24-08-2020, 07:31 PM
Le lendemain, je me lève tôt pour aller préparer le petit déjeuner comme je l’avais promis. Je prépare une pâte à pancakes et je commence à les cuire en ajoutant au dernier moment quelques myrtilles fraiches.
« - Ça sent bon !
Je me retourne et aperçois Claire dans l’embrasure de la porte.
- Tu t’es levée tôt aujourd'hui, lui dis-je.
- Ça m’arrive. Qu’est-ce que tu nous prépares de beau ?
Nous parlons cuisine pendant un moment pour finir par un échange plutôt intéressant :
- Tu sais faire les mille-feuilles ? me demande ma cousine.
- Oui, j’en fais de temps en temps. Tu aimes ça ?
- J’adore ! Je crois que je pourrais fondre pour n’importe quelle personne qui m’offrirait un mille-feuille.
- J’y penserai ! lui réponds-je avec un ricanement. »
Je me promets de lui confectionner un mille-feuilles un de ces jours, je crois que j’ai très envie de faire fondre ma cousine.
Le reste de la matinée se passe sans événement notable et à midi, mon oncle nous propose de profiter du soleil, particulièrement éclatant aujourd'hui, pour aller à la piscine. Claire et moi trouvons l’idée excellente et nous donnons rendez-vous au bord du bassin pour 14 heures.
J’arrive un peu en retard au rendez-vous. Après avoir contourné la maison en suivant un petit chemin en gravier, j’arrive au bord de la piscine. Claire est déjà entrain de nager.
« - Viens, me dit-elle, l’eau est chaude ! »
Je constate que ma cousine avait raison de dire que ma chambre est la seule pièce de la maison à avoir une vue sur la piscine. Entre le bassin et le mur se trouvent trois transats. Je pose ma serviette et mes vêtements sur l’un d’eux et me jette à l’eau.
J’ai remarqué que Claire regardait avec insistance mon torse aux abdos bien dessinés et c’est donc sans culpabilité que je l’observe à mon tour. Elle porte un maillot de bain de sport une pièce noir et bleu qui lui comprime la poitrine et la maintient en place mais laisse deviner ses tétons qui forment un léger relief. Son maillot et fermé derrière par une petite fermeture éclaire.
Le bassin a des dimensions très respectables mais est peu profond : j’ai pied partout. Une bataille d’eau commence et ma cousine m’envoie de l’eau dans les yeux sans discontinuer. Je recule autant que je peux jusqu'à buter contre le bord de la piscine. Impossible de battre en retraite plus longtemps ! Je passe donc à l’attaque en attrapant ma cousine par la taille et en la jetant loin de moi. Elle ressort de l’eau en riant et la bataille reprend. J’essaye une nouvelle fois de l’attraper par la taille mais cette fois, ma main dérape sur le tissu de son maillot et par accident, je touche le bas de son sein droit avant de la jeter plus loin.
J’ai le rouge aux joues mais ma cousine fait comme si de rien n’était. Nous continuons à jouer dans l’eau pendant un long moment encore puis je décide de remonter à la chambre et je sors de l’eau.
« - Pars devant, je vais rester ici pour bronzer un peu ! me dit-elle. Le soleil est idéal !
Elle sort à son tour de l’eau. Son corps est magnifique et avec ses cheveux ruisselants sur lesquels le soleil se reflète, elle a l’air d’une vraie sirène.
- Cyril, tu peux m’aider une seconde avant de remonter s’il-te-plait ?
- Oui bien sûr !
Elle me tourne le dos.
- Tu peux descendre la fermeture éclaire pour moi ? »
Heureusement qu’elle est de dos sinon Claire aurait vu le début d’érection que sa requête avait provoqué chez moi. Je m’approche d’elle et faisant bien attention à ce que mon sexe qui commence à durcir ne rentre pas en contact avec ses fesses. Je prends la languette de la fermeture éclaire entre deux doigts et je la tire vers le bas. Je la descends lentement pour profiter au maximum du moment présent ! Un bout du dos de Claire se dévoile peu à peu ; je vois le bord de ses omoplates et la fermeture éclaire descend le long du creux de sa colonne vertébrale. La peau de son dos est lisse, magnifique et parsemée à certains endroits de grains de beauté. Il me faut fournir un effort surhumain pour résister à la tentation de la toucher. Et je descends encore la languette jusqu’au losange de Michaelis de ma cousine avant de m’arrêter.
« - Descend la bien jusqu’en bas s’il-te-plait.
Docilement, je descends la languette le plus bas possible. Je peux maintenant voir le départ de ses deux belles fesses qui, elles, sont encore cachées par le bas du maillot.
- Merci pour ton aide ! - De rien, bafouillé-je. »
Et je pars au pas de course, en espérant qu’elle n’a pas vu mon érection.
Je monte en vitesse dans ma chambre pour me désexciter mais en y entrant je constate que j’ai laissé ma fenêtre ouverte avant d’aller nager. C’était une bonne idée, finalement, de vouloir aérer la pièce… Tout doucement, je m’avance jusqu’à la fenêtre. Sans bruit, je me penche en avant.
La vue est pour ainsi dire… inimitable !
« - Ça sent bon !
Je me retourne et aperçois Claire dans l’embrasure de la porte.
- Tu t’es levée tôt aujourd'hui, lui dis-je.
- Ça m’arrive. Qu’est-ce que tu nous prépares de beau ?
Nous parlons cuisine pendant un moment pour finir par un échange plutôt intéressant :
- Tu sais faire les mille-feuilles ? me demande ma cousine.
- Oui, j’en fais de temps en temps. Tu aimes ça ?
- J’adore ! Je crois que je pourrais fondre pour n’importe quelle personne qui m’offrirait un mille-feuille.
- J’y penserai ! lui réponds-je avec un ricanement. »
Je me promets de lui confectionner un mille-feuilles un de ces jours, je crois que j’ai très envie de faire fondre ma cousine.
Le reste de la matinée se passe sans événement notable et à midi, mon oncle nous propose de profiter du soleil, particulièrement éclatant aujourd'hui, pour aller à la piscine. Claire et moi trouvons l’idée excellente et nous donnons rendez-vous au bord du bassin pour 14 heures.
J’arrive un peu en retard au rendez-vous. Après avoir contourné la maison en suivant un petit chemin en gravier, j’arrive au bord de la piscine. Claire est déjà entrain de nager.
« - Viens, me dit-elle, l’eau est chaude ! »
Je constate que ma cousine avait raison de dire que ma chambre est la seule pièce de la maison à avoir une vue sur la piscine. Entre le bassin et le mur se trouvent trois transats. Je pose ma serviette et mes vêtements sur l’un d’eux et me jette à l’eau.
J’ai remarqué que Claire regardait avec insistance mon torse aux abdos bien dessinés et c’est donc sans culpabilité que je l’observe à mon tour. Elle porte un maillot de bain de sport une pièce noir et bleu qui lui comprime la poitrine et la maintient en place mais laisse deviner ses tétons qui forment un léger relief. Son maillot et fermé derrière par une petite fermeture éclaire.
Le bassin a des dimensions très respectables mais est peu profond : j’ai pied partout. Une bataille d’eau commence et ma cousine m’envoie de l’eau dans les yeux sans discontinuer. Je recule autant que je peux jusqu'à buter contre le bord de la piscine. Impossible de battre en retraite plus longtemps ! Je passe donc à l’attaque en attrapant ma cousine par la taille et en la jetant loin de moi. Elle ressort de l’eau en riant et la bataille reprend. J’essaye une nouvelle fois de l’attraper par la taille mais cette fois, ma main dérape sur le tissu de son maillot et par accident, je touche le bas de son sein droit avant de la jeter plus loin.
J’ai le rouge aux joues mais ma cousine fait comme si de rien n’était. Nous continuons à jouer dans l’eau pendant un long moment encore puis je décide de remonter à la chambre et je sors de l’eau.
« - Pars devant, je vais rester ici pour bronzer un peu ! me dit-elle. Le soleil est idéal !
Elle sort à son tour de l’eau. Son corps est magnifique et avec ses cheveux ruisselants sur lesquels le soleil se reflète, elle a l’air d’une vraie sirène.
- Cyril, tu peux m’aider une seconde avant de remonter s’il-te-plait ?
- Oui bien sûr !
Elle me tourne le dos.
- Tu peux descendre la fermeture éclaire pour moi ? »
Heureusement qu’elle est de dos sinon Claire aurait vu le début d’érection que sa requête avait provoqué chez moi. Je m’approche d’elle et faisant bien attention à ce que mon sexe qui commence à durcir ne rentre pas en contact avec ses fesses. Je prends la languette de la fermeture éclaire entre deux doigts et je la tire vers le bas. Je la descends lentement pour profiter au maximum du moment présent ! Un bout du dos de Claire se dévoile peu à peu ; je vois le bord de ses omoplates et la fermeture éclaire descend le long du creux de sa colonne vertébrale. La peau de son dos est lisse, magnifique et parsemée à certains endroits de grains de beauté. Il me faut fournir un effort surhumain pour résister à la tentation de la toucher. Et je descends encore la languette jusqu’au losange de Michaelis de ma cousine avant de m’arrêter.
« - Descend la bien jusqu’en bas s’il-te-plait.
Docilement, je descends la languette le plus bas possible. Je peux maintenant voir le départ de ses deux belles fesses qui, elles, sont encore cachées par le bas du maillot.
- Merci pour ton aide ! - De rien, bafouillé-je. »
Et je pars au pas de course, en espérant qu’elle n’a pas vu mon érection.
Je monte en vitesse dans ma chambre pour me désexciter mais en y entrant je constate que j’ai laissé ma fenêtre ouverte avant d’aller nager. C’était une bonne idée, finalement, de vouloir aérer la pièce… Tout doucement, je m’avance jusqu’à la fenêtre. Sans bruit, je me penche en avant.
La vue est pour ainsi dire… inimitable !