24-08-2020, 07:27 PM
Je fus tiré de ma rêverie nostalgique par un juron de mon père qui venait de se tromper de route... Je tâchais pour ma part de cacher et de calmer mon érection naissante en croisant les jambes et en sortant un livre. Finalement, la maison de Claire apparût au loin. Vue de l'extérieur, elle avait l'air immense. Elle était un peu isolée et surélevée par rapport à la campagne environnante. "Pas de vis à vis", pensais-je. Mon père gara la voiture à côté de celle de mon oncle, dans une petite cour en gravier que la maison surplombait du haut de ses deux étages. Il klaxonna pour signaler notre arrivée et nous vîmes bientôt mon oncle, ma tante et ma cousine, tout sourire, nous rejoindre dans la cour pour nous accueillir.
Quelques minutes après, nous nous retrouvions attablés tous les 6, dans le salon. La pièce, très lumineuse, était élégamment décorée d’une manière moderne. La conversation entre mes parents et ceux de Claire était déjà très animée mais, bien que nous ayons échangés quelques sourires timides, nous restions plutôt silencieux. J’attendais avec impatience le moment ou nous nous retrouverions seuls. Mon oncle avait acheté un énorme gâteau pour fêter notre arrivée et ma mère, par association d’idées, fanfaronna que j’étais doué en cuisine. Après quelques plaisanteries sur le sujet, ma tante me dit que si je voulais cuisiner quoi que ce soit, j’avais carte blanche. Je lui offris donc de m’occuper du petit déjeuner du lendemain matin.
« -Claire, si tu faisais visiter la maison à ton cousin ?
-Oui, bien sûr, allons-y ! répondit-elle.
- Enfin ! pensai-je »
Pendant la visite du premier étage, j’observais ma cousine. Elle était plutôt petite, je dirais un bon mètre 60. Ses yeux étaient entre le bleu et le vert ; ses cheveux blonds et obscurcis par quelques mèches plus foncées lui tombaient derrière le dos en dégageant ses épaules. Elle portait un jeans moulant et un débardeur décolleté noir qui mettait en valeur sa poitrine généreuse. Celle-ci était maintenu fermement par un soutien gorge dont je ne pouvais voir qu’un bout de bretelle et qui lui donnait une jolie forme. Ses aisselles, parfaitement épilées, étaient laissées nues par le débardeur et elle avait vraiment d’adorables épaules.
« -Montons au deuxième étage, dit-elle. C’est là que se trouve ma chambre. Mes parents ne vont jamais là haut alors c’est un peu mon coin à moi !
-Je te suis »
Elle m’amena à l’escalier et commença à en gravir les marches. Je le suivis, un peu en retrait, si bien que ma tête se trouvait maintenant à la même hauteur que ses fesses…
Celles-ci étaient légèrement rebondies et bien moulées par le jeans. J’aurais aimé pouvoir m’assurer de leur fermeté mais ça aurait été une drôle de façon de renouer avec Claire… Ma cousine est bien proportionnée du reste : fine mais avec une carrure solide ; elle a des taches de rousseur à peine visibles sur le nez et sur les bras qui lui donnent du charme.
L’étage est constitué d’un long couloir avec différentes pièces de chaque côté. A droite, un salon avec canapé, télévision et table à jeux. Plus loin, une pièce d’eau avec toilettes et salle de bain. A gauche, la chambre de ma cousine. Elle m’invite à y entrer. Je remarque immédiatement une porte contre un des murs, le grand lit double et, à l’opposée, un canapé-lit déplié. J’imagine déjà les nuits passées à dormir dans se canapé-lit, tout près de ma cousine.
« - Voilà ma chambre, ici mon lit, et ici le canapé lit où va dormir… Marianne quand elle arrivera.
J’essaye de cacher ma déception derrière un sourire.
- Qui est Marianne ?
- Ma meilleure amie, elle va passer quelques jours avec nous ! Ca ne te dérange pas j’espère ?
-Non non, pas du tout ! Je suis sûr qu’on va bien s’entendre tous les 3."
Pour les nuits passées dans la même pièce que Claire, c’est mort… Il ne me reste plus qu’à découvrir l’endroit où je vais dormir. Ma chambre se trouve justement tout au bout du couloir.
"-Tu as de la chance, me dit ma cousine. C’est la seule pièce de la maison qui a une vue sur la piscine. Tes parents dormiront dans la chambre d’ami au rez-de-chaussée, au fait."
En effet, depuis ma fenêtre, j’ai vue sur la piscine et j’ai un bel ensoleillement plein Sud. La décoration est simple mais elle me plaît, le lit a l’air confortable. Au moins je ne moisirai pas dans une petite pièce obscure et exigüe… on se console comme on peut.
Ma cousine me propose de l’accompagner dans son footing du soir, ce que j’accepte. Nous discutons un peu au début, mais très vite, elle s’essouffle et se tait pour se concentrer sur sa course. Sa respiration est saccadée et ses halètements ne sont pas sans me rappeler quelque chose…
A notre retour, nous jouons une partie d’échec. « Celui qui perd a un gage », propose ma cousine. J’accepte et je perds... A peine ma défaite entérinée, mon oncle nous crie depuis en bas :
"- Douchez-vous les jeunes, on passe à table dans une demie heure !
- Vas-y en premier, lui proposé-je galamment en désignant du doigt la salle de bain du couloir.
- T’inquiète pas, j’ai ma propre salle de bain dans ma chambre. Toi, prends celle du couloir. Il doit déjà y avoir une serviette propre pour toi… Et n’oublie pas… tu me dois un gage", ajoute-t-elle malicieusement.
Je prends donc ma douche. Au moins, maintenant je sais que la porte que j’avais remarquée dans la chambre de Claire donne sur sa salle de bain. La soirée se passe dans le calme et, fatigué par le voyage et le footing, je décide de me coucher tôt. Je lis un peu avant d’éteindre ma lampe de chevet et de me glisser sous les draps. Mais peu de temps après, je suis réveillé par le bruit de quelqu’un qui gratte à ma porte…
La porte s’entrouvre et, mes yeux s’étant habitués à l’obscurité, je reconnais Claire.
« - Tu ne dors pas ? dis-je.
- Non… Ca te dirait de discuter un peu, on n'a pas encore eu trop l’occasion mais il faut bien qu’on apprenne à se connaitre.
- Oui, bien sur, avec plaisir !
- Cool ! Suis moi alors.
Nous allons dans sa chambre et elle s’assied sur son lit tandis que je m’assois en face d’elle sur le canapé. Nos visages sont éclairés par la lampe de chevet qui diffuse une lumière tamisée, toute en ombres et en contrastes.
- Tu ne crois pas que si nos parents nous voient ici ils vont trouver ça bizarre ?
- Pas de risque ! Je t’ai dit, ils ne viennent quasiment jamais ici, surtout à cette heure là et puis de toute façon, les escaliers grincent tellement fort qu’on les entendrait arriver quoi qu’il arrive ! »
Me voilà rassuré. Je me détends donc et profite de la conversation pour dévorer ma cousine des yeux. Elle porte une nuisette assez fine, noire et rouge qui met ses bras et ses jambes nus bien en évidence. A travers le tissu, je crois pouvoir deviner le forme du soutien gorge qui maintient sa poitrine. Claire a croisé les jambes, c’est une sage décision parce que la nuisette est courte et dans notre position actuelle, je risquais à tout moment d’entrevoir sa culotte.
J’appris beaucoup de choses sur ma cousine au cours de cette discussion. Son lycée se trouvait en ville et son père l’y emmenait en voiture tous les matins en allant au travail. C’est là qu’elle avait rencontré Marianne et elles étaient rapidement devenues inséparables. Elle me raconta comment elle avait eu du mal à concilier d’un coté ses résultats scolaires toujours très bons et de l’autre, ses relations amicales ou amoureuses avec des garçons plutôt turbulents. J’appris, info importante, qu’elle était célibataire depuis 6 mois ! Elle se moqua gentiment de moi quand je lui dis que j’aimais bien la poésie et je lui rendis sa plaisanterie quand elle déclara être fan de comédies musicales. Finalement, ma cousine me raccompagna jusqu’à ma chambre et me souhaita une bonne nuit en déposant un baiser sur ma joue. Je dormis très bien cette nuit là.
Quelques minutes après, nous nous retrouvions attablés tous les 6, dans le salon. La pièce, très lumineuse, était élégamment décorée d’une manière moderne. La conversation entre mes parents et ceux de Claire était déjà très animée mais, bien que nous ayons échangés quelques sourires timides, nous restions plutôt silencieux. J’attendais avec impatience le moment ou nous nous retrouverions seuls. Mon oncle avait acheté un énorme gâteau pour fêter notre arrivée et ma mère, par association d’idées, fanfaronna que j’étais doué en cuisine. Après quelques plaisanteries sur le sujet, ma tante me dit que si je voulais cuisiner quoi que ce soit, j’avais carte blanche. Je lui offris donc de m’occuper du petit déjeuner du lendemain matin.
« -Claire, si tu faisais visiter la maison à ton cousin ?
-Oui, bien sûr, allons-y ! répondit-elle.
- Enfin ! pensai-je »
Pendant la visite du premier étage, j’observais ma cousine. Elle était plutôt petite, je dirais un bon mètre 60. Ses yeux étaient entre le bleu et le vert ; ses cheveux blonds et obscurcis par quelques mèches plus foncées lui tombaient derrière le dos en dégageant ses épaules. Elle portait un jeans moulant et un débardeur décolleté noir qui mettait en valeur sa poitrine généreuse. Celle-ci était maintenu fermement par un soutien gorge dont je ne pouvais voir qu’un bout de bretelle et qui lui donnait une jolie forme. Ses aisselles, parfaitement épilées, étaient laissées nues par le débardeur et elle avait vraiment d’adorables épaules.
« -Montons au deuxième étage, dit-elle. C’est là que se trouve ma chambre. Mes parents ne vont jamais là haut alors c’est un peu mon coin à moi !
-Je te suis »
Elle m’amena à l’escalier et commença à en gravir les marches. Je le suivis, un peu en retrait, si bien que ma tête se trouvait maintenant à la même hauteur que ses fesses…
Celles-ci étaient légèrement rebondies et bien moulées par le jeans. J’aurais aimé pouvoir m’assurer de leur fermeté mais ça aurait été une drôle de façon de renouer avec Claire… Ma cousine est bien proportionnée du reste : fine mais avec une carrure solide ; elle a des taches de rousseur à peine visibles sur le nez et sur les bras qui lui donnent du charme.
L’étage est constitué d’un long couloir avec différentes pièces de chaque côté. A droite, un salon avec canapé, télévision et table à jeux. Plus loin, une pièce d’eau avec toilettes et salle de bain. A gauche, la chambre de ma cousine. Elle m’invite à y entrer. Je remarque immédiatement une porte contre un des murs, le grand lit double et, à l’opposée, un canapé-lit déplié. J’imagine déjà les nuits passées à dormir dans se canapé-lit, tout près de ma cousine.
« - Voilà ma chambre, ici mon lit, et ici le canapé lit où va dormir… Marianne quand elle arrivera.
J’essaye de cacher ma déception derrière un sourire.
- Qui est Marianne ?
- Ma meilleure amie, elle va passer quelques jours avec nous ! Ca ne te dérange pas j’espère ?
-Non non, pas du tout ! Je suis sûr qu’on va bien s’entendre tous les 3."
Pour les nuits passées dans la même pièce que Claire, c’est mort… Il ne me reste plus qu’à découvrir l’endroit où je vais dormir. Ma chambre se trouve justement tout au bout du couloir.
"-Tu as de la chance, me dit ma cousine. C’est la seule pièce de la maison qui a une vue sur la piscine. Tes parents dormiront dans la chambre d’ami au rez-de-chaussée, au fait."
En effet, depuis ma fenêtre, j’ai vue sur la piscine et j’ai un bel ensoleillement plein Sud. La décoration est simple mais elle me plaît, le lit a l’air confortable. Au moins je ne moisirai pas dans une petite pièce obscure et exigüe… on se console comme on peut.
Ma cousine me propose de l’accompagner dans son footing du soir, ce que j’accepte. Nous discutons un peu au début, mais très vite, elle s’essouffle et se tait pour se concentrer sur sa course. Sa respiration est saccadée et ses halètements ne sont pas sans me rappeler quelque chose…
A notre retour, nous jouons une partie d’échec. « Celui qui perd a un gage », propose ma cousine. J’accepte et je perds... A peine ma défaite entérinée, mon oncle nous crie depuis en bas :
"- Douchez-vous les jeunes, on passe à table dans une demie heure !
- Vas-y en premier, lui proposé-je galamment en désignant du doigt la salle de bain du couloir.
- T’inquiète pas, j’ai ma propre salle de bain dans ma chambre. Toi, prends celle du couloir. Il doit déjà y avoir une serviette propre pour toi… Et n’oublie pas… tu me dois un gage", ajoute-t-elle malicieusement.
Je prends donc ma douche. Au moins, maintenant je sais que la porte que j’avais remarquée dans la chambre de Claire donne sur sa salle de bain. La soirée se passe dans le calme et, fatigué par le voyage et le footing, je décide de me coucher tôt. Je lis un peu avant d’éteindre ma lampe de chevet et de me glisser sous les draps. Mais peu de temps après, je suis réveillé par le bruit de quelqu’un qui gratte à ma porte…
La porte s’entrouvre et, mes yeux s’étant habitués à l’obscurité, je reconnais Claire.
« - Tu ne dors pas ? dis-je.
- Non… Ca te dirait de discuter un peu, on n'a pas encore eu trop l’occasion mais il faut bien qu’on apprenne à se connaitre.
- Oui, bien sur, avec plaisir !
- Cool ! Suis moi alors.
Nous allons dans sa chambre et elle s’assied sur son lit tandis que je m’assois en face d’elle sur le canapé. Nos visages sont éclairés par la lampe de chevet qui diffuse une lumière tamisée, toute en ombres et en contrastes.
- Tu ne crois pas que si nos parents nous voient ici ils vont trouver ça bizarre ?
- Pas de risque ! Je t’ai dit, ils ne viennent quasiment jamais ici, surtout à cette heure là et puis de toute façon, les escaliers grincent tellement fort qu’on les entendrait arriver quoi qu’il arrive ! »
Me voilà rassuré. Je me détends donc et profite de la conversation pour dévorer ma cousine des yeux. Elle porte une nuisette assez fine, noire et rouge qui met ses bras et ses jambes nus bien en évidence. A travers le tissu, je crois pouvoir deviner le forme du soutien gorge qui maintient sa poitrine. Claire a croisé les jambes, c’est une sage décision parce que la nuisette est courte et dans notre position actuelle, je risquais à tout moment d’entrevoir sa culotte.
J’appris beaucoup de choses sur ma cousine au cours de cette discussion. Son lycée se trouvait en ville et son père l’y emmenait en voiture tous les matins en allant au travail. C’est là qu’elle avait rencontré Marianne et elles étaient rapidement devenues inséparables. Elle me raconta comment elle avait eu du mal à concilier d’un coté ses résultats scolaires toujours très bons et de l’autre, ses relations amicales ou amoureuses avec des garçons plutôt turbulents. J’appris, info importante, qu’elle était célibataire depuis 6 mois ! Elle se moqua gentiment de moi quand je lui dis que j’aimais bien la poésie et je lui rendis sa plaisanterie quand elle déclara être fan de comédies musicales. Finalement, ma cousine me raccompagna jusqu’à ma chambre et me souhaita une bonne nuit en déposant un baiser sur ma joue. Je dormis très bien cette nuit là.