21-08-2024, 12:56 PM
Dans le salon, chacun des convives prirent place, au milieu de la table, un plat de frites et de viande rouge attendaient d'être consommés.
La mère de Cylian rompit le silence :
— Ton copain ne dit rien ?
— Sûrement que sa petite copine lui manque ! répondit le père de Cylian.
Ayant compris les paroles en français, William hoqueta et avala de travers une poignée de frites, son verre de jus de fruit se renversa sur la nappe.
— Cylian étouffa de rire, il était plié sur sa chaise, incapable de manger alors que William devint rouge comme une pivoine.
— Je crois que j'ai vu juste ! gloussa le père de Cylian avec un sourire jovial.
Cylian ne s'arrêta de rire qu'à la suite d'un coup de pied de William dans son tibia. Le coup changea son visage en un modèle de sérieux difficile à concilier avec des larmes de douleur provenant de sa jambe touchée.
Le repas fini, Cylian se replia stratégiquement dans sa chambre pour appeler Toni. Il était curieux de savoir comment cela se passait chez lui.
— Hey beau blond ça va ?
— Re-salut toi !
— Alors comment sa se passe pour toi ?
— Oh bien ! Jonathan et Kevin s'entendent à merveille, ils déconnent bien ensemble. Ils ont apprécié mes spaghettis bolognaise. Tout à l'heure, c'était la bataille d'eau dans la cuisine. J'ai passé une heure à tout ranger. Le sale morveux, il va me le payer ! Jonathan est un « Hurleur » il nous a montré ce que ça donnait en fin de repas en poussant un cri. T'imagines même pas le résultat : les vitres ont tremblées à la limite de se briser, les livres sur l'étagère se sont cassés la gueule et les voisins nous ont rendu visite, inquiets de cris étranges. Et nous trempés jusqu'aux os, se sentant comme des cons, on a eu bien du mal à leur expliquer que tout allait bien.
— Excellent ! Comme j'aurai aimé être avec toi mon cœur, ici c'est moins drôle : Cloudy est bizarre, j'espère arriver à le cerner, et je ne sais pas encore quel est son don. Enfin j'ai bien aimé quand mes parents lui ont demandé s'il était pensif à cause de sa copine !
Il entendit Toni rigoler.
— Bon Cyl', je te laisse, il y a Kevin qui demande à Jonathan de briser quelques verres à la seule force de sa voix, je te laisse avant que ce soit l'enfer ici ! Bye a demain bisous.
— Bye mon cœur, je file à la douche et puis dodo ! Bisous à demain !
En raccrochant Cylian entendit dans le téléphone un cri aigu, assourdissant, suivit d'un son de bris de verre et la voix de Toni s'élevant pour dire :
— Merde ! Vous êtes vraiment débiles ! Y a du verre partout maintenant !
Après cela, Cylian décida d'aller voir comment se portait son hôte, il passa devant la chambre d'amis, et osa jeter un œil...
Personne ? Sur le lit, une dizaine de bandes dessinés étaient étalés... mais où était Cloudy ?
Il se demanda s'il n'avait pas le pouvoir de disparaître d'un endroit pour tomber dieu sait où ?
« Eh bien, il ne s'embête pas lui ! Me prendre mes BD sans me demander mon avis ! Bientôt il va me taxer ma PS 3 ! »
Cylian entendait parler sa conscience au fond de lui, qu'il devait être plus tolérant. C'était peut être parce qu'il est fils unique qu'il réagissait comme ça.
Oubliant cet incident il se mit en boxer dans sa chambre et gagna la salle de bain pour prendre une douche, arrivé sur les lieux il ferma la porte et se retourna... nez a nez avec William entièrement à poil qui venait de prendre sa douche, ses yeux descendirent sur le sexe de William assez petit et recouvert entièrement par le prépuce. Sa verge se balançait mollement, seuls quelque poils blonds autour et des petites boules imberbes pendaient remarquablement sous sa queue.
Cylian sentit son bas ventre réagir devant ce spectacle avant de déclarer le « Oh pardon ! » de circonstance dans ses cas là.
— Non reste !
William s'approcha de son ami et se colla a lui.
Il l'embrassa sur les lèvres délicatement.
— Tu es vraiment mignon, lui dit il.
Il sentait contre son sexe l'entrejambe de Cylian gonfler et durcir.
William se mit à quatre pattes et baissa doucement le boxer de Cylian.
Le sexe du beau gosse au cheveux châtain sorti comme un diable de sa boite.
William commençait à bander, il prit doucement la tige raide de Cylian et commença à faire des va-et-vient, libérant son gland turgescent, William lui caressait les bonbons, le doux contact velouté entre ses doigts.
Cylian étouffa un cri :
— Non je ne peux pas !
Il sorti en vitesse de la salle de bain et se rhabilla pour sortir prendre l'air.
L'air si pur ! La nuit si étoilée ! La pleine lune éclairait les champs alentours...
Trop de questions trottaient dans sa tête. Il avait besoin de courir, d'être seul. Il ne fallait pas ! Il trompait Toni !
C'est alors que William le rejoint dehors, rhabillé...
— Excuse moi je ne voulais pas te blesser, je voulais juste passer un bon moment !
— Ah oui ?
Dans ce cas j'accepte ! Mais essaye de me suivre ! Là où personne ne peut aller ! Si tu me veux, viens me chercher ! Lança Cylian sur un air de défi.
À ces mots un sifflement envahit l'air et Cylian s'éleva au dessus du sol...
Le visage de William s'illumina.
— Enfin ! Tu t'es décidé à montrer ce que tu sais faire !
— Qu.. quoi ?
Le visage de William se fendit d'un sourire complice et ses yeux s'illuminèrent.
Doucement, partant du sol, un autre chuintement s'éleva dans l'air du soir comme un écho en réponse au premier...
Cylian se figea de stupeur ! Il connaissait bien cette vibration, mais... elle ne venait pas de lui !
Non ! Ce n'est pas possible ! ! !
Et là, il vit William qui s'éleva à son tour à quelques mètres du sol pour atteindre Cylian, il le défia d'un regard de feu, à hauteur de ses yeux, ses prunelles luisaient dans la nuit.
Deux anges se faisant face !
Cylian crut voir en William un reflet déformé de sa propre personne comme à travers un... miroir !
William sourit de toutes ses dents et déclara d'un ton le plus sérieux du monde :
— Voyons Cylian ! Tu pensais vraiment être le seul éthéré sur Terre ?
La mère de Cylian rompit le silence :
— Ton copain ne dit rien ?
— Sûrement que sa petite copine lui manque ! répondit le père de Cylian.
Ayant compris les paroles en français, William hoqueta et avala de travers une poignée de frites, son verre de jus de fruit se renversa sur la nappe.
— Cylian étouffa de rire, il était plié sur sa chaise, incapable de manger alors que William devint rouge comme une pivoine.
— Je crois que j'ai vu juste ! gloussa le père de Cylian avec un sourire jovial.
Cylian ne s'arrêta de rire qu'à la suite d'un coup de pied de William dans son tibia. Le coup changea son visage en un modèle de sérieux difficile à concilier avec des larmes de douleur provenant de sa jambe touchée.
Le repas fini, Cylian se replia stratégiquement dans sa chambre pour appeler Toni. Il était curieux de savoir comment cela se passait chez lui.
— Hey beau blond ça va ?
— Re-salut toi !
— Alors comment sa se passe pour toi ?
— Oh bien ! Jonathan et Kevin s'entendent à merveille, ils déconnent bien ensemble. Ils ont apprécié mes spaghettis bolognaise. Tout à l'heure, c'était la bataille d'eau dans la cuisine. J'ai passé une heure à tout ranger. Le sale morveux, il va me le payer ! Jonathan est un « Hurleur » il nous a montré ce que ça donnait en fin de repas en poussant un cri. T'imagines même pas le résultat : les vitres ont tremblées à la limite de se briser, les livres sur l'étagère se sont cassés la gueule et les voisins nous ont rendu visite, inquiets de cris étranges. Et nous trempés jusqu'aux os, se sentant comme des cons, on a eu bien du mal à leur expliquer que tout allait bien.
— Excellent ! Comme j'aurai aimé être avec toi mon cœur, ici c'est moins drôle : Cloudy est bizarre, j'espère arriver à le cerner, et je ne sais pas encore quel est son don. Enfin j'ai bien aimé quand mes parents lui ont demandé s'il était pensif à cause de sa copine !
Il entendit Toni rigoler.
— Bon Cyl', je te laisse, il y a Kevin qui demande à Jonathan de briser quelques verres à la seule force de sa voix, je te laisse avant que ce soit l'enfer ici ! Bye a demain bisous.
— Bye mon cœur, je file à la douche et puis dodo ! Bisous à demain !
En raccrochant Cylian entendit dans le téléphone un cri aigu, assourdissant, suivit d'un son de bris de verre et la voix de Toni s'élevant pour dire :
— Merde ! Vous êtes vraiment débiles ! Y a du verre partout maintenant !
Après cela, Cylian décida d'aller voir comment se portait son hôte, il passa devant la chambre d'amis, et osa jeter un œil...
Personne ? Sur le lit, une dizaine de bandes dessinés étaient étalés... mais où était Cloudy ?
Il se demanda s'il n'avait pas le pouvoir de disparaître d'un endroit pour tomber dieu sait où ?
« Eh bien, il ne s'embête pas lui ! Me prendre mes BD sans me demander mon avis ! Bientôt il va me taxer ma PS 3 ! »
Cylian entendait parler sa conscience au fond de lui, qu'il devait être plus tolérant. C'était peut être parce qu'il est fils unique qu'il réagissait comme ça.
Oubliant cet incident il se mit en boxer dans sa chambre et gagna la salle de bain pour prendre une douche, arrivé sur les lieux il ferma la porte et se retourna... nez a nez avec William entièrement à poil qui venait de prendre sa douche, ses yeux descendirent sur le sexe de William assez petit et recouvert entièrement par le prépuce. Sa verge se balançait mollement, seuls quelque poils blonds autour et des petites boules imberbes pendaient remarquablement sous sa queue.
Cylian sentit son bas ventre réagir devant ce spectacle avant de déclarer le « Oh pardon ! » de circonstance dans ses cas là.
— Non reste !
William s'approcha de son ami et se colla a lui.
Il l'embrassa sur les lèvres délicatement.
— Tu es vraiment mignon, lui dit il.
Il sentait contre son sexe l'entrejambe de Cylian gonfler et durcir.
William se mit à quatre pattes et baissa doucement le boxer de Cylian.
Le sexe du beau gosse au cheveux châtain sorti comme un diable de sa boite.
William commençait à bander, il prit doucement la tige raide de Cylian et commença à faire des va-et-vient, libérant son gland turgescent, William lui caressait les bonbons, le doux contact velouté entre ses doigts.
Cylian étouffa un cri :
— Non je ne peux pas !
Il sorti en vitesse de la salle de bain et se rhabilla pour sortir prendre l'air.
L'air si pur ! La nuit si étoilée ! La pleine lune éclairait les champs alentours...
Trop de questions trottaient dans sa tête. Il avait besoin de courir, d'être seul. Il ne fallait pas ! Il trompait Toni !
C'est alors que William le rejoint dehors, rhabillé...
— Excuse moi je ne voulais pas te blesser, je voulais juste passer un bon moment !
— Ah oui ?
Dans ce cas j'accepte ! Mais essaye de me suivre ! Là où personne ne peut aller ! Si tu me veux, viens me chercher ! Lança Cylian sur un air de défi.
À ces mots un sifflement envahit l'air et Cylian s'éleva au dessus du sol...
Le visage de William s'illumina.
— Enfin ! Tu t'es décidé à montrer ce que tu sais faire !
— Qu.. quoi ?
Le visage de William se fendit d'un sourire complice et ses yeux s'illuminèrent.
Doucement, partant du sol, un autre chuintement s'éleva dans l'air du soir comme un écho en réponse au premier...
Cylian se figea de stupeur ! Il connaissait bien cette vibration, mais... elle ne venait pas de lui !
Non ! Ce n'est pas possible ! ! !
Et là, il vit William qui s'éleva à son tour à quelques mètres du sol pour atteindre Cylian, il le défia d'un regard de feu, à hauteur de ses yeux, ses prunelles luisaient dans la nuit.
Deux anges se faisant face !
Cylian crut voir en William un reflet déformé de sa propre personne comme à travers un... miroir !
William sourit de toutes ses dents et déclara d'un ton le plus sérieux du monde :
— Voyons Cylian ! Tu pensais vraiment être le seul éthéré sur Terre ?