Le lendemain, Cylian se réveilla en sursaut. Des mains caressaient son torse et mordillait ses tétons, il s'imaginait que c'était Toni mais ce n'était que William.
Celui-ci le détaillait de ses beaux yeux verts.
William approcha son nez sur le corps de son ami. Sa peau était douce au toucher. Il lui plaqua sa main contre le ventre et sentit la résistance des muscles des abdos.
Cylian, bien conscient cette fois, se mit à parler d'une voie encore un peu lasse.
— Bonjour toi ! Tu révises ta leçon d'anatomie hmmm ?
— Salut Cyl' , c'est mon dernier matin avec toi, donc j'en profite un peu. Je suis rentré dans ta chambre il y a vingt minutes de cela et je suis resté pour t'observer. Tu dormais, avec un visage paisible, tel un ange. J'ai pris le temps de détailler toutes les mèches de tes cheveux et les extrémités de tes cils.
— Tu m'observais ?
— Oui, mais je n'ai pas résisté à toucher ce si beau corps !
— D'ailleurs arrête s'il te plaît ! Tu m'excuseras mais je crois que c'est l'heure de mon érection matinale là !
— Ah oui ? hmmm voyons voir ça...
— Put... Cloudy !
— Laisse toi faire, gros nigaud ! Et si tu pense à ton mec, dis toi que je te le fais de force ! Tu n'auras pas mauvaise conscience comme ça !
Les doigts de William descendirent doucement le torse de Cylian pour faire une halte sur le nombril. L'éthéré serra les dents. La poignée de phalanges continua son chemin sous le caleçon et caressa la toison pubienne pour saisir à pleine main le sexe en érection.
— Hmmm Cloudyyy !
— Éthéré qui soupire n'a pas ce qu'il désire comme dis le proverbe ! Voyons ça de plus près !
William vint se glisser sous la couette chaude et disparut dessous.
Cylian sentit des mains lui baisser le caleçon jusqu'aux genoux et des doigts contre l'extrémité de son gland à moitié décalotté, des lèvres et une langue exploratrice prirent le relais.
Cylian se cambra et agrippa ses doigts contre le sommier, il refoula les pensées de la vertus et s'abandonna à son compagnon.
« Qu'est ce qu'il suce bien ! » se disait il en lui-même. Il fit taire en lui la petite voix qui lui disait « Non ! Tu ne dois pas succomber ! »
Les hostilités étant déclenchés, il décida de répliquer à l'assaut. Il s'enfonça à son tour sous la couette et se mit en 69 avec William. Le corps du blondinet se trouvant au dessus de lui, il n'était nullement gêné par son poids plume. Il avait son caleçon sur son visage et il devinait à l'intérieur la bosse qui se formait. Il suça le sexe turgescent de William à travers, et il entendit William gémir de plaisir.
Échaudé par cette réaction, ses mains ôtèrent à son tour le bout de tissu gênant, et le firent glisser le long des cuisses imberbes du garçon. La queue enfin à l'air libre se détendit d'elle-même et alla se plaquer contre les lèvres du beau garçon aux cheveux châtain.
Il passa les mains au dessus pour caresser les fesses rebondies qui d'instinct, se cambrèrent, et les doigts explorèrent le sillon pour titiller la rosette.
Les lèvres de Cylian s'introduisirent dans le prépuce de William pour recueillir un flot de liquide pré-éjaculatoire salé, puis engloutirent entièrement la verge bien dressée, les petites boules se posant sur le menton duveteux.
Le l'autre coté du front, l'ennemi n'était pas en reste. William enserra ses lèvres contre le membre bien plus gros et plus grand que le sien, montant et descendant.
Après quelques instants, le corps du beau blond se raidit de plaisir et envoya quelques jets de spermes dans la bouche de Cylian, celui-ci fut électrisé à son tour, un feu ardent montant le long de son membre et déchargea à son tour plusieurs salves de liquide blanc qui fouettèrent le palais de William.
Les deux éthérés regagnèrent la surface, et à l'air libre des oreillers ils s'écroulèrent dans les bras l'un de l'autre, s'échangeant des regards pleins de compassion, ils virent des soleils couchants magnifiques dans le regard opposé au leur.
— Les garçons debout !
— Mince ! Ta mère !
Pas le temps pour Cylian de répondre, sa mère fit irruption dans la chambre de son fils.
— Bonjour Cécile, euh... la chambre d'ami doit avoir un problème de chauffage, j'ai un peu eu froid cette nuit, mais ne vous inquiétez pas : la chaleur corporelle est une bonne solution. J'ai pensé à dormir ici comme chez moi avec mon frère !
Cylian, hébété, écoutait William se perdre dans son discours visant à disculper nos deux tourtereaux pris sur le fait dans le même lit.
Cécile coupa net William.
— Cloudy... je suis désolé pour cette nuit, je demanderai à mon mari de vérifier le chauffage dans ta chambre la prochaine fois. Allez, c'est l'heure de prendre le petit dèj !
— Ce n'est rien Cécile, never mind : j'ai passé une très bonne nuit !
— Tant mieux répondit Cécile esquissant un sourire en direction de son invité.
Quelques instants d'après, une fois que les bruits dans l'escalier cessèrent, William se tourna vers le visage de Cylian.
— Merci Cyl'. On n'a rien fait, tu n'as rien vu et je ne t'embrasse pas mais le cœur y est. Et cela dit : c'était génial. tu n'es pas fâché après moi j'espère ? C'est une ancienne coutume de mon pays de coucher avec son hôte le dernier jour. Vois ça comme un... cadeau !
— Pff, tu crois me faire avaler ça ? Objection non retenue votre honneur ! Mais bon, il ne s'est rien passé et c'est juste un délire entre pote. Cela dit, merci William.
Cylian et William déjeunèrent rapidement.
Cylian lança à William la marmelade d'orange achetée par sa mère pour l'occasion.
— Non merci ! Je n'en veux pas ! Passe moi plutôt la confiture de fraise !
William lança à son tour la marmelade en direction de Cylian, qui en échange lui jeta la confiture ainsi que le pain. Ce petit jeu dura un certains temps, Cylian proposait à William du sucre, la bouteille de lait, le tube de café lyophilisé qui les acceptaient ou non, relançant les produits à l'autre bout de la table, les « attrape !, j'aime pas, c'est périmé ça ! » fusèrent, si tant bien qu'à force de pousser le jeu, un pot de yaourt s'écrasa par terre.
— T'es pas doué Cyl'. Même Ghost est plus doué que toi à ce jeu !
Cécile rentra furieuse :
— Bon maintenant à l'école ! Des vrais gamins ! Cylian ! Ton anniversaire est dans une semaine ! Tu sais que tu vas avoir 16 ans ? On ne le dirait pas !
Les deux garçons sautèrent de leurs chaises et déguerpirent sur le champ, un sourire au coin des lèvres.
Ils n'avaient cours que le matin, le sourire de Cylian s'éteignit quand il pensa à son rendez vous avec Jennifer cet après-midi au parc, mais ce qui le tracassait plus que tout, c'était de voir son Apollon être déplaisant voire indifférent à son égard comme il le fit hier.
Pour l'instant, il valait mieux avertir William qu'il avait un rendez-vous après les cours.
— Je dois aller voir une amie Cloudy, cet après-midi, tu pourras rentrer sans moi.
Cloudy opina de la tête sans chercher à comprendre.
Celui-ci le détaillait de ses beaux yeux verts.
William approcha son nez sur le corps de son ami. Sa peau était douce au toucher. Il lui plaqua sa main contre le ventre et sentit la résistance des muscles des abdos.
Cylian, bien conscient cette fois, se mit à parler d'une voie encore un peu lasse.
— Bonjour toi ! Tu révises ta leçon d'anatomie hmmm ?
— Salut Cyl' , c'est mon dernier matin avec toi, donc j'en profite un peu. Je suis rentré dans ta chambre il y a vingt minutes de cela et je suis resté pour t'observer. Tu dormais, avec un visage paisible, tel un ange. J'ai pris le temps de détailler toutes les mèches de tes cheveux et les extrémités de tes cils.
— Tu m'observais ?
— Oui, mais je n'ai pas résisté à toucher ce si beau corps !
— D'ailleurs arrête s'il te plaît ! Tu m'excuseras mais je crois que c'est l'heure de mon érection matinale là !
— Ah oui ? hmmm voyons voir ça...
— Put... Cloudy !
— Laisse toi faire, gros nigaud ! Et si tu pense à ton mec, dis toi que je te le fais de force ! Tu n'auras pas mauvaise conscience comme ça !
Les doigts de William descendirent doucement le torse de Cylian pour faire une halte sur le nombril. L'éthéré serra les dents. La poignée de phalanges continua son chemin sous le caleçon et caressa la toison pubienne pour saisir à pleine main le sexe en érection.
— Hmmm Cloudyyy !
— Éthéré qui soupire n'a pas ce qu'il désire comme dis le proverbe ! Voyons ça de plus près !
William vint se glisser sous la couette chaude et disparut dessous.
Cylian sentit des mains lui baisser le caleçon jusqu'aux genoux et des doigts contre l'extrémité de son gland à moitié décalotté, des lèvres et une langue exploratrice prirent le relais.
Cylian se cambra et agrippa ses doigts contre le sommier, il refoula les pensées de la vertus et s'abandonna à son compagnon.
« Qu'est ce qu'il suce bien ! » se disait il en lui-même. Il fit taire en lui la petite voix qui lui disait « Non ! Tu ne dois pas succomber ! »
Les hostilités étant déclenchés, il décida de répliquer à l'assaut. Il s'enfonça à son tour sous la couette et se mit en 69 avec William. Le corps du blondinet se trouvant au dessus de lui, il n'était nullement gêné par son poids plume. Il avait son caleçon sur son visage et il devinait à l'intérieur la bosse qui se formait. Il suça le sexe turgescent de William à travers, et il entendit William gémir de plaisir.
Échaudé par cette réaction, ses mains ôtèrent à son tour le bout de tissu gênant, et le firent glisser le long des cuisses imberbes du garçon. La queue enfin à l'air libre se détendit d'elle-même et alla se plaquer contre les lèvres du beau garçon aux cheveux châtain.
Il passa les mains au dessus pour caresser les fesses rebondies qui d'instinct, se cambrèrent, et les doigts explorèrent le sillon pour titiller la rosette.
Les lèvres de Cylian s'introduisirent dans le prépuce de William pour recueillir un flot de liquide pré-éjaculatoire salé, puis engloutirent entièrement la verge bien dressée, les petites boules se posant sur le menton duveteux.
Le l'autre coté du front, l'ennemi n'était pas en reste. William enserra ses lèvres contre le membre bien plus gros et plus grand que le sien, montant et descendant.
Après quelques instants, le corps du beau blond se raidit de plaisir et envoya quelques jets de spermes dans la bouche de Cylian, celui-ci fut électrisé à son tour, un feu ardent montant le long de son membre et déchargea à son tour plusieurs salves de liquide blanc qui fouettèrent le palais de William.
Les deux éthérés regagnèrent la surface, et à l'air libre des oreillers ils s'écroulèrent dans les bras l'un de l'autre, s'échangeant des regards pleins de compassion, ils virent des soleils couchants magnifiques dans le regard opposé au leur.
— Les garçons debout !
— Mince ! Ta mère !
Pas le temps pour Cylian de répondre, sa mère fit irruption dans la chambre de son fils.
— Bonjour Cécile, euh... la chambre d'ami doit avoir un problème de chauffage, j'ai un peu eu froid cette nuit, mais ne vous inquiétez pas : la chaleur corporelle est une bonne solution. J'ai pensé à dormir ici comme chez moi avec mon frère !
Cylian, hébété, écoutait William se perdre dans son discours visant à disculper nos deux tourtereaux pris sur le fait dans le même lit.
Cécile coupa net William.
— Cloudy... je suis désolé pour cette nuit, je demanderai à mon mari de vérifier le chauffage dans ta chambre la prochaine fois. Allez, c'est l'heure de prendre le petit dèj !
— Ce n'est rien Cécile, never mind : j'ai passé une très bonne nuit !
— Tant mieux répondit Cécile esquissant un sourire en direction de son invité.
Quelques instants d'après, une fois que les bruits dans l'escalier cessèrent, William se tourna vers le visage de Cylian.
— Merci Cyl'. On n'a rien fait, tu n'as rien vu et je ne t'embrasse pas mais le cœur y est. Et cela dit : c'était génial. tu n'es pas fâché après moi j'espère ? C'est une ancienne coutume de mon pays de coucher avec son hôte le dernier jour. Vois ça comme un... cadeau !
— Pff, tu crois me faire avaler ça ? Objection non retenue votre honneur ! Mais bon, il ne s'est rien passé et c'est juste un délire entre pote. Cela dit, merci William.
Cylian et William déjeunèrent rapidement.
Cylian lança à William la marmelade d'orange achetée par sa mère pour l'occasion.
— Non merci ! Je n'en veux pas ! Passe moi plutôt la confiture de fraise !
William lança à son tour la marmelade en direction de Cylian, qui en échange lui jeta la confiture ainsi que le pain. Ce petit jeu dura un certains temps, Cylian proposait à William du sucre, la bouteille de lait, le tube de café lyophilisé qui les acceptaient ou non, relançant les produits à l'autre bout de la table, les « attrape !, j'aime pas, c'est périmé ça ! » fusèrent, si tant bien qu'à force de pousser le jeu, un pot de yaourt s'écrasa par terre.
— T'es pas doué Cyl'. Même Ghost est plus doué que toi à ce jeu !
Cécile rentra furieuse :
— Bon maintenant à l'école ! Des vrais gamins ! Cylian ! Ton anniversaire est dans une semaine ! Tu sais que tu vas avoir 16 ans ? On ne le dirait pas !
Les deux garçons sautèrent de leurs chaises et déguerpirent sur le champ, un sourire au coin des lèvres.
Ils n'avaient cours que le matin, le sourire de Cylian s'éteignit quand il pensa à son rendez vous avec Jennifer cet après-midi au parc, mais ce qui le tracassait plus que tout, c'était de voir son Apollon être déplaisant voire indifférent à son égard comme il le fit hier.
Pour l'instant, il valait mieux avertir William qu'il avait un rendez-vous après les cours.
— Je dois aller voir une amie Cloudy, cet après-midi, tu pourras rentrer sans moi.
Cloudy opina de la tête sans chercher à comprendre.