelle ! Et même, on oublia de compter les quarts d’heure à ceci utilisés…
Remarquez que Patrick n’aurait pas été contre, en fait. On en revint aux réalités de la vie : point de vie éter-nelle, mais des quarts d’heure, oui…
Enfin, Adelin dut déborder ès profondeurs de Patrick, en le regardant au fond des yeux.
— Je… t’aime ! souffla Adelin en giclant en Patrick.
— Oh…
Silence. Adelin se redressa un peu, enfin :
— Trop bon, mon Bébé ! Oh ! Trop bon !
— C’est bon… toi en moi, murmura Patrick. T’es mon Adelin.
— Quand tu auras cicatrisé, mon Patrick, alors tu me le feras aussi, tu veux ?
— Ce que tu veux… bien sûr que je le ferai, Adelin !
— T’es fou, Patrick !… Oh, je…
— C’est pas moi qu’ai commencé, je crois…
Adelin prit vivement la bouche de Patrick. Avant de le branler doucement.
— Tu me dis si je te fais mal.
— Oui, c’est sensible… mais oui, tu me fais jouir !
Autre moment d’exception, sur les draps de soie de la duchesse !
Où malgré sa douleur, Patrick gicla jusque sur le mu-seau d’Adelin, sous l’énergique manipulation d’iceluy…
Il fallut un petit moment de récupération. Au terme du-quel Patrick souffla, le regard en les yeux de son aimé :
— Je crois, que… Monsieur… Monsieur ! Je crois que je vous aime…
— Oh ! Oh ! Mais ! Moi aussi, je vous aime !
Alors on s’embrassa vivement, et plus encore !...
— Est-ce que… on va refaire l’amour ?
— On va faire l’amour tous les jours de la vie, oh oui ! Oh ! Mon Bien-aimé ! s’écria Adelin.
Voici donc une autre vision des choses...
Patrick & Adelin
De Lange128 :
La chambre d’amis est grande : en plus de deux lits très hauts, avec un matelas mince, il y a le fameux canapé blanc, meubles dessinés par Le Corbusier. Des coussins de soie noire sont posés sur le canapé, Adelin se souvient que la duchesse lui avait dit qu’elle brodait elle-même les dra-gons et autres animaux chimériques sur ceux-ci. Au mur, des dessins d’hommes nus, œuvres des élèves de l’École d’art.
De Louklouk :
Les garçons regardaient étonnés cet étrange décor. Mais ce n’était pas ce qui les intimidait le plus …
Ils savaient qu’en cet endroit… ils passeraient le mo-ment le plus essentiel de leur vie, et… comme ils en étaient impressionnés !
D’où vient qu’ils ne disaient rien. Adelin enfin souffla, en se retournant sur Patrick :
— Ça te plaît ?
— Oh ! C’est… étonnant, mais… oui, oui, ça me plaît !
— Et tu crois que pour… nous deux… ça ira ?
— Oh oui ! fit Patrick avec un immense sourire en se retournant vivement sur son ami, oh oui !
Les garçons s’enlacèrent fortement, et un vif et mouillé baiser unit ces jeunes bouches.
— Il y a une salle de bains, là… On y va ?
Les minets se déloquèrent, chacun de son côté du vaste lit. Adelin déclara :
— Ôte ton pansement, je te le referai ensuite : il y a tout ce qu’il faut ici. Et aussi pour te soigner le mental !
— Hein ?
— Un frigo bourré de crémant de Jura.
— Ah ! Ah ! éclata Patrick, soudain détendu.
La douche fut délicate et tendre. Les garçons bandèrent sans plus de manières que ça. Mais on se contenta de se caresser les parties sacrées, avec douceur et componction.
Caresses qui entretinrent chez ces jeunes Messieurs des roideurs remarquables, croyez-le !
— Comme t’es beau ! souffla Patrick sans regarder son ami.
— Comme t’es magnifique, toi !
— Chut !
Mais ce qui avait été dit n’était pas destiné à être ou-blié…
On attaqua donc une bouteille de crémant… qui n’offrit aucune résistance ; les verres de l’endroit était de Bohême ancienne, pas moins.
Drôle de spectacle que celui de ces fins garçons, posés face à face aux deux bouts d’un superbe sofa Louis XV — qu’Adelin avait affirmé authentique, lui —, nus et raides, et trinquant à l’union des peuples !
— Je l’ai tellement attendu, ce moment, Patrick ! osa enfin ce garçon.
— Moi aussi.
On s’entreregarda en sirotant. Il parut qu’aucun n’osait aller plus loin. On reposa enfin son verre vide sur la table basse, et Adelin en profita pour saisir le poignet de Pa-trick… qui sourit gentiment, et laissa Adelin organiser la suite des événements… espérés.
Plus de crémant, lors ! Mais la délicate salive d’Adelin. Oh ! Qu’ils furent doux à Patrick, les baisers de ce garçon !
— Je sais pas quoi faire, murmura Patrick.
— Peut-être on essaye… d’être tous les deux ?
— Oui… Oh oui, tous les deux…
Adelin prit alors la direction des opérations et se mit à poser des doigts ci et là, sur la fine académie d’un Patrick qui ne tarda pas à sourire, puis à en faire autant sur les beautés d’Adelin.
Mignon jeu… qui mena les timides phalanges de ces garçons un peu partout… y compris en les sites classés, ou supposés tels ! Les garçons changèrent de position moult fois… avant qu’Adelin montrât, du menton, le vaste lit… où l’on se transporta vitement.
Comme on s’y frôla du bout des doigts ! Et comme on s’y regarda avec émotion !
— Est-ce que… nous voudrons ? osa enfin Adelin.
— Je voudrai ce que tu voudras, répondit Patrick.
— T’as envie ?
— De ce que nous avons envie.
— Patrick ! souffla Adelin en prenant tendrement la bouche de Patrick.
Enfin, on s’organisa : Adelin avait tout le gel qu’il fal-lait pour… Mais avant, la langue aimante d’Adelin prépara longuement un Patrick qui gémit, geignit !... Et finit par supplier :
— Tes doigts, s’te plaît !
Lesquels ne tardèrent point à entrer en l’intimité d’un Patrick qui poussa quelques soupirs, certes, mais pas assez pour ameuter la communauté internationale…
Non : juste assez pour faire comprendre à Adelin qu’il faisait ce qu’il fallait… Puis… Adelin souffla :
— Tu veux, là ?
— Oui, viens… Viens, Bébé, viens !
Patrick était sur le dos, et regardait Adelin en les yeux.
Qui le pénétra donc avec la plus grande douceur du monde, et sans plus de difficulté que ça : la préparation avait été bien efficace, sans doute.
Les minets se fixaient, tandis que le joli vit d’Adelin se mettait à coulisser ès profondeurs d’un Patrick qui trouvait ça… bien, bien !
— Tu… Tu… souffla Adelin.
— Oui, c’est bon, Adelin, bon, oui ! Vas-y, comme… comme tu veux ! Vas-y, Adelin !
Et Adelin y alla… oh non de toutes ses forces, mais… avec une application délicate, qui prit cependant de l’ampleur, petit à petit, et sous les encouragements de Patrick devint bientôt une sorte de chevauchée impérieuse où les garçons se mirent à crier…
Il baisa, Adelin, comme un démon, et presque comme s’il eût été condamné à tirer son aimé pour la vie éternelle ! Et même, on oublia de compter les quarts d’heure à ceci utilisés…
Remarquez que Patrick n’aurait pas été contre, en fait. On en revint aux réalités de la vie : point de vie éter-nelle, mais des quarts d’heure, oui…
Enfin, Adelin dut déborder ès profondeurs de Patrick, en le regardant au fond des yeux.
— Je… t’aime ! souffla Adelin en giclant en Patrick.
— Oh…
Silence. Adelin se redressa un peu, enfin :
— Trop bon, mon Bébé ! Oh ! Trop bon !
— C’est bon… toi en moi, murmura Patrick. T’es mon Adelin.
— Quand tu auras cicatrisé, mon Patrick, alors tu me le feras aussi, tu veux ?
— Ce que tu veux… bien sûr que je le ferai, Adelin !
— T’es fou, Patrick !… Oh, je…
— C’est pas moi qu’ai commencé, je crois…
Adelin prit vivement la bouche de Patrick. Avant de le branler doucement.
— Tu me dis si je te fais mal.
— Oui, c’est sensible… mais oui, tu me fais jouir !
Autre moment d’exception, sur les draps de soie de la duchesse !
Où malgré sa douleur, Patrick gicla jusque sur le mu-seau d’Adelin, sous l’énergique manipulation d’iceluy…
Il fallut un petit moment de récupération. Au terme du-quel Patrick souffla, le regard en les yeux de son aimé :
— Je crois, que… Monsieur… Monsieur ! Je crois que je vous aime…
— Oh ! Oh ! Mais ! Moi aussi, je vous aime !
Alors on s’embrassa vivement, et plus encore !...
— Est-ce que… on va refaire l’amour ?
— On va faire l’amour tous les jours de la vie, oh oui ! Oh ! Mon Bien-aimé ! s’écria Adelin.
Amitiés de Louklouk !